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Une branche de la psychologie qui étudie la relation entre le cerveau et le comportement, notamment les capacités cognitives et les structures cérébrales.

Les fonctions mentales qui permettent de traiter l'information, comme la mémoire, l'attention, le langage et la résolution de problèmes.

Les différentes parties du cerveau et leurs connexions, responsables de diverses fonctions.

La neuropsychologie cherche à comprendre comment les activités du cerveau affectent la façon dont nous agissons, pensons et interagissons avec le monde.

La mémoire épisodique permet de se souvenir des événements personnels vécus avec leur contexte d'encodage (date, lieu, émotions).

Étude des symptômes résultant de lésions cérébrales pour comprendre le fonctionnement du cerveau.

Si deux fonctions peuvent être affectées séparément par des lésions cérébrales distinctes, alors ces fonctions sont indépendantes.

Un homme ayant subi une ablation bilatérale de l'hippocampe, souffrant d'amnésie épisodique sévère.

L'idée que des fonctions cérébrales spécifiques sont situées dans des régions distinctes du cerveau.

La mémoire épisodique concerne les événements personnels (moments), tandis que la mémoire sémantique stocke les connaissances et les concepts.

La capacité à se projeter dans le temps (passé et futur) et à se sentir soi-même.

Un trouble de la mémoire épisodique, affectant les souvenirs à long terme, sans altération des fonctions perceptives, motrices, langagières ou de la mémoire de travail.

Ce sont les stratégies que l'on utilise pour ajuster notre fonctionnement cognitif afin d'atteindre un objectif.

La capacité à utiliser des stratégies pour adapter notre fonctionnement cognitif afin de réaliser un but précis.

Un modèle du contrôle cognitif qui explore le rôle des connaissances métacognitives et des expériences métacognitives dans l'apprentissage.

Les objectifs que l'on se fixe pour déclencher une activité.

Les stratégies que l'on met en place pour atteindre un but spécifique.

Les expériences qui nous permettent de nous évaluer au cours d'une tâche.

L'influence des connaissances globales que l'on a sur notre fonctionnement cognitif.

Les connaissances métacognitives, les expériences métacognitives et les régulations cognitives sont interdépendantes et s'influencent mutuellement.

La métacognition est la capacité à réfléchir sur ses propres processus cognitifs, à les comprendre et à les contrôler. Elle comprend les connaissances métacognitives et les régulations métacognitives.

La métacognition est composée de deux principaux composants : les connaissances métacognitives et les régulations métacognitives.

Les régulations métacognitives incluent la planification (organiser ses pensées), la surveillance (vérifier si on comprend) et l'ajustement (modifier sa stratégie si nécessaire).

La métacognition joue un rôle crucial dans les processus cognitifs complexes, en permettant de choisir et d'utiliser des stratégies efficaces, de surveiller leur efficacité et de les ajuster si nécessaire.

La métacognition a un impact direct sur l'utilisation de nos ressources cognitives. Elle nous aide à mieux comprendre comment on apprend et à optimiser nos ressources cognitives.

La métacognition est essentielle pour un apprentissage efficace. Elle permet aux élèves de réfléchir sur leurs propres processus d'apprentissage, de mieux comprendre leurs besoins et de développer des stratégies d'apprentissage plus efficaces.

La capacité de réfléchir à ses propres processus cognitifs, comme la mémoire, l'attention et la résolution de problèmes.

Deux régions du cerveau impliquées dans les émotions et qui jouent un rôle dans la métacognition.

Le manque de conscience de ses propres déficits ou symptômes, souvent associé à des troubles neurologiques.

L'anosognosie peut compliquer le traitement et les soins des patients, car ils ne reconnaissent pas leur besoin d'aide.

L'être humain a une nécessité innée de vivre et d'interagir en société, ce qui est essentiel pour son développement.

Les relations sociales sont cruciales pour le développement cognitif, émotionnel et social de l'enfant, ainsi que pour la construction de son identité.

Le syndrome d'hospitalisme décrit les conséquences néfastes d'une absence de relations sociales chez les jeunes enfants.

Etude des processus cognitifs liés aux interactions sociales, comme la reconnaissance des émotions, la théorie de l'esprit et la prise de perspective.

Stockage des connaissances et des concepts en dehors de leur contexte d'acquisition (conscience noétique). On peut l'imaginer comme un thésaurus mental, un ensemble organisé de savoirs sur le monde.

Représentation d'un concept dans la mémoire sémantique. Chaque nœud possède des propriétés et peut être associé à d'autres nœuds en fonction de caractéristiques communes.

Caractéristiques uniques qui permettent de distinguer des concepts similaires. Elles sont situées au bas de la hiérarchie sémantique.

La mémoire sémantique permet d'activer des concepts liés par des caractéristiques communes. Par exemple, en pensant à 'oiseau', on peut activer 'avion' car ils peuvent voler.

Organisation de la mémoire sémantique en classes hiérarchiques : une classe générale (suprahiérarchique) comprend des sous-catégories, qui contiennent elles-mêmes des exemples.

Région du cerveau impliquée dans le traitement de la mémoire sémantique.

Organisation topographique de la mémoire sémantique dans le lobe temporal. Les concepts basiques occupent la partie postérieure et inférieure, tandis que les concepts complexes se situent en partie antérieure et supérieure.