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This document provides an introduction to market organization, focusing on fundamental economic concepts such as market structure and market efficiency. It explores various market types and the role of supply and demand.

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LES MARCHE ET ORGANISATION INTRO Contrôle: QCM (pas de point négatif) Préambule : Eco (allocation des ressource rare=limité, micro et macro éco) VS gestion (comptabilité : calcule du profil de l’entreprise, vente, ce qu’elle produit… Gestion des ressource humaine : personnel, comment je les gère,...

LES MARCHE ET ORGANISATION INTRO Contrôle: QCM (pas de point négatif) Préambule : Eco (allocation des ressource rare=limité, micro et macro éco) VS gestion (comptabilité : calcule du profil de l’entreprise, vente, ce qu’elle produit… Gestion des ressource humaine : personnel, comment je les gère, stratégie marketing : promotion de mes ventes) Micro-économie (étude des marché : très technique : comportement des gens avec des math) VS macro- économie : étude des agrégats (grandeur économique), chômage, croissance, PIB (ça on le fait pas) Marché : une offre et une demande (elle se rencontre et le prix se forme à ce niveau-là). Défaillance de marché (une intervention de l’état nécessaire, cas d’externalité ect) Concurrence (monopole, s’entendre à notre détriment, concurrence déloyale). Comment fonctionne un marché ? ------------------------- 1) De quoi parle-t-on Economie gestion de la rareté. Economie de marché, mode dominant d’organisation de nos sociétés. - Echec économique des économies planifiées - Privatisations, ouverture à la concurrence, mises aux enchères dans la commande publique, ect. En réalité, économie mixte. Ouverture à la concurrence, mouvement de libéralisation (ex : le rail, SNCF) La mairie fait un appel à la concurrence. Fonctionne avec un système d’enchère. EX : La mairie prend le pris qui est le moins chère : « ramassage d’ordure, quel prix vous me proposé ? ». La mairie fait donc appel a une entreprise extérieure pour faire le ramassage d’ordure. Université et Hopital public (ce n’est pas complètement marchant sinon l’université serait complètement privé et très chère). 1.1 Le Rôle des marchés Différents modes de fixations des prix et d’allocation des biens - File d’attente - Tirage au sort - Approche adm de la distribution de biens - Corruption - Violence - Ect. Demande supérieur à l’offre : prix deviens élever, enchère… Si l’offre augmente le prix diminue car moins de rareté. Le PRIX D’EQUILIBRE (quand le marché marche bien) Type d’allocation : - File d’attente = premier arrivé, premier servie - Tirage au sort (il n’y a pas assez de bien donc je tire au sort) - Enchère - On vous donne des tickets - Corruptions (vous payez qqun pour qu’il vous donne qqch sans que cela soit sur le marché ou par la violence) Efficacité du marché par rapport à d’autres modes de fixation des prix. Hyp disposition max à payer 1000 pour un bien dispo en quantité limitée : A plus de 1000 personne n’achète, à moins de 1000, excès de demande. Le montant qu’on est prêt à payer pour un bien est en fonction de notre richesse et de notre GOUT. Prêt à dépasser le prix mais si cela va à un certain seuil on ne l’achètera pas. Le rôle de marché est de trouver un prix selon ces caractéristiques. Si le bien est moins chère que le prix d’équilibre les gens sont prêt à perdre du temps et à subir plain des désagréments pour profiter de cette aubaine comme faire la queue pendant 1h par ex mais après un certain seuil on n’est pas prêt à attendre. Ex : loyer plafonné pour les étudiants hors il n’y a pas assez de logement pour les étudiant, donc dessous de table (donner plus pour avoir cet appartement). Le marché permet de trouver un équilibre. Marché gré à gré = interactions direct avec le vendeur (prix résulte de la négociation direct des deux personnes mais on peut passer par une autre personne/app). EX : au puce (on négocies ect) ou Uber (taxie affiche son prix et on accepte ou non, le prix peut baisser si on attend donc on est dans une négociation ou Vinted. Marché centralisé : ordre d’achat et ordre de vente centralisé. Une entité concentre l’offre et la demande global (bourse) qu’on met en vis-à-vis. EX : Vente à l’enchère (info centralisé, ce n’est pas une personne face à l’autre en direct). 1er marché et 2nd marché : 1er marché : première vente et le 2nd marché : revente (occasion) Exemple de marché : marché avec étals de la Grèce antique, blablacar, marché du travail, bourse. 1.2 Le marché dans la théorie économique Pour la théorie économique, référence de la concurrence pure et parfaite (c’est un modèle de référence mais cela n’existe pas en pratique, c’est pour simplifier les études) Marshall (1842-1924) « Le marché est le lieu de confrontation entre une O et une D qui permet d’établir un Prix et une quantité d’équilibre » Hypothèse liées : Transparence, homogénéité, libre entrée, atomicité, mobilité des facteurs de production. Un bien homogène c’est un bien qui est exactement le même, ex le marché de la chaussure de tel marque, tel type de basket (une seul variété, un bien ect). Dans le model du marché pur et parfaite l’homogénéité du produit d’un produit en particulier (hypothèse). Libre entrée : marché de la boulangerie/pizza il n’y a pas bcp de barrière à l’entrée (a part le savoir- faire). De nouvelle personne peuvent se présenter Barrière à l’entrée : cout de production plus élever et technologie avancé peuvent être une barrière comme par exemple les TGV ou la pharmacie à des barrières réglementaire (diplôme, x nombre par lieu max imposé par l’état). Mobilité du facteur de production : pas besoin de compétence particulière. EX : informaticien Rationalité du consommateur : hypothèse que le consommateur maximise sa sanctification, cherche le meilleur choix possible (très fort en économie). Hors cela nécessite de collecter toute les infos disponible, dans la réalité on choisit une solution satisfaisante (compare quelque un pas tout). Marché centralisé Marché : « deux courbes qui se rencontrent sur un graphique » : une offre et une demande Marché pure et parfaite c’est le meilleur pour le consommateur (prix le plus bas) mais dans la vraie cela n’existe pas complètement. On a d’autre structure de marché : le Monopole, Oligopole, Monopsone, Concurrence Monopolistique. Monopole réglementaire/d’état (ex : SNCF, avant les téléphone pareil et on l’a ouvert à la concurrence : oligopole = qq offreur). Monopole privé VS public. Amazon (position dominante, en phase d’avoir le monopole sur le commerce en ligne) Price taker = faiseur de prix Concurrence pure et parfaite (théorie économique) Monopole = structure du marché (ce n’est pas leader !) un seul offreur. Oligopole : secteur du forfait téléphonique (free, SFR, bouygues) automobile, lessive, music enregistré Cartel = pas