Partiel de Merde PDF

Partiel de merde Chapitre 1 1.L’économie a. Les objets en économie économie politique politique économique science économique objets économiques - marchandises : tout objet économique appropriable → droit privé - biens et services : consituants de la richesse - ressourc...

Partiel de merde Chapitre 1 1.L’économie a. Les objets en économie économie politique politique économique science économique objets économiques - marchandises : tout objet économique appropriable → droit privé - biens et services : consituants de la richesse - ressources naturelles : fournissent matière et énergie - monnaies : utilité - forces de travail : production - titres : série de flux furturs de trésorerie - informations : actes écnomiques b. activités économiques échange de biens et de services entre individu répond à 3 questions et repose sur 5 agents économiques Que produire ? Comment produire ? Pourquoi produire ? Ménages, Entreprises, Institutions financières, Administrations, Reste du monde c. interprétations de l’économie économie comme science des richesses avec l’école classique : Adam Smith - enrichissement but fondamental de l’individu et société - origine de la richesse : progrès de la division du travail, accumulation du capital, commerce entre les nations Economie science de l’échange marchand et des prix : ecole néo-classique - un bien ou service n’a pas de valeur  - n’a de la valeur ss’il a une utilité - la valeur apparait que dans l’échange, un bien n’a d’utilité que s’il satisfait un besoin, l’économie devient la science des prix Pensée socialiste ou économie inscrite dans une histoire des rapports de production : Marx - science qui étudie les relations sociales de prodcutions - valeur-travail → valeur tire en fonction de la quantité de travail nécesssaire pour obtenir un bien 2.Faire des choix dans un monde à ressources limitées a. Besoins illimités un besoin est un sentiment de manque que l’on cherche à satisfaire. Les besoins absolus sont ressentis indépendamment de la situation des individus tandis que les besoins secondaires sont plus relatifs et sociaux sont éprouvés au contact des gens. Pyramide des besoins de A.Maslow notion d’utilité : satisfaction qu’un agent économique retire de la consommation d’un bien - goût subjectifs des individus - contexte - varie selon quantitté consommée b. Ressources sont limitées ressource = moyens matéirels ou immatériels qui permettent de satisfaire les besoins des agents économiques notion de bien économique : un bien peut être objet matiériel ou immatérie ; est dit économique s’il réond au 3 caract : - utilité ou aptitpide à satisfaire un besoin - disponibilité - rareté bien libre : disponible en abondance comme l’air bien privés et collectifs : - privés : satisfaction individuel - satisfaction collective → hôpital, université  3. économie une science ? a. démarche scientifique se caractérise oar le développement de modèles théoriques, représentations simplifiées de la réalité b. économie pour quoi faire ? microéconomie et macroéconomie - micro : théorie économique → étude des comportements ; au niveau indiv - macro : l’ensemble des agents économiques sur zones J. Keynes : origine de macro Chapitre 2 1. analyse libérale, quels fondements ? a. origine de la pensée libérale au 19è s regoupe des écoles de pensée qui considèrent que les comportements des agents économiques s’autorégulent et que l’intervention publique doit être limitée. mercantilisme : - enrichissement - état acteur incontournables physiocrate : - importantance de nature - bonheur → champs naissance de la pensée libérale : l’école classique Marx leurs analysent portent essentiellement sur l’origine de la richesse et des conditions de la croissance économique - A. Smith et la main invisible - A. Smith et la division du travail - D. Ricardo et la loi des rendements croissants b. néoclassiques et la révolution marginalist principes de la révolution marginaliste : économistes du Néoclassiques abandonne la théorie portée sur la valeur de travail mais vise l’utilité notion de rareté = valeur d’un bien repose sur sa rareté 2. Analyse Keynésienne a. révolution kéynésienne Demande effective :  - demande flobale - demande anticipée Analyse très macro : demande globale = production et l’emploi Relancer la croissance économique implique l’augmentation des revenus qui implique la croissance de la consommation et de l’investissement Monnaie devient un bien plus important 3 motifs de détentions : - transaction - précaution - spéculation b. conséquences et prolements de la révolution keynésienne aspect pratique prône une politique de relande début des années 1930 ce qui implique une croissance de la demande des ménages : politique du New Deal et des grands travaux 3. Approches contemporaines NEC : keynésiens remis en cause en 70 due à l’inflatione t au chômage crise 29 → déflation, déflation politique keynésienne est une échec pour relancer l’activité économique NEK : analyse micro à la macro de Keynes agents sont rationnels : maximisent leur utilité dans un contexte économique CHAPITRE 3 1. FONCTIONNEMENT DU MARCHE Analyse classique laisser le marché fonctionner librement hypotheses de la concurrence pure et parfaite - atomicité - homogénéité - liberté d’entrée et sortie - transparence - libre circulation des facteurs de production → modèle, situation idéale équilibre du marché : - offres et demandes s’ajustent - maximisation de satisfaction - optimum de pareto marché est une construction sociale : - importance des droits de propriété  - rôle primordial de la BCE - lois réglementant monopoles 2. LIMITES ET DEFAILLANCES DU MARCHE oligopole est un secteur composé d’un petit nombre de producteurs assurant l’offre globale sur le marché institut une situation inédite théorie des jeux consiste à analyser les choix des différents joueurs en fonction des gains qu’ils peuvent obtenir et qui dépendent eux-mêmes des décisions des autres joueurs → gains des différents joueurs dépendent de chaque combinaison possible de décisions et sont habituellement présenté sous la forme d’une matrice de gains 3 situations