Méthode MBU - Module 2 - Cours 7 - PDF
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2024
NTUMWA NLONGI NSWADI KI-MBAZI
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Ce document présente un cours sur la science de la motivation, faisant la distinction entre la motivation intrinsèque et extrinsèque. Il explore la théorie de l'autodétermination et ses trois besoins psychologiques fondamentaux : la compétence, l'autonomie et l'appartenance. Le cours discute également des facteurs influençant la motivation, tels que les objectifs personnels, les valeurs et la culture, et présente des exemples concrets de motivation dans un contexte social.
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SAMEDI 25 MAI 202 METHODE MBU MODULE 2 – COURS (PAR NTUMWA NLONGI NSWADI KI-MBAZI DE L’ECOLE INITIATIQUE KIMUNTU – RETRANSCRIT PAR NGA RÂYA...
SAMEDI 25 MAI 202 METHODE MBU MODULE 2 – COURS (PAR NTUMWA NLONGI NSWADI KI-MBAZI DE L’ECOLE INITIATIQUE KIMUNTU – RETRANSCRIT PAR NGA RÂYA LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES SCIENCES DE LA MOTIVATIO On ne peut pas avancer sans motivation pour faire des soins travailler dans la matière La science de la motivation est un champ d’étude qui aborde de nombreux aspects de la psychologie humaine. Elle tente de répondre à la question de savoir ce qui pousse les gens À agir À travailler dur À poursuivre leurs objectifs À réaliser leurs rêve PAUSE – EXERCICE Se poser et écrire ce qui nous pousse a agir? Quel est notre degré de motivation entre 0 et 10 Rien ne se passe dans la vie d’un humain s’il n’y a pas de motivation, c’est le carburant pour avancer ,. , s 4 N ) 8 ? 7. : La motivation peut être divisée en deux types principaux : la motivation intrinsèque (=intérieure) et la motivation extrinsèque (= extérieure) LA MOTIVATION INTRINSEQUE : Elle vient de l’intérieur de l’individu. C’est le désir d’accomplir quelque chose simplement parce qu’il est intéressant, stimulant ou satisfaisant en soi. Par exemple, une personne peut aimer résoudre des puzzles parce qu’elle trouve cela amusant et stimulant LA MOTIVATION EXTRINSEQUE : Elle est in uencée par des facteurs externes, comme les récompenses, l’argent, les éloges ou les punitions Par exemple, un employé peut travailler dur pour obtenir une augmentation ou une promotion Il y a donc deux types de motivation de paix comme par exemple partir en vacances, faire du sport ou encore en tant que NGA GATAKI de l’École Initiatique Kimuntu, vouloir par l’amour, par la motivation, faire du bien autour de soi, avoir une énergie magni que qui fait du bien aux autres, car ce qui est bien ce qui est bien Et Une motivation de stress comme le devoir de payer son loyer, travailler dur pour payer son loyer, les études de ses enfants IL EXISTE DONC UNE MOTIVATION MAATIQUE ET UNE MOTIVATION ISFETIQUE LA QUESTION PRINCIPALE EST DONC D’OU VIENT LA MOTIVATION Qu’est ce qui nous motive ,.. ?.. fl.. fi ?. La théorie de L’AUTO-DÉTERMINATION (SELF-DETERMINATION THEORY OU SDT) est une théorie largement acceptée qui explique ces deux types de motivation. Selon la SDT, les individus ont trois besoins psychologique fondamentaux LA COMPETENCE – se sentir capable (EXEMPLE: Le NGA conscient veut se sentir capable de faire des soins L’AUTONOMIE – avoir le contrôle de sa vie (EXEMPLE: certaines personnes sont en besoin d’affection constant, leur vie dépend des autres et elles se sentent mal lorsqu’elles sont seules, elles ont toujours besoin de quelqu’un dans leur vie telle que la dépendance affective non autonome. Cela est du vampirisme énergétique L’APPARTENANCE – se sentir connecté aux autres (EXEMPLE : être au sein d une communauté. Il est important d’être applaudie. Être honoré fait vivre longtemps. Celui qui reçoit des félicitations de son groupe a cette énergie qui entre dans ses cellules et cela permet de le booster, de le vitaliser) La science de la motivation examine également les facteurs qui peuvent in uencer la motivation tels que LES OBJECTIFS PERSONNELS, LES CROYANCES LES VALEURS, L’ENVIRONNEMENT, LA BIOLOGIE (forme, santé, sport...) ET LA CULTURE. Les chercheurs utilisent une variété de méthodes pour étudier la motivation, y compris les enquêtes, les interviews, l’observation et les expériences , : ). :. fl. Pour nous qui sommes dans le KIMUNTU, nous sommes satisfaits lorsque nous honorons MA AMA NKOSI, NE MBUMBA LOWA, MA AMA YANGI. Nous avons des valeurs telles que partage, l’entraide A n d’améliorer notre ENVIRONNEMENT, le but de la méthode MBU est d équilibrer les MAKUKU MATATU - le KI-KEMBO: l univers de la matière NB: c’est pour cela que sera crée un groupe de millionnaires en € Nous aurons des choses a faire des stratégies a mettre en place, des formations à faire pour créer un groupe de personnes qui ont des techniques qui permettent de passer d’un salaire de 2000 € par mois à 10000 et cela sans souffrir A travers l’environnement que nous sommes sur le point de créer, nous pourrons alors changer de cap et tout cela en nous amusant, en jouant ensemble (compte rendu de nos stratégies, en visualisant d’abord la n, en entrainant nos enfants à faire de même) Cela va faire du bien au sein de la famille de la communauté Dans le module 3 de la METHODE MBU, nous verrons la TANTINE QUANTIQUE Comme dans le monde chinois, africain, juif ou des cotisations, des fonds sont allouer dans un projet. Une manière différente de faire avec un système qui fait que le groupe de 10 MUNTU sera en mesure d’acheter des actions, des titres tels que Tesla, Google, Open ai, et l’argent tombera comme la pluie. Et de 10000 € par mois nous passerons à 10 000 € par semaine. A ce niveau nous verrons la différence d’existence. Tout cela dans la maitrise de soi, en sachant que lorsque l’on monte on peut aussi tout perdre. En n, comprendre que la motivation peut avoir de nombreuses applications pratiques, notamment dans l’éducation, le travail, le sport, la santé et le changement de comportement. Les psychologues, les enseignants =, les entraineurs, les managers et d’autres professionnels peuvent utiliser des techniques basées sur la science de la motivation pour aider les gens a atteindre leurs objectifs et à améliorer leur bien-être fi fi. fi...... Car un coach, un entraineur peut aussi nous donner de la motivation parce que le but est d’avoir quelqu’un qui nous motive Passer d’une vie stagnante a une vie de puissance, l’argent aide a voir comment aider les autres Chaque groupe va faire pareil et avancer a son rythme. Les gens de l extérieur ne sauront pas que nous faisons cela, que nous sommes en train de booster notre sante, notre économie etc LIVRE A LIRE DRIVE de DANIEL H. PIN Daniel PINK est un auteur bien connu qui a écrit plusieurs livres sur le comportement humain, la motivation et le monde du travail Son livre le plus célèbre sur la motivation s’intitule “DRIVE : THE SURPRISING TRUTH ABOUT WHAT MOTIVATES US” ou en français “la vérité sur ce qui nous motive” EXEMPLE: Les membres d’une communauté qui sont tous en couple, u groupe composé uniquement de couples mariés. Au sein de ce groupe ils sont tous protégés par un bouclier. Une charte a respecté. 