bcp d’entreprise, entreprise peuvent s’entendre (préjudiciable pour les consommateurs). EX : forfait : à l’époque c’était très chère et pour éviter de se faire concurrence il y avait une entente pour nous faire payer dès la première minute (c’est interdit par la pratique de la concurrence et s’ils se font repérer ils doivent payer des amendes). Monopsone: une seul entreprise offre du travail et le salaire va être bas (pour les employés). MAIS aujourd'hui on est dans une société avec du chômage, donc on ne résonne pas en offre et demande. Les entreprises demande de la main d'œuvre et les gens offre de la main d'œuvre. Plus le prix est élevés plus l'offre est faible * le marché du travail est un cas particulier Monopole: seul à offrir ces compétences... Un eul offreurs Monopsone: beaucoup d'offreur et un seul demandeur 1.3 Apport de la socio-économique sur le marché 1.3.1. Don/transactions marchandes/non marchandes (Testart,201) Toutes les transactions qui s'échangent contre de l'argent ne sont pas nécessairement marchandes: Deux amis se vendent un bien à prix d'ami. Don : contrepartie non exigible par la loi Marcel Mauss.... trilogie du donner, recevoir, rendre Echange non marchand: les rapports entre les personnes dominent Echange marchand: les rapports entre les choses dominent. Dans la théorie etmologie et sociologique le don n'est pas la gratuite mais est définie par une trilogie: donner, recevoir et rendre. Selon Marcel Mauss: Le don c'est vouloir créer un lien social avec qqun. Quand vous donnez qqch sa implique rendre (ex: Noël ou quand on invite qqun). "Vous dite merci et êtes à ma merci". Le don gratuit, désintéressé n'existe pas (même me plaisir d'avoir donné). Pour lui c'est une transaction, une circulation de chose. La differnece c'est que l'on ne sait pas quand et si on va le rendre (comparé au marché). Don et contre-don (issu de Marcek Mauss). Effet sociaux de supériorité (donner l’aumône). Le don peut être analysé comme une transaction particulière. POTLATCH = don contre don (mais qui conduisait à la destruction) – une tribu allait voir l’autre tribu, l’autre tribu est obligé de faire un don plus somptueux. De rendre plus que ce que l’autre à donner. On peut parler de potlatch dans d’autre circonstance : KORENG (fondation de la bourse, ect), quand notre dame à pris feux, il y avait une bataille de puissance à celui qui donne le plus pour la reconstruire (similaire au potlatch). 1.3.2 La question de la construction sociale des marchés Le marché fonctionne grâce à des institutions, des procédures, des règles et des coutumes. Organisation des marchés: modes de transactions et dispositifs propres qui permettent aux transactions de s'effectuer correctement, règles juridiques qui définissent les droits de propriété Les règles de rencontre entre acheteurs et vendeurs Définition qualité (par ex. decret marcus) Contrats de vente (ex. Délai de rétractation) Sécurisation des échanges, etc. Voir le marché des NFTs (non sécurisé, absence de demande d’autorisation à l’auteur de l’œuvre initiale) Règles informelles et règles formelles (de la base vers le sommet et du sommet vers la base). Dans l'histoire de la construction d'un marché, celui-ci atteint son potentiel quand les règles informelles sont complétées par des règles formelles Exemples Années 1990, Marché de la photographie plasticienne Marché des droits à polluer (voir chapitre suivant) 2.La question de l’éthique du marché (Jean Triole, Economie du bien commun, 2016, Dunod, pp.57-93) C’est forcément les pays les plus riches (PIB) les plus satisfait. Il y a d’autre critère qui doivent être pris en compte. En France on est super pessimiste, c un état d’esprit français. Certains économistes ont comparé des personnes vivant en France : Français et étranger. A l’étranger aussi les expat français sont pessimiste quand on compare à travaille et situation égale avec d’autres personnes. En 2005 : 61% des habitants de la planète pensent que le marché est le meilleur mode l'allocation des biens 65% des allemands, 71% des américains, 43% des russes,42% des argentins...et 36% des français « Ce que l’argent ne saurait acheter » cf. Michael Sander, 2016 (adoption, GPA, sexualité, droit de vote, admission grande universités, ect). Exemple : critique du marché des droits à polluer L’économiste se dit que c’est aussi amoral. 2.1 Limites morales ou défaillances de marché? Question de la morale complexe, on prend parfois pour de la morale des éléments qui peuvent être expliqués autrement en économie. Information Perte de valeur du bien s'il peut être acheté Diplôme, signal de richesse et non pas signal de compétence Externalités Vente de drogue: pas question morale, mais question d'externalités et de santé publique Argent et Incitations Question des motivations intrinsèques = normes (valeur moral : la honte…) et valeur de l’individu, valeur qui va vous pousser à faire certaine chose (pas liée à l’argent) et extrinsèques = veut inciter qqun a faire qqch en lui donnant une récompense ou en le payant peut être négatif ou positif ex : en la taxe pour pas polluer (effets parfois contreproductifs des incitations) Cela pose un problème de la manipulation de personne (le sentiment de honte est bcp utilisé en politique pour l’environnement par exemple ou ils mentent pour inciter à avoir un comportement pour dire il y a tant de personne qui trie leur déchet : faux chiffre, est-ce qu’ils ont le droit de faire ça ?) Economiste : Ils analysent par des arguments et ne justifie pas par des principes moraux. 2.2 Le non-marchand et le sacré La vie n’a pas de prix : pourtant choix implicites Rémunération pour les dons d’organe (l’information sur la conséquence de ses actes, protection des individus) Le marché c’est contre le lien social (critique) mais d’un autre côté on n’a pas envie de négocier tous les jours pour aller acheter notre pain ou autres. « La vie n’a pas de prix » : on est obligé à un moment ou un autre de mettre un prix (même si c’est un sujet un peu tabou) : assurance social…. VIDEO : Quel est le prix d’une vie humaine ? [Francois-Xavier Albouy] Valeur et prix n’est pas la même chose en économie (un tableau avec une grande valeur artistique peux être à un bas prix car personne n’en veut) Il parle d’un prix minimum pour tout le monde, donc on est obligé d’investir pour développer/préserver ce prix minimum et avoir des prix plus accessible pour la santé. L’indignation comme guide de la moralité ? Evolution des tabous dans l’espace et dans le temps - Cf. Evolution de l’assurance 2.3 Le marché, menace pour le lien social ? Le marché antonymies les relations Oui… mais en même temps évite la relation de dépendance (cf.don, contredon et rôle du merci) 2.4 Le marché créé des inégalités Politique de redistribution Un déséquilibre avec les nouvelles entreprises qui veulent se développer et qui sont écrasé par les grosses compagnies. Pour