Présentation des bactéries lactose - 2024 PDF
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2024
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Summary
Cette présentation détaille les Enterobacteriaceae, leurs caractéristiques et leur pathogénicité. Elle couvre des aspects tels que la morphologie, les antigènes, les facteurs de virulence et les infections associées. L'accent est mis sur les différentes espèces de bactéries, leurs habitats et leur rôle dans les infections humaines.
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Enterobacteriaceae Ppt 4.2.2 Bactéries lactose négatives 2 Morphologie – Enterobacteriaceae Bacille gram-négatif Mobiles (sauf Shigella sp. et Klebsiella sp. Dépourvu de capsule (sauf Klebsiella sp.) Anaéro...
Enterobacteriaceae Ppt 4.2.2 Bactéries lactose négatives 2 Morphologie – Enterobacteriaceae Bacille gram-négatif Mobiles (sauf Shigella sp. et Klebsiella sp. Dépourvu de capsule (sauf Klebsiella sp.) Anaérobies facultatifs Non-fastidieux Croissance sur les milieux contenant de la bile (tel que MacConkey) Oxydase négative Fermente le glucose Réduit les nitrates en nitrites Entero- intestin Caractéristiques antigéniques Antigène Salmonella sp. Antigènes K Caractéristiques antigéniques Antigènes O = antigènes de la paroi ou somatique Thermostable (2heures à 100°C) Fraction protéinique (partie antigénique) Fraction polysidique (détermine la spécificité de l’antigène) Permet à classer les sérotypes Escherichia coli O157:H7 Caractéristiques antigéniques Antigène H: antigène flagellaire De nature protéique Antigènes thermolabiles Détruit par l’alcool à 50% Caractéristiques antigéniques Antigène K: antigène capsulaire Vi est un antigène capsulaire spécifique pour Salmonella typhi (typhimurium) Thermolabile Proteus sp. 8 Pathogénicité Ubiquitaire Retrouvés dans le système gastro-intestinal Souvent associés avec des infections urinaires (3% des infections nosocomiales) des plaies des otites des bactériémies Ce sont des pathogènes opportuniste 9 Facteurs de virulence Production de l’enzyme uréase Hydrolyse l’urée, rend le pH alcalin Aide dans la formation des pierres au reins Hémolysine Mobile et produit un voile (même in vivo) Présence de flagelle Produit l’enzyme protéinase Dégrade les peptides antibactériens pendant la 2ème ligne de défense du l’hôte Pili Adhérence à la paroi des cellules épithéliales 10 Infections Infection urinaire Peut développer une pyélonéphrite Douleurlombaire, nausée, vomissement, fièvre, sang et cellule blanche dans l’urine Infection de plaies Infections nosocomiales Proteus mirabilis Cause 90% des infections (Proteus sp.) Peut bouger sur la surface des objets solide à cause de sa mobilité Proteus vulgaris Hautement résistant aux antibiotiques à cause des plasmides sur la bactérie Salmonella sp. 12 Pathogénicité Salmonella sp. (autre que Salmonella typhi) Retrouver dans les intestins des animaux tels que les vaches, chien, cochons, reptiles Salmonella typhi Se retrouve seulement chez l’humain Consommation de viandes ou produit animaliers contaminés Contact direct avec un animal ou environnement infecté 13 Pathogénicité Deux groupes: typhoïde et non typhoïde Non-typhoïde Typhoïde Gastroentérite et empoissonnement alimentaire Tous les autres sérotypes de Salmonella Provoque la fièvre typhoïde et paratyphoïde Salmonella typhi et Salmonella paratyphi A, B et C 14 Facteurs de virulence fièvre typhoïde Présence des antigènes suivants: Flagelle (H) Somatique (O)- sur la surface de la bactérie Vi capsulaire: sur la capsule et peut masquer la présence de l’antigène O Détruit par le chauffage à 100 degrés C Exotoxine- lipopolysaccharide (lipide A toxique) Fièvre Ulcération des plaques de Peyer Protéine sécrétée: invasine Entre les cellules non-phagocytaire de l:hôte 15 Porteur de la bactérie Une la maladie est terminée Certaine personne peut être porteur de la bactérie S’installe dans la vésicule biliaire et les reins La personne peut continuer à avoir des bactéries viables dans les selles Porteur chronique Morganella sp. 17 Facteurs de virulences/ pathogénicité Morganella morganii Une