5 a 10 personnes qui travaillent ensemble, autour des valeurs du BUMUNTU. Si l’un d’entre eux ne respecte pas les lois, il est tout simplement écarté du groupe Leur but par exemple, serait comment faire pour que son homme, sa femme soit heureux-se Les femmes se retrouvent donc entre elles et se donnent des conseils a n d’être la meilleure épouse possible. Et les hommes, fragiles qui ont aussi souvent des souffrances a tenir leur rôle de guerrier. Pour être plus puissant il faut être ensemble et s’appuyer sur les forces de chacun. La METHODE MBU permet d être dans LE DRIVE, dans la vérité sur ce qui nous motive, le but étant d’impacter le monde ATTENTION : TOUS LES LIVRES DONNES SONT A LIRE (faire des commentaires de textes, etc remettre a demain c’est perdre du temps sur son propre avancement, son évolution.. )... K. fi. Car il sera impossible pour celui qui ne suit pas de gérer des millions si il ne parvient même oas à lire un seul livre Dans “DRIVE”, PINK discute de la manière dont les systèmes traditionnels de récompense (comme l’argent, les promotions ou autres formes de reconnaissances externe) ne sont pas toujours les meilleurs pour motiver les gens, en particulier pour des taches complexes ou créatives. Au lieu de cela, il soutient que les individus sont souvent mieux motivés par des facteurs intrinsèques, qui sont des éléments de motivation qui viennent de l’intérieur de la personne, tels que le désir de se réaliser, d’apprendre, de créer ou de contribuer à la société PINK propose un modèle de motivation qu’il appelle “MOTIVATION 3.0” qui repose sur trois éléments principaux L’AUTONOMIE (le désir de diriger notre propre vie) LA MAITRISE (le désir de continuer à améliorer et à maitriser une compétence) et LE BUT (le désir de faire ce que nous faisons pour une raison qui nous dépasse nous même) AUTONOMIE: L’autonomie se réfère au désir de contrôler notre propre vie et d être le maitre de nos propres actions. Dans le contexte de la motivation, cela signi e donner aux gens le pouvoir de prendre des décisions concernant leur travail. Cela peur inclure la façon dont ils effectuent leur travail, quand ils le font, avec qui ils travaillent et même ce sur quoi ils travaillent. L’autonomie n’est pas la même chose que l’indépendance ; il ne s’agit pas de travailler seul, mais de sentir que vous avez un certain contrôle sur votre travail. La recherche montre que lorsque les gens ont plus d’autonomie, ils sont généralement plus engagés, plus satisfaits et plus productifs.. : ) , fi. EXEMPLE: Dans le cadre de notre tradition, chaque membre du groupe KINTUWADI est autonome et en cas d’incapacité doit se former pour ne pas faire chavirer le groupe MAITRISE : La maitrise est le désir de continuer à s’améliorer et à maitriser une compétence. Nous sommes motivés pour apprendre et nous améliorer constamment, surtout lorsqu’il s’agir de compétences qui nous intéressent. PINK suggère que pour favoriser la maitrise, les taches doivent être suf samment dif cile pour poser un dé , mais pas si dif ciles pour qu’elles ne deviennent pas décourageantes. C’est un équilibre délicat. La maitrise est souvent une quête sans n, car il y a toujours quelque chose de nouveau à apprendre ou une compétence à améliorer BUT : Le but est le sentiment que ce que nous faisons a un sens ; qu’il est important et qu’il contribue a quelque chose de plus grand que nous-mêmes. PINK suggère que de plus en plus de personnes recherche un sens et un but dans leur travail au- delà de la simple récompense nancière. Les organisations qui peuvent montrer à leurs employés comment leur travail contribue a un objectif plus large peuvent souvent béné cier d’un niveau d’engagement et de satisfaction plus élevé ON NE FAIT JAMAIS UN BURN-OUT QUAND ON FAIT QUELQUE CHOSE QUE L’ON AIME Ces idées s’alignent sur une grande partie de la recherche actuelle en psychologie sur la motivation, y compris la théorie de l’auto-détermination. De nombreuses études ont montré que lorsque les gens ont le sentiment d’avoir le contrôle sur leur travail, d’être compétents dans ce qu’ils font, et de contribuer à quelque chose d’important, ils sont souvent plus motivés, plus satisfaits et plus productifs Cependant, il existe un phénomène psychologique qui entrave le bon fonctionnement du cerveau : L’EFFET DE SURJUSTIFICATION L’EFFET DE SURJUSTIFICATION est un phénomène en psychologie qui se produit lorsqu’une récompense extrinsèque, comme de l’argent ou des prix est utilisée pour motiver une personne à faire une activité qu’elle trouve déjà satisfaisante. Selon la théorie de L’EFFET DE SURJUSTIFICATION, lorsque les récompenses extrinsèques sont données, les personnes peuvent commencer à attribuer leur engagement dans l’activité à ces récompenses plutôt qu’à leur propre intérêt pour l’activité elle-même. Ainsi, une fois que les récompenses sont retirées, leur motivation pour poursuivre l’activité peut diminuer, même si elles la trouvaient auparavant agréable. fi fi fi.. fi fi fi.... fi Le cerveau compliqué va entrer dans une phase ou au lieu de travailler pour nous-même la motivation va se tarir EXEMPLE: Un joueur de football qui joue par plaisir, ne jouera plus aussi bien qu’avant une fois sélectionné par un grand club. Car il la récompense nancière ne le satisfera pas. Il y aura désormais une corrélation entre l’argent qu’il gagne avec ce qu’il aimait faire avant par plaisir Par exemple, disons qu’un enfant aime dessiner pour le plaisir de créer. Si cet enfant commence à recevoir des récompenses régulières pour ses dessins (comme de l’argent ou des éloges constants), il peut commencer à associer le dessin avec la récompense plutôt qu’avec le plaisir de créer Si les récompenses s’arrêtent, l’enfant peut perdre son intérêt pour le dessin, même s’il aimait auparavant. Il faut le laisser parfois faire ses activités sans aucune récompense nale. Il est possible de formater les enfants en appliquant ces principes Cet effet est un concept important dans la science de la motivation car il suggère que les récompenses extrinsèques ne sont pas toujours béné ques et peuvent parfois même être nuisibles à la motivation à long terme Cela aligne avec les idées présentées par DANIEL PINK dans son livre “DRIVE”, où il argumente que la motivation intrinsèque (l’autonomie, ma maitrise et le but) est souvent plus ef cace que les récompenses extrinsèques pour encourager la motivation et la performance à long terme fi..... fi fi. fi Voila pourquoi il vaut mieux trouver un travail pour réussir le GAME mais non pas par passion Aussi il est primordial d’intégrer que les gens pensent de nous n’est pas important, notre réussite va énerver l’autre qui est parfois jaloux, possédé. Il ne faut surtout pas attendre que les autres nous applaudissent, il faut donc choisir une motivation intrinsèque intérieure. Faire les choses pour soi même, pour notre KUNAKA Ce que nous allons proposer dans note vie ne va pas plaire a tout le monde Aussi, celui qui ne veut pas rester n’a qu’a partir, et on continue de faire pour ceux qui sont compatibles. La mission de la vie c’est le partage du zola, le partage des sciences sacrées. Les guides attirent à nous ceux qui doivent venir. Voila pourquoi, il fauta voir une motivation intrinsèque, aimer ce que l’on fait, car c’est notre vie, notre mission, notre détermination pour nos enfants qui vont hériter de tout cela Nous devons changer notre manière de fonctionner Étudier et digérer la MÉTHODE MBU, avoir un objectif une vision. Nous ne sommes pas là pour faire faire plaisir aux gens au risque de se faire très mal. Car nous devons être conscients que l’humain va toujours nous décevoir si on attend quelque chose de lui. Il est donc très important d’être capable de passer de la MOTIVATION EXTRINSÈQUE à la MOTIVATION INTRINSEQUE, et cela nécessite un changement d’état d’esprit et de comportement Voici quelques suggestions sur la façon de faciliter ce changement 1. FAVORISER L’AUTONOMIE : Comme DANIEL PINK