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CM Modèles de la Cognition

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PicturesqueHeliotrope

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Université de Franche-Comté

Eric Laurent

Tags

cognition psychology mental representations cognitive science

Summary

This document is lecture notes on models of cognition. It presents foundational definitions and concepts in the field of cognitive psychology such as perception, processes of information, and categorization. It also explores the role of consciousness and mental representations in adaptation.

Full Transcript

Modèle de la cognition Les représentations mentales en question Eric Laurent Objectifs : Important -> représentations mentales -> on va les questionner Eléments théoriques sur le contrôle moteur Agir ( sans motricité on ne peut survire -> conditi...

Modèle de la cognition Les représentations mentales en question Eric Laurent Objectifs : Important -> représentations mentales -> on va les questionner Eléments théoriques sur le contrôle moteur Agir ( sans motricité on ne peut survire -> condition sin qua none ) Le cerveau selon MacLean (cerveau reptilien etc) 1) Définitions de base, présentatio n de la problématique Perception : « Ensemble des mécanismes et processus par lesquels l’organisme prend connaissance du monde sur la base des informations élaborées par ses sens ». Bonnet (2002) (vision, toucher, etc) Processus cognitif : processus de traitement de l’information Cognition ensemble de s processus de traitement de l’information Perception : C’est une phase précoce de prise de connaissance/ traitement -> nous relie à l’extérieur Plus tard processus de décision, raisonnement etc - Englobe les mécanismes de recherche de l’information et selon le cadre théorique, la détection et/ou l’enrichissement de l’information prélevée Catégorisation : Processus de regroupement en classes d’éq uivalences de différentes réalités, de telle manière qu’un type d’événements est associé à des cognitions et/ou des comportements identiques Catégoriser : assimiler à classes /concepts pré existants -> AFIN de réduire complexité du monde Pq réduire com plexité ? car -> Système limité de traitement de l’information (ex : raisonnement -> bcp de ressources attentionnel) (= Rationalité limité) -> ressources + temps limités Ex : dépression -> pathologie de l’action -> résignation apprise pq plus dans action ? car anticipe que pas de gratification -> action ressources énergétiques limitées On se met en action -> car gratification mais si pas de gratification, pas utiliser ressources énergétiques qui sont limitées Ressources limités -> détermines nos comporte ments et nos actions Enraciner, réincarner la cognition psychologie dans un corps, la contextualiser dans le cadre d’un fonctionnement émotionnel On traite information dans un contexte particulier, en fonction de nos besoins..) (car ressources limitées, on traite pas qqch pr rien) Action (dans le titre du cours) : Fait ici référence au fait de produire un c o m p o r t e m e n t o b s e r v a b l e , u n comportement de nature motrice ➔ Partie observable des conduites (behavior) Conscience : Impression personnelle d’accéder à ses propres états et aux états du monde en général ➔ peut constituer une forme de représentation mentale qui implique un accès attentionnel co ûteux à ces états visés esprit/ rationalité au -dessus de tout et permet de piloter le corp s, difficulté à penser que ça ne se déroule pas comme ça, d’autres modèles : est -ce que finalement les choses ne se passent pas à l’inverse, conscience slmt sous -produit de l’activité du corps, pas conscience qui contrôle le corps (ex : serpent réagit très bien, se comporte de manière adaptative même si moins de raisonnement) conscience : forme de simulation qui nous donnerait une fenêtre de connaissances plus aigüe sur ce qu’il se passe à un niveau plus élémentaire -> questionnement ➔ renversement pas rationalité qui piloterait l’ensemble des processus comportementaux mais des boucles qui n’impliquent pas de rpz mentales, pas de conscience mais comme on est pourvu de c onscience, on projetterait sur le plan de la conscience une partie de ce qu’il se passe à un niveau élémentaire -> ce qui expliquerait pourquoi on n’est pas capable de détecter immédiatement une cellule qui est en train de muter dans notre corps et qui se dév en cancer. Q annexes qui vont se poser petit à petit par rapport ce que nous sommes et à ce qu’est l’être humain. Re présentation mentale : équivalent symbolique d’une réalité absente des systèmes sensoriels Soit connecté directement au monde (yeux, oreilles, capteurs sensoriels etc) -> besoin de faire des rpz ??? Si on sort de la classe et accéder à ce qu’il se passe d an s classe alors on va se le représenter car n’est plus présent dans canaux sensoriels Qu estionner le statut des représentations mentales : réévaluer l’intégration de l’être humain, l ’ i n t e r a c t i o n e n t r e processus de niveaux différents, c’est questionner fondamentalement la nature humaine De quoi il fait ? quels sont les process us qui le constituent ? Psycho cog naît pdt seconde guerre mondiale : 40’s -> met une pression d’adaptation sur les soc -> investissements colossaux ds techniques de télécommunication (cryptage et décryptage de l’information) (film : initiation game ) Théorie de l’information Shannon et … : conception du traitement de l’information, de la complexité informationnelle -> changé psycho cog -> on traite humain à l’image d’un ordinateur -> un système de traitement de l’information Désincarnation de la c ognition (hardware (circuiterie) / software (logiciel) si le hardware intègre opération -> tjrs de la même façon mais humain pas comme ça !!! (on traite pas l’info pareil si on est content, triste, colère etc… -> disponibilité cognitive particulière ) -> no us ne sommes pas des ordinateurs Sans behaviorisme pas de cognitivisme : behaviorisme -> a apporté la méthode scientifique et expérimental e (les TCC inspirées en partie de cognitivisme mais également behaviorisme), behaviorisme a révélé plusieurs l ois (eg : loi de l’effet, de l’exercice) , a apporté méthode expérimentale et psycho cog -> a gardé méthode expérimentale (Psycho cog n’aurait pas connu cet essor sans behaviorisme) Dissociation entre harware et software Cognition parfois -> Etudier registre de mémoire et de connaissance (comme si ça pouvait être dissocié de hardware (SNC) Quel format pour les représentations ? - Analogique au vécu perceptif (type « photographique » pour la modalité visuelle) = qui ressemble à / au format de nos per ceptions : il y a une trace perceptive à partir de laquelle on va se représenter les choses - Conceptuelle (verbal/linguistique car parfois confondu avec propositionnelle) : catégorie d’objet