PSYC3500: Motivation et émotion (PDF)

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Ce document est un plan de cours pour un cours intitulé "PSYC3500: Motivation et émotion". Il détaille la séquence des cours et les topics traités, ainsi que les principaux concepts de la perspective biologique dans la motivation et l'émotion.

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PSYC3500: Motivation et émotion Perspective biologique Semaine Dates Sujet Lectures 1 3 septembre Introduction Perspectives biologiques de...

PSYC3500: Motivation et émotion Perspective biologique Semaine Dates Sujet Lectures 1 3 septembre Introduction Perspectives biologiques de la motivation et de 2 10 septembre Chapitre 3 l’émotion 3 17 septembre La motivation extrinsèque et intrinsèque Chapitre 5 Chapitre 4 (p. 90-98), Chapitre 5 (p. 128-129), 4 24 septembre Les besoins Chapitre 6, Chapitre 7 (p. 200-225) 5 1 octobre La motivation au quotidien Chapitre 8, Chapitre 10 (p. 290-292, p.305-318) Motivation de croissance et psychologie positive 6 8 octobre Chapitre 15 Remise du premier résumé 7 15 octobre Pas de cours Toute la matière vue entre le 3 septembre et 8 8 22 octobre Examen 1 octobre inclusivement 9 28 octobre – 1 novembre Pas de cours : Journées d’étude de mi- session 10 5 novembre La nature des émotions Chapitre 12 11 12 novembre Perspectives cognitives et sociales des émotions Chapitre 13 12 19 novembre Les émotions individuelles Chapitre 14 Comment les émotions sont exprimées et étudiées 13 26 novembre en recherche Intégration et applications de la psychologie de la 14 3 décembre motivation et des émotions Chapitre 17 Remise du deuxième résumé Toute la matière vue ce semestre (concentration 15 11-21 décembre Examen final sur la matière du 5 novembre – 3 décembre) Motivation, émotion et neurosciences Plan du cours Bases neurophysiologiques de la motivation et des émotions Structures cérébrales individuelles impliquées Les hormones Vidéo Dr. Barrett Neurosciences Neuroscience = l’étude scientifique du système nerveux Aujourd’hui = le cerveau humain en action Processus cognitifs Processus motivationnels Processus émotionnels Le rôle du cerveau motivé et émotionnel Deux principes généraux 1. Les évènements quotidiens peuvent activer ces structures cérébrales et agents biochimiques 2. Des structures cérébrales spécifiques sont associées à des états motivationnels spécifiques Les principales techniques L’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) L’électroencéphalographie (EEG) La tomodensitométrie (TDM) La tomographie par émission de positons (TEP) L’imagerie par résonance magnétique (IRM) Théorie de double processus Les forces bidirectionnelles entre les motivations basiques et le contrôle cognitif de ces motivations et émotions basiques s’intègrent dans un modèle à double processus Aide à comprendre le développement humain Les neurotransmetteurs La dopamine Récompense Sérotonine Émotions et humeurs Adrénaline Excitation et vigilance Endorphine Inhibition de la douleur Cerveau sous-cortical Cerveau cortical Formation réticulée Cortex préfrontal Amygdale Cortex orbitofrontal Ganglions de la base Cortex préfrontal ventromédian Striatum ventral et noyau accumbens Cortex préfrontal dorsolatéral Aire tegmentale ventrale Cortex cingulaire antérieur Hypothalamus Cortex insulaire Amygdale L’amygdale et la réactivité émotionnelle Le syndrome Kluver-Bucy ex. lésion chirurgicale de l’amygdale chez des singes. L’amygdale et la réactivité émotionnelle Le cas de S.M. et de la maladie de Urbach-Wiethe L’amygdale et la réactivité émotionnelle Le cas de S.M. et de la maladie de Urbach-Wiethe Formation réticulée Ganglions de base Substancia nigra globus pallidus noyau caudé putamen Le striatum ventrale - Noyau caudé - Putamen - Noyau accubens Noyau accubens (NA) Aire tegmentale ventrale (ATV) Hypothalamus Insula (Cortex insulaire) Cerveau Cortical Cortex préfrontal Cortex orbitofrontal Cortex préfrontal ventromédian Cortex dorsolatéral préfrontal Cortex cingulaire antérieur Les hormones Le cortisol Stress, évaluation sociale La testostérone Compétition, recherche de partenaires sexuels L’ocytocine Attachement, amour, engagement social Activité cérébrale Système dopaminergique Action motivée Aire tegmentale ventrale Structures cérébrales sous-corticales Produit et libère la dopamine Ganglions de la base Amygdale pour envoyer les informations Préparation à l’action. Le Récompense vs menace? liées à la récompense à propos noyau caudé, le putamen, la Hypothalamus de l’objet environnemental. substantia nigra et le globus Récompense physiologique Stratum ventral et noyau pallidus se projettent dans Insula accumbens les aires motrices pour Sentiments Réagit aux signaux gratifiants donner une couleur de dopamine en terme de motivationnelle et Structures cérébrales corticales plaisir et d’appréciation. Cortex préfrontal émotionnelle