l’a mentionné dans “DRIVE”, l’autonomie est un facteur clé de la motivation intrinsèque. Encouragez l’indépendance et la prise de décision personnelle. Cela peut signi er donner aux personnes la liberté de choisir comment, quand et où elles accomplissent leur travail 2. PROMOUVOIR LA MAITRISE : Offrir des opportunités pour apprendre et s’améliorer continuellement peut aider à aider la motivation intrinsèque. Cela peut être fait en. :.. fi :... proposant des formations, des ateliers, des séminaires, ou simplement en donnant du temps et de l’espace pour explorer et apprendre 3. CULTIVER UN SENS DU BUT : Aider les gens à comprendre comment leur travail contribue à un objectif plus large peut augmenter leur motivation intrinsèque. Cela peut être fait e communiquant clairement la mission et la vision de l’organisation, ou en montrant comment leur travail individuel contribue à des objectifs plus larges 4. METTRE L’ACCENT SUR LE PLAISIR ET L’INTERET : Encouragez les personnes à poursuivre ce qu’elles aiment et ce qui les intéresse. Si possible, essayez d’aligner leurs taches et leurs projets avec leurs intérêts personnels et leurs passions 5. EVITER LES RECOMPENSES EXTRINSEQUES C’EST POSSIBLE : Comme L’EFFET DE SURJUSTIFICATION l’indique, l’utilisation excessive de récompenses extrinsèques peut parfois diminuer la motivation intrinsèque. Si des récompenses sont utilisées, essayez de les faire correspondre aux efforts et à la performance, et non simplement à la participation 6. ADOPTER UNE MENTALITE DE CROISSANCE : Croyez et encouragez l’idée que les compétences peuvent être développées avec du temps, de l’effort et de la pratique. Cela peut aider à créer une motivation intrinsèque pour apprendre et s’améliorer 7. FOURNIR DES FEEDBACK CONSTRUCTIFS : Les feedback réguliers, constructifs et orientés vers le développement peuvent aider les gens à comprendre ce qu’ils font bien, où ils peuvent s’améliorer et comment ils progressent vers leurs objectifs La motivation intrinsèque ne peut pas être imposée de l’extérieur – elle doit venir de l’intérieur de l’intérieur de la personne Cependant, en créant un environnement qui favorise l’autonomie, la maitrise et le but vous pouvez aider à favoriser ce type de motivation........ LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUE LA PUISSANCE DES OBJECTIF Au sein du GAME, le MUNTU ne peut avancer qu’en ayant d es objectifs clairs et précis. Parce que sans objectif, nous ne savons pas où nous allons. A n de réussir la mission dans le NZA, le MUNTU doit disposer d’une feuille de route, un plan à suivre, un objectif à atteindre. S 9 fi Atteindre ses objectifs dans la vie peut être un processus complexe qui implique une série d’étapes spéci ques EXERCICE / QUESTIONS: AVEZ-VOUS DES OBJECTIFS? EST CE QUE VOUS AVEZ UN PLAN OPERATIONNEL POUR LES ATTEINDRE Voici quelques conseils généraux sur la façon d’y parvenir Le monde a des règles, avec des principes DEFINIR CLAIREMENT VOS OBJECTIFS : Il est important de savoir précisément ce que vous voulez accomplir. Vos objectifs devraient être SMART: Spéci ques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement dé nis PLANIFIEZ : Après avoir dé ni vos objectifs, il est crucial de crée un plan d’action détaillé sur la manière dont vous comptez les atteindre. Cela peut impliquer l’élaboration d’un calendrier, la mise en place de mesures intermédiaires et le développement d’une stratégie globale. NE PAS FAIRE LES CHOSES PAR HASARD AGIR: Les plans ne sont utiles que si ils sont mis en œuvre. Ne poussez pas les choses prenez des mesures proactives pour atteindre vos objectifs. fi. fi.. fi :.. fi RESTEZ MOTIVE: L’enthousiasme initial peut s’estomper avec le temps. Il est important de trouver des moyens de rester motiver. Cela peut impliquer de se rappeler pourquoi vous avez xer cet objectif en premier lieu, ou d’instaurer des récompenses dans votre progrès. (CF: Groupe de 10 personnes qui travaillent ensemble ADAPTEZ-VOUS ET SOYEZ FLEXIBLE : Parfois les choses ne se passent pas comme prévu. Il est important de pouvoir s’adapter et modi er vos plans si nécessaire SURMONTER LES OBSTACLES : Il est probable que vous rencontriez des dif cultés en chemin. NE LES LAISSER PAS VOUS DECOURAGER. Au lieu de cela, voyez-les comme des opportunités d’apprentissage CELEBREZ VOS PETITES VICTOIRES : Chaque petite étape que vous faites vers vos objectifs est une victoire. Célébrez-les pour vous motiver à continuer AVOIR DE LA PATIENCE : Atteindre des objectifs signi catifs peut prendre du temps, il faut avoir de la résilience. Ayez de la patience avec vous-même et le processus DEMANDEZ DU SOUTIEN SI NECESSAIRE: Il n’y a pas de honte à demander de l’aide. Que ce soit des amis, de la famille, des mentors ou des professionnels, d’autres personnes peuvent vous apporter un soutien précieux Rappelez-vous, le voyage pour atteindre vos objectifs peut être aussi enrichissant que la réalisation de l’objectif lui-même. PROFITEZ DU PROCESSUS ET APPRENEZ EN COURS DE ROUTE EXEMPLE: Se former lorsque on a pas de compétences requises. La METHODE KAIZEN, originaire du Japon, est une approche qui met l’accent sur l’amélioration continue et progressive Le terme “KAIZEN” se traduit littéralement par “changement pour le mieux”. Cette philosophie peut être appliquée à tous les aspects de la vie y compris l’atteinte des objectifs personnelles et le processus d’apprentissage. fi ). fi. fi.. fi... Continuez d’avancer sans comparaison avec les autres avec amour et détermination Voici comment vous pouvez utiliser la METHODE KAIZEN pour atteindre vos objectifs DECOMPOSITION DES OBJECTIS EN PETITES ETAPES : Plutôt que de vous concentrer sur un grand objectif, la METHODE KAIZEN vous encourage à le décomposer en petites taches gérables. Par exemple, si vous voulez lire plus, au lieu de xez l’objectif de lire un livre par semaine, commencez par quelques pages par jour AMELIORATION CONTINUE : L’idée est de faire un petit pas en avant chaque jour. Par exemple, si vous essayez d’apprendre une nouvelle langue, vous pourriez commencer par apprendre un nouveau mot ou une nouvelle phrase chaque jour. Au l du temps, ces petites améliorations s’additionnent pour produire des résultats signi catifs ELIMINATION DES GASPILLAGES : Dans le contexte de KAIZEN, le “ gaspillage” peut se référer à tout ce qui ne contribue pas à l’atteinte de votre objectif. Pa exemple, si vous essayez de perdre du poids, le gaspillage pourrait être les aliments malsains que vous consommez. L’idée est d’identi er ces gaspillages et de travailler à les réduire ou à les éliminer. PRISE DE DECISIONS COLLECTIVE : Bien que cela soit plus pertinent dans un environnement d’équipe ou d’entreprise, l’idée est que toutes les personnes impliquées dans la réalisation d’un objectif ont une voix dans la prise de décision. Cela crée un sentiment de propriété et d’engagement envers l’objectif CELEBRATION DES PROGRES : Il est important de célébrer même les petits succès. Cela renforce le sentiment de réalisation et vous encourage à avancer En utilisant la METHODE KAIZEN dans le processus d’apprentissage vous pouvez rendre l’apprentissage plus gérable et moins intimidant. fi fi. fi :. fi... Par exemple, plutôt que de vous efforcer d’apprendre un sujet entier en une fois, vous pouvez le décomposer en petits sujets et les apprendre un à la fois. Cela permet de réduire la sensation de surcharge et rend l’apprentissage plus agréable. En n de compte, la METHODE KAIZEN nous enseigne que le chemin vers l’atteinte de grands objectifs passe par de