corriger ces inégalités il y a une politique de redistribution. Plus d’inégalité aux USA il y a plus d’inégalité…. Autres typologies théoriques : (voir dans la suite du cours la typologie selon Mintzberg) 4. Etude de cas particuliers (complément) 4.1 Les marchés d'enchères Enchères anglaises (prix de réserve ect celle que l’on connait le plus, celui qui gagne c’est le dernier qui enchérit. En fonction de votre richesse et de l’estimation de la valeur du bien (information qu’ils ont) vous vous fixer un prix), hollandaises (prix qui sont descendant, on a un petit plot électrique, par ex on a 10EUR et ça diminue. Pour des denrées périssable car ça va très vite, le premier qui lève le bras quand le prix baisse, il l’a. Dans la théorie des enchères descendante dès que le prix arrive à la valeur de bien vous lever la main), sous plis-scellés (Petit groupe. Chaque personne va mettre le montant maximale le montant qu’il est prêt à payer pour ce stylo par ex, et on ramasse les enveloppe et la valeur maximale l’emporte. Donc vous avez intérêt à révéler votre vraie estimation de prix). Le commissaire-priseur sur les enchères : agit comme mandataire entre le propriétaire et assure la mise aux enchères. Modèle de courtage en France (pas de commisseur primeur comme sur Ibay) Propriété théorique des enchères : ascendantes ou descendantes, même prix d'équilibre Utilisation pour la 4G La question de la malédiction du vainqueur Enchère concours de beauté : le pouvoir public fixe un prix (pour ce prix qu’est-ce que vous me proposer et c’est l’entreprise qui propose le plus de service qui va gagner). YT : Les secrets des ventes aux enchères dans l’art urbain Marché primaire : première vente (galerie) / Marché secondaire : marché de la revente (enchère) « Présente au enchère ce qui a déjà été défendu en galerie normalement », c’est moins chères aux ventes des enchères comparées en galerie. Les galeries présentes des œuvres récentes. À l’enchère c’est des œuvres plus vielle (offre un choix homogène). Estimation basse/haute, prix de réserve = le prix ou le vendeur à le droit de ne pas vendre son œuvre, en dessous de l’estimation basse. – On peut enchérir par téléphone, sur internet ou sur place ou par mandat (prix max donné par l’acheteur). En tant qu’acheteur vous payer un pourcentage en plus comme 30% sur le prix adjugé. Voir vidéo : marché du sable documentaire (extrait ou 1h du documentaire) *arte campus le sable enquête sur une disparition Création du marché du sable. La question de la définition d’un marché et des droits de propriété et la tragédie des communs : renvoi aux ressources naturelles épuisables. Si on donne à une personne la propriété à cette ressource, il va veiller au renouvellement et à la durabilité de cette ressource car il peut y avoir une surexploitation si chacun se servait (donc il mettrait des limite pour pas que la ressource s’épuisent pour éviter que chacun exploite trop cette ressource). 3. L’organisation Diversité: entreprises, syndicats, associations, partis politiques, collectivités, territoriales ect. Quels sont les points communs ? DEFINITION : Edgar H. Schein : « Une organisation est la coordination rationnelle des activités d’un certain nombre de personnes dans l’atteinte d’un but explicite commun via une division du travail et une hiérarchie de l’autorité et des responsabilités » Le PB : dès que la taille du groupe augmente le nombre de lien devient plus conséquent, donc ce n’est plus efficace passé un certain seuil. Il vaut mieux avoir une hiérarchie d’autorité/de responsabilité qui va synthétiser l’information, organiser ect. L’objet social de l’entreprise = but de l’entreprise (ex : comptabilité national ou l’INSEE : collecte l’argent. Quand une entreprise ouvre toute son activité dans être en but de cet objet social sinon détournement de fond (il ne faut pas que cela n’ait rien avoir avec leur activités) Rôle central de la décision au sein de l’orga. Ainsi que la hiérarchie et de l’autorité. 4 personne -) 6 liens 10 personnes -) 45 liens (TROP) donc hiérarchie pour organisation pour que l’information circule mieux. La famille = une institution (en sociologie car agencement social) Remarques R1 : Consensus non évident : Courant fonctionnaliste versus courant critique R2 : Aspect substituable des participants dans une orga. (Différent d’une famille). 3.2 Typologies Multiplicité des typologies existantes, en pratique et sur le plan théorique Depuis 2008, selon l’INSEE Micro-entreprise : moins de 10 personnes employées, CA annuel inférieur à 2 millions d’euros PME de 10 à 249 personnes, CA inférieur à 50 millions d’euros (difficile de déléguer le pouvoir pour le patron) ETI entre 250 et 500 personnes, CA annuel inférieur à 1500 millions d’euros. Les grandes entreprises : entreprises non classées dans les catégories précédentes Dans l’économie les grande entreprise ont plus d’impact mais moins nombreuse que les petites entreprises Autre distinction, Comptabilité nationale : Production marchande Entreprises (entreprises individuelles, sociétés non financières, sociétés financières) Production non marchande Administration publiques, Organisations à but non lucrative Du point de vu de la comptabilité national : université (subvention) -) non marchant. L’idée que quand on met en vente un bien est cela est inférieur à 50% des couts de production cela est non marchant et on dit qu’une production est marchande quand le prix couvrent plus de 50% des couts de production. Autres typologies théoriques : (voir dans la suite du cours la typologie selon Mintzberg) LE MARCHE, CADRAGE PRINCIPES GENERAUX (chapitre le plus téchnique) Prix planché = on ne peut pas fixer un prix en dessous de x prix (au-dessus ok mais pas en dessous de x prix) Prix plafond = prix maximum (l’inverse) Ex : prix plafond pour le loyer à Montpellier, ça protège les personnes mais il peut y avoir des effets pervers. Théorie économique sur un marché : On laisse les prix se rencontrer librement en fonction de l’offre et de la demande (prix fixé mais en amont il y a eu des producteur et il y a un prix d’équilibre qui se forme en fonction des rapports de force). EX : baguette à 1EUR s’il le mettait à 2EUR il y aura personne, tout le monde irait ailleurs car il y a une offre de baguette élevé. 