à l’action. Émotions positives et approches; émotions négatives et évitement. Cortex orbitofrontal Formule préférence entre objets Cortex préfrontal ventromédian Évalue valeur hédoniste, contrôle émotionnel Système d’activation comportemental Cortex dorsolatéral préfrontal (approche) vs système d’inhibition Évalue valeur selon connaissances, contrôle comportemental (évitement) de l’impulsivité Cortex cingulaire antérieur Contrôle cognitif sur la prise de décision Dr. Lisa Feldman Barrett https://www.ted.com/talks/lisa_feldman_barrett_you_aren_t_at_the_mercy_of_your_emotion s_your_brain_creates_them?language=en La motivation intrinsèque et extrinsèque PSYC3500 – Motivation et émotion Semaine Dates Sujet Lectures 1 3 septembre Introduction Perspectives biologiques de la motivation et de 2 10 septembre Chapitre 3 l’émotion 3 17 septembre La motivation extrinsèque et intrinsèque Chapitre 5 Chapitre 4 (p. 90-98), Chapitre 5 (p. 128-129), 4 24 septembre Les besoins Chapitre 6, Chapitre 7 (p. 200-225) 5 1 octobre La motivation au quotidien Chapitre 8, Chapitre 10 (p. 290-292, p.305-318) Motivation de croissance et psychologie positive 6 8 octobre Chapitre 15 Remise du premier résumé 7 15 octobre Pas de cours Toute la matière vue entre le 3 septembre et 8 8 22 octobre Examen 1 octobre inclusivement 9 28 octobre – 1 novembre Pas de cours : Journées d’étude de mi- session 10 5 novembre La nature des émotions Chapitre 12 11 12 novembre Perspectives cognitives et sociales des émotions Chapitre 13 12 19 novembre Les émotions individuelles Chapitre 14 Comment les émotions sont exprimées et étudiées 13 26 novembre en recherche Intégration et applications de la psychologie de la 14 3 décembre motivation et des émotions Chapitre 17 Remise du deuxième résumé Toute la matière vue ce semestre (concentration 15 11-21 décembre Examen final sur la matière du 5 novembre – 3 décembre) Définitions des concepts importants Plan du cours Motivation extrinsèque Récompenses et punitions Motivation intrinsèque vs extrinsèque Théorie de l’évaluation cognitive et autodétermination Continuum de l’autodétermination et types de motivations Définitions Motivation intrinsèque Propension inhérente à rechercher la nouveauté et les défis, à élargir et exercer ses capacités, à explorer et à apprendre. Motivation liée à la satisfaction des besoins psychologiques (à voir au prochain cours) Tout ce qu’on fait avec comme but d’avoir du plaisir Motivation extrinsèque Motivation basée sur l’obtention ou l’évitement de conséquences Motivation externe/environnementale pour faire le comportement Tout ce qu’on fait parce qu’on a pas le choix (manger, boire de l’eau, etc.) Motivation extrinsèque Motivation extrinsèque Motivation basée sur l’obtention ou l’évitement de conséquences externes, différentes que l’activité elle- même (argent, bonbons, attention, reconnaissance, etc.) « Faites ceci, vous aurez cela » Incitations, récompenses et punition La motivation extrinsèque doit être comprise dans un cadre conceptuel de conditionnement opérant S : R -> C Apprendre à fonctionner dans l’environnement c’est apprendre à : Agir de façon à obtenir des bonnes choses Agir de façon à éviter des mauvaises choses Ces actions sont toujours contextualisées La situation agit comme un ancre qui détermine (au moins en partie) le type de comportement adopté Les conséquences dictent le conditionnement Si un comportement a des conséquences positives, il est probable qu’il soit répété Si un comportement a des conséquences négatives, il est probable qu’il soit évité Incitations, conséquences et récompenses Incitations Un élément de la situation qui attire ou repousse une personne L’incitation précède toujours le comportement L’incitation crée une attente envers les conséquences (+ ou -) d’un comportement L’origine de la valeur incitative attribuée à un objet est un apprentissage Dans le passé, la réponse R dans une situation S a mené à la conséquence C J’ai maintenant l’attente que la réponse comportementale R dans une situation S mène à la conséquence C La situation S a donc une valeur incitative qui dirige le comportement vers C S : R -> C Incitations, conséquences et récompenses Conséquences Quelque chose qui suit le comportement Encourage ou décourage la reproduction du comportement dans le futur Conséquences Renforçateurs Punisseurs Renforcement positif Renforcement négatif Punition positive Punition négative Récompenses Incitations, conséquences et récompenses Les renforçateurs N’importe quoi qui augmente la probabilité qu’un comportement se répète est un renforçateur Sauf que dans cette perspective il n’est pas possible de savoir à l’avance ce qui renforce le comportement (circularité). Quelques perspectives théoriques – Les renforçateurs peuvent : Diminuer la pulsion Diminuer l’excitation négative (p. ex., diminution du stress) Augmenter l’excitation positive (p. ex. stimulation