représentée par un label linguistique / ex : si pas dans maison, on peut décrire comment c’est à l’intérieur -> représentation de nature verbale / conceptuelle - Propositionnelle : une réalité, une situation décrite sous forme logique , c’est -à-dire sous forme de règles, avec des arguments et des connecteurs de type « o ù », « si », « et », « alors » (objet devant nous -> plateau où on peut mettre des choses -> table) Q u e l r ô l e c a u s a l p o u r l e s représentations ? -> Q super importante On se demande si r pz sont la cause de nos comportements, ça renvoie à la responsabilité des rpz des contrôles Est -ce eux qui nous permettent de nous adapter ? Ou n’influencent pas nos comportements ? - Les représentations pilotent le c omportement et déterminent les états mentaux ultérieurs (filiation avec la philosophie dualiste de Descartes) -> la façon dont je pense détermine mes comportements et comment je vais me sentir plus tard sur le plan affectif (TCC : change filtre de percepti on pr aller mieux et psychanalyse modifier mon filtre pour aller mieux) Cause du mal -être -> changement du filtre ou interactions??? - Les représentations mentales, les états mentaux et les processus biologiques interagissent, peuvent s’influencer mutuelle ment (filiation avec l’interactionnisme) - Les représentations mentales et les états mentaux émergent d’interactions biologiques complexes et ne sont qu’un épiphénomène (pas de rôle causal) -> Rpz seulement sous - produits de ce que l’on fait « Je défini s la science cognitive comme une tentative contemporaine, faisant appel à des méthodes empiriques pour répondre à des questions épistémologiques fort anciennes, et plus particulièrement à celles concernant la nature du savoir, ses composantes, ses sources, son développement et son essor ». Howard Gardner (1985/1993) Gardner, H. (1993). Histoire de la révolution cognitive. Paris: Payot. « La nature m’enseigne aussi, par ces sentiments de douleur, de faim, de soif, etc., que je ne suis pas seulement logé d ans mon corps ainsi qu’un pilote en son navire, mais outre cela que je lui suis conjoint très étroitement, et tellement confondu et mêlé que je compose comme un seul tout avec lui. Car si cela n’était, lorsque mon corps est blessé, je ne sentirais pas pour cela de la douleur, moi qui ne suis qu’une chose qui pense ; mais j’apercevrais cette blessure par le seul entendement, comme un pilote aperçoit par la vue si quelque chose se rompt dans son vaisseau ». René Descartes (1641/1647) Méditations métaphysique s - Méditation seconde: De la nature de l’esprit humain, et qu’il est plus aisé à connaître que le corps ➔ Ce corps modifie notre cognition « Le corps humain est un système beaucoup plus parfait que n’importe quel système de pensées ou de sentiments, et même très supérieur à toute œuvre d’art ». Friedrich Nietzsche (1884) Nietzsche, F. (1884/1995). La Volonté de Puissance, Vol. 2 (p. 237). Pa ris : Gallimard (Coll. Tél). Dimension fondamental -> élément d’adaptation avec sa logique propre, premier à tout système de pensée. « Représentations mentales » : - Équivalents symboliques - Peuvent être des actions intériorisées, des images ou des mots - Vers 18 mois la permanence de l’objet (forme élémentaire de représentation) s e r a i t complètement stabilisée et l’imitation différée est pratiquée (expression de la représentation) -> Capacité à attribuer existence indépendamment de nos sens (c f expé Piaget A non B ) - Sont supposées prendre une forme et importance capitale dans l’apparition du langage (signes qui avec sons qui rpz qqch) 2. Les théories prescriptives (représentationnelles) de la motricité On considère que les r eprésentations prescrive nt une organisation à la périphérie musculaire -> càd : elles ont rôle causal Non représentationnelles -> non prescriptives 2 théories : - Ecologique : Gibson considère que nous avons perception directe des éléments signifiants qui nous indiquen t des actions et qu’on n’a pas besoin de mobiliser les représentations mentales pour expliquer comment on s’adapte - Dynamiques : l’auto -organisation du corps, il s’organise de façon contradictoire à par rapport à celui que lui on prescrit Les modèles de la commande motrice : les rpz mise s en œuvre permettent de contrôler le comportement par une prescription qui est réalisé e intégralement avant le début du mvt (programmation avant le mvt, tout mvt ainsi) Régulation motrice : processus qui se déroulent pdt réalisation du mvt Hybride : combine des aspects de commandes motrices et de régulation (pdt) Commande motrice : -Émergence des travaux sur le contrôle moteur d’un point de vue psychologique : années 1950 -1960 -Jusque -là, pas de théorie psychologique sur le contrôle du mouvement volontaire Pas de modèle intégré d’un pt de vue psychologique ds 50’s 60’s - Loi de Fitts (1954 sur le conflit vitesse -précision) se base sur 1 er pilier : expérience empirique (woowors 99) plus on demande à qqun d’aller vite, moins de précision et plus il y a de précision attendue, moins de vitesse -> plus je veux être précis moi ns je dois aller vite -> Associé au tps mais d evrait être associé à la complexité du mouvement - « Skilled Movement Theory » Keele (1968) Loi de Fitts repose sur théorie de l’information shannon et weaver exprimé en binary digits (bits d’information) On va décrire la façon dont qqun contrôle ses gestes en fonction d’une complexité informationnelle : plus la complexité informationnelle augmente plus il faut de temps pour réaliser ce mouvement Svt on retrouve des complexes dans les équations ss forme de lo garithme en base 2 de qqch ( c’est le nombre de fois où je dois diviser le nombre 2 pour obtenir 1) par exemple si j’ai 2 c’est 1, si 4 :c’est 2 etc.. Ils prennent la théorie d e l’information pour expliquer comment un être humain contrôle sa motricité, ils assimilent le contrôle de la motricité à un problème de complexité informationnelle. TR : A+ B facteur d e logarithme en base 2 et entre parenthèse ils ont 2 fois l’amplitude du mvt (plus l’amplitude du mvt est grande plus le temps du mvt augmente) di visé par en anglais « witts » pour la taille de la cible (dénominateur : taille de la cible pq ? -> car plus ça va augmenter (la taille) plus ca va diminuer le temps) cible plus grande plus je peux aller vite ( car – de précision exigée) Loi de Fitts -> Associ e le temps de mvt à qqch qui est censé être associé à la complexité informationnelle càd sur un plan entre l’amplitude du mvt et la taille de la cible Context ds lequel apparaît l a théorie : « Skilled Movement Theory » Keele (1968) - 1. Vise à expliq uer le m ou vemen t habile ( appris) comment on contrôle un comportement moteur déjà appris on sait faire , et on va le reproduire (s’ intéresse comment ce genre de gestes est produit ) 2) Conception centraliste de la programmation motrice (ensemble d’opération mentales et de représentations mentales qui vont être mobilisées en amont de la réalisation du mvt et qui va permettre à ce mvt d’être réalisé de façon plutôt autonome par la suite 3) (IMPORTANT) Contrôle en boucle ouverte ( boucle ouverte donc pas trop une boucle -> il n’y aura pas de feedback, de rétroaction !!! ex : contact après avoir décidé de prendre un objet -> contact avec objet : feedback, je sais que je l’ai pris -> retour informationnel là ! on ne peut pas apprendre sans feedback ! Pq dit -on boucle ouverte ? pcq rétroaction n’est pas nécessaire pour accomplir un geste qui est déjà appris Comment comportement adapté en boucle ouverte ???? 