Quiz Général sur les Sujets Divers

Le sentiment d'être privé de liens sociaux considérés comme essentiels.

Les préjugés négatifs sur les personnes âgées, basés sur des stéréotypes et des généralisations.

L'influence des stéréotypes sur la façon dont on perçoit et se comporte envers les personnes âgées.

Bien que la solitude diminue jusqu'à 65 ans, elle augmente légèrement après 75 ans.

L'agisme se transmet dès l'enfance et persiste à l'âge adulte, renforçant les stéréotypes négatifs.

Le fait d'être en situation de solitude accrue, notamment chez les personnes âgées, les femmes et celles vivant seules.

Les stéréotypes négatifs ont une influence inconsciente sur les personnes, même celles qui travaillent avec les personnes âgées.

Le test d'association implicite (TAI) révèle la présence de stéréotypes négatifs, même chez les personnes âgées.

La population âgée est en constante augmentation. En 2018, la pyramide des âges ressemblait à un sapin, avec une base large et un sommet étroit. Cela signifie que le nombre de personnes âgées est plus élevé que jamais.

L'espérance de vie a augmenté considérablement depuis 1900, doublant par rapport au début du XXe siècle. Les femmes vivent en moyenne plus longtemps que les hommes.

Le taux de fécondité, c'est-à-dire le nombre moyen d'enfants par femme, a diminué, passant à environ 1,5 enfant par femme. Cela contribue à la croissance de la population âgée.

L'âge auquel un individu est considéré comme « vieux » varie selon la société et la culture. Traditionnellement, un homme est considéré comme vieux vers 55 ans et une femme vers 45 ans. Cette perception est subjective et dépend de nombreux facteurs.

Selon Schaie et Willis (2012), la façon dont nous vieillissons est influencée par notre parcours de vie. Nos expériences et notre style de vie jouent un rôle important dans notre vieillissement.

Les plaintes somatiques sont des symptômes physiques qui sont ressentis sans cause médicale identifiable. Chez les personnes âgées, elles peuvent être liées au vieillissement ou à des facteurs psychologiques.

La vieillesse n'est pas uniquement un processus biologique, mais aussi une construction sociale. Les représentations de la vieillesse dans l'art et les médias influencent notre perception des personnes âgées.

Les représentations de la vieillesse sont souvent simplifiées et stéréotypées. Il est important d'avoir une vision nuancée et d'éviter les clichés sur les personnes âgées.

Le processus de vieillissement naturel affecte le système micro-vasculaire, contribuant à des changements physiologiques qui peuvent commencer après 60 ans.

La production accrue de radicaux libres dans le cerveau peut entraîner des dommages et un déclin cognitif. Cela peut être lié à un mauvais fonctionnement des mitochondries.

La réserve cognitive est la capacité du cerveau à résister aux dommages et au déclin cognitif, même en présence de lésions cérébrales.

Un niveau d'éducation plus élevé peut améliorer la capacité à compenser les lésions cérébrales, contribuant à une meilleure réserve cognitive.

La réserve cognitive est un processus dynamique qui commence dès la jeunesse, amélioré par une stimulation cognitive précoce et intense.

Des activités sociales et des loisirs peuvent renforcer la réserve cognitive en augmentant les connexions synaptiques et en stimulant les fonctions cognitives.

Le modèle STAC souligne l'importance de l'intégrité et de la fonctionnalité du cerveau dans le maintien des performances cognitives.

Des facteurs génétiques et environnementaux, comme l'éducation, le sport et le multilinguisme, peuvent influencer la réserve cognitive.

L'âge est le facteur de risque le plus important pour le développement des troubles neurocognitifs. Environ un tiers des personnes de plus de 60 ans à Genève développeront ces troubles.

En plus de l'âge, l'obésité et la perte auditive augmentent le risque de développer une démence.

Le tabagisme, la dépression, l'inactivité physique, l'isolement social et le diabète augmentent le risque de développer une démence.

Il est important d'être attentif à la façon dont le patient perçoit ses troubles. Un dialogue ouvert et empathique est crucial pour l'accompagner dans le diagnostic.

