Compartiments intracellulaires et lysosomes

Organites cellulaires impliqués dans la digestion intracellulaire.

Enzyme hydrolytique active dans le lysosome.

Vésicule contenant uniquement des hydrolases acides.

Vésicule contenant des hydrolases acides et du matériel digéré.

Vésicule contenant des résidus indigestibles.

Marquage des hydrolases lysosomales.

Vésicule recouverte de clathrine transportant les lysosomes.

Maladie causée par une mutation dans l'enzyme GlcNAc Transférase.

Organites sphériques entourés d'une membrane, présents dans toutes les cellules eucaryotes. Ils ne possèdent pas de génome et importent leurs protéines du cytosol.

Compartiment interne des peroxysomes où se déroulent les réactions d'oxydation.

Enzymes présentes dans la matrice peroxysomale qui catalysent des réactions d'oxydation utilisant l'oxygène (O2).

Enzyme présente dans la matrice peroxysomale qui décompose le peroxyde d'hydrogène (H2O2).

Processus de dégradation des acides gras à très longues chaînes, effectué dans les peroxysomes.

Processus de synthèse du cholestérol, du dolichol, des acides biliaires et des plasmalogènes, effectué dans les peroxysomes.

Cycle métabolique présent dans les peroxysomes des plantes qui permet la synthèse de sucres à partir d'acides gras.

Processus qui se déroule dans les peroxysomes des plantes, impliquant l'oxydation partielle du glycolate.

Mécanisme par lequel les peroxysomes se forment à partir du réticulum endoplasmique (RE) et par adressage des protéines synthétisées dans le cytosol.

Signaux présents sur les protéines destinées aux peroxysomes qui permettent leur adressage à ces organites.

Maladie génétique causée par une mutation d'une enzyme de la β-oxydation, conduisant à l'accumulation d'acides gras à très longues chaînes.

Un syndrome caractérisé par l'absence de peroxysomes fonctionnels, menant à des malformations congénitales graves et une mort précoce.

Le noyau est l'organite qui contient l'ADN des cellules eucaryotes.

La double membrane qui entoure le noyau et sépare son contenu du cytoplasme.

Un espace compris entre les deux membranes de l'enveloppe nucléaire, contribuant au transport des substances.

Structure protéique fibreuse qui tapisse la face interne de la membrane nucléaire, offrant un support et un point d'ancrage pour l'hétérochromatine.

Des protéines qui constituent la lamina nucléaire et dont les mutations peuvent entraîner des maladies graves affectant l'enveloppe nucléaire.

Groupes de protéines qui forment des pores dans l'enveloppe nucléaire, permettant le passage des molécules entre le noyau et le cytoplasme.

Le matériel insoluble qui reste dans le noyau après l'extraction des autres composants, jouant un rôle dans l'organisation du noyau et la régulation de l'expression génique.

NF-AT est un facteur de transcription des lymphocytes T qui régule l'activation des lymphocytes T en réponse à des signaux externes. À l'état de repos, NF-AT est phosphorylé et se trouve dans le cytosol. L'activation des lymphocytes T par un antigène déclenche une augmentation du calcium intracellulaire qui active la calcineurine, une phosphatase qui déphosphoryle NF-AT. La déphosphorylation expose les signaux d'importation nucléaire et bloque ceux d'exportation, permettant à NF-AT de se déplacer dans le noyau. Dans le noyau, NF-AT active la transcription de gènes nécessaires à l'activation du lymphocyte T. La réponse se termine lorsque les niveaux de calcium diminuent, ce qui libère NF-AT de la calcineurine. NF-AT est à nouveau phosphorylé, exposant le signal d'exportation du noyau, et il retourne dans le cytosol.

Les ARN sont transportés à travers les pores nucléaires sous forme de complexes ribonucléoprotéiques (RNP).

Les tRNA, rRNA et snRNA sont transportés à travers les pores nucléaires de manière Ran-GTP-dépendante par des exportines.

Les mRNA sont transportés à travers les pores nucléaires de manière Ran-GTP-indépendante par des protéines spécifiques appelées "mRNA exporter". Durant leur transport, les mRNA s'associent à une vingtaine de protéines formant les particules hnRNPs (heterogeneous nuclear ribonucleoproteins).

Les médicaments immunosuppresseurs comme la cyclosporine A et le FK506 inhibent l'activation des lymphocytes T en bloquant l'activité de la calcineurine, une phosphatase qui déphosphoryle NF-AT.

Le transport à travers les pores nucléaires est un processus bidirectionnel qui permet le mouvement de molécules entre le cytoplasme et le noyau.

La diffusion passive est un type de transport à travers les pores nucléaires qui ne nécessite pas d'énergie et est utilisé pour les petites molécules.

Le transport actif est un type de transport à travers les pores nucléaires qui nécessite de l'énergie et est utilisé pour les macromolécules.

Le signal de localisation nucléaire (NLS) est une séquence d'acides aminés qui indique aux protéines qu'elles doivent être transportées dans le noyau.

Le signal d'export nucléaire (NES) est une séquence d'acides aminés qui indique aux protéines qu'elles doivent être transportées hors du noyau.

Les karyophérines sont des protéines qui facilitent le transport bidirectionnel des protéines et de l'ARN entre le cytoplasme et le noyau.

Ran est une protéine qui contrôle la direction du transport à travers les pores nucléaires.

Ran-GAP est une enzyme qui favorise la conversion de Ran-GTP en Ran-GDP.

Ran-GEF est une enzyme qui favorise la conversion de Ran-GDP en Ran-GTP.

L'import est le transport d'une protéine du cytoplasme vers le noyau.

L'export est le transport d'une protéine du noyau vers le cytoplasme.