petits, mais constants, pas en avant. “Doucement mais surement EXEMPLE : Un stratège n’est pas pressé, il faut être visionnaire. Savoir où est sa place et voir la n de l’objectif. Ne jamais aller vite. Installer un programme qui va rester pour des générations et des générations futures (CF: Dans la culture asiatique qui fait grandir une petite structure au fur et à mesure tous ensemble) Dans la vie il faut avoir un plan, sinon on se fatigue Il faut aussi garder en mémoire et avoir conscience que tout le monde n est pas né pour crée. Certaines personnes sont la pour améliorer, pour vulgariser, pour améliorer ce qui exciste déjà, tout en étant en mesure de nourrir notre famille, de vvivre en paix Ensemble en respectant la place de chacun et un jour, ce sera notre tour car on aura appris en profondeur Le GAME/jeu de la vie dans le NZA doit se faire en suivant un plan de vie, une carte cosmique où est dé nit l’objectif de notre incarnation au sein de cette réalité Cependant, vouloir atteindre nos objectifs activent en chacun de nous une forme de peur. Plus le changement que le MUNTU veut faire dans sa vie est important, plus sa peur sera grande fi. fi ”. fi.... Il est tout à fait normal d’éprouver de la peur ou de l’anxiété en poursuivant vos objectifs, en particulier si ceux-ci sont ambitieux ou si leur réalisation implique des changements signi catifs dans votre vie MAIS IL NE FAUT PAS QUE CELA NOUS ANÉANTISSE IL FAUT SE METTRE EN ACTION Cela peut être dû à plusieurs facteurs PEUR DE L’ECHEC : C’est peut-être la peur la plus courante. On craint de ne pas être à, la hauteur, de faire des erreurs ou de ne pas atteindre les objectifs que l’on s’est xés PEUR DE L’INCONNU: Poursuivre un nouvel objectif peut souvent signi er sortir de sa zone de confort et entrer dans l’inconnu, ce qui peut susciter de l’anxiété PEUR DU JUGEMENT : On peut aussi craindre le jugement des autres si on n‘atteint pas nos objectifs, ou même si on change en cours de route PEUR DU SUCCES : cela peut sembler contre-intuitif, mais certaines personnes ont peur du succès car il peut entrainer de nouvelles responsabilités et des attentes plus élevées Mais pour nous qui faisons la MÉTHODE MBU, l’échec n’existe pas. Si notre Ntumwa avait fait les choses par rapport aux autres, KIMUNTU ne devait pas naitre. Ces peurs sont naturelles, mais il est important de ne pas les laisser vous paralyser ou vous empêcher de poursuivre vos objectifs Voici quelques stratégies pour gérer ces peurs 1. RECONNAISSEZ VOS PEURS : La première étape pour surmonter la peur est de l’admettre et de la reconnaitre. Il est normal de ressentir de la peur et vous n’êtes pas seul dans cette situation 2. VISULISEZ VOTRE SUCCES : Imaginez-vous atteindre votre objectif. Cela peur aider à atténuer la peur de l’inconnu et à renforcer votre motivation 3. DECOMPOSER VOTRE OBJECTIF EN ETAPES GERABLES : Comme mentionné précédemment cela peut rendre l’objectif moins intimidant et plus facile à gérer 4. CULTIVEZ LA RESILIENCE : Apprenez à vois les échecs et les revers comme des opportunités d’apprentissage et non comme des re ets de votre valeur personnelle fi fi...... : : fl.. fi... 5. CHERCHEZ DU SOUTIEN : Parlez de vos peurs à des amis de con ance, à un mentor ou à un professionnel. Ils peuvent offrir des conseils, des encouragements et une perspective différente 6. PRATIQUEZ DES TECHNIQUES DE RELAXATION : Des techniques comme la méditation (SAMBILA GATAKI), la respiration profonde (KI-MPEMA GATAKI), et le yoga (YO-GATAKI) peuvent aider à réduire l’anxiété et à gérer le stress Rappelez-vous, la peur est une partie naturelle du processus de croissance et de changement. Ne la laissez pas vous décourager de poursuivre vos objectifs La peur est une réponse émotionnelle naturelle et fondamentale qui est profondément enracinées dans notre biologie. Elle a évolué au l du temps comme un mécanisme de survie pour nous aider à réagir rapidement aux menaces potentielles. Dans le cerveau, plusieurs structures sont impliquées dans la perception et la gestion de la peur, dont l’amygdale, l’hippocampe et le cortex préfrontal 1. L’AMYGDALE : Situé au cœur du cerveau, l’amygdale jour un rôle clé dans l’évaluation de l’information sensorielle pour détecter les menaces potentielles. Elle est responsable de la détection de la peur et du déclenchement de la réponse “ combat ou fuite” qui prépare le corps à agir en réponse à la menace 2. L’HIPPOCAMPE : Cette structure du cerveau est impliquée dans la formation des souvenirs, y compris les souvenirs associés à la peur. L’hippocampe peut aider à aider à associer certaines situations ou stimuli à une expérience de peur antérieure, ce qui peut déclencher une réponse de peur lors de rencontres ultérieures avec ces stimuli 3. LE CORTEX PREFRONTAL : Cette partie du cerveau est associée à des fonctions cognitives supérieures, comme le raisonnement, la prise de décision et la régulation des émotions. Il joue un rôle dans l’évaluation de la menace perçue et la modulation de la réponse de l’amygdale. En d’autres termes, le cortex préfrontal peut aider à “ contrôler” la peur et à déterminer si une réponse de peur est appropriée compte tenu du contexte Concernant la peur liée à al réalisation de nos objectifs, elle est souvent associée à l’anticipation d’une menace potentielle, qu’elle soit réelle (par exemple, le risque de perdre un emploi) ou perçue (par exemple, le risque de jugement ou d’échec) Lorsque nous envisageons de poursuivre un objectif, notre cerveau évalue ces menaces potentielles, ce qui peut déclencher une réponse de peur. Cependant, avec de la pratique et.. fi..... fi. l’utilisation de techniques de gestion de la peur (SAMBILA GATAKI, KI-MPEMA GATAKI, YO-GATAKI), nous pouvons entrainer notre cerveau à mieux gérer ces réponses de peur et à nous concentrer davantage sur nos objectifs plutôt que sur nos peurs LIVRE A LIRE: “ONE SMALL STEP CAN CHANGE YOUR LIFE: THE KAIZEN WAY” de Robert MAURER Dans son livre “ONE SMALL STEP CAN CHANGE YOUR LIFE: THE KAIZEN WAY”, le psychologue ROBERT MAURER applique la philosophie du KAIZEN à la croissance professionnelle et au changement Selon MAURER, l’approche KAIZEN de prendre de petites mesures peut aider à surmonter la peur et la résistance au changement que nous éprouvons souvent lorsque nous essayons d’atteindre nos objectifs La METHODE KAIZEN suggère que plutôt que de faire des changements radicaux, nous devrions faire de petit changement ou de petites actions qui s’accumulent avec le temps pour produire des résultats importants. Ces petits pas peuvent aider à contourner la peur parce qu’ils ne déclenchent pas le même niveau d’alarme dans notre cerveau que les changements plus importants.... Voici comment la METHODE KAIZEN peut aider à gérer la peur 1. EVITE LA SURCHARGE : Les grands changements peuvent sembler accablants et déclencher une réponse de peur dans notre cerveau. En revanche, les petits changements semblent gérables et sont donc moins susceptibles de déclencher cette réponse 2. REDUIT L’EVITEMENT : Lorsque nous avons peur, notre instinct naturel est souvent d’éviter la source de notre peur. Les petits pas réduisent la probabilité d’évitement en rendant la tache moins intimidante 3. CREE DE LA CONFIANCE : Chaque petit pas que nous faisons nous rapproche de notre objectif et renforce notre con ance en notre capacité à réaliser cet objectif. Cette con ance peut aider à atténuer la peur de l’échec 4. CULTIVER LA RESILIENCE : Si nous échouons, il est souvent moins dévastateur d’échouer à un petit pas qu’à un grand