La transmission du diagnostic doit être graduelle, avec des termes clairs et une empathie attentive, en respectant le rythme du patient.

Le test de dépistage pour les troubles neurocognitifs peut être effectué par un psychiatre ou un médecin traitant.

Les personnes avec une bonne réserve cognitive, comme un Bachelor, ont un risque moindre de développer une démence.

Les troubles neurocognitifs peuvent être un symptôme d'autres problèmes de santé, il est important de faire des examens complémentaires.

L'agisme est la discrimination fondée sur l'âge, résultant de préjugés et de stéréotypes négatifs sur le vieillissement.

Les stéréotypes négatifs sur le vieillissement peuvent avoir un impact réel sur la santé des personnes âgées. Par exemple, les personnes qui ont des stéréotypes négatifs sur le vieillissement ont tendance à vivre moins longtemps et à avoir un risque accru de problèmes cardiovasculaires.

Les études montrent que les personnes âgées qui ont des stéréotypes positifs sur le vieillissement vivent plus longtemps et sont en meilleure santé. Cela est dû au fait qu'elles prennent plus soin d'elles-mêmes.

Le sentiment d'efficacité personnelle est la croyance en sa capacité à réaliser ses objectifs de santé. Il joue un rôle important dans le bien-être des personnes âgées en les motivant à prendre soin d'elles.

Le stress peut avoir un impact négatif sur la santé des personnes âgées, augmentant le risque de problèmes cardiovasculaires. Une attitude positive et des stéréotypes positifs sur le vieillissement peuvent aider à réduire le stress.

L'hippocampe est une région du cerveau importante pour la mémoire. Les études montrent que le volume de l'hippocampe est plus petit chez les personnes qui ont des stéréotypes négatifs sur le vieillissement.

Il est important de comprendre que la corrélation entre le vieillissement et les troubles psychiques ne signifie pas nécessairement qu'il existe un lien causal direct. D'autres facteurs peuvent être en jeu.

Le vieillissement cérébral implique des changements dans le fonctionnement du cerveau, affectant certaines fonctions cognitives. Il est important de comprendre ces changements pour mieux accompagner les personnes âgées et leur permettre de maintenir leur qualité de vie.

Dégradation progressive et multimodale des connaissances sémantiques, sans troubles perceptifs, ni déficit de mémoire au jour le jour, ni désorientation temporelle, ni réduction de la fluidité du discours, ni altération des composantes phonologiques et syntaxiques du langage, ni altération du raisonnement non-verbal, orientation spatiale, imitation de gestes, capacités visuo-spatiales, calcul, ni anomalies de l'examen neurologique, ni perte d'autonomie en dehors de celle générée par les troubles sémantiques.

Manque du mot, même si le patient connaît le sens, difficulté à retrouver sa forme sonore et écrite, menant à des pauses dans le discours.

Trouble de la répétition de phrases, paraphasies phonémiques dans le discours spontané et en dénomination, préservation de la compréhension des mots uniques et des connaissances sur les objets, préservation des aspects moteurs du langage, absence d'agrammatisme franc.

Langage non-fluent/laborieux, simplifications grammaticales, erreurs grammaticales, plus de paraphasies phonémiques (répétition de mots et de phrases), dysprosodie dans la voix, ralentissement de la parole.

Agrammatisme et discours hésitant, demandant un effort, avec des erreurs phonétiques et des déformations (apraxie de la parole).

Atteinte du cortex temporal externe postérieur, en empiétant sur le cortex pariétal inférieur en englobant l'aire de Wernicke

Atrophie dans les régions fronto-insulaires gauches

Atteinte spécifique au niveau du langage, de l'accès lexical

Atteinte au niveau de la syntaxe et de la planification motrice du langage dans les stades initiaux, perte du langage progressive, troubles comportementaux peuvent apparaître.

Différentes catégories d'oiseaux, chaque 6 mois (sur 18 mois), patient doit dénommer les images d'oiseaux. Images courantes et moins fréquentes. Erreurs sémantiques deviennent en plus en plus larges au cours de l'évolution.