4) Se focalise sur la commande motrice ( opération avant l e mvt) 5) Repose sur l’hypothèse du « programme moteur » (associé à théorie représentationnelle) DÉFINITION « Un programme moteur est une série de commandes musculaires structurées avant le début d’une séquence motrice et qui permet à la séquence toute e ntière d’être exécutée sans être influencée par les rétroactions périphériques ». KEELE (1968) -> càd une fois que le mvt lancé, l’exécuter jusqu’à son terme sans être influencé par feedback Keele, S.W. (1968). Movement control in skilled motor performance . Psychological Bulletin, 70, 387 - 403 Feedback pas pris en compte ds théorie sinon aurait débouché sur boucle ferméee, c’est le feedback qui ferme la boucle. Le début de la boucle c’est quoi ? C’est la commande qui part du cerveau qui va jusqu’au muscle (1ère partie de la boucle) et pour qu’elle soit fermé e fau t qu’elle intègre le retour sensoriel de la périphérie vers le cerveau (voies efférentes du cerveau – périphérie et afférentes contraire) . Ce modèle propose que pour une certaine classe d’ action (bien apprise s) il n’y a pas besoin de prendre en compte feedback pour les réussir (atteindre cibles motrices sans feedback) -> on a suffisamment appris le mvt pour s’assurer qu’il soit réussi Littérature – hypothèse – preuve des faits (tests -> expériences) -> modifier théorie si c’est faux ➔ Sur le principe et les faits expérimentaux Qu’est -ce qui permet de supporter ces programmes moteurs ?? Le programme moteur : support - Observations empiriques : mouvement précis les yeux fermés ou lorsque le retour sensoriel n’est pas possible (dispositif pour empêcher le toucher, chez animaux sectionner afférences sensorielles -> ils sont encore capables d’adopter comportements adaptés sur le plan moteur) - Temps de Réaction -> argument très fort (TR : temps entre début du signal et du mouvement) est proportionnel à la complexité du mouvement qui est à accomplir (plus ce qu’il y a à faire plus on prend d e temps) -> augmentation du temps qui est nécessaire avant tout mvt pr commencer à agir lorsque le mvt est complexe -> plus mvt est complexe plus ça va générer de la complexité avant le mvt ( pcq ça génère plus de temps : opérations avant mvt prennent du temps ) donc en faveur d’opérations qui sont effectués avant le mvt - patrons d’activation EMG : (Wadman et al., 1979) capteurs sur surface de peau pr voir comment muscles s’activent lors de l’expérience : demandé à sujets de tenir levier et faire un mvt d’ extension patron d’activation mesure les muscles agonistes (qui participent au mvt principal ) Ds condition normale : il va y avoir un patron d’activation triphasique (trois phases) Première phase : activation du triceps Deuxième phase : activation du b iceps ( mvt antagoniste : limiter le mouvement -> freiner le mvt) Troisième phase : activation du triceps ➔ =mportant d’avoir système de frein pr ralentir la rapidité de l’exécution du mvt Parfois le levier est bloqué (ne peuvent pas le déplacer, ne peuvent pas faire le mvt) -> même quand on ne le fait pas -> même ds EMG, contracter biceps même si pas de mvt ➔ Élément en faveur de l’hypothèse de programme moteur -> séquence motrice programmé e avant mvt (visible alors que le mvt n’est pas observable ds condition bloquée ) -> =l existe une programmation centrale indépendante de l’état des capteurs sensoriels périphériques Le programme moteur : - Organisation prédéterminée stockée selon ce modèle dans le SNC (intelligence artificielle etc) - Suggère une mémoire centrale du geste (compatible avec théorie de dév d’intelligence artificielle notamment de l’ordinateur et les modèle classiques de la psycho cognitive Limites : - Réactualisation de la mémoire à chaque répétition ( s’il n’y a pas de feedback comment se passe réactualisation ???) comment le mvt établi est devenu habile ?? -> n’explique pas Boucle ouverte très linéaire -> valeur à atteindre, on a pris une décision, atteindre une cible -> on va programmer le geste, cette programmation va mobiliser des effecteurs (je vais tirer sur mes os avec mes muscles ça va faire déplacer mon bras), générer une action et un résultat (pas de feedback qui va fermer la boucle) Conception proactive -> anticipatoire càd avant le début du geste j’ai déjà programmé l’ensemble Contrôle des mouvements discrets pourquoi ? car si on s’intéresse à un mvt d’un geste projectif sur une cible, ce type de modèle s’adapte mieux car même si avec l’expertise les personnes arrivent à prendre des feedback tactiles etc une fois que le projectif est parti il est parti Peu d’opportunités de prendre en compte facilement les feedbacks C’est ce que l’on appelle -> Mvt discrets ou balistiques Marcher jusqu’à qqch -> boucle fermée 17/01/2023 On peut être aussi ds théorie/ conception représentationnelle sans que ce soit proactif (mais par exemple Le programme moteur est caractérisé par... - identité des unités motrices sollicitées (Quelles sont les muscles qui vont être activé -> Unité motrice : un neurone moteur et ses cellules musculaires associées ) - fonction spécifique des groupes musculaires (agonistes/ antagonistes…) - ordre dans lequel les group es sont sollicités - Ajustement temporel (timing) de la sollicitation des unités motrices (pdt comnbien de temps les muscles vont être activés, il faut aussi réguler la durée des contraction) selon Keele : ds programme moteur toutes ces info sont enfermées Adams (1971) : contrôle en boucle fermée Critique de Keele • Sur l’apprentissage (avant qu’ils soient appris, comment on fait pour les apprendre ?) • Sur le contrôle en ligne du mvt (ce n’est pas que les mvt qu’on peut réaliser sans feedback) - Insister sur la nécessité de prendre en compte les afférences sensorielles ou feedback Adams : S’intéresse aux ajustements, aux corrections que l’on produit au cours de réalisation d’un mvt - Focalise son investigation Sur les mvts longs et continus (ex : marche -> correction possible dans une certaine fenêtre temporelle au c ontraire de fléchette par ex) On lance le mvt initial grâce à un programme moteur miniature : qu’il appelle trace mnésique (trace de comment on exécute un