1.Les bienfaits de l’échange, mécanisme et quelques définitions 1.1 Les gains de l’échange : Intérêt pour les deux à échanger : Tout échange de réparation de vélo contre une quantité de repas comprise entre un et huit sera bénéfique pour les deux. *Ressource rare = le temps. Chacun ce spécialise et après gain d’échange (repas contre réparation vélo) - Différences de gouts - Différences d’aptitudes - Dotations initiales différentes (ex : vivre en forêt : bcp de gibier et champignon OU mer : fruit de mer…) - Economies d’échelle obtenues en produisant de plus grandes quantités (plus on produit de pizza et plus le cout va diminuer : main d’œuvre (au fur et à mesure main d’œuvre s’améliore) + four (frais fixe = couts d’achats du four) + électricité + ingrédient… -) expérience et on étale les couts fixe sur + d’unités) 1.2 Le raisonnement à la marge : Les agents économiques ne raisonnement pas sur des quantités globales ou moyennes, mais sur des quantités additionnelles, ou marginales ( c’est soit la dernière unité, soit l’unité suplémentaire qui est prise en compte). EX1 utilité (=satisfaction) marginale : ce que la consomation d’une unité supplémentaire d’un bien ou service apporte comme satisfaction supplémentaire à la personne EX2 cout marginal : de combien va augmenter le cout total suite à la production d’une unité supplémentaire d’un bien Ces éléments sont prix en compte dans la construction des courbes d’offre et de demande (les details de la construction de ces courbes ne sont pas vi ici) On retiendra juste en général : pour les consommateurs, on a une loi générale, celle de l’utilité marginale décroissante (effets de saturation sur bien, au fur et à mesure qu’on consomme des unités supplémentaires d’un bien, le plaisir qu’on retire diminue). 2. Prix et marché, en concurrence pure et parfaite. 2.1 La demande Fonction de demande : indique la quantité Q d’un bien que l’on souhaite acheter pour chaque niveau P de prix (les autres variables étant fixées, cf. diapo suivante) La disposition à payer : donne le prix max par unité auquel une personne est prête à prendre chaque quantité possible d’un bien Loi de la demande décroissante : plus le prix d’un bien augmente plus la quantité demandée de ce bien est faible et inversement. Autres variables qui influencent la fonction de demande : - Le revenu de la personne - Le prix des autres biens - Les caractéristiques de la situation des personnes - Le nombre de demandeurs - Les anticipations (profile auto réalisatrice, ex : papier toilette lors du covid) Les déplacements de la courbe de demande dépenddent de variables exogènes Ne pas confondre : les déplacements le long de la courbe de demande qui dépendent du prix…. 2.2 L’offre La fonction d’offre : donne la quantité d’un bien qu’un individu est disposé à vendre pour chaque prix possible. Loi de l’offre : en général et toutes choses égales par ailleurs, plus le prix d’un bien est élevé, plus la quantité offerte de ce bien est élevée et inversement. Prix de réserve : Prix minimum duquel le vendeur ne veut pas céder un bien. *Attirer par la perspective de profit –) si prix élevé donc quantité élevé car même personne qualifié veulent se business (offre seulement) Plus les prix sont élevés et plus les quantités offertes sont élevé. Les autres éléments qui peuvent intervenir : - Dotation ou richesse du vendeur - Les couts de production - Les caractéristiques de la situation ou des personnes - Le nombre d’offreurs - Les anticipations 2.3 Prix et quantités d’équilibre 2.3.1 Equilibre et prix : L’exemple du marché des glaces - le prix d’équilibre est obtenu quand la quantité offerte est égale à la quantité demandé, ici, 2 euros - Si le prix se fixe a un autre montant….. (à compléter) - par exemple si le prix est à 1,5 euros (à droite) on a un excès de demande et une pénurie de glaces. Certains consommateurs vont proposer un prix plus haut ; d’autres sortent du marché. Déficit/pénurie d’offre = la demande dépasse la quantité de biens/services disponibles sur le marché 2.3.2 NOTION DE SURPLUS Le surplus du consommateur mesure la différence entre ce que le consommateur est dispose à payer et ce qu’il paye effectivement (gain psychologique) Le surplus du producteur correspond entre le prix de réserve du producteur et le prix effectif de l’échange. *Tout le monde n’a pas le même cout de production : il y en a des plus rapide pour produire, ex il fait 10 baguette dans l’heure et le voisin n’en fait que 8 donc le cout de revient chez moi est moins élevé. Il y a un prix unique sur le marché et je ne peux pas vendre à tout le monde, donc j’ai un revenu plus élevé que seulement avec le cout de reviens. La somme des deux forme la valeur totale du gain de l’échange. Les Nudges (ou "coups de pouce") sont des techniques pour influencer subtilement les comportements sans imposer de contraintes. EX : mettre les bonbons à la caisse à l’unité au supermarché. 2.4 Déplacement de la fonction de demande (chocs de demande) Un été particulièrement chaud augmente la demande de glace. On a un excès de demande (trait en rouge) et un risque de pénurie de glaces. Les acheteurs proposent un prix plus élevé quitte à consommer moins, et d’autres se retirent du marché. Les offreurs sont attirés par les prix plus élevés. Un nouvel équilibre est atteint au prix de 2,5 euros (dans notre exemple augmente). 3. Un concept fort utile : l’élasticité 3.1 Elasticité prix 3.1.1 Elasticité prix de la demande : sensibilité de la demande par rapport aux variations de prix en pourcentage ramené à la variation de quantité. Ex : les soldes mon prix augmente -) ma demande diminue Si prix baisse -) demande augmente Les variations sont négative car le prix et la demande se croise On parle de bien ordinaire, bien de consommation courante VIDEO YT : L’élasticité-prix de la demande / « comprendre les élasticités, le cas de l’élasticité prix de la demande. (ECONOMIE) » T.V = (valeur d’arrivée – valeur de départ)/valeur de départ en % Elasticité des prix = E(d/P) = T.V (demande) / T.V (Prix) CAS PARTICULIER Elasticité positive : bien de luxe seulement. Donc dans le domaine du luxe, ils n’ont aucun intérêt de diminuer leur prix. *DEMANDE PARTICULIERE INELASTIQUE/RIGIDE : quel que soit le niveau de prix la quantité demandé reste les même, si mes prix sont égale à 100 on a la même quantité, ma demande est verticale. C’est un bien de première de nécessité, ex : médicament. Demande rigide. Elasticité rigide (inélastique) = variation = 0 (égale à 0) *DEMANDE INELASTIQUE: la variation de prix ne varie pas bcp. Demande réagit peut a la variation de prix. Variation de quantité est faible. Rapproche de la verticale. Prix augmente et la de demande VARIE TRES PEU. ELASTICITE inférieur à 1 *DEMANDE ELASTIQUE : Réaction de la demande plus importante. Prix augmente, la demande VARIE BCP. ELASTICITE égale à 1 Demande INELASTIQUE ELASTIQUE 3.1.2 Elasticité prix croisée (toujours en %) ELASTICITE DE PRIX CROISE : voir comment un produit réagit quand le prix d’un autre produit change (COMPARE DEUX BIENS), ça mesure comment le prix d’un produit influence la quantité qu’on achète d’un autre produit. Deux biens indépendants : n’ont rien à voir l’un avec l’autre. Elasticité = 0 Deux biens complémentaire : un produit à un impact sur un autre, quand le prix d’un bien augmente vous aller moins le consommer et consommer plus l’autre. EX : tu aimes les pizzas et les burgers : Si le prix des pizzas augmente, tu pourrais acheter plus de burgers à la place, parce que les pizzas sont devenues