de l’intérêt) Être valorisés (attrayants) Apporter un sentiment de plaisir Permettre un comportement habituel/fréquent/désiré Incitations, conséquences et récompenses Gérer le comportement en proposant des renforçateurs Hall et al. 1972 : N=1 5 observations par jours, temps aléatoire Taux de base 1 : 25% des observations Renforcement verbal : 36% du temps Promesse d’argent à la fin du mois : 60% Argent au moment de l’observation : 97% Taux de base 2 : 64% Argent au moment de l’observation : 100% Incitations, conséquences et récompenses Que conclure de l’étude de l’étude de Hall et al.? (et de la documentation scientifique plus largement) L’efficacité d’un renforcement positif dépend de : Sa qualité Son caractère immédiat L’ajustement personne/renforcement Le besoin du bénéficiaire de cette récompense particulière Son intensité La valeur perçue du renforcement par le bénéficiaire Incitations, conséquences et récompenses Les conséquences : Renforcements positifs, renforcements négatifs, punitions Le renforcement positif Augmente la probabilité future du comportement Récompense Objet offert en échange d’une performance La récompense est seulement renforçatrice si elle augmente effectivement la probabilité du comportement Efficacité des récompenses Le système dopaminergique s’active lorsque une (ou plus) des conditions mentionnées précédemment est présente Gain personnel imminent et inattendu (ou incertain) Oriente le comportement et l’attention Incitations, conséquences et récompenses Les conséquences : Renforcements positifs, renforcements négatifs, punitions Le renforcement négatif : Augmente la probabilité future du comportement On retire un élément négatif (p. ex. irritant, douloureux) de l’environnement Efficacité : Favorisent la fuite (en réaction) et l’évitement (en prévoyance) du stimulus Rôle plus complexe de la dopamine Incitations, conséquences et récompenses Les conséquences : Renforcements positifs, renforcements négatifs, punitions Les punitions Diminuent la probabilité du comportement indésirable Punitions dissuasives (« Positives » : elles ajoutent quelque chose de négatif) Punitions du type « coûts liés à la réponse » (« Négatives » elles retirent quelque chose de positif) Efficacité des punitions Les punitions sévères et physiques sont inefficaces, ont des effets secondaires « Mieux vaut prévenir que guérir » Incitations, conséquences et récompenses Les effets secondaires de la punition Émotivité négative Affaiblissement de la relation Modelage négatif de la réaction à avoir face à un comportement indésirable Alternatives aux punitions Convaincre la personne du comportement à adopter Renforcement différentiel Ignorer le comportement non désiré Récompenser un comportement alternatif désiré Coaching Accompagnement de l’enfant pour qu’il puisse mieux s’adapter À travers l’éducation, le tutorat Modeling Apprentissage par observation (invitation à imiter le bon comportement sur une autre personne (ex: un instructeur). Motivation intrinsèque Les coûts cachés de la récompenses Différence entre motivation extrinsèque et motivation intrinsèque Extrinsèque Pour obtenir quelque chose de l’environnement; calculatif Intrinsèque Pour le plaisir de faire la chose; satisfaction des besoins psychologiques (autonomie, compétence, affiliation) Les avantages de la motivation intrinsèque : L’engagement La créativité Apprentissage de qualité Fonctionnement optimal et bien-être Les coûts cachés de la récompenses Deux types de leviers pour susciter la motivation Extrinsèque (récompense) Intrinsèque (satisfaction d’un besoin psychologique) Les récompenses extrinsèques permettent d’obtenir la conformité, de gérer le comportement. Mais : Diminuent la motivation intrinsèque (lorsqu’attendues, lorsque matérielles; si la tâche est intéressante) (Coût d’opportunité des avantages de la motivation intrinsèques) Interfèrent avec la qualité et le processus de l’apprentissage Interfèrent avec la capacité d’autorégulation autonome Théorie de l’évaluation cognitive et autodétermination La théorie de l’évaluation cognitive Les récompenses extrinsèques sont utilisées : Lorsqu’une personne tente d’influencer ou de contrôler le comportement d’une autre Pour offrir de l’information sur la performance Suppositions de la théorie de l’évaluation cognitive: Tous les évènements externes ont à la fois un aspect de contrôle et un aspect informatif – Impacts sur le besoin d’autonomie et le besoin de compétence Propositions de la théorie de l’évaluation cognitive Les évènements qui favorisent le locus de contrôle interne favorise la motivation intrinsèque Les évènements qui augmentent la compétence perçue favorisent la motivation intrinsèque La saillance relative de l’aspect contrôlant ou de l’aspect informatif détermine les niveaux de motivation intrinsèque et extrinsèque Les tâches doivent avoir un certain intérêt à la base pour