endotoxine lipide A Produit l’enzyme uréase Produit des hémolysines Une paroi de lipopolysaccharide Pathogénicité Infections de plaies et systèmes urinaires Opportuniste et nosocomiale 18 Pathogénicité Morganella morganii, Escherichia coli, Proteus mirabilis, Pseudomonas aeruginosa, Klebsiella pneumoniae et Enterococcus sp. Peuvent causé le syndrome de la poche d’urine violette Patient âgés constipés, porteurs de sonde urinaire et en alitement prolongé Tryptophane (alimentation) est métabolisé par des bactéries di tractus gastro-intestinal Produit de l’indole L’indole est absorbé dans le sang par l’intestin et passe au foie Converti en sulfate d’indoxyle Excrété dans l’urine Les bactéries responsables pour l’infection Transforment le sulfate d’indoxyle en composées colorés indirubine et indigo Providencia sp. 21 Facteur de virulence/ Pathogénicité Mobilité, adhérence et invasion Providencia stuartii et Providencia rettgerii Bactérie opportuniste Infection urinaire, gastroentérite et septicémie Plaies- grands brulé Infection oculaire Bactérie chez les patients immunocompromis Difficile à traiter- résistance aux antibiotiques Serratia sp. 23 Facteur de virulence/ Pathogénicité Serratia marcescens Habitats Hémolysine ubiquitaires Cytotoxique Mobilité Pathogénicité Formation d’un biofilm Causes plusieurs infections Protéases Nosocomiales; résistances aux antibiotiques Cytotoxique Croissance dans des conditions défavorables Réponse inflammatoire Tel que les antiseptiques 24 Caractéristiqu e intéressante Reconnu pour la production de colonies avec un pigment rouge- prodigiosin Yersinia sp. Espèces les plus fréquentes du groupe La majorité sont considérés comme des souches environnementales Seulement 3 espèces sont considérés comme pathogènes pour les humains Yersinia pestis – agent de la peste Yersinia pseudotuberculosis Yersinia enterocolitica – produit une infection qui ressemble à une appendicite et la plus souvent isolée 27 Yersinia pestis Présence d’une capsule Sidérophore: besoin de fer Non-mobile à 25 degrés C et 37 degrés C (les autres espèces sont mobile à 25 degrés C mais pas à 37 degrés C Transmission Morsure par des puces sur des rat infecté (représente l’injection d’environs 24,000 bactéries Dose minimale est très faible (une dizaine de bactéries ) Contacte directe avec des liquides biologiques or des animaux infectés Inhalation de gouttelette (dans le cas de la peste pneumonique) 28 Yersinia pestis La peste humaine existe en 3 formes Pestebubonique, peste septicémique et peste pulmonique Morsure de puce: courte incubation par voie lymphatique Ganglionnaire (souvent inguinal): provoque le gonflement et la suppuration du ganglion Barrière ganglionnaire rapidement franchi: peste septicémique Une pneumonie peut se développer Très contagieux Peste pulmonique 29 Yersinia pestis Pourrait être utilisé comme agent de bioterrorisme Pourraitêtre utilisé comme agent de bioterrorisme Aérosol dispersé dans les systèmes de ventilation Yersinia enterocolitica Facteurs de virulences Adhésion Peut se multiplier dans les plaques de Peyer Sidérophore: besoin de fer Habitat Entérotoxine Oiseux, animaux de ferme Transmis dans les selles, surtout les chiens et porc ou lait contaminé Yersinia enterocolitica Yersiniose Affectes le système digestif Entérocolite Lymphandite mésentérique Ressemble une appendicite Shigella sp. Facteurs de virulences Produit la toxine de Shiga (comme le Escherichia coli EHEC) Seulement quelques bactéries pour causer une infection 10 à 200 bactéries Résiste l’acidité gastrique Jamais considérer comme de la flore normale Espèces Les espèces Shigella sont regroupés en 40 sérotypes et organisé en 4 groupes : A, B, C et D Groupe A Shigella dysenteriae Groupe B Shigella flexneri Groupe C Shigella boydii Groupe D Shigella sonnei Escherichia coli et Shigella sp. se ressemble génétiquement Pathogénicité Dysenterie bacillaire Infection aigue Mégacôlon toxique Selles apparence d’eau de riz Des cellules blanches et du pus Présence de sang Mort à cause de déshydratation Amérique du nord: l’espèce sonnei est plus fréquente, suivi de l’espèce flexneri