Droit International Public

Le droit international public (DIPub) s'applique aux relations entre États et organisations internationales, réglementant leurs actions et interactions sur la scène mondiale.

Le DIPub vise à organiser la cohabitation pacifique entre les peuples, en favorisant la coopération internationale dans des domaines tels que l'environnement, le climat et la sécurité.

Le DIPub évolue constamment et s'intéresse de plus en plus aux questions internes aux États, notamment en matière de droits de l'homme. Il impose aux États des obligations et des droits en matière de droits de l'homme.

Le phénomène de mondialisation a contribué à l'essor du DIPub, car les interactions internationales se sont multipliées. Le DIPub vise à réguler les relations économiques, les échanges d'informations et autres interactions transfrontalières.

Le DIPub s'applique à tous les États, à travers des traités, conventions et autres accords internationaux. Il est un système juridique qui oblige les États à respecter certaines normes de conduite.

Le droit international public (DIPub) est formé par la volonté de plusieurs États d'agir ensemble et non pas par l'idée d'un seul État. Il s'agit d'un droit externe, valable au-delà des frontières d'un État, qui nécessite la volonté de plusieurs États pour produire une règle de droit.

Le DIPub est créé par des accords entre les États. Ces accords ne sont soumis à aucune condition de forme, de fond ou de procédure, il suffit de signer un accord.

Le DIPub est basé sur le principe de souveraineté des États, ce qui signifie que chaque État est indépendant et possède le monopole de la puissance sur son territoire. Un État n'a pas l'obligation de participer au jeu international, mais s'il décide de le faire, il doit appliquer ses règles et s'y soumettre.

Le DIPub est un système décentralisé, il n'existe pas d'autorité supérieure qui s'impose aux États. En effet, il y a une égalité des États en droit international, même si en réalité certains sont plus puissants que d'autres.

Le système des contre-mesures permet à un État de prendre des mesures unilatérales en réponse à une violation du DIPub par un autre État. Ces mesures sont en principe irrégulières, car elles violent le principe de l'interdiction du recours à la force et de l'obligation de respecter les droits humains.

Certains traités ont créé des organisations internationales dotées d'un pouvoir de décision qui soumet les États. Par exemple, les résolutions adoptées par le Conseil de sécurité de l'ONU ont force obligatoire pour les États membres.

Le DIPub est un système qui repose sur la collaboration entre les États. Bien qu'il n'existe pas de force supérieure pour imposer l'application du droit, le respect des règles est nécessaire pour assurer la paix et la stabilité internationales.

La capacité d'un État à exercer son autorité sur un territoire donné et ses habitants, sans ingérence extérieure.

La reconnaissance par les autres États de la souveraineté d'un État, ce qui lui confère son égalité juridique sur la scène internationale.

Le droit d'un État à se défendre contre toute agression ou menace envers son territoire et sa population.

Des actions unilatérales prises par les organisations internationales pour promouvoir les normes internationales.

La capacité d'un État à participer à la vie internationale et à signer des traités, conventions et accords internationaux.

Les organes qui prennent des décisions au sein des Nations unies, déterminant les directions et les actions de l'organisation.

La valeur juridique des décisions prises par les organisations internationales. Certaines décisions sont contraignantes, tandis que d'autres ont une valeur de recommandation.

Un principe du DIPub qui interdit la séparation d'un territoire d'un État existant pour former un nouvel État.

Le processus de définition des frontières et de la reconnaissance d'un nouvel État après un événement de décolonisation ou une dislocation territoriale.

Le principe pacta sunt servanda signifie que les États doivent respecter les accords internationaux qu'ils ont signés. Ils s'engagent à respecter les règles du jeu et à assumer leurs responsabilités en cas de violation.

La coutume internationale est un ensemble de règles non écrites, mais reconnues par la pratique constante des États. Elle s'applique aux États qui l'ont acceptée.

Les organisations internationales ont leur propre système juridique et peuvent prendre des actes unilatéraux. Ces actes sont contraignants pour les États membres.

Les traités internationaux sont des accords écrits entre deux ou plusieurs États. Ils sont contraignants pour les États signataires.

L'interdiction du recours à la force est une règle fondamentale du droit international. Aucun État n'a le droit d'utiliser la force contre un autre État sans justification.

Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes est un principe qui permet aux peuples de décider de leur propre destin, notamment en matière de choix politique.

L'interdiction du génocide est une règle absolue du droit international. Aucun État ni individu ne peut commettre des actes visant à détruire des groupes humains.

L'interdiction de la torture est une règle absolue du droit international. Aucun État ni individu n'a le droit de torturer une personne sous aucun prétexte.

Les États, sujets principaux du DIPub, sont les acteurs principaux du droit international. Ils jouissent de la capacité de conclure des traités et de participer aux relations internationales.