que cette théorie s’applique (ne s’applique pas à l’amotivation) Types de motivation extrinsèque : la théorie de l’autodétermination Les raisons qui expliquent notre participation à des activités inintéressantes ont une influence sur notre performance. La participation évaluée comme étant plus autodéterminée est associée : À l’investissement d’efforts À la performance À l’apprentissage Au fonctionnement positif Types de motivation extrinsèque : la théorie de l’autodétermination Amotivation Perception faible d’auto-efficacité, d’énergie, d’intérêt Motivation extrinsèque Régulation externe Obtenir une récompense externe / éviter une punition externe Régulation introjectée Obtenir une récompense interne (p. ex. fierté) / éviter une punition interne (p. ex. la honte) Régulation identifiée Sentiment de faire quelque chose d’important pour permettre l’atteinte d’un objectif ultérieur Régulation intégrée Sentiment d’exprimer son identité, ses valeurs Motivation intrinsèque La théorie de l’autodétermination Motiver les autres dans les activités inintéressantes Les récompenses attendues et matérielles peuvent réduire la motivation intrinsèque Si on veut favoriser la motivation extrinsèque autodéterminée : Discuter de logiques explicatives Viser au moins la régulation identifiée Discuter de stratégies qui augmentent l’intérêt Se fixer des objectifs La ludification Ajouter une source de stimulation à la tâche Besoins psychologiques La ludification (« gamification ») L’intégration d’éléments de jeux dans un système interactif qui n’a pas comme objectif final d’être un jeu Compétence Rétroaction positive (points, badges, niveaux, tableau de classement) Défis optimaux (mécanique du jeu, difficulté ascendante) Affiliation Groupes de discussion Intégration aux réseaux sociaux Autonomie Profils Avatars Plusieurs compagnie offrent maintenant des outils psychométriques qui ont été ludifiés Ex: https://play.google.com/store/apps/details?id=com.shikudo.focus.google&hl=fr_CA&gl=US Les besoins physiologiques, psychologiques et les motifs implicites PSYC3500 – Motivation et émotion Semaine Dates Sujet Lectures 1 3 septembre Introduction Perspectives biologiques de la motivation et de 2 10 septembre Chapitre 3 l’émotion 3 17 septembre La motivation extrinsèque et intrinsèque Chapitre 5 Chapitre 4 (p. 90-98), Chapitre 5 (p. 128-129), 4 24 septembre Les besoins Chapitre 6, Chapitre 7 (p. 200-225) 5 1 octobre La motivation au quotidien Chapitre 8, Chapitre 10 (p. 290-292, p.305-318) Motivation de croissance et psychologie positive 6 8 octobre Chapitre 15 Remise du premier résumé 7 15 octobre Pas de cours Toute la matière vue entre le 3 septembre et 8 8 22 octobre Examen 1 octobre inclusivement 9 28 octobre – 1 novembre Pas de cours : Journées d’étude de mi- session 10 5 novembre La nature des émotions Chapitre 12 11 12 novembre Perspectives cognitives et sociales des émotions Chapitre 13 12 19 novembre Les émotions individuelles Chapitre 14 Comment les émotions sont exprimées et étudiées 13 26 novembre en recherche Intégration et applications de la psychologie de la 14 3 décembre motivation et des émotions Chapitre 17 Remise du deuxième résumé Toute la matière vue ce semestre (concentration 15 11-21 décembre Examen final sur la matière du 5 novembre – 3 décembre) Les besoins physiologiques La théorie motivationnelle de la Plan du cours réduction des besoins et l’homéostasie Les besoins psychologiques L’autonomie, la compétence et l’affiliation Les motifs implicites La réussite, l’affiliation, le pouvoir C’est quoi un besoin? Condition essentielle et nécessaire à la croissance, au bien-être et à la vie. Besoin physiologique: condition biologique, implique des structures cérébrales, hormones, etc. Besoin psychologique: processus psychologique inné, promouvoie le développement personnel et social. Besoin implicite: processus psychologique inconscient, acquis par la socialisation. Les débuts de la théorie des besoins Les besoins physiologiques Les besoins physiologiques Besoin: Condition essentielle et nécessaire à la croissance, au bien-être et à la vie. Besoin physiologique: condition biologique, implique des structures cérébrales, hormones, etc. Les entrées et sorties multiples Théorie motivationnelle de la réduction des besoins Homéostasie et rétroaction négative Homéostasie: tendance de l’organisme à maintenir un état stable, malgré les changements de l’environnement Rétroaction négative: système d’arrêt physiologique et homéostatique qui inhibe le comportement motivé par une pulsion lorsque le besoin est satisfait Le mécanisme homéostatique et les besoins Le mécanisme homéostatique et les besoins État interne actuel Des mécanismes neuronaux, hormonaux et physiologiques Sorties multiples Sorties multiples intra-organismiques surveillent comportements ayant comportements ayant pour but d’augmenter et régulent le statut pour but de