Croissance Économique et Environnement

La prise en compte de l'impact environnemental des produits, notamment en termes d'efficacité et d'équité générationnelle.

Des règles visant à réduire l'impact environnemental des produits, souvent réglables en fonction des objectifs.

Des taxes imposées sur les produits ou activités polluantes, visant à décourager ces pratiques.

Un système d'échange de quotas de production, permettant aux entreprises les plus performantes de vendre leurs quotas excédentaires.

Une approche tenant compte des générations futures dans la gestion environnementale, visant à garantir un environnement viable pour les générations à venir.

L'utilisation d'instruments réglementaires, fiscaux et de quota pour atteindre des objectifs environnementaux.

La nécessité d'intégrer les considérations environnementales dans toutes les décisions économiques, notamment la production.

Le fait que les produits respectueux de l'environnement peuvent devenir plus chers, ce qui peut entraîner une perte de compétitivité.

La compétitivité prix de produits fabriqués à faible coût en Chine est un défi pour les industries occidentales car ces produits sont souvent moins chers et moins taxés, malgré leur impact environnemental.

La production de biens « vertueux » implique un coût plus élevé pour les consommateurs, mais est essentielle pour la protection de l'environnement et l'avenir de la planète.

Le défi crucial est de concilier la croissance économique et la protection de l'environnement, car les deux sont inextricablement liées.

Les pays en développement ont besoin de ressources considérables pour s'adapter au changement climatique et se libérer des énergies fossiles, mais les pays développés ne sont pas toujours d'accord sur l'ampleur de l'aide à fournir.

L'Inde critique l'accord de 300 milliards de dollars par an pour 10 ans, le jugeant insuffisant pour aider les pays en développement à effectuer leur transition climatique.

La Chine se retire de l'accord et poursuit sa politique d'investissement dans les pays en développement, favorisant l'utilisation des énergies fossiles.

Le défi majeur est de trouver un modèle de développement économique qui soit à la fois durable, responsable et respectueux de l'environnement.

La somme totale des emprunts de l'État, des collectivités locales et des organismes publics.

La différence entre les recettes et les dépenses publiques pendant une année donnée.

La situation où le déficit public est systématiquement supérieur à ses revenus, conduisant à un endettement croissant.

Un niveau de dette publique jugé excessif et menaçant la stabilité économique.

Le ratio de la dette publique par rapport au PIB. Il mesure l'importance de la dette par rapport à la production nationale.

Le taux de croissance économique nécessaire pour stabiliser le niveau d'endettement.

Une politique visant à réduire le déficit public et à stabiliser la dette publique.

La possibilité de contrôler plus strictement les dépenses publiques pour réduire le déficit.

L'inflation par les coûts survient lorsque les coûts de production d'une entreprise augmentent, ce qui la conduit à augmenter ses prix de vente. Cela peut se produire lorsque les prix des salaires augmentent et que ces augmentations sont répercutées sur les prix des produits. Si les salaires sont indexés sur l'inflation, cela peut entretenir un cycle d'inflation.

L'inflation par la demande survient lorsque la demande de biens est supérieure à l'offre disponible. Cela conduit à une augmentation des prix car les entreprises peuvent augmenter leurs prix, sachant que les consommateurs sont prêts à payer davantage pour obtenir les produits qu'ils souhaitent.

L'inflation importée est le résultat de l'augmentation des prix des matières premières importées. Les entreprises sont alors obligées de payer davantage pour ces matières premières, ce qui se traduit par des prix de vente plus élevés pour leurs produits.

L'inflation peut avoir des effets redistributifs, favorisant certains groupes au détriment d'autres. Par exemple, les emprunteurs bénéficient de l'inflation car la valeur réelle de leur dette diminue, tandis que les créanciers sont pénalisés. Les salariés peuvent également bénéficier de l'inflation si leurs salaires sont indexés, tandis que les retraités peuvent voir leur pouvoir d'achat diminuer.

L'inflation peut avoir un impact négatif sur le pouvoir d'achat des salaires car les prix des biens augmentent plus rapidement que les salaires. Cependant, si les salaires sont indexés sur l'inflation, les salariés peuvent compenser la perte de pouvoir d'achat.

