Définition de la musique

Définition de la musique

• En 1947, selon le Random House College Dictionary, la musique est l'utilisation artistique du son pour exprimer des pensées et des émotions via la mélodie, l'harmonie et le rythme.
• Cette définition pose problème car musique est plus qu'un acte de communication et que trois ingrédients sont restrictifs.
• Les aborigènes australiens utilisent le didgeridoo, qui ne produit pas de mélodies typiques, ni d'harmonies occidentales.
• Selon le dictionnaire universel Oxford (1955), la musique combine les sons pour la beauté de la forme et l'expression des émotions.
• Cette définition moins restrictive permet d'utiliser tous les types de sons.
• La dance music et la thérapie musicale, entre autres, ne sont pas incluses.
• La musique sert à établir des liens sociaux, induire le mouvement physique, souligner les rites culturels et aide à la guérison.
• Le peuple Bushmen d'Afrique du Sud emploie des chants, des vocalises et des claps rythmés pour assister le chef spirituel.
• La musique ne se limite pas au son.
• Le dictionnaire American Heritage définit la musique comme l'art d'agencer le son dans le temps.
• Cette définition pose problème car cela implique des éléments non musicaux comme des discours.
• La définition d'arrangement de sons pour créer une composition musicale est circulaire et exclut également le mouvement et les interactions sociales dans certaines cultures.
• Les personnes sourdes apprécient la musique.
• La musique implique le mouvement (corps et vision).
• En 2001, Ian Cross décrit la musique comme la création de sons et de mouvements qui ont divers rôles selon le contexte.
• Il y a une liberté de définir la musique et d'y donner un sens subjectif, cette liberté étant à la base de la définition.
• La musique n'est pas fixe, elle est flottante.
• Cross souligne que la façon dont nous pensons à la musique dépend du contexte.
• Cross inclut des activités non musicales dans sa définition, elle ne respecte pas la condition de suffisance car trop vaste.
• Une bonne définition de la musique doit identifier tout et seulement les instances du concept.

Ressemblances universelles et familiales en musique

• La première stratégie de définition est de trouver une caractéristique universelle.
• Il existe deux caractéristiques universelles : le phrasé et le motif de mélodie, et la dimension temporelle/rythmique.
• La deuxième stratégie est une liste de caractéristiques familières : implication de la chanson, la gamme, les instruments, la synchronisation des participants, les interactions sociales et l'expérience émotionnelle.
• Chanson : elle est complexe, non verbale, apprise, construite autour d'une gamme et implique des instruments.
• Elle est inductrice, une activité sociale et un substitut social.
• Ces caractéristiques ne correspondent pas à tous les systèmes musicaux.

Conclusion sur la definition

• Selon l'ethnomusicologue John Blacking, la musique est un "mot brillant" et un concept impossible à définir.
• La "thick description" est une approche des ethnomusicologues pour décrire les comportements dans divers contextes culturels.

Nature et Culture dans la musique

• Nurture signifie élever, prendre soin, fournir.
• Dans ce cadre, il s'agit de chanter juste, de même que la NATURE correspond ici aux gènes.
• La NURTURE est la partie d'apprentissage explicite, l'environnement, les leçons, la participation ou l'enculturation (absorption passive des normes).
• L'universalité de la musique se retrouve dans toutes les cultures humaines.
• Les comportements de différentes cultures ne sont pas toujours appropriés au concept de la musique dans toutes les cultures.
• L'abstraction de la musique implique un penchant génétique pour son encodage.
• L'universalité ne suffit pas à conclure que la nature l'emporte sur l'acquis.
• La diversité musicale à travers le monde démontre l'influence de l'éducation.
• La biologie et la culture sont co-constitutives.

