Économie et PIB: Concepts clés

La partie de la production non marchande qui n'est pas évaluée.

La somme des valeurs ajoutées dans l'économie, mesurée par la différence entre le prix de vente et les consommations intermédiaires.

Les biens et services consommés dans la production d'autres biens et services.

L'augmentation de la valeur d'un bien ou service pendant sa production.

La part du revenu d'un ménage ou d'une entreprise qui n'est pas consommée.

L'achat de capital durable (qui dure plus d'un an) par les entreprises.

L'ensemble des biens et services produits par l'État et les administrations.

Le ratio du PIB par habitant, qui mesure le niveau de vie moyen dans un pays.

La théorie quantitative de la monnaie est un concept clé qui explique le lien entre la quantité de monnaie en circulation et le niveau des prix. Elle stipule que, lorsqu'il y a une augmentation de la masse monétaire, les prix augmentent proportionnellement.

L'équation MV=PY représente la relation entre la quantité de monnaie (M), sa vitesse de circulation (V), le niveau des prix (P) et la production (Y). L'augmentation de la quantité de monnaie (M) affecte principalement le niveau des prix (P), sans influencer significativement la production (Y).

La courbe de Phillips est un modèle économique qui montre une relation négative entre le taux de chômage et l'inflation. Cela suggère qu'une baisse du chômage peut entraîner une augmentation de l'inflation.

Les monétaristes, un courant de pensée économique, soutiennent que l'inflation est principalement causée par une augmentation de la masse monétaire. Ils mettent l'accent sur le contrôle de la masse monétaire pour contrôler l'inflation.

Milton Friedman, un économiste monétariste influent, a démontré que la relation entre le chômage et l'inflation décrite par la courbe de Phillips n'était valable qu'à court terme. Il a soutenu que, à long terme, l'inflation n'a aucun impact sur le chômage.

La main invisible est une métaphore utilisée par Adam Smith pour décrire comment l’égoïsme individuel peut conduire à un bien-être collectif. Chaque individu, en cherchant son propre intérêt, contribue à la prospérité générale.

Le libre-échange est un principe économique qui préconise la suppression des barrières commerciales entre les pays. Cela permet aux pays de se spécialiser dans les productions où ils sont les plus efficaces et d'échanger leurs produits.

Les rendements d'échelle croissants se produisent lorsque la production augmente plus rapidement que les facteurs de production utilisés (travail, capital). Par exemple, si on double le nombre de travailleurs, la production peut plus que doubler.

Les biens publics sont des biens et services dont bénéficient tous les membres d'une société, même ceux qui ne les ont pas payés. Exemples: les routes, l'éducation, la défense nationale.

La loi de Malthus stipule que la population augmente de manière exponentielle, tandis que la production alimentaire augmente de manière arithmétique. Cela conduit à une pénurie de ressources et à la pauvreté.

La loi des rendements décroissants stipule que chaque unité supplémentaire de facteurs de production (travail, capital) produit moins de production supplémentaire. Par exemple, on peut obtenir moins de production en ajoutant un travailleur supplémentaire si tous les autres facteurs de production sont constants.

La transition démographique est un changement progressif de la croissance démographique. Elle est caractérisée par une baisse du taux de natalité et du taux de mortalité, ce qui conduit à une croissance démographique plus lente.

La révolution industrielle est une période de progrès technologique rapide qui a permis d'augmenter la production et de réduire les coûts de production. Elle a également permis de rompre avec la loi de Malthus en améliorant les rendements agricoles.

L'inflation oblige les banques centrales à intervenir pour la limiter et à gérer les déséquilibres économiques qui en résultent.

L'inflation erode le pouvoir d'achat de l'épargne, sauf pour les actions et l'immobilier, mais les prix de l'immobilier augmentent, accentuant les inégalités.

La création monétaire ne provoque pas automatiquement l'inflation, mais elle peut augmenter le prix des actifs, enrichissant davantage les plus fortunés.

L'inflation accroît la dépendance des générations futures aux héritages, menaçant le principe de méritocratie.

La confiance dans la monnaie constitue son fondement, mais elle peut être ébranlée par certaines politiques économiques.

Les politiques monétaires non conventionnelles, comme les

L'aplatissement de la courbe des taux d'intérêt est un résultat de la politique monétaire non conventionnelle. Une remontée de l'inflation pourrait inverser ce phénomène.

La montée des taux d'intérêt, même nécessaire pour lutter contre l'inflation, est risquée pour les États fortement endettés, comme l'Italie.

L'augmentation des prix due à une demande supérieure à l'offre. C'est une des causes de l'inflation selon la pensée keynésienne.

L'augmentation des prix due à l'augmentation des coûts de production, comme les salaires et les matières premières.

La baisse des salaires réels causée par l'inflation. Si les salaires augmentent moins vite que l'inflation, le pouvoir d'achat diminue.

Une situation économique où le chômage est élevé et l'inflation est forte en même temps.

Le choc pétrolier des années 70 a provoqué une hausse des prix des matières premières, contribuant à la stagflation.

Les syndicats forts des années 70 ont obtenu l'indexation des salaires, ce qui a contribué à l'inflation. Les salaires étaient liés à l'inflation, ce qui a créé une spirale inflationniste.

Le ralentissement des gains de productivité, c'est-à-dire la baisse de l'efficacité des travailleurs, a contribué à la stagflation des années 70.

La mondialisation a remis en question les politiques keynésiennes. La concurrence internationale a rendu difficile l'application de ces politiques. La crise des années 70 a été une crise d'offre, pas de demande.

En économie fermée, l'investissement est égal à l'épargne totale (privée + publique).

En économie ouverte, l'excédent commercial est égal à l'excédent d'épargne nationale par rapport à l'investissement.

En économie ouverte, le déficit commercial est égal au déficit d'épargne nationale par rapport à l'investissement.

En économie ouverte, le solde commercial est égal à la différence entre l'épargne privée et l'investissement, plus le déficit public.

Une situation où un pays exporte plus qu'il n'importe, ce qui signifie qu'il épargne plus qu'il n'investit.

Une situation où un pays importe plus qu'il n'exporte, ce qui signifie qu'il investit plus qu'il n'épargne.

L'Allemagne a régulièrement un excédent commercial et un excédent d'épargne. Cela signifie qu'elle prête à d'autres pays.

Il est important de comprendre le lien entre le solde commercial et les échanges d'épargne et d'investissement.