trop chères. A noter : L’élasticité prix croisée d’un bien dépend des préférences de l’individu, de son revenu et du prix de ce bien. L’élasticité de la demande en général est plus élevée sur le LT : Ex : choc pétrolier 1973-74 A CT, faible diminution de la conso suite à l’augmentation des prix. A LT forte baisse, voitures plus économes, isolation maisons, modifie des habitudes de chauffage et de déplacement. Ainsi, non seulement la demande par rapport au prix à LT est donc en général supérieure à l’unité. Biens indépendants : élasticité prix croisé = 0 Biens complémentaires : élasticité prix croisé négative Bien substituts : élasticité prix croisé positive 3.2 Elasticité revenu Mesure la variation relative de la demande d’un bien à la suite d’une variation relative du revenu. Dit autrement elle mesure la variation en % de la demande du bien suite à une variation de 1% du revenu. Permet de répondre à la question du type : Si les bourses sur critères sociaux des étudiants augmentent de 1%, quelle est la variation en % de la conso de manuels universitaires ? Elle dépend des préférences de l’individu et des prix de tous les biens. Elasticité revenu positive : Bien normal - Bien prioritaire ou de première nécessité : bien dont la conso augmente en % moins que le revenu donc élasticité revenu entre 0 et 1 Autrement dit, si le revenu ⬈ AUGM de 1%, la conso ⬈ AUGM mais moins de 1% - Bien de luxe Bien dont la conso ⬈ AUGM en % plus que le revenu Elasticité revenu supérieur à 1 Donc, si le revenu ⬈ AUGM de 1%, la conso va ⬈ AUGM de plus de 1% Elasticité revenu négative : bien inférieur Bien dont la conso ⬊ BAISSE quand le revenu ⬈ AUGM 4.1 Fixation de prix plafond Si le prix plafond est supérieur au prix d’équilibre -) rien ne se passe (Plus d’offre que de demande) Si le prix plafond est inférieur -) demande insatisfaite (plus de demande que d’offre), MAIS cela peut induire des effet pervert : un marché illicite peut se développer; dessous de table proposé à des prix élevé. *Pas de question sur le marché du travail (D : entreprise, O : main d’œuvre) pour l’exam* Prix plancher = on ne veut pas que le prix planché tombe sous un certain montant (sinon cela devient indécent). 4.2 TAXE Taxe : prélèvement de ressources au profit de l’Etat Assiette : sur ce quoi porte la taxe, conditions dans laquelles la taxe est due et les différents montants, biens ou personnes qui y sont assujettis. Taxe ou montant unitaire : pourcentage applicable à la base taxable Taxe sur transactions ou taxe indirecte : prélèvement d’un montant sur un bien acheté, introduction d’un écart entre le prix payé par le conso et celui perçu par le producteur. *PAS DE QUESTION SUR : « répartition de la charge de la taxe selon l’élasticité de la demande…. »* - FIN DU CHAPITRE – Défaillances de marché 4 situation possible de défaillance de marché (ou le marché pourrait ne pas fonctionner) - Information Besoin d’intervention de l’état : - Bien collectif - Externalités - Monopole naturel -) taxe/droits à polluer Défaillance de marché : Situation dans laquelle le marché n’est pas à même d’allouer les ressources de façon optimale. Il est nécessaire de corriger son fonctionnement, cette correction est souvent prise en charge par les pouvoir publics. Réglementation : actions que l’état entreprend pour contrôler les décisions de prix, de vente ou de production d’entreprises, lorsque les décisions prises dans le cadre d’une économie privée ne tiennent pas suffisamment compte de l’intérêt général. 1. Problèmes informationnels 1.1 Les bien et leur qualité Bien de recherche (Nelson, 1970) : on peut connaitre la qualité de façon objective grâce à une simple recherche d’information (ex : ordi : bien de recherche -) la taille, mémoire, vitesse de rame…) Bien d’expérience (Nelson 1970) : on ne peut connaitre la qualité de façon individuelle qu’après consommation (alimentation Bien de confiance (Darby et Karni, 1973) : un bien pour lequel jamais sure de la qualité, même après consommation (ex : crème anti-ride, bien certifié : bio, œuvres d’art : un vrai ou un faux ? on fait confiance à l’expertise du vendeur). *Beltracchi à Montpellier faisait des faux œuvres d’arts Service = bien d’expérience. 1.2 Asymétries d’information DEF : Situation où toutes les parties prenantes d’une transaction sur le marché ne détiennent pas la même information. 2 types d’asymétries d’information - Séléction adverse (ex ante, antérieur à la transaction) - Aléa moral (Expost, accord après l’échange entre les personnes) 1.2.1 La sélection adverse AKerlof (The market for Lemons, 1970 – marché d’occasion de mauvaise qualité) En réalité étude du marché des voitures d’occasion. a. Quels dysfonctionnements ? Si asymétrie d’information (vendeur connait la qualité mais pas l’acheteur) =) disfonctionnement. DONC résultat bonne qualité disparait et le marché peut disparaitre et Seuls les biens de mauvaise qualité demeurent =) Les bien de bonne qualité ne sont plus proposé à la vente car ils ne sont pas prêt à brader leur prix donc que les mauvaises qualités reste (quand on n’a pas les moyen de prouver la qualité c’est cela qui se passerait). Spence : dit qu’on peut éviter cette défaillance de marché -) le vendeur qui détient le bien de bonne qualité signal/révèle la qualité de son bien. MAIS tous les signaux ne sont pas crédibles : pour qu’un signal soit crédible il doit être couteux et que le cout de ce signal soit fixé de telle façon qu’uniquement les gens qui détienne un bien de bonne qualité ait une incitation à émettre ce signal. EX de signal de qualité: faire essayer un échantillon (cela à un cout pour faire découvrir qqch de nouveau mais si c’est bon les gens vont acheter), satisfait ou remboursé, image de marque (certificat de qualité, on connait la qualité), la garantie 6ans (car si le véhicule est de bonne qualité -) peut de retour MAIS si de mauvaise qualité -) couteux donc pas intérêt à donner la garantie si le bien est de mauvaise qualité). Quand l’information est parfait pas besoin de garantie, MAIS si l’information est imparfaite : le fait de donner ce signal on va gagner un tout petit peu moins. L’Etat peut intervenir si besoin -) oblige à ce qu’il y est certaine révélation d’information -) qualité (EX : assurance obligatoire pour tous les individus sinon seul ceux enclin à avoir un accident prendrais l’assurance) Cours : b. Moyens permettant d'éviter l'effet de sélection adverse - Théorie du signal (Spence) L'initiative de la révélation de l'information provient de celui qui la détient Pour être efficace un signal doit être coûteux Ex. d'application : échantillons gratuits. - Contrats séparateurs C'est la partie opposée qui met en place le mécanisme de révélation de I'information Assurance (prime élevée et franchise faible ou prime faible et franchise élevé) Franchise (montant non remboursé) vs Prime =) ex : Contrat1 : paye bcp et ils remboursent tout. Contrat2 : peu élevé et ils remboursent qu’une partie. 