Une situation économique où la dette publique d'un pays dépasse 100% du PIB.

Un taux d'intérêt élevé sur la dette, résultant en une charge financière accrue pour l'État.

Un cercle vicieux où l'augmentation des dettes nécessite de nouveaux emprunts pour couvrir les intérêts.

L'obtention de fonds auprès d'investisseurs pour financer les dépenses publiques.

Une situation où un État a une capacité limitée à réduire ses dépenses ou à augmenter ses revenus.

La capacité d'un État à répondre aux besoins financiers à court terme.

Un plan visant à réduire les dépenses publiques et à améliorer les finances d'un État.

La première révolution industrielle est marquée par l'invention de nouveaux procédés de fabrication et l'essor de l'industrialisation, conduisant à une mutation des modes de production.

La révolution industrielle a permis une production de masse dans de grands ateliers, rendant les produits plus abordables et accessibles à un plus large public.

La spécialisation sectorielle est un modèle où les pays se concentrent sur la production d'un segment spécifique de biens ou de services.

L'innovation technologique est essentielle pour le progrès économique, car elle permet de créer de nouveaux produits et de nouveaux procédés, conduisant à une croissance accrue.

Le libre-échange est un système économique qui permet le commerce international sans restriction, favorisant la concurrence et la spécialisation.

Le capital désigne les biens utilisés pour produire d'autres biens. Il peut s'agir d'usines, de machines et de technologies.

La main-d'œuvre est l'ensemble des personnes qui travaillent dans une économie. Elle est essentielle pour la production de biens et de services.

Le profit est la différence entre les recettes et les dépenses d'une entreprise. Il est un moteur majeur de l'investissement et de la croissance.

La colonisation est un processus par lequel une puissance domine un territoire étranger, exploitant ses ressources et sa main-d'œuvre.

Le retour sur investissement (ROI) mesure le profit généré par un investissement. Un bon ROI est essentiel pour assurer la viabilité d'une entreprise.

La BCE souhaite maintenir la stabilité de l'euro en contrôlant l'inflation, même si cela signifie que des facteurs externes comme le prix de l'énergie et la guerre en Ukraine influencent l'inflation.

L'inflation réduit le pouvoir d'achat, ce qui diminue la demande des consommateurs. Cela affecte les perspectives des entreprises et peut entraîner une réduction de la production et des embauches.

La demande effective est la demande réelle que les entreprises anticipent en fonction de la conjoncture économique.

En période d'inflation élevée, les entreprises prévoient une baisse de la demande et réduisent donc leur production.

Le chômage peut progresser si les entreprises réduisent leurs embauches en raison d'une baisse de la demande due à l'inflation.

Le maintien du niveau de chômage malgré une faible croissance économique suggère que les entreprises restent prudentes et ne sont pas prêtes à embaucher rapidement.

Les entreprises prennent des décisions de production en se basant sur leurs projections de la demande future.

La stabilité de l'euro dépend d'une gestion prudente de l'inflation, même face à des facteurs exogènes comme les prix de l'énergie et la guerre en Ukraine

La banque centrale européenne (BCE) est chargée de contrôler l'inflation, même si cela peut freiner la croissance économique.

La BCE augmente les taux d'intérêt pour lutter contre l'inflation : quand l'euro est plus rare, sa valeur augmente, ce qui réduit l'inflation.

Le ralentissement économique est si important qu'il paralyse l'investissement, l'embauche et la confiance. L'économie est en dérive.

Face au dilemme entre contrôler l'inflation et favoriser la croissance, la BCE privilégie la stabilité de l'euro, c'est-à-dire sa valeur.

La France et l'Allemagne reprochent à la BCE de freiner trop fortement la croissance économique en augmentant les taux d'intérêt.

Pour compenser les effets de la politique monétaire restrictive de la BCE, l'État peut utiliser la politique budgétaire pour financer la croissance.

Il y a une tension croissante entre la politique monétaire restrictive de la BCE et les besoins de financement de la croissance par l'Etat.

Le coût des productions énergétiques fluctue et est difficile à contrôler par la politique monétaire.