diminuer l’état interne vers homéostatique d’états internes l’état interne de retour à l’homéostasie en constant changement l’homéostasie Si les conditions Si les conditions internes sont trop internes sont trop faibles élevées La rétroaction négative signale la satiété. Les mécanismes cognitifs, environnementaux, Les besoins Rétroaction négative sociaux et culturels extra-organismiques physiologiques activent indiquant la satiété les pulsions Augmente les pulsions Diminue les pulsions Les besoins psychologiques Les besoins psychologiques Besoin: condition essentielle et nécessaire à la croissance, au bien-être et à la vie. Besoin psychologique: processus psychologique inné, promouvoie le développement personnel et social. Ex: besoin d’autonomie, besoin de compétence, besoin d’affiliation La satisfaction des besoins psychologiques est sous-jacente à l’intérêt et au plaisir -> motivation intrinsèque Suivent une approche organismique (et non mécanistique) Dialectique personne-environnement L’environnement peut être soutenant ou frustrant pour la personne Soutenant: aide à combler les besoins psychologiques Frustrant: encombre la réalisation des besoins psychologiques Les changements de la dialectique personne-environnement peuvent augmenter ou diminuer l’harmonie entre la personne et son environnement Bénéfices de l’harmonie Le besoin d’autonomie (auto-détermination) Définition: Le besoin de vivre l’expérience du choix dans l’initiation et la régulation du comportement (plutôt que de voir ses actions déterminées par les conditions de l’environnement) L’autonomie vu comme un trait versus un état Trait Caractéristique durable de la personnalité Tendance générale à percevoir que nous sommes en contrôle de nos actions État Caractéristique changeante et temporaire Perception ponctuelle d’auto-détermination Trois qualités subjectives liées au sentiment d’autonomie Promouvoir et soutenir l’autonomie Moyen le plus utilisé pour soutenir le besoin d’autonomie d’une personne: lui donner le choix! Pas tous les choix qui donnent le même sentiment d’autonomie: Choix exclusifs Soit X ou soit Y La personne est contrainte à choisir une option Avoir trop de choix Paralysie des options Démotivation Façons de soutenir Comportements soutenant Comportements contrôlants l’autonomie l’autonomie Nourrir les ressources Encourager l’initiative des autres en discutant Outrepasser les ressources motivationnelles internes de leurs préférences, intérêts et compétences motivationnelles internes Fournir des logiques explicatives Communiquer la valeur, le sens, l’utilité ou Donner des ordres l’importance du comportement Écoute empathique, langage Écoute empathique des raisons qui causent les Motiver par les émotions négatives informationnel difficultés – utilisation d’un langage flexible et (culpabilité, honte, anxiété) – informatif acceptation conditionnelle Faire preuve de patience Donner l’espace et le temps nécessaire à Perdre son calme l’exploration de nouvelles façons de se comporter, de planifier Accepter et reconnaître les affects Écouter les expressions d’affect négatif et de Exprimer que l’expression d’affect négatifs résistance, les accepter comme étant des négatif est inacceptable réactions valides Le besoin de compétence Définition: besoin psychologique d’être efficace dans ses interactions avec l’environnement et reflète le désir de mettre en œuvre et développer ses capacités et aptitudes afin de rechercher et de maîtriser des défis optimaux et appropriés au niveau développemental. Ø La compétence vue comme un trait versus un état Trait : Tendance générale à percevoir que nous sommes compétents État: Perception ponctuelle de compétence ØLa perception de défi dépend de la rétroaction reçue La rétroaction peut être interne ou externe Peut provenir de quatre différentes sources La compétence et l’expérience optimale À la base du plaisir lié aux activités plaisante est l’expérience du Flow ou de l’expérience optimale Origines Équilibre entre la difficulté de la tâche et les aptitudes Objectifs clairs (ainsi que comment les atteindre) Rétroaction continue, non-ambigüe et objective Sentiments subjectifs Concentration Transformation du temps Plaisir (jouissance) Sentiment de contrôle Fusion action-conscience -> perte de la conscience de soi La tolérance à l’échec Lié à la recherche de défi optimal et au besoin de compétence est la tolérance à l’échec. Environnement tolérant versus non-tolérant L’affiliation Définition : Le besoin d’établir des liens affectifs étroits et des attaches avec d’autres personnes Reflète le désir d’être affectivement connecté et impliqué dans des relations chaleureuses Version trait : tendance à percevoir des liens interpersonnels forts Les types d’attachement Version état : Sentiment d’intimité, de connexion L’interaction : Possibilité de chaleur, de sollicitude, d’intérêt mutuel Des situations avec des impacts