mvt) (bcp plus ds schéma) A droite régulation motrice : ensemble des opérations qui sont mobilisées pendant la réalisation du mvt A gauche commande motrice Adams : Son modèle est prescriptif / représentationnel mais il s’occupe de régulation motrice Les deux modèles Keele et Adams utilisent rpz mais un où mobilisé rpz avant (Keele) et l’autre pendant La trace mnésique détermine une unité de commande, mobiliser effecteurs (muscle, squelette : produire mvt) sur la base de la commande, ces effecteurs produisent résulta ts ( par ex : atteinte de cible ou pas) Dès mobilisation des effecteurs il y a des retour s sensoriel s -> dès qu’on mobilise bras par ex, nous avons des capteurs qui vont nous indiquer si la mobilisation est conforme par rapport à ce qui a été attendu ou pa s sans même attendre le résultat dans l’environnement Rétroaction sensorielle qui nous permettent d’avoir des info sur ce qui est fait avant même d’attendre le résultat Rétroaction -> directement des effecteurs : (différents que rétroaction de l’environ nement / résultat) Savoir si réussite ou pas grâce aux rétroaction Retour sensoriel -> info sur ce qui est fait même avant résultat (ex : qd main mal positionnée et on tire -> on sait que pas réussi) Effecteurs surtout info de Proprioception (info interne, info qu’on va intégrer sur l’équilibre notamment) et kinesthésique ( info liée au mvt des tendons, pression au niveau musculaire -> donne des infos) 3ème niveau de feedback -> éval de l’expert -> va dire si c’est bon ou pas et expliquer -> permet de corrig er ce qui a été produit et de faire une nouvelle trace perceptive / rpz du mvt qui est à produire On ne peut pas apprendre sans feedback -> comparer ce qui a été fait avec ce qui est à faire Pour qu’il y ait des feedbacks il faut : / pr apprendre : - De produire un comportement (si pas ds action on peut pas apprendre si pas ds action pas de boucle ) on peut pas valider ce qu’on a fait bien ou de corriger ➔ Pr apprendre : ACTION fondamentale Il faut retour pr apprendre - Feedback doit être fiable !!!!! FIABILITE DE LA SOURCE -> le pire c’est de se transformer sur mauvais feedback De Plus -> personne doit être capable de comprendre les feedbacks (capacité à prendre en compte le feedback : individu plus ou moins disponible cognitivement à pren dre en compte feedbacks) Même si feedback super et cognitivement dispo mais parfois émotionnellement / affectivement pas dispo -> dur de se remettre en Q ➔ Tout ça -> va conditionner l’apprentissage -> MA=S LE PLUS =MPORTANT =L FAUT QU’=L Y A=T ACTION Conception rétroactive des mvts continus ➔ Base de tout : rpz qui commande nt comportement sont piloté s par des rétroactions Où sont systèmes de rpz dans ce modèle ? Eval par l’expert ? Trace perceptive l’unité de comparaison lieu où il y a mise en relatio n entre le résultat qui était attendu, ce qui a été fait réellement -> il y a une activité de rpz mais pas une rpz qui est labélisée mais il y a activité représentationnelle mais qui débouche sur une rpz particulière -> trace perceptive Quel est le système de rpz le plus important ? la trace perceptive -> c’est l’image du mvt réussi, c’est ce qui va piloter directement mvt qui va venir et qui est fondé sur les info rétroactives/ feedback -> ASPECT LE PLUS =MPORTANT DU SYSTEME REPRESENTAT=ONNEL DU MODELE D’A DAMS Trace mnésique -> aussi un système de rpz qui est miniature, qui est le système de rpz le moins important du modèle Résultat objectif ds l’enviro (qui peut être associé à une rpz -> ce n’est pas une rpz) qd il rentre ds unité de comparaison -> dev ient rpz Rpz essentiel le qui pilote comportement en cours de réalisation -> TRACE PERCEPTIVE La trace mnésique : - Programme moteur miniature, rudimentaire (expliquer comment rép est lancée et qui dépend des essais antérieurs) - Permet de lancer la réponse - Dépend des essais antérieurs -> stockée ds MLT, mémoire procédurale p ou r mvt La trace perceptive : - Représentation basée sur les informations rétroactives - Images motrice s du mvt réussi - Sert de norme de référence pour le mvt en cours (stocké ds MDT ) Adams (1971) : contrôle en BF - Explique la régulation de l’action en cours de Réalisation - Rend compte du contrôle des mouvements lents et Continus ( pr voir processus pdt mvt) - Ne prend pas en compte la capacité du système à réaliser correctement des gestes sans rétroaction BO/BF : Limites Milieu des années 70 - Pas de modèle qui prenne en compte les aspects de programmation centrale et de régulation motrice/ périphérique de façon simultanée - Problèmes non résolus : stockage illimité des programmes moteur ou des modèles internes : explosion computationnelle -> si à chaque mvt on doit produire un programme moteur, ça veut dire que chaque mvt est différent de l ’autre, il faut une infinité de PM, on explique pas nouveauté des mvts -> ça néglige caractère fondamental de la cognition -> capacités cog ressources limitées en puissance et en vitesse (pas infinité de temps pr prendre décision et moyens illimités pr sto cker l’info) Explosion computationnelle -> pr chaque geste produit un pm stocké -> ça veut dire qu’une infinité de pm stocké -> contradiction Pr keele : limite : absence de prise en compte de rétroaction et absence de nvx gestes - Procédures d’apprent issage rendues peu explicites : Keele : pas de rétroactions / Adams nouveau geste ? Emergence d’une conception hybride : Schmidt (1975) : Conception hybride La théorie des schémas - Étudiant d’Adams - Souhaite intégrer les conceptions de Keele et d’Adam s - Veut répondre aux problèmes laissés en s u s p e n s : s t o c k a g e d e s PM e t apprentissage 3 notions clés Classe générale - PMG (résout le problème stockage des PM) au lieu de …. -> classes générales (table : pas une infinité de tables mais un concept de table -> caract invariable) Règles : - Schéma de rappel (résout le problème de la nouveauté des PM) -> on a appris à associer jeter une pierre et atteindre certaine d istance (même si jamais été ds situation de cette distance à, où on a abstrait règles entre ditance, proportionnalité -> création de règles) - Schéma de reconnaissance (résout le problème du guidage et de la correction du mouvement en cours d’exécution) -> lié au comparateur (ex : le fait qu’one st cap de prendre en compte de rétroaction sensoriel, avec suffisamment d’expé, reconnaît que mvt imparfait et on le corrige pendant réalisation ➔ Créer de nvx PM ➔ Reconnaitre ce qu’il se passe ds env iro et d’ajuster mvt Support empirique : Exemple de l’écriture avec : (Raibert - main droite (dominante) - main droite dont poignet bloqué - main gauche - bouche - orteils Même qd segment jamais été utilisé, sans avoir appris pm spécifique, extraire propriétés et les appliquer à d’autres types de mvt même si effecteurs utilisés sont différents Différents types de segment peuvent