L'expérience de Thầy au temple zen

Une expérience spirituelle qui laisse une profonde satisfaction et un sentiment d'accomplissement.

La soif métaphorique de Thầy est étanchée, symbolisant son désir d'atteindre l'illumination.

Inspiré par les récits bouddhistes, Thầy aspire à un monde plus juste et prospère.

Frère aîné de Thầy, il entre au temple et inspire sa vocation.

Premier temple où Nho entre en tant que moine.

Situé à Huế, il marque une étape cruciale dans la formation de Nho.

Le Maître Zen de Từ Hiếu - il guide Nho dans sa pratique spirituelle.

Voyage de Thầy avec Nho à Huế, marque le début de sa vie monastique.

Le style d'enseignement de Thầy était basé sur l'inspiration plutôt que sur l'autorité.

Thầy a introduit de nouvelles approches dans l'apprentissage des moines bouddhistes, comme l'enseignement de la littérature occidentale.

Thầy a encouragé les étudiants à mémoriser les textes religieux pour enrichir leur vocabulaire et améliorer leurs compétences en écriture.

L'enseignement de Thầy incluait des cours sur la littérature bouddhiste, la littérature vietnamienne et la littérature française.

Thầy a introduit de nouvelles méthodes d'apprentissage, comme l'apprentissage par la pratique et les discussions informelles sur des sujets variés.

Thầy encourageait les étudiants à apprendre le français en écoutant des cours de radio et en lisant des auteurs français.

Thầy a donné des cours de philosophie occidentale aux étudiants avancés afin qu'ils puissent répondre aux questions des intellectuels contemporains.

Thầy a adapté ses cours sur la littérature bouddhiste en y intégrant des éléments de littérature vietnamienne et chinoise.

Le principe bouddhiste zen selon lequel les moines ne reçoivent de la nourriture que s'ils travaillent.

L'idée que chaque tâche, aussi simple soit-elle, doit être accomplie avec pleine conscience.

Un recueil de 45 vers en sino-vietnamien que Thầy devait réciter en silence pendant ses tâches quotidiennes pour maintenir sa concentration.

La formation pratique qu'a reçue Thầy au temple, qui comprenait les postures, la marche, l'alimentation et la méditation.

Les chants en sino-vietnamien que Thầy pratiquait au temple, qui l'inspiraient et le réconfortaient.

Un maître zen rencontré par Thầy au temple Hải Đức, qui lui a inspiré un désir de paix intérieure et de tranquillité.

L'étude du code monastique bouddhiste, qui a permis à Thầy de développer sa discipline et sa compréhension des enseignements bouddhistes.

Le temps que Thầy consacrait à la lecture et à l'étude tout en s'occupant des vaches.

Un ensemble d'articles critiques de Thầy, publiés en 1957, qui ont fait l'effet d'une bombe dans le pays en étant un commentaire audacieux sur les idées politiques du président Diệm.

Le mouvement bouddhiste vietnamien cherchait à relancer le bouddhisme dans une perspective vietnamienne, en s'inspirant des dynamiques du passé.

Le retour de Thầy à Huế en 1955, après 7 ans d'absence, fut un moment important. Il rencontra sa famille et ses anciens maîtres, mais sa mère était déjà malade et il ne la reverrait plus en bonne santé.

Titre attribué à Thầy lors du deuxième congrès de l'Association nationale bouddhiste en 1956. Il a contribué au développement de cette organisation à travers la publication du magazine officiel 'Vietnamese Buddhism' avec plusieurs pseudonymes.

Thầy a écrit sur de nombreux sujets, y compris l'histoire vietnamienne, la littérature internationale, la philosophie, les textes bouddhistes, l'actualité et la poésie populaire, tous dans le but de promouvoir la réconciliation et l'harmonie entre les différents groupes bouddhistes du Nord et du Sud.

Pour trouver une solution au conflit en Vietnam, Thầy a étudié l'histoire de son pays et s'est inspiré du rôle actif que le bouddhisme a joué durant les dynasties Trần et Lý entre le 11ème et le 13ème siècle.

Le concept de 'personnalisme' était une doctrine politique promue par le président Diệm, qui exigeait que tous les employés du gouvernement l'adoptent.

Le livre 'Dao Phật Qua Nhận Thức Mới' (La Nouvelle Perception du Bouddhisme) a été publié en 1957 en réponse à la publication des articles critiques. Il s'est vendu à 5 000 exemplaires lors de sa première impression.

Une communauté bouddhiste fondée par Thầy en 1958 dans la forêt de Đại Lão. Elle était un lieu dédié à la pratique spirituelle, à la méditation, à l'étude et à la vie en communauté.

L'ancien maître Zen de Thầy qui lui a enseigné la méditation et la spiritualité. Il a joué un rôle important dans la formation de Thầy.

Un lieu paisible dans la forêt de Đại Lão où Thầy a passé une période déterminante de sa vie monastique.

Le terme utilisé pour qualifier la pratique de la méditation en marchant, pratiquée par Thầy et ses disciples à Phương Bối.

Un modèle expérimentale pour réinventer et revitaliser le bouddhisme. Elle a été une rupture avec les traditions bouddhistes.

Une pratique spirituelle qui consiste à boire du thé tout en méditant, pratiquée par Thầy et ses disciples.

Une période de calme et de contemplation dans la nature, qui permet de se connecter avec le monde extérieur.

Une vision d'une communauté bouddhiste moderne, en rupture avec les pratiques traditionnelles, axée sur la pratique spirituelle, l'étude et la vie en communauté.

Thầy cherchait un lieu calme pour écrire et mener ses recherches loin des tensions de Saigon et des luttes de pouvoir au sein de la hiérarchie bouddhiste.

Un temple sans électricité, seulement un générateur fournissant de l'électricité pour quelques heures le soir.

Thầy aspirait à créer une communauté monastique à B'lao, rassemblant des moines venus de l'Institut Báo Quốc et des étudiants d'Ấn Quang.

Les moines et les pratiquants laïcs se réveillaient tôt pour la méditation et le chant, suivis de cours et de temps d'étude.

Thầy écrivait sous différents pseudonymes, explorant différents aspects du bouddhisme et de la société.

Thầy écrivait des commentaires sur le bouddhisme et des poèmes sous son propre nom, Nhất Hạnh.

Il s'agissait d'une publication en 1962, dans le magazine bouddhiste Lotus, sous le titre original « Nhìn kỹ Mẹ ».

Le village de B'lao est devenu la ville de Bảo Lộc, et le temple Phước Huệ est devenu un grand centre religieux de la ville.