bond. Cela peut aider à rebondir plus rapidement et à continuer à, avancer vers notre objectif 5. FAVORISE UNE MENTALITE DE CROISSANCE : En reconnaissant que le prgres se fait par de petits pas et non par de grands bonds, nous développons une mentalité de croissance qui voit les dé s et les échecs comme des opportunités d’apprentissage plutôt que comme des obstacles insurmontables Il y a également le livre “ATOMIC HABITS” (traduit en français par “UN RIEN PEUT TOUT CHANGER” de JAMES CLEAR est un excellent guide pour comprendre comment nos habitudes façonnent notre vie et comment nous pouvons les changer pour atteindre nos objectifs. CLEAR combine des insights de la biologie, de la psychologie et de la neuroscience pour expliquer comment les habitudes fonctionnent et comment les modi er. fi fi. fi... fi :. CLEAR souligne quatre principes clés pour créer des habitudes ef caces 1. RENDRE L ‘HABITUDE EVIDENTE : Pour instaurer une nouvelle habitude, vous devez d’abord être constamment rappelé de le faire. CLEAR suggère de pro ter de “ L’EMPILEMENT DES HABITUDES”, où votre nouvelle habitude est ajoutée à une habitude existante 2. RENDRE L’HABITUDE ATTRACTIVE : Plus une habitude est attrayante, plus vous serez motivé à le faire. Pour rendre une habitude attrayante vous pouvez essayez de l’associer a une récompense ou à un béné ce que vous appréciez 3. RENDRE L’HABITUDE FACILE : Les habitudes ont plus de chances de se former ci elles sont faciles à accomplir. Réduisiez les obstacles à al réalisation de votre nouvelle habitude autant que possible 4. RENDRE L ‘HABITUDE SATISFAISANTE : SI une habitude est satisfaisante, vous ^tes plus susceptible de la répéter à l’avenir. Essayez de trouver une récompense immédiate pour al réalisation de votre nouvelle habitude En appliquant ces principes, vous pouvez progressivement construire des habitudes qui vous rapprochent de vos objectifs. L’idée principale du livre est que les petits changements peuvent avoir un impact énorme à long terme. Cela rejoint en quelque sorte la philosophie KAIZEN dont nous avons parlé précédemment Il y a aussi l’approche SMART qui est un outil couramment utilisé pour formuler et atteindre des objectifs. L’acronyme SMART signi e : SPECIFIQUE, MESURABLE, ATTEIGNABLE, REALISTE et TEMPORELLEMENT DEFINI.. fi.. fi.. fi fi : Si notre objectif est SMART même s’il est complexe nous gagnerons TOUJOURS SPECIFIQUE (Speci c): Votre objectif doit être clair et bien dé ni. Un objectif ou ne fournira pas suf samment de direction. Posez-vous des questions précises pour savoir exactement ce que vous voulez accomplir. EXEMPLE: Améliorer sa vie grâce au nerf de la guerre - l’argent. Passer de 2000 à 5000 € par mois en envoyant le lien d’af liation de la METHODE MBU. MESURABLE (Measurable) : Il doit être possible de mesurer votre progrès vers l’objectif. Cela vous permettra de rester motivé et de savoir quand vous avez atteint votre objectif ATTEIGNABLE (Achievable) : L’objectif doit être réalisable avec les ressources dont vous disposez. Cela ne signi e pas qu’il doit être facile, mais il doit être possible. EXEMPLE: je peux le faire en travaillant. Le secret de la vie c’est de ne pas beaucoup, travailler avoir plus d heure de travail pourra voir plus d argent. REALISTE (Realistic): L’objectif doit être quelque chose que vous êtes prêt et capable d’atteindre. Il doit avoir un sens pour vous et correspondre à vos autres objectifs TEMPORELLEMENT DEFINI (Time-bound) : L’objectif doit avoir une date limite claire. Cela vous donne un sens de l’urgence et peut vous aider à rester concentré En formulant vos objectifs en utilisant l’approche SMART, vous pouvez augmenter vos chances de les atteindre. Cela peut vous aider a clari er vos idées, a vous concerner sur vos efforts, à utiliser votre temps et vos ressources de manière productive et à augmenter vos chances de réaliser ce que vous voulez dans la vie Par exemple, si votre objectif est de lire plus de livres, au lieu de dire simplement “je veux lire plus”, un OBJECTIF SMART pourrait être : “JE VEUX LIRE UN LIVRE PAR MOIS PENDANT LES 12 PROCHAINS MOIS”. Cet objectif est spéci que (lire un livre), mesurable (1 livre par mois), atteignable et réaliste (si vous choisissez des livres que vous êtes capable de lire dans ce délai), et temporellement dé ni (pendant les 12 prochaines mois)... fi fi fi fi. fi fi fi fi fl.. LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES 1 LA PUISSANCE DU TEMPS LIBRE DANS L’APPRENTISSAG Nous vivons dans un monde ou être occupé est presque comme une preuve de valeur, ou de distinction Dans le système dans lequel nous vivons, être occupé est très bien vu. Cela signi e que l’on est productif et que l’on fait des choses importantes. Nous avons vu ensemble qu’être occupé n’est pas du tout une bonne chose, s’il n’est pas d’une bonne qualité CELA MONTRE QUE NOUS NE SAVONS PAS GÉRER NOTRE TEMPS Les Neurosciences nous apprennent que le MUNTU dispose au niveau de son cerveau d’une zone très importante pour l’apprentissage appelée HIPPOCAMPE dont la fonction est de donner naissance aux nouveaux neurones. C’est l’hippocampe qui enfante les neurones, les ba-nto L’hippocampe est une structure du cerveau qui joue un rôle clé dans la consolidation de l’information de la mémoire à court terme en mémoire à long terme que dans la navigation spatiale La naissance des neurones chaque jour, nous incite de nourrir notre cerveau a n de maintenir nos neurones en stockant les anciens et nouvelles informations sinon elles meurent.... 0 E.. fi fi Le temps libre a un impact signi catif sur le fonctionnement de l’hippocampe, particulièrement en ce qui concerne l’apprentissage et la mémoire. Lorsque vous apprenez quelque chose de nouveau, votre cerveau crée de nouvelles connexions neuronales. Cependant, ces connexions sont initialement assez faibles. Il faut du temps pour que ces connexions se renforcent et se consolident en mémoire à long terme, processus dans lequel l’hippocampe jour un rôle clé Lorsque vous êtes en état de repos ou pendant le sommeil, l’hippocampe est activement impliqué dans la répétition et le renforcement de ces nouvelles connexions neuronales, aidant à consolider les nouveaux apprentissages en mémoire à long terme Ce processus est souvent appelé “REPLAY” ou REPETITION, où le cerveau rejoue les expériences d’apprentissage récentes C’est pourquoi le temps libre et en particulier le sommeil est si important pour l’apprentissage. En donnant à votre cerveau le temps de se reposer, vous lui permettez de renforcer et de consolider les nouvelles informations que vous avez apprises, rendant ces apprentissages plus durables et plus accessibles à l’avenir. Sinon il y a un risque de surmenage = MENINGITE Il est important de noter que ce n’est pas seulement le temps libre en soi qui est béné que, mais la façon dont vous utilisez ce temps. fi.... fi Des activités relaxantes comme la méditation, la lecture, les promenades dans la nature EXEMPLE: Enlacer un arbre, etc., peuvent aider à réduire le stress qui est un facteur connu pour nuire au fonctionnement de l’hippocampe et à la capacité d’apprentissage. En revanche passer tout son temps libre à des activités stressantes ou excessivement stimulantes peuvent avoir l’effet inverse RAPPEL: Dans notre tradition ancestrale KIMUNTU nous avons accès a des pratiques telles que le SAMBILA GATAKI, YO-GATAKI, ou encore KI-MPEMA GATAKI. Le temps libre est essentiel pour bien apprendre. Voici quelques raisons 1. LA DETENTE ET LA REGENERATION : l’apprentissage exige beaucoup de travail