Guerre Civile Chinoise (1912-1949)

Wang Jingwei est élu président du Guomindang (GMD) et du gouvernement national en 1925.

Le GMD dirigé par Wang Jingwei a initialement maintenu la coopération avec le Parti Communiste Chinois (PCC).

Des conflits ont éclaté au sein du GMD entre membres anciens et nouveaux, certains ayant déjà appartenu au PCC.

Chiang Kai-shek a proposé d'expulser les membres du PCC du GMD.

Le gouvernement a créé l'Armée nationale révolutionnaire en 1926, avec Chiang Kai-shek à sa tête.

Campagne militaire du GMD de 1926-1928 visant l'unification de la Chine.

L'objectif était d'unifier la Chine en éliminant les seigneurs de guerre.

Chiang Kai-shek a dirigé l'armée nationale revolutionnaire de 1926 à 1928.

Une coalition composée de huit nations (France, Royaume-Uni, Allemagne, Russie, États-Unis, Japon, Italie et Autriche-Hongrie) qui ont envahi Pékin en 1900.

Conflit militaire entre la Russie et le Japon en 1904, qui s'est soldé par la victoire du Japon.

Des chefs militaires chinois qui contrôlaient des régions spécifiques du pays et se battaient pour le pouvoir.

Un seigneur de guerre chinois qui a rejoint le gouvernement nationaliste et a ensuite quitté ce dernier.

Un seigneur de guerre chinois qui a pris le commandement des armées du Nord.

Un conflit majeur en Chine entre différentes factions militaires, notamment les seigneurs de guerre Feng et Yan, face à Jiang Jieshi.

Une révolte des communistes chinois contre le gouvernement nationaliste en août 1927.

L'armée créée par le Parti communiste chinois pour lutter contre le gouvernement nationaliste.

Un soulèvement communiste mené principalement par Mao Zedong en avril 1928.

Une région montagneuse du sud de la Chine où Mao Zedong et d'autres communistes se sont établis après le soulèvement.

Opérations militaires du gouvernement nationaliste contre les bases communistes.

Le dirigeant du gouvernement nationaliste chinois.

Le parti politique qui s'est opposé au gouvernement nationaliste chinois.

Un dirigeant du gouvernement nationaliste impliqué dans des alliances politiques.

Un État qui semble indépendant, mais qui est en réalité contrôlé par une autre puissance.

État fantoche créé par le Japon en 1932 au nord-est de la Chine, avec Puyi comme chef d'État.

Région tampon entre le Japon et le gouvernement de Nankin, créée par le Japon pour contrôler la frontière.

Objectif de l'empire du Japon qui visait à dominer toute l'Asie orientale en contrôlant les ressources et les territoires.

Un incident orchestré par le Japon en 1931 pour justifier l'invasion de la Mandchourie.

Organisée par le gouvernement de Nanjing en février-mars 1933, elle visait à anéantir les forces communistes. Un changement de stratégie du PCC a marqué cette campagne.

Le comité central du PCC a demandé à ses forces d'attaquer les villes principales et d'affronter directement le GMD. Cependant, cette stratégie s'est avérée inefficace.

En 1932, Mao Zedong a pris congé de la direction de l'armée rouge. Il n'était pas d'accord avec la nouvelle stratégie du PCC.

Zhu De et Zhou Enlai n'ont pas accepté la nouvelle stratégie d'affrontement direct du PCC. Ils ont continué à appliquer les principes stratégiques de Mao Zedong.

La cinquième campagne d'encerclement représentait une nouvelle tentative du GMD pour éradiquer les forces communistes. Elle a entraîné un échec complet pour le PCC.

La théorie du déviationnisme de gauche et du dogmatisme a été avancée pour expliquer l'échec du PCC pendant la cinquième campagne d'encerclement.

La longue marche, qui s'est déroulée du 15 octobre 1934 au 19 octobre 1935, a été une retraite stratégique de l'armée rouge et du comité central du PCC vers le nord.

En octobre 1934, le PCC a été confronté à un choix crucial : continuer la résistance, ce qui aurait probablement mené à son écrasement, ou fuir le sud pour survivre.

Un traité d'amitié et d'alliance entre la Chine et l'Union soviétique signé après la capitulation du Japon. Il est considéré comme un traité inégal par les Chinois car il cède certains territoires.

Une zone de terre entre deux pays afin de créer une distance et de prévenir les conflits, souvent démilitarisée.

Le statut de la Mongolie extérieure après la guerre, s'il reste rattaché à la Chine ou devient indépendant. La question a fait l'objet de négociations entre la Chine et l'Union soviétique.

Le devenir du Manchoukouo (un État fantoche créé par le Japon) après la capitulation du Japon, avec le PCC et le GMD se disputant le contrôle.

L'Union soviétique a joué un rôle important après la capitulation du Japon, en aidant la Chine à combattre les troupes japonaises et en négociant un traité d'alliance avec la Chine.

Le front uni est une alliance tactique entre le Parti Communiste Chinois (PCC) et le Guomindang (GMD) contre les Japonais durant la Seconde Guerre mondiale.

Après la défaite du Japon, le GMD, en tant que gouvernement national, revendique son rôle de dirigeant de la Chine, tandis que le PCC, qui a contribué à la guerre, réclame également une part de pouvoir.

Le GMD envoie trois télégraphes au PCC pour l'inviter à Chongqing afin de discuter de la gouvernance de la Chine et du partage du pouvoir.

Le PCC, malgré ses doutes sur les intentions du GMD, accepte l'invitation à la conférence de Chongqing afin de démontrer sa volonté de résoudre les problèmes de manière pacifique.

L'accord Double Dix est un accord signé le 10 octobre 1945 entre le GMD et le PCC, marquant la fin de la conférence de Chongqing. Il établit une solution pacifique et la collaboration entre les deux partis.

Le GMD est confronté à un dilemme crucial: comment gérer l'Armée Rouge du PCC après la signature de l'accord Double Dix.

L'accord Double Dix prévoit la formation d'une nouvelle république, impliquant à la fois le GMD et le PCC. L'idée de la République de Chine telle qu'elle existait avant la guerre est donc abandonnée.

L'accord Double Dix prévoit la création d'une conférence consultative politique afin d'impliquer d'autres partis et minorités dans la gouvernance de la Chine.