Aptitudes musicales innées

• L'étude de la musicalité des nourrissons révèle si les capacités musicales sont innées.
• On utilise le paradigme du regard préférentiel (temps passé à regarder un stimulus) et l'EEG (activité électrique du cerveau).
• Les enfants en bas âge (quelques mois) reconnaissent les mélodies même transposées et préfèrent les sons consonants.
• Les fœtus sont exposés aux sons maternels, ce qui peut influencer leurs capacités et préférences.
• La recherche croisée culturelle présente les mêmes stimuli à différents environnements musicaux/culturels.
• L'examen des similitudes met en évidence les comportements musicaux invariants dans les divers environnements.
• Les différences marquent les comportements qui changent selon l'exposition et l'expérience.
• La troisième stratégie regarde les marqueurs génétiques des aptitudes musicales chez les familles et les jumeaux.
• Le débat s'articule autour de l'aptitude, des préférences et de la structure musicale : qui excelle et comment ? Quels genres les gens aiment-ils et pourquoi ?.

Aptitudes et chant

• La hauteur absolue est la capacité d'identifier une note sans contexte, seule une personne sur 10 000 en est capable.
• Les locuteurs de langues tonales, les personnes d'origine est-asiatique, les personnes atteintes du syndrome de Williams, les autistes et les aveugles de naissance sont incluent plus souvent.
• L'oreille parfaite des personnes atteintes de troubles du développement peut résulter de différences génétiques ou d'expériences de vie.
• Le mauvais chant est l'incapacité à reproduire les hauteurs correctes (10-20% de la population).
• L'amusie est un déficit perceptif qui empêche d'enregistrer les différences de hauteur entre les notes proches.
• La plupart des mauvais chanteurs ont des capacités perceptives normales, mais un manque de contrôle moteur des cordes vocales.
• Des études sur les violonistes suggèrent que le talent est lié aux heures de pratique de qualité.
• Pourtant, la capacité musicale est partagée dans les paires de jumeaux, indépendamment du temps de pratique.
• L'apprentissage d'un instrument dépend des aptitudes perceptives, du contrôle moteur, des fonctions exécutives et de la volonté.

Preferences musicales

• Les Tsimané aiment autant les sons consonants que dissonants, contrairement aux occidentaux qui attribuent l'accord à la biologie.
• La culture semble façonner les notions de ce qui sonne bien.
• L'utilisation de la nature pour justifier certains types de musique (musique classique occidentale) est une phase troublante.
• Certains modèles montrent comment la culture et la biologie se croisent pour créer des préférences musicales.
• La préférence tend à suivre une courbe en U inversé lors d'expositions répétées à un morceau.

Conclusion sur la nature et la culture de la musique

• Toutes les cultures reconnaissent l'équivalence des octaves, les transpositions comme différentes instances d'une même chose, et la répétition.
• Ces points communs peuvent refléter des limites de la mémoire humaine plutôt que la communication musicale.
• Il n'existe pas de consensus sur la question de savoir si la musique est un produit de la sélection naturelle ou une utilisation d'autres capacités cognitives.
• Steven Pinker décrit la musique comme un cheesecake auditif en 1997.

L'expertise musicale

• Les musiciens experts combinent talent naturel et années de pratique, avec une formation formelle approfondie.
• D'autres sont autodidactes, possédant talent naturel, intérêt et opportunité d'apprendre les instruments.
• Le type de pratique diffère selon les genres musicaux (formel dans un orchestre, sessions de jam pour la musique indie).
• L'expertise ne se limite pas au nombre d'années ou d'heures de pratique.
• Le type de pratique permet de développer différentes aptitudes, comme jouer à l'oreille ou la lecture.
• Pour apprécier et faire de la musique, il faut savoir comment les notes s'assemblent.
• La musique est attrayante car elle joue avec les connaissances et les attentes musicales que nous développons.
• Les bébés deviennent des auditeurs enculturés.
• L'enculturation se mesure en comparant notre écoute de notre propre culture à celle d'autres cultures.
• Les adultes occidentaux distinguent mieux les changements de hauteur dans les échelles occidentales que dans les gammes javanaises.
• À six mois, les bébés ne distinguent pas mieux les changements de hauteur dans les gammes occidentales que dans les gammes javanaises, car non enculturés.
• Les non-musiciens perçoivent les règles musicales de leur culture par l'exposition.
• Les musiciens professionnels peuvent être non-musiciens malgré leurs aptitudes musicales.
• Certaines personnes formées mais non musiciennes sont considérées comme musiciens « endormis ».
• Les personnes dotées d'excellentes compétences en perception musicale, mais sans activité musicale sont qualifiées de non-musiciens.