mental. Le temps libre permet à votre cerveau de se détendre et de se régénérer ce qui est essentiel pour conserver la capacité d’apprendre et de mémoriser de nouvelles informations 2. LA REFLEXION ET LA CONSOLIDATION : Votre cerveau a besoin de temps pour traiter et assimiler les nouvelles informations que vous apprenez. Le temps libre peut vous donner l’espace nécessaire pour ré échir a ce que vous avez appris et pour aider a consolider ces informations dans votre mémoire 3. LA MOTIVATION ET L’ENGAGEMENT : Si vous ne prenez jamais de temps libre, vous risquez de vous sentir surchargé et épuisé, ce qui peut diminuer votre motivation à apprendre. Le fait d’avoir du temps libre peut vous aider à maintenir votre engagement envers l’apprentissage et à éviter le burn-out 4. LA CREATIVITE : De nombreux processus créatifs nécessitent du temps et de l’espace pour se développer. Le temps libre peut vous permettre d’explorer de nouvelles idées et de faire des liens entre des concepts que vous avez appris 5. LA PRATIQUE DELIBEREE : Le temps libre peut être utilisé pour la pratique délibérée, qui est une forme d’apprentissage concentré et ciblé qui peut grandement améliorer votre maitrise d’une compétence ou d’un sujet Il est très important de s’assurer que vous avez suf samment de temps libre pendant votre processus d’apprentissage.. :. fl fi.... Il s’agit de trouver un équilibre entre le temps passé à apprendre de nouvelles informations et le temps passé à se détendre et à permettre à votre cerveau de traiter ces informations Comme nous l’avons vu, l’hippocampe du cerveau donne naissance aux neurones chaque jour. Pour les améliorer et les rendre plus ef caces il est important de s’entourer des bonnes personnes (d’évoluer dans un milieu sain) C’EST À CE NIVEAU QU’INTERVIENT L’ÉPIGÉNÉTIQUE L’épigénétique se réfère à des changements dans l’expression des gènes qui ne sont pas dus à des changements dans la séquence d’ADN elle-même. Ces changements peuvent être causée par différentes facteurs environnementaux, comme le stress, l’alimentation, le comportement, les toxines et d’autres facteurs externes. Dans le cerveau, l’épigénétique a un impact important sur de nombreux processus, y compris la fonction de l’hippocampe Nous avons également vu que l’hippocampe est une région du cerveau qui jour un rôle crucial dans l’apprentissage et la mémoire. Des recherches ont montré que l’activité de l’hippocampe peut être in uencée par des facteurs épigénétiques Par exemple, des expériences sur des animaux ont montré que des situations de stress prolongé peuvent conduire a des modi cations épigénétiques qui réduisent la production de nouveaux neurones dans l’hippocampe, ce qui peut à son tour affecter les capacités d ‘apprentissage et de mémoire Ainsi, l’entourage ou la communauté peut avoir un impact signi catif sur l’activité de l’hippocampe, principalement par le biais de facteurs de stress environnementaux ou de soutien social Ce qui se ressemble s’assemble. On devient comme le milieu dans lequel on vit.... fi. fi. fi fl.. 1. LE STRESS : L’exposition à un stress prolongé qui peut être exacerbée par un environnement social négatif, peut affecter l’hippocampe. Le stress conduit à la libération d’hormones, comme le cortisol, qui à des niveaux élevés et sur une longue période, peut endommager l’hippocampe, entrainant une diminution de la taille de l’hippocampe et des dé cits dans la mémoire et l’apprentissage 2. SOUTIEN SOCIAL : Un environnement social positif et soutenant peut avoir un effet protecteur sur l’hippocampe. Des études sur des animaux et des humains ont montré que le soutien social peut aider à modérer les réponses au stress et peut favoriser la résilience du cerveau, y compris la santé de l’hippocampe. Par exemple, des expériences sur des rats ont montré que les rats qui vivent en groupe ont une meilleure mémoire et un plus grand volume d’hippocampe que les rats qui vivent seuls 3. STIMULATION COGNITIVE : En outre, un environnement social enrichissant peut offrir une stimulation cognitive qui est béné que pour l’hippocampe. Les interactions sociales, les nouvelles expériences et les dé s cognitifs peuvent tous aider à garder l’hippocampe actif et en bonne santé EXEMPLE LA COMMUNAUTE CHINOISE ou encore JAPONAISE : ils ont la 5 G ils sont en avance dans tous les domaines ils sont communautaires. Les peuples communautaires avec soutien morale positif ont un hippocampe plus développe ainsi qu un QI On en déduit donc que l’égocentrisme réduit les neurones et l’hippocampe. L’importance des pauses dans l’apprentissage est soutenue par de nombreuses recherches en psychologie et en neurosciences. Voici comment les pauses peuvent aider à améliorer l’apprentissage 1. CONSOLIDATION DE LA MEMOIRE : Lorsqu’on fait une pause, le cerveau a le temps de consolider et de restructurer les informations, ce qui améliore la mémoire et l’apprentissage 2. PREVENTION DE LA SURCHARGE COGNITIVE : Les pauses permettent de prévenir ma surcharge cognitive, c’est à dire le point ou l’esprit reçoit plus d’informations qu’il ne peut en traiter à un moment donné 3. RESTAURATION DE L ATTENTION : L’attention humaine n’est pas illimitée. Après un certain temps, notre capacité à se concentrer sur une tache diminue. Les pauses aident à restaurer cette attention 4. RENFORCEMENT DE L’APPRENTISSAGE ET LA CREATIVITE : Les pauses, surtout lorsqu’elles impliquent un changement d’activité, peuvent stimuler la créativité et rendre l’apprentissage plus ef cace et plus plaisant Si vous vous trouvez constamment occupé, sachez que ce n’est pas un honneur, mais que vous rendez en faite un mauvais service à votre cerveau. Pour être plus ef cace dans l’apprentissage vous devez trouver un moyen pour ne pas être occupé... : fi fi fi.. fi fi... NOUS ALLONS APPRENDRE DANS CETTE PARTIE LES DERNIÈRES DÉCOUVERTES SCIENTIFIQUES SUR LE FONCTIONNEMENT DU CERVEAU ET NOTRE CAPACITE D’APPRENTISSAGE COMMENT ALLONS NOUS UTILISER LES DERNIÈRES CONNAISSANCES POUR ÊTRE PLUS EFFICACE DANS NOTRE APPRENTISSAGE. L’OBJECTIF ICI EST DE SAVOIR COMMENT FONCTIONNE VOTRE CERVEAU ET COMMENT APPRENDRE PLUS EFFICACEMENT LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES 1 LA PUISSANCE DES CHUNK.. S 1 Les “CHUNKS” sont des unités de mémoire qui sont utilisées pour faciliter l’apprentissage La théorie du “CHUNKING” est une stratégie utilisée en psychologie cognitive et en neurosciences pour améliorer la mémorisation. Le terme est souvent utilisé dans le contexte de l’apprentissage et de la mémorisation pour décrire le processus de regrouper des informations distinctes en blocs ou “CHUNKS”. L’IDÉE EST QUE, EN REGROUPANT LES INFORMATIONS, NOTRE CERVEAU PEUT TRAITER ET RETENIR PLUS D’INFORMATIONS EXEMPLE: Il est plus facile de se souvenir de trois groupes de quatre numéros que de douze numéros individuels L’APPRENTISSAGE ASCENDANTE aussi appelé “BOTTOM-UP LEARNING” en anglais, est une approche d’apprentissage qui commence avec Les détails Les faits et, Les informations spéci ques, Puis les relie pour former une vue d’ensemble ou une théorie plus globale Voici quelques point à considérer concernant l’apprentissage ascendante (– du détail vers le global) 1. APPRENTISSAGE BASE SUR L’EXPERIENCE : L’apprentissage ASCENDANTE est souvent basé sur l’expérience. Il implique d’interagir directement avec le matériel ou le sujet d’étude, d’apprendre par l’expérience pratique et de construire des connaissances à partir de là 2. COMPREHENSION DETAILLEE : Cette méthode peut donner une compréhension très détaillée du sujet car