être utilisé par même processus ➔ PM généralis é qu’on peut utiliser pr un tas de mvt différents, même pr mvt jamais effectué auparavant) Propriétés invariante s qui permettent de produire le comportement même si jamais utilisé certain nbr de segment pour mvt --> Production d’un patron reconnaissable malgré l’utilisation de segments et de groupes musculaires différents --> Production d’un patron reconnaissable malg ré la nouveauté de la coordination ➔ INVARIANTS qui sont communs à une classe de mvt (objectivement différent) mais il semble exister invariants qui lient ces deux types de production Support empirique : Exemple du saut (Saut en hauteur ou longueur) Typ e de foulée pareil ( 3 dernières : courte - longue - courte ) avant envol --> Production d’un patron locomoteur d’impulsion spécifique « court - long - court » Invariants d’un mvt à un autre -> existe classes qui regrouperaient mvt différents mais avec certaines similarités Pour Schmidt, il existe bien des programmes moteurs, il ne dit pas le contraire, mais il dit que ces programmes moteurs sont créés dans des situations spécifi ques que l’on rencontre -> on crée programme moteur lorsque l’on se retrouve dans une condition où il faut que l’on produise un geste mais ce ne sont pas ces PM qui sont stockés ds MLT, ce sont slmt les caractéristiques générales des PM qui sont communes à plusieurs PM. En fait on stocke des classes d’actions qu’il appelle des Programmes moteurs généralisés Comment ça se passe si on n’a pas de PM et qu’on a juste des propriétés invariantes qui sont communes à un certain nombre de PM ? ca veut dire qu’i l faut rajouter de l’info à ce qui est stocké en mémoire en terme de PMG pour passer du PMG au PM. Et ça ça se fait en mobilisant un système de règles qu’il appelle : le schéma de rappel Schmidt explique bien comment on peut produire des PM différent, c mt on ajuste le mvt en cours de réalisation mais il reste flou sur l’acquisition des PMG - Répond au problème de la nouveauté - Structures invariantes : Réponse au problème du stockage... Il existe des PM mais … - Stockage de classes d ’actions (PMG ) Répon d au pb de la nouveauté : la variabilité des PM… Les PMG doivent être paramétrés en fonctions de l ’action à réaliser (Schéma de rappel) Une action n’est généralement pas complètement nouvelle (un peu plus flou sur le mode d’acquisition des PMG) Schéma de rappel : Système de règles qui permet de spécifier les paramètres du PMG - se caractérise par la mise en relation du résultat désiré, des conditions initiales, et des paramètres des commandes musculaires Schéma de rappel de passer du PM généralisé au PM -> grâce à mise en relation du résultats désiré (je souhaite atteindre panier de basket : résultat désiré/ des conditions initiales : où je me situe par rapport au panier/ paramètre de command e musculaire : la force, la vitesse avec laquelle on va mobiliser nos segments) H’ai pas été mis dans cette situation préalablement -> mais d’autres situations similaires, donc faire par rapport à celles -ci Si j’évolue ds condition incertaine d’apprenti ssage -> faut expérience avant Si condition certaine d’apprentissage -> répétition Un PMG est défini par .. - Invariants : L’ordre (important pour déterminer la forme du mvt) , le déroulement des séquences de contraction musculaire (pr lui mvt d’extensio n ou de flexion -> différent pmg car pas même ordre) - La durée relative des séquences « relative timing » (pas même durée réelle des contractions, mais durée relative de contraction identique -> ça nous dit qu’il y a un rapport de temps (par exemple rapport de 50%) entre les différents temps de contraction mais ça ne fixe pas de temps réel (ex : je contracte mon biceps puis mon triceps , j’ai contracté mon biceps 2 fois plus triceps -> ça nous dit pas combien de temps ) - Intensité relati ve des séquences de contraction (pareil que pr durée) - Codage -> on est sur des aspects relatif de codage ➔ Caractéristiques qui touchent à ces aspects relatifs des intensités ou des durées des contractions influent sur la « forme globale du mouvement » Si contraction d’abord triceps -> généralement forme de mvt d’extension et si commence par contraction du biceps -< forme en flexion mais ça nous dit pas exactement ce que je vais faire comme mvt car je n’ai pas codé les propriétés absolues en terme de dur ée ou d’intensité. Les paramètres (à partir / après avoir mobilisé schéma de rappel -> pr passer du PMG au PM - > ça veut dire qu’ on a codé les caractéristiques absolues du mvt en terme de durée et l’intensité , on n’est plus sur juste de la durée et intensit é relative, on est sur des durées et intensités absolues çad c’est pas que le biceps va s’activer 50% diu temps mais c’est le triceps qui va s’activer pdt demi -seconde, là on fixe vraiment les paramètres étant donné la situation dans laquelle on se trouve On a fait tourner le schéma de rappel pr passer du PMG au PM Les paramètres concernent : - La durée absolue des contractions - La force absolue des contractions Influent sur amplitude, vitesse , force du mvt ➔ Schéma de rappel est là avant paramètre car c’e st le système de règle qui va nous permettre de créer les paramètres (sont donc créés à partir du schéma de rappel) Schéma de reconnaissance : Système de règles qui permet d’évaluer et de reconnaître les afférences sensorielles liées à la réalisation du mvt - se caractérise par la mise en relation du résultat désiré, des conditions initiales et des conséquences sensorielles attendues - Déclenche une comparaison (puis… des ajustements) Conséquences sensorielles attendues (ce n’est plus contraction musculaire , plus comme ds schéma de rappel) -> càd que j’ai appris que normalement quand je suis en situation de lancer franc au basket et que mon ballon va dans le panier à tel stade de flexion de mon bras, j’ai telle sensation habituellement -> si je n’ai pas cette sensation là généralement ça ne va pas dans le panier ça prédit que là sans avoir le résultat réel, sur la base de mes sensation j’arrive à prédire que je ne suis pas sur la bonne voie et parfois on arrive à rectifier pcq on a déjà eu ce genre de sensations et on a déjà réussi à rectifier ce mvt en cours de réalisation En fait on va comparer avec ce que l’on attendait en sensation et si on a le temps on va ajuster notre mvt pr récupérer la séquence motrice pour qu’elle se conforme à ce qu’elle devait être pour que le ballon aille dans le panier. Donc en fait ça correspond chez adams : la capacité que l’on a à exploiter les infos en cours de mvt et sur la base d’un système de règles, à anticiper quelles doivent être les sensations norm alement pr que ça se passe bien après , si on ne les a pas, on va essayer de rectifier le mvt en réalisation Sur la base du feedback, on va déclencher une comparaison avec les sensations qui étaient attendu