Instruments pour étudier

• Le Profile of Music Perception Skills (PROMS) et le Goldsmiths Musical Sophistication Index (Gold-MSI) examinent ces enjeux.
• Ces instruments évaluent les capacités perceptives avec des stimuli simples (rythme, hauteur) et des extraits musicaux riches.
• Commencer des cours de musique avant l'âge de sept ans est lié à une tonalité parfaite.

Définition de l'expertise via les capacités

• Cela comprend la détection des changements de hauteur et la connaissance de la structure musicale: regroupement des notes en accords.
• Les experts font des erreurs cohérentes avec la structure du morceau.
• Les musiciens ont une grande mémoire pour les pièces cohérentes en musique.
• L'expertise comporte aussi la performance et les capacités qui en découlent.
• Le système moteur d'un musicien expert est plus actif que chez les novices.
• L'audition de sons musicaux et les mouvements sont donc liés.
• Les experts ont aussi une meilleure inhibition des distractions, une capacité de transition entre les tâches et des compétences accrues dans les expressions émotionnelles.
• Cependant, les chercheurs ne peuvent pas affecter aléatoirement les participants à un groupe d'experts ou non-experts.
• On ne sait pas si les experts ont une meilleure perception des hauteurs en raison de leur formation.
• L'ouverture à l'expérience est le meilleur prédicteur des années d'études musicales, plus que les facteurs socio-économiques.
• Les capacités d'expertise sont plus influencées par la personnalité que par la formation.

Génie musical

• Les chercheurs définissent les compétences en termes quantitatifs afin de la rendre operationnel et pouvoir la mesurer.
• Ils utilisent des outils tels que le Gold-MSI et le PROMS pour quantifier la capacité musicale en laboratoire.
• La caractérisation complète de l'expertise musicale dépend d'une interaction complexe entre des compétences musicales, la pratique, la personnalité, les gènes et des facteurs environnementaux.
• Expertise = temps de pratique + des mesures d'aptitude standard + des changements cérébraux + des marqueurs cognitifs des aptitudes avancées.
• Un QI supérieur à 140 n'indique pas les aptitudes musicales.
• Le don est un potentiel inné (gènes).
• Le talent est le résultat du développement de compétences.
• Les prodiges musicaux deviennent rarement célèbres à l'âge adulte.
• Les savants musicaux présentent des aptitudes exceptionnelles unies à une autre déficience intellectuelle.
• L'éminence acquise signifie, un impact extraordinaire qui perdure dans le temps.
• Etre un génie = produire des œuvres qui plaisent au gens, professionels et grand publique meme des année après.
• Creativité : Le génie créatif varie sur un continuum et dépend de la productivité, du nombre d'œuvres majeures, et se distingue du "one-hit wonder".
• Il faut également, du talent, génie...
• Un coup de change ne suffit pas.

Mesure du Génie

• Le génie musical est défini par un QI élevé, un talent exceptionnel et une éminence extraordinaire.
• On retrouve des génies qui definent le meilleru du répertoire en chaque genre musicale, pas que les genres classiques.

Génétique et expertise musicale

• Quatre raisons d'y croire incluent, l'ubiquité, la musicalité dans diverses familles, un nombre d'heures de pratique ne comporte pas le même niveau bénéfique et que des personnes atteintes de maladies génétiques montrent de grandes prédispositions envers la musique.
• Les compétences musicales semblent avoir des fondations biologiques et génétiques pour les 4 raisons suivantes :
• • L'ubiquité de la musique dans la culture humaine a plus de quarante mille ans.
• • Certaines compétences cognitives sous-jacentes à la musicalité semblent être universelles et se développent spontanément.
• • Au sein de centaines de familles (Bach, Marley, entre autres) la musique circule dans la génétique
• Les deux traits liés à la musique qui ont été étudiés : l'amusie congénitale et la hauteur absolue (AP).
• Cependant, ils ne permettent pas de distinguer l’influence génétique et non génétique.