de défaillances - présence de monopoles naturels - d’extérnalité - biens collectifs CHAPITRE 4 1. LA CONSOMMATION DES MENAGES : MESURES ET EVOLUTION La dépense de la consommation finale des ménages recouve les déoenses effectivement consacrées par les ménages à l’acquisition de biens et de services individuels utilisés pour la satisfaction directe de leurs beoins. Ces dépenses sont supportées financièrement par les mécnages. → 60% PIB La consommation effective des ménages : tous les biens et les services acquis par les ménages pour la satisfaction de leurs besoins. La consommation finale effective : leur dépense de CF + valeur des services individuels dont ils ont bénéficié mais qu’ils n’ont pas payés tels quel services de santé, éducation… dépense de consommation = l’enseble des biens et services pour satisfaire des beoins dépenses d’alimentation = une partie des dépenses de conso élasticité - prix : mesurer si la demande d’un bien est sensible aux variations des prix fonction de consommation keynésienne → fonction affine + linéaire : véirfie la loi psychologique fondamentale “ homme a tend à augmenter leur conso quand leur revenu augmente mais pas d’une quantité aussi grande que l’accroissement du revenu fonction de consommation : 2. L’EPARGNE CARACTERITIQUES ET EVOLUTIONS épragne = partie non consommée du revenu disponible → permet de consommer plus tard ou payer les dépenses imprévues évolution le taux d’épargne : 4 phases - jusqu’en 1978 : hausse tendancielle du taux d’épargne des ménages - forte baisse du taux d’épargne des ménages se produit entre 1978 et 87 → affecte aussi la composante financière de l’épargne des ménages - Le taux d’épargne remonte après 87 et se situe en 2005 on assiste en même temps à la remontée du taux d’épargne financière des ménages qui s’établit en 2005. - Avec la crise du covid, le taux d’épargne des français a augmenté pour atteindre les 21% en 2020. Comment expliquer l’évolution du taux d’épargne : crise économique et son impact sur le taux de chômage crise économique et son imact sur la progression des revenus baisse structurelle du taux d’épargne des ménages facteurs sociologiques facteurs sanitaires Théorie du cyle de vie de F. Mogliani phases : - Jeunesse : consommation supérieure au revenu et patrimoine négatif - activités : revenus supérieurs à la consommation car les agents épargenent et consitutent leur patrimoine - retraite : revenus baisse mais agents utilisent le patrimoine → pas toujours vraie à cause l’inflation, les retraites continuent d’épargner donc en docntion du temps et du contexte CHAPITRE 6 : LA MONNAIE ET LA VARIATION DES PRIX 1. QUI CREE LA MONNAIE ? fonction de la monnaie : - payer : facilite l’achat des biens et services - compter : mesurer ou comparer la valeur d’un bien ou services - stocker : pour être utilisé dans le futur 2 formes : - fiduciaire : pièces et billets - scripturale : compte bancaire, virement, chèque les deux forment communiquent entre elles BC fabrique les billets monnaie est garantie car la banque a engagement que l’argent dépose sur le compte reste dispo même en cas de faillite de la banque a toujours la même valuer car la BCE veille que la valeur de la monnaie fluctue correctement → chacun garde confiance en elle et continue d’utiliser la monnaie monnaie locale : - grande diversité de nature et de fonctionnement - finance porteuse de sens - territoire au cour des projets banques : principaux agents de créations monétaire et le crédit banque n’a pas beoin d’avoir de l’argent sur son compte pour prêter rôle de la banque : - collecter l’argent que le client dépose : dépôt - prêter / traiter les découvertes elle s’assure de l’équilibre comptable pour éviter les faillite : - avoir des fonds propres - liquidité suffisante - prudence dans les prêts rôle de la BCE : - rôle primordial dans la création monétaire - opérations de conversions de devises - monétisations de créances mesurer la quantité de monnaie en circulation : 3 agrégats monétaire : - m1 : monnaie au sens strict → utilisé par les agents ex les billets - m1 + engagement susceptibles de se transformer ex les titres - m3 : utilisé par la BCE dans les politiques : m2 + actifs émis à court terme politique monétaire = instrument essentiel des politiques économiques elle repose sur l’utilisation d’outils de la BCE afin de contrôler la quantit de monnaie en circulation théorie quantitative de ka monnaie : lien entre quantité de monnaie en circulation et le niveau des prix cette théorie est un stimulation monétaire : il n’y a pas d’effets bénéfiques durable sur l’économie seulement l’inflation TQM : hausse de la quantité de monnaie implique l’inflation objectif de Eurosystème = maintenir la stabilité des prix et pour cela il existe 2 pilliers : - analyse économique : - évaluer les facteurs → évolution des prix grâce à l’accentuation sur lactivité réelle et condition finanicères dans l’économiq e - analyse évolutiond e la production globale, demande et situation sur le marché de : - travail - politique budgétaire - balance des paiements - rendemends financiers - analyse monétaire  - axée sur le long terme le taux directeur de la BCE : si le taux directeur diminue, il y a une augmentation des taux d’intérêt ce qui implqiue une augmentation de la demande ce qui implique la huasse des prix au contraire, si il y a un augmentation du taux directeur, il y a augmentation du taux d’intérêt et une diminution de la demande qui mène à la diminution de l’inflation 2. MONNAIE ET PRIX, QUELS LIENS ? déséquilibre de marché varie en fonction des prix - inflation = augmentation générale et durable des prix - déflation : mouvement inverse de inflation = baisse des prix - désinflation : ralentissement du rythme de l’augmentation des prix variation es prix varie en fonction de la demande l’inflation est la hausse des coûts de production - augmentation des couts de producteurs: conséquences sur les prix pour conserver une margé bénéficiaire - augmentation des couts salariaux : impact inflation CHAPITRE 7 : LA CROISSANCE ET LES FLUCTUATIONS ECONOMIQES 1. LA CROISSANCE ET LES CYCLES ECONOMIQUES