17/10/24 Le modèle : Hypothèses. Vendeur : connaît la qualité Acheteur : ne connaît pas la qualité (aucun moyen de la connaftre) Prix d'un véhicule de bonne qualité 4000 Prix d'un véhicule de mauvaise qualité 1000 Recherche de la max. du profit pour le vendeur, Rationalité des acheteurs (ne veulent pas payer trop au regard de la qualité) Prix max accepté par acheteurs 2500 Conséquence. 'Sélection adverse' seuls les mauvais produits demeurent 1.2.2 Aléa Moral Aléa moral est expot donc après (après la rédaction d’un contrat) =)Assureur voie le résultat mais il est pas capable de voir si c’est lié a un aléa ou qqch inventé : asymétrie d’information (élément incertain ) =)par la suite cela renvoie à de l’opportunisme des gens. Entente oral, conclu un accord et l’autre personne ne tient pas la parole : cause un préjudice. Un alea moral sur l’éffort et sur l’information. Un principal (celui qui délègue de décision à l’autre personne. Ex :l’assurence) et un agence (ex :assurer). BOBARE = situation potentiel d’aléa moral. =)trouver des clauses incitatif pour corriger cette alea moral. Initialement cela concernait V'assurance et représentait le risque qu'un agent, une fois le contrat signé, modifie son comportement en devenant plus imprudent ou en cherchant à profiter de la situation par exemple (ex post). Ce danger se présente lorsqu'il est difficile ou impossible de contrôler la prise de risque de l'assuré. Ainsi, se sachant protégé par une assurance un conducteur automobile peut adopter une conduite risquée, un patient augmenter plus que nécessaire ses frais médicaux.. Cette notion s'est élargie et ľ’aléa moral renvoie aujourd'hui plus généralement cela renvoie aux situations où un individu (agent) s'engage dans le cadre d'une relation contractuelle à accomplir une action pour le compte d'un autre individu (le principal) et que le résultat de l'action dépend d'un paramètre qui est connu de 'agent mais pas du principal. Ľagent peut utiliser à son avantage l'information privée qu'il détient, I bénéficie d'une rente informationnelle. Sélection adverse : le vendeur connait la qualité et c’est avant la transaction que je ne sais pas. L’aléa Moral je paye quelqu’un et il va me donner une info éronné que je ne peux pas vérifier (contrat oral, une tente, ou signé). CE N’EST PAS LA MÊME CHOSE. Très souvent quand on est sur une sélection adverse on tombe sur de l’aléa moral. Deux types d'aléas moraux - Aléa moral sur l'effort fourni - Aléa Moral sur l'information délivrée Solutions : jouer sur des contrats Exemple 1: le cas du commercial Exemple 2: le cas de l'expert Solutions: des contrats spécifiques poussant à révéler l'information Pour éviter ces conséquences nuisibles à l'activité économique, on peut aussi avoir une intervention des pouvoirs publics (rôle des labels et des réglementations), ou mettre en place des incitations pour respecter le contrat (franchises médicales). EFFORT : J’emploie deux commerciaux : o Commercial paresseux (ville facile) -) revient avec 3 contrat o Commercial travailleur (ville difficile) -) 1 contrat Je ne sais pas ça (je vais pas les contrôler sinon perte de temps) Je vais donc créer des incitent ion : - clause de participation (revenu minimum, obligatoire pour qu’ils acceptent de travailler avec moi) - Prime à la commission INFORAMTION : La personne me donne sont diagnostique mais incapable de savoir si l’info est vrai ou si il dit ça pour me faire payer plus. 1.3 Défaillances de rationalité En éco on suppose que les gens ont une rationalité parfaite : capacité de calcule de traitement d’info comme des machines/ordi. Dans la vrai vie les gens ne régissent pas comme des machine ou n’ont pas toute les infos ce qui peut amener à l’intervention de l’état. L’effet de cadrage : La façon de présenter qqch ou poser les questions cela influence la réponse EX : Verre à moitié plein ou moitié vide : les 3 quart des gens vont répondre à moitié plein (même si c’est la même chose) donc les gens ne réagissent pas comme des machines. 1.3.1 Effet de cadrage : Influence qu'a la formulation d'une question ou d'un problème sur la réponse qui y est apportée https://www.youtube.com/watch2v=e4SJFiLbaSQ – Framing effect : do you prefer the glass…. https://www.youtube.com/watch?v=2mVgP5dISvQ 1.3.2 Option par défaut : Le fait d'offrir une option par défaut augmente la probabilité qu'elle soit choisie. Quand on doit faire un choix, on emprunte la voie de la moindre résistance. Application : cotisation retraite en Angleterre, augmentation de 9 millions de cotisants entre 2012 et 2018. US : retraite -) doit décider quel pourcentage de salaire je vais mettre de côté pour la retraite. Exemple 2% ou 4% ou 6%. Ils prennent 4%. MAIS si 2%, 4% ou 6% coché, donc on vous propose qqch par défaut, il y a une plus faible de personne qui décoche pour choisir autre chose. 1.3.3 Effet de dotation : Thaler. Aversion à la dépossession Attribution de plus de valeur à un bien que l’on possède que ce qu’est notre propension à payer si on ne le possède pas Expérience du Mug https://ici.radio-canada.ca/tele/la-facture/site/videos/8835487/passez-mot-sur-effet-dotation https://www.youtube.com/watch?v=RSn9sVoq4TE Csqce : effet grenier Perturbations au niveau de l’offre et de la demande : pénurie artificielle de l’offre, hausse exagérée des prix, sur les marchés financiers ne pas vendre à temps des titres 1.3.4 Applications en politiques publiques et …. marketing : Les nudges (coup de pouce) https://www.youtube.com/watch?v=an8VCdtzkQ8 https://www.youtube.com/watch?v=i-SVxDlBgXY (pub a la fin de la video) L’effet de dotation : ex : un mois gratuit, donne envie de le garder et de payer qqch que tu n’aurais pas payé de base. L’effet grenier : Surévaluation de notre bien (accorder plus de valeur que cela en a réellement. Donc les marchés ne sont pas aussi fluides que ce que l’on pensait de base. Nudge : si on vous dit les serviettes change tous les deux jours pour l’environnement, on se conforme à la norme (on fait comme tout le monde). Economie comportemental, nous ne sommes pas des êtres rationnels. Nudge littéralement coup de pouce, permet de créer des actions plus efficace pour inciter les comportements. Un puissance remarquable pour des coups très faible, ex : norme social. Technique simple pour encourager le comportement, ex : ajouter une phrase : tout les jours des gens font un dons (site dons d’organe au uk). Ou L’encrage : promotion limité à 12 cans par personnes. Dan Ariely. « C’est moi qui décide » - Predictibility irrational (fun book in marketing) 2. Biens collectifs Définition Bien collectif = bien qui est non rival et non excluable Non rivalité : bien qui peut être consommé simultanément par plusieurs personnes sans que la consommation par un individu ne diminue les quantités disponibles pour les autres. Un bien est dit non rival quand