positifs : Parler de quelque chose de significatif Se sentir compris et apprécié L’affiliation Satisfaire le besoin d’affiliation : Soucie de l’autre (compassion, sympathie) Affection (valorisation) Authenticité (acceptation) Les relations communautaires vs les relation d’échange Communautaires Mutuelle prise en compte des besoins de l’autre Sentiment d’obligation de favoriser le bien-être de l’autre Vérification des besoins de l’autre Échange « Qu’est-ce que j’obtiens en échange? » La satisfaction des besoins psychologiques Autonomie Nourrir les ressources motivationnelles internes, écoute empathique, logiques explicatives, patience, acception des affects négatifs Compétence Défis optimaux, instructions claires, encadrement positif, feedback informatif, tolérance à l’échec Affiliation Souci de l’autre, affection, authenticité Motivation intrinsèque Engagement Bien-être Vitalité Les motifs implicites Sont des besoins durables, psychologiques et non conscients Les mesures auto-rapportées ne sont pas possibles (on utilise des tests projectifs) L’essence de ces besoins est de vivre (ou d’éviter) certaines émotions dans certains contextes Ces besoins représentent la part de notre personnalité qui est acquise On intègre les réactions affectives des gens qui nous entouraient lorsque l’on était enfant On intègre les normes de notre milieu (culturel, professionnel, etc) Les situations similaires portent ensuite un potentiel émotionnel La force des motifs implicites varie entre les individus Les motifs implicites Pouvoir Impact, contrôle, influence Statut, domination Position de leadership, alcool, agressivité, prestige La réussite Bien accomplir une tâche pour montrer la compétence personnelle Intégration d’une norme d’excellence La compétition : rôle de l’orientation de réussite ou d’évitement de l’échec L’affiliation Obtenir l’approbation des autres vs le besoin d’intimité Insécurité, peur du rejet Évitement des conflits, compétitions, etc. Les quasi-besoins Sont des désirs éphémères Créent une énergie tendue qui oriente le comportement vers un objet qui réduirait la tension Ressentis comme des besoins, mais pas nécessaires à la survie, croissance, bien- être Émergent d’une déficience contextualisée, située Besoin d’argent au magasin Besoin d’un pansement sur une blessure Besoin d’un parapluie dans la pluie La motivation au quotidien Partie 1: les buts Semaine Dates Sujet Lectures 1 3 septembre Introduction Perspectives biologiques de la motivation et de 2 10 septembre Chapitre 3 l’émotion 3 17 septembre La motivation extrinsèque et intrinsèque Chapitre 5 Chapitre 4 (p. 90-98), Chapitre 5 (p. 128-129), 4 24 septembre Les besoins Chapitre 6, Chapitre 7 (p. 200-225) 5 1 octobre La motivation au quotidien Chapitre 8, Chapitre 10 (p. 290-292, p.305-318) Motivation de croissance et psychologie positive 6 8 octobre Chapitre 15 Remise du premier résumé 7 15 octobre Pas de cours Toute la matière vue entre le 3 septembre et 8 8 22 octobre Examen 1 octobre inclusivement 9 28 octobre – 1 novembre Pas de cours : Journées d’étude de mi- session 10 5 novembre La nature des émotions Chapitre 12 11 12 novembre Perspectives cognitives et sociales des émotions Chapitre 13 12 19 novembre Les émotions individuelles Chapitre 14 Comment les émotions sont exprimées et étudiées 13 26 novembre en recherche Intégration et applications de la psychologie de la 14 3 décembre motivation et des émotions Chapitre 17 Remise du deuxième résumé Toute la matière vue ce semestre (concentration 15 11-21 décembre Examen final sur la matière du 5 novembre – 3 décembre) Partie 1: les buts Les plans d’action Plan du cours Se fixer des buts Les efforts pour les atteindre Partie 2: les croyances Attentes Auto-efficacité Croyances de maîtrise Motivation et cognition Notre cognition a aussi un impact sur notre motivation. En changeant notre façon de penser, nous pouvons changer notre état motivationnel. Les plans d’action Miller, Galanter et Pribam (1960) Les individus disposent de représentations mentales de l’état idéal de leurs comportements, des objets de l’environnement et des événements. Les individus ont aussi conscience de leur état présent. Quand l’état présent est différent de l’état idéal il y a incongruence. L’incongruence est inconfortable, ce qui nous motive à créer un plan d’action pour réduire ou éliminer l’incongruence. Le modèle « TOTE » Motivation corrective La séquence entre plans et actions semble assez simple: 1. Détecter l’incongruence « présent-idéal » 2. Créer un plan d’action 3. Mettre en œuvre le plan d’action 4. Surveiller la rétroaction concernant toute incongruence restante Motivation corrective : processus de prise de décision dans lequel l’individu envisage différentes façons de réduire l’incongruence « présent- idéal » L’écart ÉTAT PRÉSENT ÉTAT IDÉAL ÉTAT PRÉSENT ÉTAT IDÉAL ÉTAT PRÉSENT ÉTAT IDÉAL Fixation de buts But : représentation cognitive centrée sur le futur d’un état final désiré qui guide le comportement Les buts nous motivent en focalisant notre attention sur l’écart entre le présent et l’idéal Écart but-performance Les gens qui ont des buts performent mieux que ceux qui n’en n’ont pas Une personne va mieux performer lorsqu’elle a un but Caractéristiques des buts Difficulté Plus le but est difficile, plus il énergise le comportement Mais attention si le but est trop difficile… Spécificité À quel point le but est clair et précis Les buts spécifiques attirent notre attention sur ce qui doit être fait pour atteindre notre objectif. Concordance avec le soi À quel point le but va être intégré par l’individu Les buts qui concordent avec nos intérêts, nos valeurs, nos préférences, etc. Permet de puiser dans nos ressources personnelles pour maintenir la poursuite du but Fixation des buts Énergise et maintien le comportement Augmentation de l’effort et de la HABILETÉ Difficulté diligence (optimale) Augmentation de la persévérance et de la durée de l’effort PERFORMANCE Concordance AMÉLIORÉE BUT avec le soi Dirige le comportement Augmente l’attention et la concentration Spécificité du Augmente la planification, OPPORTUNITÉ but l’organisation et l’utilisation de stratégies Fixation des buts La rétroaction Documente le progrès vers un but Définit la performance selon des standards (plus haute, équivalente, plus basse) Agit comme une conséquence (renforçatrice ou punitive) Si la rétroaction est positive : satisfaction et création proactive d’un écart Si la rétroaction est négative : insatisfaction et augmentation de l’effort Notez que : Les buts augmentent la performance surtout si les tâches ne sont pas intéressantes Les buts peuvent être en compétition les uns avec les autres Essayer de contrôler par les buts risque de ne pas fonctionner Fixation des buts à long terme Un but à long terme implique la réussite de plusieurs buts à court terme Les buts à long terme impliquent un réseau de buts En terme de performance, un but à long terme fonctionne autant qu’un but à court terme (mieux que ne pas avoir de buts) Pour les tâches qui ne sont Pour les tâches intéressantes, pas intéressantes, le manque les buts à long terme de renforcement et de augmentent la motivation rétroaction limite intrinsèque l’efficacité des buts à long terme sur la persévérance La sélection de buts L’acceptation de buts présentés par autrui : La difficulté du but présenté La participation dans l’établissement du but La crédibilité de la personne qui détermine le but Les incitatifs Les buts autodéterminés Auto-efficacité (habiletés et performance passée) Les valeurs, la personnalité, les intérêts, (les états d’esprit) Incitatifs Le besoin d’efforts pour atteindre un but La visualisation La visualisation de l’obtention du but est une bonne technique de vente Mais pas une technique qui favorise les comportements productifs vers un but La visualisation des efforts nécessaires pour atteindre le but est plus efficace Les intentions de mise en œuvre Après avoir établi le but : Quels efforts ou comportements devront être mis en œuvre et quand Implique l’anticipation des situations où devront être mise en œuvre les efforts Proactivement choisir les options concordantes au but et éviter les alternatives Si - alors Le besoin d’efforts pour atteindre un but Les intentions de mise en œuvre favorisent l’atteinte de buts en nous aidant à: Commencer En dépit des distractions Connaitre les occasion d’entreprendre le comportement Établir une routine, des automatismes Continuer En dépit de difficultés et d’obstacles Connaitre les tentations et distractions à venir Limiter le champ attentionnel Recommencer En dépit des interruptions Transformer un but en actions 1. Identifier l’objectif à atteindre 2. Définir la difficulté du but 3. Clarifier la spécificité du but 4. Déterminer les raisons pour lesquelles on poursuit le but 5. Préciser quand et comment la performance sera mesurée 6. Identifier les stratégies d’accomplissement du but 7. Créer des intentions de mise en œuvre si-alors 8. Le feedback continu Les dangers associés aux buts Le stress Difficulté, surcharge, conflit La tricherie Les objectifs, surtout déclarés publiquement, peuvent entraîner une pression de performance intense Possibilité de diminuer la motivation intrinsèque Buts contrôlants… La possibilité d’échec Sous-performance, affect négatif Le désengagement du but La persévérance, c’est bien Mais si un but est irréalisable, il peut être préférable de se désengager “Why the secret to success is setting the right goals” https://www.youtube.com/watch?v=L4N1q4RNi9I La motivation au quotidien Partie 2: les croyances Plan: la motivation au quotidien Partie 2: les croyances Attentes Auto-efficacité Croyances de maîtrise Les attentes Prédiction subjective de la façon dont une conséquence ou les actions menant à une