es et on va ajuster en fonction de ce que l’on pe nse être les sensations recherchées. ➔ 2 systèmes de règle, le schéma de rappel qui permet de spécifier au mieux le mvt avant qu’il ne se lance et un schéma de reconnaissance qui lui être mobilisé p r réguler au mieux le mvt pdt sa réalisation A gauche c ommande motrice - à droite régulation Recall : rappel -< endroit où le schéma de rappel est mobilisé Recognition : schéma de reconnaissance Ex : Résultat attendu : ballon d an s panier Condition initiale : à 5 mètres Je Déclenche mon schéma de rappel ->même si j’ai jamais été à 5 mètres, j’ai été dans d’autres configurations donc j’ai construit règles qui m’indiquent plus on est loin plus d’intensité / amplitude -> et on va choisir des valeur s absolue s en terme d’intensité et de durée de contrac tion Après ces choix là -> la commande part, j’ai mon PM qui va déclencher la mobilisation des membres -> limps : membre Dès le début des contraction des muscles -> Au niveau de limps ->il y a feedback (notamment proprioceptif ou kinesthéisique ) -> sensat ion de contraction musculaire associé es au début du mvt, et je vais me déplacer ds enviro, et je suis capable avec mes 5 sens de p rendre en compte l’effet de ce mvt dans ma relation avec l’enviro -> je vais voir finalement comment ça se passe -> Qd j’explo ite les feedbacks qui proviennent des sens (en dehors de la proprioception) ce sont des feedbacks extérioceptif s Comme chez adams -> Connaissance du résultat (Knowledge result KR) Sens : vision/ tactile ➔ Il y aura retours à exploiter Ça revient en cercl e : Avec : EXP PBF (proprioceptif) : expected : attendu -> je vais comparer les feedback s réelles (proprioceptif ) avec ce qui arrive en haut dans les cercles (les EXP ) ->ces cercles rpz point de comparaison -> je compare feedback proprioceptif attendu (j’attends certaines sensation au niveau musculaire) avec sensation s qui arrivent réellement EXP EFB -> les feedback extéroceptifs attendus -> pareil qu’ au -dessus mais avec extérioceptif -> ce que j’attends sur le plan de mes 5 sens -< qui va être comparé au feedback extérioceptif relié à l’enviro réel Dernier niveau du feedback -> connaissance du résultat (retour de la part de tier (comme pr Adam s) Spécifier nvelles commandes Ou error labeling -> amener de prendre conscience de l’état de divergence entre ce qui a été attendu et ce qui a été fait -> aussi pr régulation motrice Différents niveaux de traitement de l’information + pas besoin de niveau de conscience pr corriger mvt en ré alisation Différents niveaux de contrôle ➔ il y a apprentissage par boucle qui échappe à notre conscience Les feedbacks ds théorie de SCHMIDT Pour Schmidt - Concernent l’information relative à la différence entre l’état d’un objectif et celui de la r éalisation motrice Constat d’un écart entre ce qui avait à faire et ce qui a été fait ➔ production du comportement IMPORTANT - sont fondamentaux : pas de moyen de détecter les erreurs = pas d’apprentissage Cf. expériences yeux fermés, sans CR on stoppe tous processus d’apprentissage lorsque l’on ne prend pas en compte feedback les types de feedbacks : - intrinsèques (extéroceptifs et proprioceptifs) -> l’individu va activement récupérer grâce à sens e t proprioception - extrinsèques véhiculé par p ers tiers de l’enviro ou ss forme de vidéo / verbale feedback qui est organisé CR (connaissance du résultat) : concerne le succès d’une action/ atteinte du but environnemental Connaissance CP (performance la mauvaise traduction de l’anglais )/CC (cinémati que : sur la forme qu’a pris le mvt / CE sur l’exécution ) mvt réussi a cette forme là -> concerne le succès d’une action / critères cinématiques d’exécution Apprendre à paramétrer … Feedback essentiel -> Construire des règles, abstraire des principes d’organisation à partir de la mise en relation du but, de la commande, et des feedbacks. Au fur et à mesure on va savoir qu’on est trop fort/pas assez grand On va ajuster nos règles pour trouver les bonnes relations qui unissent les paramètres de comman des musculaires avec le résultat 24.01.23 (DIAPO 53 ) - Apprendre à paramétrer ➔ Schéma de rappel -> construire des règles, abstraire des principes d’organisations … À partir de la mise en relation du but, de la commande, et des Feedbacks si je constate qu’avec ma commande motrice, que j’ai atteint limite 10mètres alors que normalement 15 mètres -> pr la prochaine fois -> plus fort -> mettre en route commande motrice essai/ erreur : ajuster valeur de ma commande selon objectif à atteindre j’essaie de trouver le bon paramètre musculaire pr objectif au quotidien svt action donc commande musculaire complètement varié e et situation qu’on n’a jamais rencont rée -> Schmidt dit que dans vie affronter différent s objectifs à atteindre -> à force de mettre en relation les résultats obtenus avec les paramètres, et de voir concrètement ds l’enviro qu’est -ce qu’il arrive -> abstraction d’une règle si nvelle situation : utiliser ce schéma de rappel -> règle construite pr trouver bon paramètre dans nouvell e situation ➔ Durée et intensité , force à produire relié e avec différents résultats à atteindre -> puis règle Conséquences p ou r l’apprentissage pr apprendre à paramétrer (PMG disponible) 1) si la « loi » à abstraire consiste en la spécification d’u n point (mise en relation d’un but unique et d’une commande correspondante) : « habiletés fermées » fermé e à l’incertitude on sait exactement d an s quelle condition on va être testé dans ces conditions :- « Pratique bloquée » (diminuer la variabilité des impulsions et stabiliser la programmation de « LA » commande adéquate) but -> trouver la commande adéquate pour des conditions de pratique qui sont toujours les mêmes 2) si la « loi » à abstraire consiste en la spécification d’une mise en relation de multiples buts possibles et des commandes correspondantes (« habiletés ouvertes ») ➔ il faut que je sois bon dans conditions changeantes, même conditions que j’ai jamais rencontrées ➔ va falloir pratiquer dans conditions suffisamment variées pr abstraire une règle qui me permet en moyenne d’être bon en ces multiples conditions - « pratique v ariable » (tester de nombreuses conditions différentes, afin d’abstraire un principe basé sur un maximum d’observations) il faut quantité de pratique suffisante pour que qqch soit appris -> nbr de répétitions conséquent équilibre entre nbr de répétitions et polyvalence de la pratique (pr apprendre faire tourner boucle de rétroaction) Expérience : Miller et krantz : - jeunes enfants - tâche de lancer précision - condition de pratique bloquée vs. variable (distance, poids balle) - test et rétention M ême distan ce et même poids de balle OU Distances multiples et poids variables Puis on les teste tous ds nvelles conditions variables (ni rencontré par un groupe ou l’autre -> nvelle variabilité ex : orientation de la cible ) Résultats : Test condition bloquée : perf groupe B = perf groupe V Test nouvelles conditions variables (e.g., orientation cible variée) : perf groupe V > perf groupe B Rétention : groupe V Donc -> Grpe meilleur perf ds nvelles conditions variables -> meilleur groupe qui a appris avec variabilité Apprentissage -> variab ilité peut améliorer le côté transférable de ce qui a été appris Expé -> après également meilleur e rétention (de l’apprentissage après un certain temps) 2 éléments fondamentaux à manipuler en ce qui concerne l’aménagement de la pratique : - le nbr de répé titions - la variabilité des conditions de réalisation (vitesse, distance, direction, trajectoire…) ➔ pr polyvalence !! pour que les règles qui sont abstraites nous permettent ensuite de ns adapter à situations multiples autre étapes de l’apprentissage qu e le perfectionnement avec le schéma de rappel • la stabilité (vs variabilité) sera recommandée lorsque le PMG est en construction qd pers a aucune idée à quoi ressemble le mvt (pas affiner mvt déjà connu mais créer mvt qui a une nvelle forme ) - Démonstrati on peut aider dans ce cas -> permet d’avoir représentation globale de ce qu’il faut faire (ça dépend du niveau de la pers : si pas maîtrisé -> peut aider mais si geste maîtrisé -> slmt pratique avec b oucle de rétroaction p ou r affiner) PMG - Guidage (exécuti on guidée / contrainte par un dispositif -> ex -> si pas maîtrisé au niveau du timing -> ex : au début ça ne sert à rien de mettre cerceau pr apprendre plongeon car commence par les pieds, mais quand il aura réussi à se laisser tomber tête en avant etc on peut contraindre la forme du geste en le faisant rentrer dans le cerceau ; mise à disposition d’information augmentée pour aider à l’organ isation de la coordination ) -> ex : gymnastique : salto signal sonore ou visuel pr s’ouvrir, salto groupé c’est une information augmentée qui peut aider à l’orga de la coordination au départ Tout ça ça concerne l’organisation matérielle qui peut viser soi t le PMG par exemple quand on a une exécution guidée qui va contraindre la forme du mvt (idem pr démonstration) ou qui va par une information augmentée aider à affiner le geste Quand le PMG est encore en construction càd …… relatives des contractions sont encore à découvrir -> les feedbacks suivants sont à privilégier : - Des FB (feedbacks) sur le timing, l’organisation générale du patron, avant de donner des informations sur le s paramètres ( force absolue, la durée absolue etc) Principe générale (qui va au -delà de la motricité) : Quand on fournit un feedback il faut être sélectif pcq -> principe de rationalité limitée, les pers ne vont pas pouvoir prendre en compte l’ensemble d ’une liste de courses qu’on leur donne par rapport à ce qu’il faut modifier, en fait on essaie de donner l’essentiel et le plus important de feedbacks -> puis après passer à d’autres types de feedbacks pers ont différentes capacité à prendre en compte la diversité de feedbacks, faut prdre en compte également la charge affective associée au feedback car pers qui ont plus ou moins de facilité à remettre en Q leur prestation. CCL : du contrôle à l’apprentissage moteur Définition de l’apprentissage moteur (Schmidt) : « L’apprentissage moteur est un ensemble d’opérations associées à la pratique ou à l’expérience, qui conduisent à des changements relativement permanents des compétences pour la performance (et réalisation) des habiletés motrices » Opérati on : modifier un état de rpz , passer d’un état de rpz à un autre -> perspective prescri ptive et représentationnelle de la motricité Pq relativement permanent ? Relativement permanent : Pcq ça peut encore évoluer, qqch d’appris peut être potentiellement désappris Permanent : car il faut être cap de reproduire une perf (pas slmt une fois, pas dû au hasard ou chance) qd appris -> faut pvr la répéter Conclusion chap itre 2 : Approches prescriptives du mouvement - L’individu réalise des opérations déterminantes de traitement de l’information effect uée s par un contrôleur central - Organisation hiérarchique : le contrôleur central « prescrit » une certaine organisation à la périphérie » Donc on a bien les opérations mentales, les rpz qui déterminent l’organisation musculaire et qui sont responsables, sont la cause de la production des actes moteurs On rev ient à Q : est -ce que les représentations ont un rôle causal dans la détermination des comportements ou non ? ➔ Selon ce s approche s, que ce soit lié à la commande motrice, à la régulation motrice ou hybride, elles ont mis les rpz mentales au cœur de la pro duction des comportement s C’est pour cela qu’il existe une organisation hiérarchique, qu’il existe un c ontrôleur central qui est constitué de rpz et qui a capacité de générer des opérations et qui va prescrire une certaine organisation à la périphérie musc ulaire. Avec la définition de Schmidt de l’apprentissage moteur, il y a la notion d’opération qui est mise en avant, qui va permettre de passer d’un état de rpz à un autre état de rpz notamment par l’alimentation en matière de feedbacks, c’est ça qui va permettre de changer de mode de rpz. Dans le cadre de ces approches prescriptives du mvt on a vu des modèles liés à la « commande motrice » (Keele) et la « régulation motrice » (Adams) et modèle hybride (Schmidt). Ces modèles : - concernent la production motrice - reposent sur une programmation centrale, des boucles de rétroaction, et un système de comparaison Pour Keele, il y a une programmation centrale, il n’y a pas de rétroaction. Pour Adams, il y a une mini programmation centrale et il y a surtout de s boucles de rétroaction et un système de comparaison. Pour Schmidt, il y a l’ensemble de ces éléments -là. CHAP 3 : Les théories (non -représentationnelles) écologiques et dynamiques de la motricité Approche écologique de la perception et de l’action Ecologie : Etude de l’enviro nnement pou r Gibson -> d an s enviro nnement il y a info s qui sont susceptibles de renseigne r assez directement la pers onne qui perçoit sur ce qu’elle peut faire par rapport à ce qu’elle peut faire, sa position d an s l’enviro nnement etc… - Aussi appelée « courant de la perception directe » S’oppose au principe : de la perception indirecte (repère des théories classique s qd info traitée -> elle est ambiguë fondamentalement -> il faut structures d’interprétation -> pour accéder à sa signification et ces systèmes d’interprétation il les décrit s ou s la forme de rpz) Pr Gibson la perception est bien souvent directement signifiante, n otamment en terme d’action, donc pour lui perception n’est pas ambiguë . -initiée par JJ Gibson (figure de ce mvt) ( -> c’est un couple eleonore gibson aussi, ont travaillé essentiellement sur perception et apprentissage) Ouvrage biblio : Gibson, J.J. (1966). The