Histoire du Canada : Quiz des Événements

Période géologique allant de -2,68 millions à -11 700 ans, marquée par le retrait des glaciers et l'expansion des prairies.

Période allant de -11 700 à 1950, caractérisée par une transition climatique et une régionalisation des cultures autochtones.

Période allant de 400 à 1600, marquant la rencontre entre les peuples autochtones et les Européens.

L'introduction de l'arc et de la flèche vers 400, modifiant la chasse et la guerre.

Vers 500 apparaissent deux types d'organisation sociale: algonquienne (nomade) et iroquoienne (sédentaire).

Vers 500, les femmes ont une influence forte dans la société, mais pas de pouvoir politique. Le lignage se transmet par la mère.

Vers 500, le genre détermine l'utilité sociale de la personne. Les femmes sont responsables de la vie civile et les hommes de la chasse et de la guerre.

Le tabac est arrivé en Amérique du Nord vers 1000, provenant d'Amérique du Sud.

La courge et le haricot ont été introduits en Amérique du Nord vers l'an 1200, provenant d'Amérique du Sud.

La civilisation du Mississippi a prospéré entre 950 et 1600, laissant une trace importante dans l'histoire de l'Amérique du Nord.

L'empire Cahokia était prestigieux entre 800 et 1250, période de son apogée.

Entre 800 et 1300, un optimum climatique a mené à une hausse de la production du maïs, favorisant le développement de la civilisation de Cahokia.

La Petite Âge Glacière, de 1550 à 1850, a affaibli les Iroquois et les autochtones en Amérique du Nord en raison de la difficulté de l'agriculture.

La côte pacifique était densément peuplée, ses habitants exploitant les ressources de la mer et de la forêt.

Les autochtones plaçaient un mât totémique devant leur maison pour représenter l'esprit de la famille et guider les âmes des défunts.

Les Inuits concevaient le temps comme étant cyclique, une notion différente de la vision linéaire du temps occidental.

Les puissances européennes ont été attirées en Amérique du Nord par trois raisons principales : la recherche de produits intéressants, l'obtention de fourrures de renard arctique et la quête de dents de narval, souvent confondues avec des dents de licorne.

Vers 990 et 1020, une communauté d'environ 100 000 Vikings s'est établie à l'Anse-aux-Meadows. Ils ont été chassés par les Béothuk vers 1020.

Les Thulé, ancêtres des Inuits actuels, ont réussi à prendre le contrôle du Groenland et à supplanter les Dorsets grâce à leur mobilité accrue grâce au kayak, la chasse efficace à l'arc et à la flèche et la domestication de chiens.

En 1379, une attaque des autochtones a coûté la vie à 18 Norvégiens au Groenland, marquant un tournant dans les relations entre les deux groupes.

À partir de 1517, les pêcheurs basques et bretons se sont massivement installés en Amérique du Nord, initiant une pêche intensive à la morue qui a prospéré jusqu'au 16e siècle.

Entre 1545 et 1585, une communauté de 1000 Basques s'est établie à Terre-Neuve, favorisant le commerce du poisson et de la fourrure, un moteur économique de l'époque.

Les conflits entre Européens et autochtones en Amérique du Nord étaient alimentés par des malentendus sur la propriété privée et des tensions liées à l'accès aux ressources de chasse et de pêche.

Au 19e siècle, les Béothuk ont disparu, Shawadithit étant la dernière représentante du groupe. Les tensions avec les Européens et la perte de leurs terres ont contribué à leur extinction.

Dès les années 1530, des guerres intestines entre les Iroquoiens et les Mi'kmaqs ont éclaté, alimentées par des disputes territoriales. Le massacre des Iroquoiens par les Mi'kmaqs à l'île-aux-Massacres témoigne de la violence de ces conflits.

Les tentatives de création de colonies européennes, comme celle de Cartier à Cap-Rouge, se sont souvent soldées par des échecs, marquant le début du déclin et de l'extinction des peuples autochtones, victimes de la colonisation.

Conflit armé entre les colons anglais et les peuples autochtones Wampanoag dirigés par Metacomet (roi Philip). Elle a duré de 1675 à 1676 et a causé des pertes importantes des deux côtés.

Conflit armé entre les colons anglais et les peuples autochtones Yamasee. Cette guerre a éclaté en 1715 et a duré jusqu'en 1717, et elle a été causée par la vente d'esclaves autochtones.

Un traité de paix signé en 1701 entre les Français, les Iroquois et leurs alliés, qui a mis fin à plusieurs années de conflit et de rivalité.

Deux systèmes d'expansion et d'influence des puissances européennes en Amérique du Nord. L'impérialisme vise à contrôler les territoires de manière indirecte, tandis que le colonialisme vise à établir des colonies et à contrôler les habitants.

Une seigneurie concédée aux Jésuites pour accueillir les Mohawks convertis au christianisme. Cet endroit était important pour la formation d'une communauté autochtone sédentarisée.

Un territoire espagnol en Amérique du Nord qui a été la cible du colonialisme de peuplement. Les espagnols ont tenté d'amener les autochtones à s'assujettir à leur domination.

Une zone d'influence russe en Amérique du Nord, surtout dans le nord-ouest, où ils étaient engagés dans le commerce de la fourrure.

Des accords entre les peuples autochtones et les puissances coloniales pour la cession de territoires. Ces traités étaient souvent signés avec des totems pour identifier les tribus autochtones.

Un traité historique de paix conclu en Pennsylvanie entre les colons anglais et les autochtones Lenni-Lenape, enregistré avec une ceinture de wampum.

Proclamation royale visant à réconcilier les relations entre les Britanniques et les peuples autochtones après la guerre de Pontiac, en établissant une frontière entre les territoires autochtones et les colonies britanniques, en réservant l'acquisition des terres autochtones à la couronne et en instaurant un protocole pour l'acquisition de terres par traités.

Rencontre entre les Britanniques et les chefs autochtones après la guerre de Pontiac, symbolisée par l'offrande de wampum par William Johnson et la distribution de médailles aux chefs, marquant la réaffirmation de l'alliance entre les deux parties.

Conflit entre les peuples autochtones et les Britanniques après la prise de contrôle de la Nouvelle-France, mené par le chef autochtone Pontiac visant à ralentir l'expansion britannique vers l'ouest.

Accords négociés au milieu du XIXe siècle entre le gouvernement canadien et certaines nations autochtones de l'Ontario, qui ont abouti à la cession de terres autochtones et à la création de réserves. Ces traités ont un impact important sur l'histoire et les relations entre les peuples autochtones et le gouvernement canadien.