conséquence voulue vont se produire. Deux types d’attentes Efficacité : « Est-ce que je suis capable? » Conséquence: « Est-ce que ça va fonctionner, est-ce que je vais réussir? » Attentes d’efficacité et de conséquence Sentiment de contrôle Auto-efficacité « Capacité générative dans laquelle l’individu organise et orchestre ses compétences pour s’adapter aux demandes externes et aux circonstances auxquelles il est confronté » Les situations de performance sont souvent stressantes et imprévisibles. L’auto-efficacité et le doute L’auto-efficacité est différente du besoin de compétence Croyances de maîtrise « Degré auquel une personne croit qu’elle est responsable de produire les conséquences qu’elle souhaite obtenir et d’empêcher celles qu’elle souhaite éviter » Orientation motivationnelle de maîtrise versus d’impuissance Maîtrise Impuissance Face à un défi Excités Peur des défis Saisissent les défis Évitent les défis Face à un échec Restent centrés sur la tâche S’effondrent face à l’échec Expérience d’apprentissage Doutent de leurs capacités Augmentent leurs efforts Perte d’espoir de tout succès futur Trouvent de nouvelles stratégies Impuissance acquise « L’impuissance acquise se développe lorsqu’un individu s’attend à ce que les conséquences souhaitées (ex: recevoir un prix) ou non souhaitées (ex: une maladie) soient indépendantes de ses actions » Seligman & Maier (1967) Impuissance acquise Hiroto (1974) La violence conjugale Effets de l’impuissance Déficits motivationnels Déficits d’apprentissage Déficits émotionnels La motivation au quotidien Partie 2: les croyances Semaine Dates Sujet Lectures 1 3 septembre Introduction Perspectives biologiques de la motivation et de 2 10 septembre Chapitre 3 l’émotion 3 17 septembre La motivation extrinsèque et intrinsèque Chapitre 5 Chapitre 4 (p. 90-98), Chapitre 5 (p. 128-129), 4 24 septembre Les besoins Chapitre 6, Chapitre 7 (p. 200-225) 5 1 octobre La motivation au quotidien – les buts Chapitre 8 La motivation au quotidien – les croyances 6 8 octobre Chapitre 10 Remise du premier résumé 7 15 octobre Pas de cours Toute la matière vue entre le 3 septembre et 8 8 22 octobre Examen 1 octobre inclusivement 9 28 octobre – 1 novembre Pas de cours : Journées d’étude de mi- session 10 5 novembre La nature des émotions Chapitre 12 11 12 novembre Perspectives cognitives et sociales des émotions Chapitre 13 12 19 novembre Les émotions individuelles Chapitre 14 Comment les émotions sont exprimées et étudiées 13 26 novembre en recherche Intégration et applications de la psychologie de la 14 3 décembre motivation et des émotions Chapitre 17 Remise du deuxième résumé Toute la matière vue ce semestre (concentration 15 11-21 décembre Examen final sur la matière du 5 novembre – 3 décembre) Partie 2: les croyances Attentes Plan du cours Auto-efficacité Croyances de maîtrise Les attentes Prédiction subjective de la façon dont une conséquence ou les actions menant à une conséquence voulue vont se produire. Deux types d’attentes Efficacité : « Est-ce que je suis capable? » Conséquence: « Est-ce que ça va fonctionner, est-ce que je vais réussir? » Attentes d’efficacité et de conséquence Sentiment de contrôle Auto-efficacité « Capacité générative dans laquelle l’individu organise et orchestre ses compétences pour s’adapter aux demandes externes et aux circonstances auxquelles il est confronté » Les situations de performance sont souvent stressantes et imprévisibles. L’auto-efficacité et le doute L’auto-efficacité est différent du besoin de compétence Les sources de l’auto-efficacité 1. L’histoire personnelles des comportements 2. L’expérience vicariante (modelage) 3. La persuasion verbale (discours positifs) 4. L’état physiologique Effets de l’auto-efficacité sur le comportement 1. Le choix: sélection d’activités et d’environnements 2. Effort et persévérance 3. Pensée et prise de décision 4. L’émotivité Croyances de maîtrise « Degré auquel une personne croit qu’elle est responsable de produire les conséquences qu’elle souhaite obtenir et d’empêcher celles qu’elle souhaite éviter » Orientation motivationnelle de maîtrise versus d’impuissance Maîtrise Impuissance Face à un défi Excités Peur des défis Saisissent les défis Évitent les défis Face à un échec Restent centrés sur la tâche S’effondrent face à l’échec Expérience d’apprentissage Doutent de leurs capacités Augmentent leurs efforts Perte d’espoir de tout succès futur Trouvent de nouvelles stratégies Impuissance acquise « L’impuissance acquise se développe lorsqu’un individu s’attend à ce que les conséquences souhaitées (ex: recevoir un prix) ou non souhaitées (ex: une maladie) soient indépendantes de ses actions » Seligman & Maier (1967) Impuissance acquise Hiroto (1974) La violence conjugale Effets de l’impuissance Déficits motivationnels Déficits d’apprentissage Déficits émotionnels

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