1-2 Bactériologie et hygiène

Le domaine d'étude des micro-organismes, incluant les bactéries, les virus, les champignons et les parasites.

Les agents responsables des maladies infectieuses.

Une méthode de prévention des maladies infectieuses utilisant des agents affaiblis ou inactivés pour provoquer une réponse immunitaire et une protection.

La capacité d'un micro-organisme à se propager d'un hôte à un autre.

Intervention pour prévenir la propagation d'une maladie en isolant les personnes infectées ou exposées.

L'utilisation du microscope pour observer des organismes microscopiques.

La constatation qu'une maladie est causée par un agent particulier.

Processus naturel où un événement, comme l'exposition à une substance mutagène, provoque des changements spontanés dans la séquence d'ADN d'une bactérie.

Un agent, comme les rayons UV, qui augmente la fréquence des mutations dans l'ADN d'une bactérie.

Le fait que les bactéries se reproduisent asexuellement, produisant ainsi des copies identiques d'elles-mêmes.

La résistance d'une bactérie à un antibiotique, résultant de mutations qui modifient la sensibilité de la bactérie à l'antibiotique.

La capacité des bactéries à se diviser rapidement et à produire de nombreuses copies d'elles-mêmes.

Une macromolécule qui forme un réseau tridimensionnel dans la paroi des bactéries, composé de N-acétylglucosamine et d'acide N-acétylmuramique.

Groupe de bactéries qui se caractérisent par une paroi cellulaire épaisse et riche en peptidoglycane.

Groupe de bactéries qui se caractérisent par une paroi cellulaire plus fine et moins riche en peptidoglycane.

L'espace situé entre la membrane cytoplasmique et la membrane externe des bactéries Gram-. Il est moins dense que la paroi et contient de nombreuses enzymes.

Composés organiques complexes présents dans la membrane externe des bactéries Gram- et qui provoquent une réponse inflammatoire chez l'hôte.

Technique de coloration utilisée en microbiologie pour différencier les bactéries Gram+ et Gram-.

Étape de la coloration de Gram où l'on ajoute du cristal violet, un colorant qui colore les bactéries en violet.

Étape de la coloration de Gram où l'on traite les bactéries avec de l'iode pour fixer le colorant.

Étape de la coloration de Gram où l'on décolore les bactéries.

Étape de la coloration de Gram où l'on ajoute un second colorant, la safranine rose.

Le type de paroi bactérienne, soit Gram positive (+) ou Gram négative (-), détermine l'efficacité des antibiotiques. Les différences structurales influencent la sensibilité aux molécules.

Les mycobactéries, responsables de maladies comme la tuberculose, possèdent une paroi riche en lipides (acides mycoliques) qui les rend imperméables à la coloration de Gram. Elles nécessitent des techniques de coloration spécifiques.

Les mollicutes sont des bactéries dépourvues de paroi cellulaire et de peptidoglycane. Cette absence les rend naturellement résistantes aux antibiotiques ciblant le peptidoglycane, comme la pénicilline.

L'ADN bactérien est généralement constitué d'une molécule circulaire double brin, plus simple que les génomes viraux. Il contient les gènes nécessaires à la multiplication et à la pathogenèse.

Les plasmides sont des petits chromosomes extra-chromosomiques capables de passer d'une bactérie à l'autre par transfert horizontal de gènes. Ils peuvent transmettre des informations génétiques.

Les bactériophages sont des virus spécifiques des bactéries. Ils peuvent jouer un rôle dans le transfert d'information génétique entre bactéries et sont utilisés dans certains traitements.

Les bactéries se multiplient par scissiparité, un mode de reproduction asexuée où une cellule mère se divise en deux cellules filles identiques.

La réplication de l'ADN bactérien est semi-conservative. Chaque brin d'ADN sert de matrice pour synthétiser le brin complémentaire, assurant une copie exacte du génome pour la cellule fille.

La scissiparité permet une multiplication rapide des bactéries. Une seule peut engendrer des milliards de clones en peu de temps.

Les bactéries peuvent modifier leur génome par des mécanismes d'adaptation et de mutations.

Les bactéries sont des cellules vivantes procaryotes qui peuvent survivre à l'intérieur ou à l'extérieur d'autres cellules.

Les bactéries possèdent leur propre métabolisme. Elles peuvent produire leur propre énergie et se multiplier sans dépendre d'autres cellules.

La paroi cellulaire des bactéries est une structure importante car elle influence l'efficacité des antibiotiques.

Les bactéries se divisent en deux par un processus appelé scissiparité, ce qui signifie qu'elles se divisent en deux cellules identiques.

Les bactéries n'ont pas de noyau organisé comme les cellules eucaryotes, mais elles ont un appareil nucléaire qui contient leur ADN.

Les bactéries n'ont pas d'organites internes comme les mitochondries, mais elles peuvent réaliser la réplication de leur ADN.

La résistance aux antibiotiques est un problème majeur qui rend difficile le traitement des infections bactériennes.

L'émergence de nouvelles maladies, comme la COVID-19, est un autre défi pour la santé publique lié aux microbes.

La génétique bactérienne explique l'évolution des bactéries et leur capacité à s'adapter à de nouveaux environnements, ce qui rend difficile leur éradication.