elle se concentre sur la connaissance des détails avant de comprendre le concept général 3. AUTO-DIRIGÉ : L’apprentissage ASCENDANTE est généralement auto-dirigé. L’apprenant doit travailler de manière proactive pour assembler les détails et créer un sens global 4. APPROCHE ANALYTIQUE : Cette méthode nécessite une approche analytique, car l’apprenant doit décomposer des informations et les reconstruire pour comprendre le concept global En résumé, l’apprentissage ascendante peut être une méthode d’apprentissage très ef cace pour les personnes qui préfèrent apprendre par l’expérience er qui sont capables d’assembler des détails pour créer une compréhension globale Cependant, elle peut nécessiter plus de temps et d’efforts que L’APPRENTISSAGE DESCENDANT, car elle nécessite de construire une compréhension à partir des détails ,. :. fi.... :.. fi.. La création d’une carte mentale peut-être une méthode ef cace D’APPRENTISSAGE ASCENDANTE car elle vous permet de commencer avec des détails spéci ques (les sous- branches) et de construire une compréhension plus large du sujet (les branches principales et le sujet central) Elle aide à structurer l’information de manière visuelle, ce qui peut faciliter la mémorisation et la compréhension Un “MIND-MAP” OU CARTE MENTALE, est un outil visuel qui peut être utilisé pour organiser et structurer les informations, favorisant ainsi l’apprentissage et la mémorisation Voici comment vous pouvez créer un “MIND MAP” pour faciliter L’APPRENTISSAGE ASCENDANTE 1. IDENTIFIEZ-LE SUJET PRINCIPAL : Commencez par identi er le sujet principal que vous voulez apprendre. Écrivez-le au centre de votre feuille de papier ou de votre écran si vous utilisez un logiciel de création de cartes mentales 2. AJOUTEZ DES BRANCHES PRINCIPALES ; Autour du sujet principal dessinez des branches pour chaque sous-thèmes ou concept majeur lié au sujet principal. Vous devriez avoir plusieurs branches qui émanent du centre 3. AJOUTEZ DES SOUS-BRANCHES : A partir de chaque branche principale, ajoutez des sous branches pour des idées ou des faits plus spéci ques lies a chaque sous- thème 4. UTILISEZ DES IMAGES ET DES COULEURS : les cartes mentales sont visuelles, donc utilisez des images Et des couleurs pour aider à représenter les idées et faciliter la mémorisation. Par exemple, vous pourriez utiliser une image pour représenter chaque sous-thème 5. REVOYEZ ET METTEZ A JOUR VOTRE CARTE MENTALE : une fois que vous avez crée votre carte mentale, utilisez-la pour réviser le sujet. Ajoutez de nouvelles informations à mesure que vous les apprenez L’APPRENTISSAGE DESCENDANT OU “TOP-DOWN LEARNING” en anglais, est une méthode d’apprentissage qui commence par une vue d’ensemble, des théories générales ou des concepts principaux, puis descend aux détails spéci ques.. :..... fi fi fi fi. fi. C’est l’inverse de l’apprentissage ASCENDANTE, qui commence par les détails et construit une vue d’ensemble Voici quelques points clés concernant L’APPRENTISSAGE DESCENDANT 1. STRUCTURE GENERALE : L’APPRENTISSAGE DESCENDANT commence par une structure générale ou une idée globale, qui est ensuite décomposée en parties plus spéci ques 2. IDEES ET THEORIES GLOBALES : Cette méthode se concentre sur l’apprentissage des idées et des théories globales avant de descendre aux détails spéci ques 3. RESOLUTION DE PROBLEMES : L’APPRENTISSAGE DESCENDANT peut être particulièrement utile pour la résolution de problèmes, car il permet de comprendre le problème dans son ensemble avant de se concentrer sur les détails spéci ques 4. APPRENTISSAGE GUIDÉ : L’apprentissage DESCENDANT est souvent guidé par un enseignant ou un instructeur qui fournit la structure générale et guide l’apprenant vers les détails spéci ques En ce qui concerne la création d’une carte mentale pour l’apprentissage DESCENDANT, vous commencerez par le concept central ou la théorie générale, puis vous ajouterez des branches pour les sous-thèmes, et en n, vous ajouterez des sous-branches pour les détails spéci ques. L’objectifs est de commencer par une compréhension globale, puis de décomposer cette compréhension en parties plus petites et plus spéci ques L’APPRENTISSAGE ASCENDANTE ET L’APPRENTISSAGE DESCENDANT ne sont pas des méthodes opposées mais plutôt complémentaires En réalité, une approche d’apprentissage ef cace utilise souvent une combinaison des deux méthodes. Les deux approches représentent différentes manières de traiter et de comprendre l’information fi fi... fi. fi fi. fi fi fi... : Pour apprendre quelques choses il vaut donc mieux combiner les deux méthodes LA CLE EST DE SAVOIR QUAND UTILISER QUELLE METHOD Par exemple, si vous commencez à apprendre un nouveau sujet vous pouvez commencer par une approche DESCENDANTE pour obtenir une vue d’ensemble du sujet puis passer à une approche ASCENDANTE pour comprendre les détails spéci ques De même, si vous avez déjà une bonne compréhension générale d’un sujet, vous pouvez utiliser une approche ASCENDANTE pour approfondir votre compréhension des détails Dans l’ensemble, la relation entre les deux méthodes est qu’elles sont complémentaires et souvent utilisée ensemble pour une approche d’apprentissage complète et équilibrée Nous pouvons utiliser L’ARBRE DE L’APPRENTISSAGE qui est une métaphore utilisée pour illustrer le processus d’apprentissage Les détails spéci ques sont - LES RACINES de l’arbre - LE TRONC représente les idées principales ou les concepts et - LES BRANCHES sont les différentes application ou extensions de ces idées. Cette métaphore peut être utilisée pour expliquer la relation entre l’apprentissage ascendant et l’apprentissage descendant. APPRENTISSAGE ASCENDANT (BOTTOM-UP LEARNING Dans le cadre de l’apprentissage ascendante, vous commencez par les racines de l’arbre. Vous vous concentrez d’abord sur les détails et les faits spéci ques (les racines), puis vous fi. , :. fi ) , fi E... les assemblez pour comprendre les concepts plus larges (le tronc), et en n vous examinez comment ces concepts s’appliquent à différents contextes (les branches). L’apprentissage ascendante est un processus de construction, où vous commencez par les bases et construisez progressivement une compréhension plus large APPRENDTISSAGE DESCENDANT (TOP – BOTTOM LEARNING D’un autre côté, dans l’apprentissage descendant, vous commencez par le haut de l’arbre. Vous examinez d’abord les concepts généraux (le tronc) et comment ils s’appliquent à différents contextes (les branches), puis vous descendez pour comprendre les détails spéci ques qui soutiennent ces concepts (les racines). L’apprentissage descendant est souvent utilisé pour comprendre le “tableau d’ensemble” avant de se plonger dans les détails LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUE 1 LA RESOLUTION DES PROBLEME COMMENT RESOUDRE LES PROBLEMES fi. S 2 ?. ) fi La résolution des problèmes est la compétence la plus demandée et garantie pour les 20 prochaines années Celui qui sait comment les problèmes aura forcément un travail, car créateur. La résolution de problèmes est une compétence hautement recherchée dans de nombreux domaines. Dans le monde du travail, par exemple, être capable de résoudre ef cacement des problèmes peut vous aider à naviguer dans des situations complexes, à gérer des crises et à élaborer des stratégies ef caces C’est une compétence clé pour les dirigeants, les managers, les ingénieurs, les chercheurs et beaucoup d’autres professions La résolution de problème est un processus mental et comportemental qui vise à identi er, analyser et trouver des solutions à des