Didactique: Définitions et Histoire - Partie 1

Théorie cognitive qui aide à comprendre comment les élèves apprennent des concepts complexes en sciences et techniques.

Chaque savoir est associé à des situations qui lui donnent du sens. L'enseignant choisit ces situations pour aider les élèves à apprendre.

Relation entre le savoir de référence, le savoir à enseigner, le savoir enseigné et le savoir appris.

Une situation qui mélange des éléments de la situation adidactique et d'un contrat didactique.

L'idée que toute activité humaine est organisée. Dans la didactique, cela implique l'organisation des apprentissages.

La didactique se concentre sur les contenus disciplinaires et leur apprentissage, tandis que la pédagogie se concentre sur les relations enseignant-élèves et les méthodes d'apprentissage.

Domaine d'étude qui analyse l'enseignement des contenus disciplinaires et leurs difficultés d'apprentissage.

Domaine d'étude qui analyse les méthodes d'enseignement et les relations en classe (enseignant-apprenants).

Modèle pour analyser les situations éducatives en considérant les interactions entre enseignants, élèves et contenu.

La didactique porte sur le contenu et la manière dont ils sont enseignés (ex: théorie des champs conceptuels), alors que la pédagogie porte sur les interactions en classe (ex: Freinet, Montessori).

Décrire et expliquer les difficultés d'apprentissage dans les domaines disciplinaires.

Les deux domaines se complètent dans la pratique enseignante pour une meilleure compréhension et application des concepts.

Transformation du savoir par l'institution scolaire (programmes, instructions officielles).

Transformation du savoir par l'enseignant en classe, en fonction des élèves et du contexte.

Activités sociales réelles intégrées à l'enseignement. Exemple : les élections démocratiques étudiées en EMC renvoient au droit comme PSR.

Processus d'adaptation des savoirs pour l'enseignement. Implique l'identification des objets et problèmes, la définition des objectifs et l'adaptation des stratégies d'apprentissage.

L'apprenant dans son rôle d'élève, en position d'apprentissage.

L'enseignant, agissant intentionnellement pour transmettre un savoir.

Les enseignants et les apprenants sont des acteurs humains, avec leur propre subjectivité et psychisme.

Une approche qui se concentre sur la manière dont les enseignants interagissent avec les élèves et gèrent les situations d'apprentissage.

La relation entre l'enseignant et les élèves est inévitablement marquée par une certaine forme de hiérarchie, où l'enseignant détient un certain pouvoir.

Ce type de savoir repose sur des concepts et des idées abstraites.

Ce type de savoir est basé sur des compétences et des techniques acquises par la pratique.

Ce type de savoir est une combinaison de savoir théorique et de savoir pratique.

Selon Michel Serres, l'invention est le véritable acte intellectuel, à la base de toute connaissance.

Les connaissances ne sont pas figées, elles évoluent avec le temps et nécessitent une remise en question.

Classification des savoirs en fonction de leur nature, comme théorique, pratique ou hybride.

Une activité contextualisée qui présente un problème à résoudre, exigeant de l'élève d'utiliser ses connaissances et de réfléchir à une solution.

Le niveau de difficulté juste au-dessus des capacités actuelles de l'élève, qui lui permet d'apprendre de nouveaux concepts avec l'aide d'un adulte ou d'un pair plus avancé.

Une situation où l'élève est confronté à des idées ou des connaissances différentes des siennes, ce qui déclenche une réflexion et une réorganisation de ses connaissances.

Ce que l'élève croit savoir sur un sujet avant l'apprentissage.

Une résistance à l'apprentissage due à des connaissances antérieures erronées ou à des intuitions qui entrent en conflit avec les nouveaux concepts.

Utilisation de l'information et des images pour influencer l'opinion publique, souvent pour promouvoir des idées ou des partis.

Mettre en évidence les fausses idées ou les stéréotypes qui existent autour d'un sujet, en montrant la réalité.

L'enseignant doit organiser l'apprentissage, favoriser les interactions entre élèves et les discussions, et guider les élèves sans leur donner directement les réponses.

Lorsque les activités non formelles sont forcées de suivre des méthodes rigides pour être reconnues, ce qui peut supprimer leur nature spontanée ou ludique.

L'école doit valoriser les expériences et l'apprentissage hors du cadre scolaire, tout en reconnaissant l'importance des autres acteurs (parents, animateurs) dans l'éducation.

Des compétences acquises dans un contexte (école, temps libre) peuvent être appliquées dans d'autres contextes, favorisant l'apprentissage continu.

Des outils et méthodes pédagogiques peuvent être utilisés en dehors de l'école pour maximiser les apprentissages dans un cadre non scolaire.

La capacité d'un animateur à organiser une activité ludique avec un objectif éducatif précis.

Le temps passé en dehors de l'école doit être considéré comme un temps éducatif important, où les activités ludiques offrent des apprentissages précieux.

Activités avec un niveau de second degré, qui impliquent des choix, la frivolité et l'incertitude, et qui combinent amusement et apprentissage.