Module 12: Les acides nucléiques

Les unités de base constituant les acides nucléiques, regroupées en nucléosides et nucléotides.

Structure formée d'une base azotée et d'un ose liés par un lien β-N-glycosidique.

Esters phosphoriques de nucléosides, aussi appelés nucléosides phosphate.

Polymère linéaire constitué de nucléotides, incluant l'ADN et l'ARN.

Acide désoxyribonucléique, un acide nucléique qui conserve l'information génétique.

Acide ribonucléique, un acide nucléique impliqué dans l'expression génétique.

Composants essentiels des nucléosides et nucléotides, différentes dans ADN et ARN.

Lien chimique reliant la base azotée à l'ose dans un nucléoside.

Composants chimiques qui servent de coenzymes, de messagers chimiques et de sources d'énergie dans la cellule.

Source principale d'énergie chimique de la cellule, notamment l'ATP.

Un nucléotide cyclique qui agit comme messager intracellulaire dans les voies de transduction du signal.

Nucléosides avec un groupement phosphate reliant deux carbones d'un même ose.

Un nucléoside jouant un rôle d'hormone dans la régulation du sommeil.

Structures formées par la connexion de plusieurs nucléotides via des liaisons phosphodiester.

Liens qui relient les nucléotides pour former des polymères.

Substance qui combat la somnolence en bloquant les récepteurs neuronaux de l'adénosine.

Une courte chaîne de nucléotides, entre 10 et 50.

Une longue chaîne de nucléotides, plus de 50.

Le lien qui unit les nucléotides dans les polynucléotides (ADN et ARN).

L'ensemble du matériel génétique d'un organisme.

L'ensemble de l'ADN présent dans le noyau des cellules eucaryotes.

Le pourcentage de guanine et de cytosine dans un ADN, représentant la proportion de ces bases dans la séquence d'ADN.

La température à laquelle une molécule d'ADN double brin se sépare en deux brins simples.

Une liaison hydrogène qui se forme entre les paires de bases complémentaires (G-C et A-T) dans l'ADN.

Plus le pourcentage de G+C est élevé, plus les liens H sont nombreux, ce qui rend l'ADN plus stable et sa température de fusion plus élevée.

La séparation temporaire d'une partie de la double hélice d'ADN, ce qui permet l'accès aux bases pour des processus comme la réplication ou la transcription.

Le flux d'information génétique au sein d'une cellule, allant de l'ADN à l'ARN puis à la protéine.

Le processus de transformation de l'ARN en ADN par certains organismes.

Un ensemble de règles qui déterminent la correspondance entre les séquences d'ADN (ou ARN) et les acides aminés.

Le code génétique est le même pour tous les êtres vivants et les virus.

Deux ou plusieurs codons qui codent pour le même acide aminé.

Le fait que plusieurs codons peuvent coder pour le même acide aminé.

Le codon AUG, qui indique le début de la traduction d'un gène.

L'ARN est une molécule monocaténaire (un seul brin) alors que l'ADN est bicaténaire (deux brins).

Les molécules d'ARN sont beaucoup plus courtes que celles d'ADN, variant de quelques dizaines à quelques milliers de nucléotides.

L'ARN peut se replier sur lui-même et former des régions hélicoïdales grâce à des liaisons hydrogène intracaténaires.

Les ARNr sont des composants structuraux et fonctionnels des ribosomes, représentant 80 % des ARNs cellulaires.

Les ARNt sont de petites molécules impliquées dans la traduction des ARNm en protéines, représentant 15 % des ARNs cellulaires.

Les ARNm contiennent l'information génétique nécessaire à la fabrication des protéines, représentant 3 % des ARNs cellulaires.

Un ARNm est synthétisé à partir d'un gène de l'ADN et traduit en polypeptide par les ribosomes.

Les ribosomes sont des complexes nucléoprotéiques qui utilisent l'ARNm pour traduire l'information génétique en protéines.