L'Art et la Beauté dans l'Esthétique

La branche de la philosophie qui étudie la beauté et l'art.

La capacité d'un organisme à percevoir les stimuli sensoriels et à y répondre.

L'art tel qu'il était compris dans l'antiquité gréco-romaine, englobant non seulement la création artistique, mais aussi la technique.

Le mythe de Prométhée explique comment les humains ont été exclus de la nature en raison de leur manque d'adaptations physiques. Ils ont obtenu la raison et le feu, symboles de la technique et de l'art, pour survivre.

La nature de l'être humain est hybride : il est à la fois un être naturel et un être qui crée de l'artifice.

La capacité de l'art à imiter la réalité. Platon la rejetait car elle trompait et détournait de la vérité. Aristote la considérait comme un moyen de comprendre le monde.

Le monde des apparences, des perceptions sensibles et du monde matériel.

Le monde des idées, des formes éternelles et de la vérité absolue.

La vision de Platon sur l'art. Il le considérait comme trompeur car il alimentait des illusions et détournait de la vérité.

La vision d'Aristote sur l'art. Il le considérait comme un outil essentiel pour comprendre la réalité et découvrir des choses cachées dans le monde.

L'art qui nous permet de voir la réalité avec un regard nouveau et de nous arrêter sur des détails qui passent inaperçus dans la vie quotidienne.

La capacité de l'art à nous apporter du bien-être et à purifier l'âme. Aristote la considérait comme un élément positif de l'expérience artistique.

L'œuvre d'art comme un moyen de révéler l'être, l'essence des choses. Heidegger croyait que l'art nous permettait de voir le monde tel qu'il est réellement.

Le concept d'Heidegger pour désigner l'être, l'essence des choses, en distinction de l'étant, qui est l'apparence de l'être.

L'oubli de la question fondamentale de l'être, de la réalité ultime. Heidegger croyait que la société moderne avait perdu de vue cette question.

La force qui pousse à la création artistique, une pulsion naturelle et non-rationnelle qui incite à l'expression créatrice.

La force de création et de chaos, liée à l'instinct, à la nature sauvage et à l'expression émotionnelle.

La force de l'ordre, de la mesure, de la forme et de la raison, liée à l'harmonie et à la clarté.

La beauté telle qu'elle était perçue dans l'antiquité. Elle était liée à l'ordre, l'harmonie, la proportion et la perfection.

La théorie platonicienne du beau, qui le voit comme un modèle idéal et éternel, une Idée transcendante.

Le beau chez Aristote. Il est lié à l'harmonie, à la proportion et à l'ordre, mais immanent aux choses, observable dans le monde.

La conception de Boileau sur l'art. Il appelait à un art rationnel, régi par des règles et des principes universels.

L'art qui attire les émotions et les sentiments. Il conteste l'idée de la raison comme seule source de jugement esthétique.

La capacité de l'artiste à créer des mondes et des réalités nouvelles, à transgresser les conventions et à donner une expression personnelle à ses idées.

La perspective de Nietzsche sur l'art. Il le voyait comme une réponse à la souffrance et à l'absurdité de l'existence.

La vision d'Hegel sur l'histoire de l'art. Il la perçoit comme une expression du développement de l'esprit humain à travers les époques.

La théorie de Freud sur l'art. Il le voyait comme une expression des pulsions inconscientes et une forme de sublimation.