senses considered as perceptual systems. Boston, MA : Houghton -Mifflin. Gibson, J.J. (1979). An ecological approach to visual perception. Boston, MA: Houghton -Mifflin. - cette approche est en rupture avec les approches cognitives traditionnelles car elle exclut le contrôleur central, exclut la cognition en tant que fonction intégrée dans le cadre des explications sur le contrôle de l’action (sur diapo : exclusion du contrôleur central, de la cognition en tant qu’élément de contrôl e de l’action) Plusieurs postulats dans théorie de Gibson : - 1) Le sujet et son environnement forment un couple qu’ on ne peut dissocier lorsque l’on appréhende les problèmes de perception Pou r lui on ne peut pas étudier la perception humaine sans é tudier en même temps les caractéristiques physique s de l’enviro nnement ➔ Développe une conception systémique des relations sujet et enviro nnement -2) La perception (prélèvement de l’information) est déterminée par l ’action en cours de réalisation ➔ « L’action crée l’information et l’information spécifie l’action » -> L à je suis en train de me déplacer et je change ma perception et en prélevant de l’info en me déplaçant je peux spécifier et réguler m on action -3) La perception détermine de façon non -ambiguë un état du système sujet - environnement (et donc des possibilités d ’action : la perception est directement signifiante en termes d ’actions possibles : « affordances ») Bcp de situations où o n est tout de suite cap able de dire si on peut réaliser un geste ou pas sans faire de calculs. Dans la littérature sur les affordances, on rapporte les caract éristiques de l’enviro nnement ces mesures, au x caract éristiques du corps . Dan s 80’s Warren a montré qu’existaient des relations invariante s entre la taille de certains objets dans l’environnement et ce que les personnes déclarent ce qu’elles peuvent faire (va être davantage expliqué plus tard dans le cours) ➔ L’action crée l’information et l’information spécifie l’action » Perception is « for doing » (Gibson) on ne cognitive pr cognitiver !!! cognition comme perception -> sont finalisées qd on traite ou perçoit c’est dans un but ce que je vais extraire de mon e nvironnement va dépendre de mon but action -> but particulier Perception dépend du but car on ne perçoit pas pour rien ➔ Gibson s’est surtt intéressé aux finalités motrices (càd qu’est -ce que je peux faire sur le plan moteur de l’enviro que je suis en train de rencontrer mtn) (Traitement de l’info en général (pas slmt moteur) est déterminée par une finalité / par un but) Action -> est une finalité particulière qui impose à la perception de prélever des choses en particulier LA Per ception -> pas intégrer une stimulation extérieure tel un miroir mais o n découpe ce qui nous intéresse -> vision utilitariste de la perception - Couplage Perception /Action : caractère « utilitaire » de la perception - Caractère utilitaire réside dan s la notion d’ affordance , ce que je peux faire de l’environnement dans lequel je suis (ici et maintenant) - Cette « perception directe » est possible car le système sensoriel est formaté pour percevoir ce type d’information utile -> càd on est fait p ou r être sensible à une certaine transformation de la stimulation qui font que on sait exactement la direction dans laquelle on est en train de se déplacer, on sait ce qui est possible pr nous ou pas , etc ) ➔ Stimulation contrôler 46 MI N LINA 4 concepts clés : - Stimulation perceptive - Flux optique - Invariants - Relations invariants/information 1) Stimulation perceptive Dans l’approche de gibson -> la stimulation dans l’environnement Elle est constituée d’un p atron d’énergie lumineuse parvenant au point d’observation (après réflexion sur les surfaces de l’enviro nnement ) (ex : couleur -< niveau de la réflexion de la lumière) base de l’optique : traitement de la lumière Vs « image rétinienne » dans les approches computationnelles Gibson va partir vrmt de cette stimulation lumineuse et non partir à l’interne comme les cognitivistes traditionnels en disant ce qui est traité initialement c’est l’ima ge rétinienne Donc le patron d’énergie lumineuse c’est un ensemble d’ondes électromagnétiques qui peuvent se déployer dans le vide, mais en l’occurrence -là qui vont rencontrer un média qui est l’air Patron d’énergie lumineuse véhiculé par un « média » : l’air La n ature de la réflexion lumineuse (angle de réflexion, quantité d’ énergie qui est refléter par les différentes surfaces ) déterminée par la composition et l’orientation des surfaces par rapport au point d’observation Cha que surface va refléter la lumière avec un certain angle, ça va me situer/m’informer dans une configuration optique unique -> ex : si prof regarde vers fond de la salle, chaque étudiant constitue une surface qui va refléter avec un certain angle par rappo rt à la position du prof, mais ce qui est le plus important, au fil du temps, cette configuration d’angle va se transformer par ex : si prof se déplace vers étudiant, il transforme la configuration optique dans laquelle il se trouve, et chaque étudiant va se trouver par rapport au prof d’une façon différente par rapport à avant, et en fonction de comment ça se transforme dans le temps ça va m’indiquer combien de temps j’ai encore pour réguler un certain nbr d’actions Par exemple si prof nous lance une balle , chaque seconde la balle a une configuration optique sur notre rétine qui est différente pcq qd objet se rapproche il occupe un angle de plus en plus important, et si on ne fait rien, balle arrive sur notre œil et va recouvrir l’ensemble de notre champ vi suel Ce que dit Gibson, la façon dont les configurations optiques se transforment au cours du temps informe la personne notamment sur le temps qui lui reste pour fermer la main et attraper l’objet qui lui est lancé . Il va expliquer bcp de nos comportemen ts moteurs sur la base de l’évolution de l’information optique au cours du temps et il va ensuite coupler cette prise en compte/ ce prélèvement de l’information optique avec ce qui est fait sur le plan moteur en excluant les rpz mentales de cette circulati on d’informations. - A chaque point d’observation correspond un agencement structuré particulier du patron de lumière -> c’est ce qu’on appelle l’angle optique = ensemble d’angles sous - tendus par les surfaces par rapport au point d’observation = La config uration optique Donc si qqun bouge un petit peu et l’angle qu’il occupe sur ma rétine va se transformer - La stimulation e st non ambiguë -> donc pas besoin de rpz (perception ambiguë -> besoin de structure d’interprétation) Ex : situation des configurations équivalentes : des objets de tailles différentes situés à des distances différentes peuvent sous -tendre un même angle ➔ Le pb des configurations ?

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