situations qui posent problème Voici les étapes générales de la résolution de problèmes EXEMPLES : Problème d’éducation, problème de santé, problème de nance 1. IDENTIFICATION DU PROBLEME : C’est la première étape où vous reconnaissez qu’un problème existe et doit être résolu 2. ANALYSE DU PROBLEME : Ici, vous cherchez à comprendre le problème en profondeur. Vous devez identi er les causes du problème et comprendre ses effets = conséquence 3. RECHERCHE DES SOLUTIONS POSSIBLES : Une fois que vous avez une compréhension approfondie du problème, vous pouvez commencer à générer des solutions possibles. Cela peut impliquer une ré exion créative, la recherche de différentes options et l’évaluation des avantages et des inconvénients de chaque option. s. fi fi... fl fi. fi. fi 4. SELECTION DE LA MEILLEURE SOLUTION : Après avoir généré une liste de solutions possibles vous pouvez choisir la meilleure solution en fonction de vos critères. Vous pouvez également combiner des solutions si cela est possible et ef cace. 5. MISE EN OEUVRE DE LA SOLUTION : Après avoir choisi la meilleure solution, vous devez alors mettre cette solution en pratique. Cela pourrait impliquer de plani er et d’exécuter des actions spéci ques 6. EVALUATION DE LA SOLUTION : Une fois la solution mise en œuvre, vous devez évaluer son ef cacité. Si la solution ne résout pas le problème, ou si elle crée de nouveaux problèmes vous devez peut-être réviser la solution ou en choisir une nouvelle La résolution de problème implique souvent d’autres compétences importantes comme 1. LA PENSEE CRITIQUE : C’est la capacité d’analyser et d’évaluer une situation ou un problème de manière objective et logique 2. LA PENSEE CREATIVE : C’est la capacité de venir avec des solutions nouvelles et innovantes 3. LA PRISE DE DECISION : C’est la capacité de choisir la meilleure solution parmi plusieurs options possibles 4. LA COMMUNICATION : C’est la capacité de communiquer clairement et ef cacement vos idées, vos pensées et vos solutions aux autres Par conséquent, développer vos compétences en résolution de problèmes peut vous aider à réussir dans de nombreux aspects de votre vie, que ce soit professionnellement ou personnellement Le MODE DE PENSEE DIFFUS et le MODE DE PENSEE FOCALISE sont deux approches distinctes de la pensée qui ont des applications différentes dans la résolution de problème. Chaque mode a ses avantages t ils sont souvent plus ef caces lorsqu’ils sont utilisés ensemble 1. LE MODE DE PENSEE FOCALISE – FOCUS : Cette approche est utile lorsque vous avez besoin de vous concentrer sur un problème spéci que et de l’analyser de manière détaillée C’est le mode de pensée que vous utilisez lorsque vous êtes pleinement engagé dans une tache, que vous ré échissez intensément à un problème ou que vous apprenez quelque chose de nouveau qui nécessite toute votre attention. Par exemple, si vous essayez de résoudre un problème de mathématique complexe ou de comprendre un concept nouveau et dif cile vous utiliserez probablement le MODE DE PENSEE FOCALISE. Dans ce mode, vous pouvez analysez les détails du problème, appliquer des règles et des procédures spéci ques, et utiliser la logique pour trouver une solution fi fi.. :.. fi.. fl. fi. fi. fi fi fi. fi 2. Le MODE DE PENSEE DIFFUS : Cette approche est utile lorsque vous avez besoin de prendre du recul par rapport à un problème, de voir le tableau d’ensemble et de permettre à votre esprit de faire des connexions créatives. C’est le mode de pensée que vous utilisez lorsque vous laisser votre esprit vagabonder, lorsque vous rêvassez ou lorsque vous vous engagez dans une activité relaxante qui ne nécessite pas beaucoup de concentration Par exemple, si vous êtes bloqué sur un problème et que vous avez du mal à trouver une solution, passer en MODE DE PENSÉE DIFFUS peut vous aider En permettant a votre esprit de se détendre et de dériver vous pouvez souvent voir le problème sous un nouvel angle ou faire des connexions que vous n’auriez pas faites en MODE DE PENSÉE FOCALISÉ. Ainsi, une approche ef cace de la résolution de problèmes peut être de passer d’un mode à l’autre. Vous pouvez commencer par analyser le problème en mode de pensée focalisé, puis passer en mode de pensée diffus pour permettre à votre esprit de se détendre et de trouver de nouvelles perspectives Ensuite, vous pouvez revenir en mode de pensée focalisé pour appliquer ces nouvelles idées à votre problème LES CONNAISSANCE SCIENTIFIQUES 1 LA PRATIQUE DELIBERE fi.. E. 3. La pratique délibérée est une technique d’apprentissage qui a été popularisée par le psychologue K. ANDERS ERICSSON. Il s ‘agit d’une méthode systématique et structurée d’amélioration des compétences qui nécessite un effort considérable et une concentration ciblée sur l’amélioration des performances La pratique délibérée implique plusieurs étapes clés 1. FIXATION D’OBJECTIFS SPECIFIQUES : Pour commencer, l’individu doit dé nir des objectifs d’apprentissage spéci ques. Ces objectifs devraient être dé nis de manière à permettre une amélioration continue 2. PRATIQUE FOCALISEE : L’individu doit se concentrer intensément sur l’aspect de la compétence qu’il essaie d’améliorer. La pratique devrait être concentrée et délibérée et non passive ou automatique 3. FEEDBACK IMMEDIAT : L’individu doit recevoir un feedback immédiat et précis sur ses performances. Ce feedback peut être fournir par un instructeur, ou il peut être auto-généré à travers la ré exion consciente 4. REPETITION ET REVISION : En n, la pratique délibérée implique une répétition constante et une révision de la compétence. Cette répétition aide à renforcer les nouvelles connaissances et compétences et à les intégrer dans les compétences existantes La pratique délibérée est exigeante et nécessite beaucoup de temps et d’effort.. fl. fi fi.. : fi. fi Cependant, la recherche a montré qu’elle est très ef cace pour développer de nouvelles compétences et améliorer les performances dans de nombreux domaines, y compris les sports, la musique, les échecs et l’apprentissage académique Le livre “PEAK” : SECRETS FROM THE NEW SCIENCE OF EXPERTISE” D’ANDERS ERICSSON et ROBERT POOL explore en profondeur le concept de la pratique délibérée. Voici quelques points clés qui sont mis en avant dans le livre 1. LA PRATIQUE DELIBERER PEUT MENER A L ‘EXPERTISE : ERICSSON suggère que le talent inné n’est pas aussi important que nous le pensons pour atteindre un niveau d’expertise. Au lieu de cela, une pratique délibérée, cohérente et ciblée peut conduire à l’excellence dans n’importe quel domaine 2. LA PRATIQUE DELIBEREE EST DIFFERENTE DE LA SIMPLE PRATIQUE : ERICSSON fait une distinction claire entre la pratique délibérée (c’est à dire une pratique ciblée et structurée avec un feedback immédiat) et la pratique ordinaire (qui peut être répétitive mais passive, sans objectifs spéci ques) 3. LA PRATIQUE DELIBEREE NECESSITE UN EFFORT MENTAL : La pratique délibérée n’est pas facile Elle nécessite une concentration mentale intense et un engagement total pour améliorer continuellement les compétences 4. LA PRATIQUE DELIBEREE IMPLIQUE DE SORTIR DE SA ZONE DE CONFORT : Pour s’améliorer, il faut constamment repousser ses limites et travailler sur les compétences qui sont juste au delà de son niveau de compétences actuel 5. LES BONS ENSEIGNANTS ET MENTORS SONT CRUCIAUX : Les enseignants, les entraineurs et les mentors qui comprennent bien la pratique délibérer peuvent fournir es feedback précieux et aider à structurer les séances de pratiques pour maximiser l’amélioration. fi. fi. :...