Article 12 de la Convention des droits de l'enfant

Le processus d'apprentissage et d'intégration des normes sociales durant l'enfance, généralement par la famille.

L'intégration des normes sociales à d'autres étapes de la vie, influencées par les pairs, le travail et les études.

Le respect des normes imposées par la peur de sanctions, qu'elles soient matérielles (prison) ou immatérielles (rejet social).

Les normes sociales qui sont diffusées des instances d'autorité vers les individus, comme la famille ou l'État.

Les normes sociales qui émergent des interactions et des discussions entre les individus, souvent dans des situations spécifiques.

Le fait que les normes sociales existent à la fois à travers les instances d'autorité (Top Down) et les situations concrètes (Bottom Up).

Les normes sociales en tensions, c'est-à-dire la difficulté de respecter les normes imposées par l'autorité lorsqu'elles entrent en conflit avec la réalité du terrain.

Les normes sociales qui sont créées et appliquées dans des situations spécifiques et non généralisées.

L'article 12 de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant garantit le droit de l'enfant à exprimer son opinion et d'être entendu sur toute question l'intéressant.

La liberté d'expression est un droit fondamental reconnu à l'enfant par l'Article 13 de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant, lui permettant de s'exprimer librement.

L'Article 14 de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant garantit la liberté de conscience, de pensée et de religion à chaque enfant.

L'Article 15 de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant donne le droit à l'enfant de s'associer librement avec d'autres enfants.

L'Article 16 de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant garantit la protection de la vie privée de l'enfant.

L'Article 17 de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant garantit le droit de l'enfant à l'information.

L'Article 29 de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant souligne l'importance de l'éducation dans le respect des droits de l'homme et de la démocratie.

Pour une participation efficace des enfants, il est important de considérer leurs besoins, leurs intérêts, leurs priorités et leurs habiletés.

Le droit humanitaire est un ensemble de règles qui visent à protéger les personnes en temps de guerre ou de conflits armés. Il est applicable dans des situations où le droit international relatif aux droits de l'homme ne s'applique pas, comme en temps de guerre.

Les Conventions de Genève sont un ensemble de traités internationaux qui définissent les règles du droit humanitaire. Ils ont été adoptés en 1949 et visent à protéger les victimes de la guerre.

Les quatre Conventions de Genève protègent différentes catégories de personnes en temps de guerre. La première Convention protège les soldats blessés ou malades sur terre, la deuxième protège les militaires naufragés, la troisième protège les prisonniers de guerre, et la quatrième protège les civils, notamment en territoire occupé.

Le jus cogens est un ensemble de règles du droit international qui sont considérées comme étant impératives et auxquelles tous les États doivent se conformer, peu importe leurs lois nationales. Ces règles reflètent les normes fondamentales de la communauté internationale.

Le droit humanitaire fixe des standards minimaux pour le traitement des personnes en temps de guerre, qui sont moins exigeants que les standards en temps de paix, mais qui visent à offrir une protection minimale aux victimes de la guerre.

La Déclaration universelle des droits de l'homme (DUDH) est un document historique qui a été adopté par les Nations Unies en 1948. Elle affirme les droits fondamentaux de tous les êtres humains, indépendamment de leur race, sexe, religion ou nationalité.

La DUDH est universellement applicable et doit être respectée par tous les pays. Elle vise à protéger les droits fondamentaux de tous les êtres humains, notamment le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne.

Le Cylindre de Cyrus est un document datant de 539 avant J.C., considéré comme la première déclaration des droits de l'homme. Il a été découvert en Perse et témoigne de l'ancienneté de la réflexion sur les droits fondamentaux.

Le droit à la santé est un droit fondamental pour tous, sans discrimination. Cela signifie que tout le monde, quel que soit son statut ou sa situation financière, doit avoir accès à des services de santé de qualité.

Les personnes LGBTI sont souvent victimes de discriminations et de violations de leurs droits fondamentaux, car elles sont perçues comme différentes.

Les personnes LGBTI sont souvent exposées à la violence et à l'exclusion, notamment dans les pays où leur identité est criminalisée.

Les lois discriminatoires, l'interdiction du mariage et de l'adoption, et la restriction de la liberté d'expression sont des exemples de discrimination envers les personnes LGBTI.

Les personnes LGBTI sont souvent privées de voies de recours pour dénoncer les injustices qu'elles subissent.

Les pays doivent mettre en place des politiques de santé qui respectent les droits humains de tous, sans discrimination.

L'accès à l'eau potable et à une alimentation saine est un droit fondamental qui est essentiel pour la santé.

Les états doivent garantir que leur population a accès à des services médicaux et à du matériel médical adéquats.

Le processus par lequel un individu développe ses propres principes et modes d'action, tout en reconnaissant la singularité de chaque situation.

Le processus de prise de décision collective où chaque acteur assume sa part de responsabilité et où les conséquences, même imprévisibles, sont considérées.

Le pouvoir d'agir et d'influencer le cours des choses, d'innover et de se transformer soi-même.

Le processus par lequel l'action politique permet aux citoyens, aux professionnels et aux dirigeants de participer à la construction d'une société juste et inclusive.

L'ensemble des règles et des devoirs qui régissent une profession.

L'approche qui considère les êtres humains comme des êtres biopsychosociales et spirituels, intégrant la dimension spirituelle dans la compréhension de l'individu.

Une vision binaire et classique qui divise les êtres humains en catégories distinctes, souvent en valorisant certaines parties de l'être humain par rapport à d'autres.

Une vision qui reconnaît l'évolution et le changement au fil du temps, en tenant compte des dimensions temporelles et environnementales de l'existence.

Le travail social se focalise sur la compréhension de l'humain et vise à améliorer son bien-être.

Le travail social implique des devoirs envers les clients, l'employeur, la société et la profession.

Le travail social doit respecter les droits de l'homme et la dignité humaine.

Le travail social vise la justice sociale et l'équité.

Le travail social agit à différents niveaux pour résoudre les problèmes individuels et collectifs.

Le travail social cherche à promouvoir l'émancipation et l'autodétermination des individus.

La pratique du travail social implique des dilemmes éthiques, comme la loyauté envers le client vs l'employeur.

Le travail social implique une compétence morale, qui se traduit par des attitudes et un comportement éthiques.