la consommation ne diminue pas pour les autres (ex : la connaissance, un cours, une pièce de théâtre, lumière dans la rue, l’air) Une fois produit, le bien est automatiquement disponible pour les autres individus. Cela revient à une production jointe à utilisateurs multiples. On parle aussi d’indivisibilité de l‘offre. NB: Simultané, permet de faire la différence entre les biens collectifs et les biens durables Non excluabilité : quand il n’existe pas de moyen d’empêcher quelqu’un de consommer un bien une fois qu’il a été produit (un individu paye et tout le monde va en profiter. Ex : lumière dans la rue -) faire payer indirectement par l’impôt avec l’état par exemple comme on n’arrive pas à faire payer directement l’individu). Diffusion délictuelle à des propriétés de bien collectif (au début c’était la redevance : paye par l’impot et il y a eu une innovation qui à pu changer le privé pour l’excluabilité. Puis autre innovation de marché ou commercial qui est révolutionnaire : invention du marché à biface =) la pub : faire payer en fonction du nombre de gens qui regardent). Par extension on élargit aux biens pour lequel la mise en place de procédures d’exclusions aurait un coût prohibitif Remarque : Excluabilité naturelle pour les biens privés (droit de propriété) Remarques : Possibilité d’effets d’encombrement : passé un certain seuil de consommateurs, la qualité du bien est affectée (Plus de gens consomme plus la qualité est affecté. EX : un tableau, si il y a trop de gens tu voie mal ou le voie plus : qualité du bien affecté) Portée spatiale : plus ou moins large de mon bien collectif. Si limitée, biens collectifs locaux. (EX : télé porté importante de niveau local : bien collectif locaux, internet porté spacial super importante niveau international). Bien collectif pur : bien dont toutes les caractéristiques sont collectives et qui est obligatoirement consommé par tous les individus du groupe considéré, qu’ils le veuillent ou non (obligation d’usage). EX : la défense national, vous ne voulez pas le consommé mais c’est produit pour la nation donc vous allez bénéficier du bien-être de l’avoir et c’est susceptible d’exercé sur le territoire : obligation d’usage. Catégorisation des biens et services Rival Non rival Excluable : - Stylo, banane, voiture - Théâtre, bien club (salle de sport) Non Excluable : - Jardin public - Défense national (esplanade) - Service global - Eclairage On n’arrive pas à faire payer les personnes donc on fait payer par l’import (défaillance de marché). Défaillance de marché avec bien collectif : Free rider : Les personnes tendent à adopter un comportement opportuniste et tentent de payer le moins possible tout en tentant de tirer à leur avantage le principe de conso simultanée (passager clandestin ou free rider) Pas d’incitation à révéler ses préférences, les individus ne révèlent pas leur disposition à payer. NB : Parfois on peut profiter du bien sans que rien ne prouve que l’on a violé le droit du possesseur sur le bien. On est simplement là au moment où il a été produit - Non rival Donc on a une sous production du bien collectif, parfois dans certains cas, le bien collectif peut ne pas du tout être produit. Ex. Le bien vaut 100 euros La dispo à payer individuelle est de 80 euros (mesure la satisfaction retirée) Si deux versements de 100, on a un gain individuel (satisfaction retirée) de 60 euros (2*80-100) (on bénéficie de deux biens et on en a payé un seul) Si une seule personne paye elle perd 20, l’autre gagne 80 Si on s’entend et on respecte notre confiance tout le monde gagne (bien collectif : meilleur pour tout le monde). Mais dans la pratique/vraie vie : Dilemme du prisonnier : L’un et l’autre pensent que l’autre va payer donc au final personne ne paie. La stratégie de défection est dominante si pas de coopération “IL N’Y A PAS DE QCM SUR CA”*****après prof à dit peut être sur le concept Solution : pas possible de faire payer directement, donc on fait payer indirectement par l’impôt. Cas particuliers de bien collectif : Marché 1 : La diffusion des programme télévisés, internet. Non rival et non excusable Marché 2 : Une solution de financement originale, le marché à biface. La pub indirectement finance les programmes 3. Les externalités Pigou (1932) Définition : situation où une personne A, alors qu’elle est en train de rendre un certain service, contre paiement, à une autre personne B affecte incidemment d’autres individus, en bien ou en mal (non productrices de services similaires), et cela de telle manière qu’un paiement ne puisse être imposé à ceux qui en bénéficient, ni une compensation prélevée au profit de ceux qui en souffrent ». Externalités (négatives) publiques et privées (Baumol, Oates 1088) Publiques: effets externes non rivaux (mauvaises odeurs) Privées: effets externes rivaux (papiers gras, jeter un déchet dans mon jardin) Exemple d’externalités positives réciproques Meade (1952) apiculteur et arboriculteur : les abeilles en butinant augmente la fertilité de la fleur et l’apiculteur bénéficie de l’arboriculteur car les fleurs nourrissent de ces fleurs (gratuite) = double externalité positive. Externalités positives de production : action d’une ou plusieurs firmes bénéficie à un ou plusieurs agents (entretien paysage par agriculteurs, formation profressionnelle) Externalités positives de consommation : les actions d’un ou plusieurs consommateurs bénéficient à un ou plusieurs agents (entretien patrimoine privé, jardin) Externalités négatives de production : action d’une ou plusieurs firmes induisent des dommages à un ou plusieurs agents (pollution) Externalités négatives de consommation : les actions d’un ou plusieurs conso causent des dommages à un ou plusieurs agents (fumée, bruit) Cout social = société étude, plus de gens litéré, bien pour le pays. Cout privé (plus bas que celui social) = étude : avantage individuel Conséquences : L’externalité se passe à l’extérieur de l’échange marchand. Divergence entre le coût social (ensemble des coûts imposés à la collectivités) et le cout privé Allocation inefficace des ressources : Sous-production par rapport à ce qui serait souhaitable pour la société en cas d’externalité positive Sur-production en cas d’externalité négative https://www.xerficanal.com/strategie-management/emission/Philippe-Gattet-Comprendre-les- externalites-positives-et-negatives_3749956.html 3 possibilités : Pollueur/payeur Normes Droits à polluer 3. 