Etudes récentes

• Deux analyses récentes ont combiné des résultats d’études sur la relation pratique et niveau de compétence, montrant que la pratique ne pouvait pas expliquer environ un tiers.
• Les problèmes sont causés par une anomalie du chromosome 7.
• Le Syndrome de Williams est causé par une délétion hétérozygote, des compétences musicales étonnamment bonnes.

Difficuliés des sondages.

• Donne une éstimation du côté de la génétique et non pas les gênes impliqués.
• Les jumeaux monozygotes partagent 100 des gènes.
• Pareil pour l"environnement et pendant la période prénatale.

Modèles de la recherches

• 3 types de trait : gènes, environnement partagés ou non partagés.
• La similarité souvent mesurer en utilisanr les statistique de corrélation.
• On Quantifier à quel point ces facteurs influent sur nos habiletée musicale.
• Les études indiques l’importances décisives des influence génétique entre (30 et 50)%.
• Une études sur les jumeaux confirme les point sus-nommer.
• Donc, il existe certains facteurs génétiques qui sont les causes de nos habiletés, mais il n’y a pas d’identification exacte.
• Les environement sont importants.

Conclusions

• Les gènes et l’environnement ont tous deux un rôle de premier plan, et cela d’une manière multifactiorales.
• Cette model reconnais que la pratique seule ne suffit pour l’expertise et que l’environment joue un grand role.

Approches Contamporaires dans les neuromusicologiques

• Les études des lésions démontrent si une lésions cérébral nuit a la musique du sujet que les zones endommagées peuvent être liée.
• Une patientes suite à une lésions qui sont pourtant lier aux langues, a eu beaucoup de misère avec les mélodies (meme étant capable de parlé)
• Les personnes avec des lésions dans le lobe temporal médial (gauche droite = mémoire) ont des misères d’apprendre des mélodies!
• IRMf: Cerveau a besoin d’energie qui est fournit en oxygène lors d’une zone particulière s’active le niveau d’oxygène devient en conséquence élevé.
• Cela peut servir meme sur des personnes en bonne santé!
• Les zones actives se lient aux aspect de la musique

Les 3 aspects de la musique

• La hauteur/tonalitées de musique
• Amigales : En écoutant des accords mineures, le cerveau activant une plus grande partie du système d’alerte (qui montre du stress)
• Des zones motrice s’active lors de jugement sur l’audition de motion…. (zone motorice).
• EEG: courant électrique dans les réseaux. Mesurer une réaction a une note eronées.
• moins chère que IRMF.
• Idéal pour étudier les rhymthems musicales
• MEG: transfère ses donnée d’un neurone à l’autre.
• Les cellules négative magnétique cré une impulsion.
• Plus information sur la localisation (mais moins précieux que L’IRMF et plus couté que IRMF.

Les chapitres 7-10 ne sont pas bien résumées.

Musique au courant des années

• Les neurones se syncronise.
• Les enfants qu’apprennent a joué un instrument se dépassent surtout matière comme les maths.
• Experties musicales: protége mieux aux viesielessiant.
• comment le cerveau créer cette syncronisation? Tous ses réseaux ont sont sont a leurs pleine capacitées autour de l’adolescent mais, les niveaux varie selon chacun

Liste des différent fonctions du Cortex dans la musique

• Cortex moteur:-jouer la musique danser
• Sensorielles: Tous les retour tactiles au jouer
• Cortex Viesruelle: Lire ou imagé dans le vieuruel
• Cerbellums: - joue la musqiue (émotionnelles)
• Amyglade: reaction émotionnelle frote.
• Hippocampe: mémoires des musiques.
• Corbet Pré- Fontal: Penser a la suite, au atente violée au safaits
• Les deux hemisphere sont connecter.

La misique modifier le cerveau

• Les musiciens font tous vieillir meux, tous en prévisions des fontion cognitive, c, qui dit aussi à ce qui à toujours protéger le cerveau contre l.usure!
• La practice précoce de la pratique fait enricher du cerveau au processiue sociaux et cognitifs!