Cognitive Consistency Theories Quiz

Une théorie qui stipule que les individus ont un besoin inhérent de cohérence dans leurs pensées, croyances, attitudes et comportements. La dissonance cognitive survient lorsque ces éléments entrent en conflit, créant un état désagréable.

L'état d'inconfort psychologique résultant d'une contradiction entre deux cognitions, c'est-à-dire des pensées, croyances, attitudes ou comportements.

Tout élément subjectif qui peut être pensé, comme une croyance, une opinion, une attitude ou la conscience d'un comportement.

La motivation à réduire la dissonance cognitive en modifiant ses pensées, croyances, attitudes ou comportements afin de rétablir la cohérence.

L'inverse d'une dissonance, c'est-à-dire un état de cohérence et d'harmonie entre les cognitions.

La tendance à rechercher et à apprécier les informations qui confirment nos opinions et croyances préexistantes, tout en évitant les informations qui contredisent notre perspective.

Un changement d'attitude ou de comportement pour réduire la dissonance cognitive, souvent en rationalisant ou en minimisant l'importance de la dissonance.

L'étude de Zimbardo (1969) où des participants sont invités à manger des sauterelles grillées. Ceux ayant mangé les sauterelles étaient plus susceptibles d'évaluer positivement le goût des sauterelles si l'expérimentateur était antipathique que s'il était sympathique.

Une conséquence aversive est une situation qui va à l'encontre de nos intérêts ou qui crée une situation que nous préférerions éviter.

Dans le contexte de la dissonance cognitive, une menace pour le soi apparaît lorsque nous nous sentons mal à l'aise avec un désaccord entre nos pensées et nos actions.

L'étude de Cooper et Worchel (1970) a révélé que les participants étaient plus susceptibles de trouver une tâche ennuyeuse agréable s'ils étaient payés pour convaincre d'autres personnes que cette tâche était intéressante, surtout s'ils étaient convaincus eux-mêmes de sa valeur.

Cooper, Zanna et Goethals (1974) ont démontré que l'effet de la dissonance cognitive est plus prononcé lorsque la personne qui vous incite à changer d'avis est sympathique. Cela suggère que la motivation à réduire la dissonance est plus forte lorsqu'il s'agit de personnes que nous apprécions.

La tendance des individus à éviter les situations et les informations qui pourraient accroître la dissonance cognitive.

La force ou l'intensité de la dissonance cognitive, qui dépend de l'importance des cognitions en conflit et du nombre de cognitions dissonantes par rapport aux cognitions consonantes.

Une cognition qui sert de point de référence pour calculer le taux de dissonance. Souvent la conscience d'un comportement.

Une cognition qui est en contradiction avec la cognition génératrice, créant un sentiment de dissonance.

Une cognition qui est cohérente avec la cognition génératrice, réduisant ou éliminant la dissonance.

Les sources possibles de dissonance cognitive.

Ajouter de nouvelles cognitions consonantes ou éviter de nouvelles cognitions dissonantes pour réduire la dissonance.

Modifier l'importance relative des cognitions pour réduire la dissonance.

Changer ou modifier les cognitions pour réduire ou éliminer la dissonance.

La tendance à justifier ses choix en modifiant sa perception des options choisies et non choisies après avoir fait un choix.

Les effets du choix illustrent la dissonance cognitive, car on modifie nos perceptions pour justifier nos choix et réduire la dissonance.

L'étude de Brehm (1956) a démontré que les individus modifient leurs évaluations des options choisies et non choisies pour réduire la dissonance.

La dissonance cognitive est un concept important en psychologie sociale qui explique comment les individus gèrent les contradictions entre leurs pensées et leurs actions.

Théorie selon laquelle les individus déduisent leurs attitudes en observant leurs propres comportements et les circonstances qui les entourent.

Processus par lequel les individus cherchent des causes pour expliquer leur propre comportement.

Situation où une récompense attendue pour un comportement réduit l'intérêt pour ce comportement, car l'attribution est faite à une cause externe (la récompense).

Situation où une récompense inattendue pour un comportement augmente l'intérêt pour ce comportement, car l'attribution est faite à une cause interne (le plaisir).

Amener les individus à produire un comportement contraire à leurs attitudes, pour ensuite les faire changer d'opinion afin d'éliminer la dissonance cognitive.

L'expérience où des participants effectuent une tâche ennuyeuse, doivent ensuite convaincre un autre participant de son intérêt, et sont plus susceptibles de changer d'opinion sur la tâche s'ils sont peu rémunérés.

La dissonance cognitive est plus faible lorsque le comportement est forcé, car l'attribution est faite à une cause externe.

La liberté d'émettre un comportement permet de se sentir responsable et d'attribuer le comportement à des causes internes.

L'expérience où les participants écrivent un plaidoyer contre-attitudinal, ont un changement d'opinion plus important s'ils ont le choix de le faire.

La dissonance est renforcée lorsque le soi est fortement impliqué, car le comportement est en contradiction avec l'image que l'on a de soi.

Théorie selon laquelle les individus ont besoin de cohérence entre leurs pensées, croyances, attitudes et comportements.

Processus de modification des pensées, croyances ou comportements pour réduire la dissonance cognitive et rétablir l'harmonie.