1 Pollueur/payeur (Pigou) Internalisation des coûts et faire supporter par le pollueur la différence entre le coût social et le coût privé. On impose à l’entreprise une taxe par unité de rejets égale au coût marginal de réduction de la pollution. L’entreprise choisit alors de façon décentralisée de verser « la quantité optimale » de pollution puisqu’elle ajuste le niveau de rejet de façon à minimiser le coût de dépense des taxes. Augmentation du prix du bien vendu par le pollueur et une diminution de la demande du bien. L’existence de l’externalité est d’abord internalisée par le pollueur (AUGMENTE des coûts et ↘pollution) puis par le consommateur par l’intermédiaire des prix. 3.2 La norme Taxation meilleur que a norme (car la norme prend plus de place pour être mis en place), donc Norme est moins efficace. Le réglementeur impose à la firme de ne pas polluer au-delà d’un certain niveau. Différents types de normes : - Normes de procédé (techno utilisable ex. nature des filtres pour fumée) - Normes de produit (critères auxquels doivent se conforter les produits nuisibles ou dangereux (ex. normes de bruit) - Normes de qualité (ex. caractéristiques des milieux récepteurs) - Seuil max de pollution acceptable, notion de rejet autorisé Limites : Réglementation trop générale, ne peut s’adapter à la multiplicité des situations N’inclue que lentement les nouvelles techno Lobbying des entreprises pour faire valoir les désavantages par rapport à la concurrence Pas d’incitation à diminuer la pollution NB Important d’assortir les normes de pénalités si non respect. Comparaison taxe/norme Taxe : l’entreprise est libre de réagir à l’incitation. Elle peut adopter un comportement plus ou moins polluant. Cela dépend de son coût marginal de dépollution. Elle est incitée à dépolluer tant que son coût marginal de dépollution est inférieur au montant de la taxe. Taxe : min le coût total de dépollution : fait porter les efforts sur les actions les moins coûteuses à mettre en œuvre Incite à l’entreprise de développer des alternatives écologiques. Norme : le réglementeur qui ne connait pas les coûts de dépollution a peu de chances d’atteindre au moindre coût cet objectif total. Les pouvoir public impose à toute les personnes et on ne va pas forcément métriser la pollution. 3.3 Droits à polluer Depuis les années 1960, l’intervention des pouvoirs publics n’est plus considérée comme nécessaire pour diminuer les externalités de pollution Coase (1960) : lutte contre la pollution en créant un marché de l’air : si les coûts de transaction (=cout de négociation) sont nuls, l’allocation des droits de propriété sur l’externalité permet de retrouver un équilibre optimal socialement grâce à un jeu de négociation entre les agents économiques, et ce quelle que soit la répartition initiale des droits. Raisonnement : Si les DP(droit à pollué) sont confiés aux riverains ils imposent à l’usine d’arrêter sa prod. Mais c’est une situation où l’échange peut s’avérer mutuellement avantageux: Les propriétaires des sites industriels proposent une somme aux riverains pour les dédommager. Amélioration du bien-être des deux parties tant que le montant de l’indemnisation est inférieure aux bénéfices qu’en retirent les propriétaires en ayant la possibilité d’augmenter leur production mais supérieure au dommage que subissent les riverains. Dales marché des droits à polluer (1968) Transaction de titres sur l’environnement à la façon d’un marché boursier. Etat fixe un objectif de pollution et distribue les droits. Ils vont acquérir un prix qui correspond à l’intersection de l’O et de la D L’Entreprise dit avoir un nombre de droits sup ou égal aux rejets. Si 〉elle doit acheter des droits Si〈 elle peut vendre. Efficace : une entreprise qui peut réduire sa pollution à coût bas peut préférer vendre son permis à polluer à une entreprise qui ne peut réduire sa pollution qu’à un coût élevé. https://www.myclimate.org/fr/sinformer/faq/faq-detail/quest-ce-que-le-protocole-de-kyoto/ https://www.xerficanal.com/economie/emission/Alexandre-Mirlicourtois-Empreinte-carbone- faux-coupables-et-vrais-pollueurs_3747874.html video: en function de comment on présente les chiffres cela peut modifier la réalité (ex: France bonne élèvre en terme de pollution mais si on prend en compte le fait que quand on arrete une entreprise polluante on va importer plus, l’importation qui augmente de plus en plus est pas prise en compte alors que c’est très pollutant). Politique internationale et Européenne -1992 Sommet de la terre début de coopération internationale -Protocole de Kyoto (signé en 1997, entré en vigueur en 2005, 55 états signataires aujourd’hui) Communauté européenne s’engage à diminuer de 8% ses émissions à effets de serre entre 2008 et 2012./.1990 -2015 Accord de Paris (COP 21, Conference of Parties) Objectif climat pour 2030 contenir le réchauffement bien en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels (1,5°). Objectif neutralité carbone d’ici le milieu du siècle. Bilan collectif tous les 5 ans à partir de 2023. Dénoncé par les USA en 2017 (Trump), revenus en 2021 (Biden) Fin 2020, nouvel objectif européen pour 2030: Réduction de 55% des émissions de CO2 par rapport à 1990 Gaz à effets de serre : Constituants gazeux de l’atmosphère, tant naturels qu’anthropiques, qui absorbent et réémettent le rayonnement infrarouge. Six gaz à effet de serre reconnus par le protocole de Kyoto : dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), le protoxyde d’azote (N2O) et les gaz fluorés (SF6, PFC, HFC). Les gaz fluorés CFC sont par ailleurs couverts par le protocole de Montréal. En pratique, quotas en Europe Trop de quotas suite à la crise de 2008, en 2009 prix du carbone inf à 15 euros par tonne 2019 : Réduction du nombre de quotas pour garantir un prix min, début 2022 prix remonté à 90 euros la tonne Elargissement à d’autres secteurs transport maritime et routier, bâtiments publics Lutter aussi contre la croissance des importations en Europe: première importatrice mondiale de GES : mise en place d’un mécanismes d’ajustement carbone aux frontières Fin 2021, 21 marchés du carbone mis en place dans le monde (USA, organisation de marchés de quotas dès les années 1990 pour pluies acides) Compléments sur les politiques publiques et les quotas: https://www.europarl.europa.eu/news/fr/headlines/society/20170213STO62208/le-systeme-d- echange-de-quotas-d-emission-et-sa-reforme https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/04/06/le-marche-d-echange-de-quotas-de-pollution-est-un- important-coup-de-pouce-a-la-decarbonation_6120773_3232.html https://www.vie-publique.fr/questions-reponses/282323-co2-le-marche-du-carbone-dans-lunion- europeenne (document assez complet) Prolongement : les externalités de réseau On a vu les externalités négative: pollution et positive: JO (donne une bonne image à la France), les externalité de réseau c’est très différent. A. Définition des effets de réseaux : La valeur (le consentement à payer) pour un consommateur d’une unité de bien ou d’un service en réseau augmente avec le nombre d’utilisateurs de ce bien ou service, ou avec le nombre de biens complémentaires Ex : réseau sociaux, si mes amies n’utilise pas tweeter qui est plus pour les journalistes je ne vais pas avoir d’intérêt à l’utiliser (comparé à Instagram). Plus de personne utilise cette plateforme et plus c’est intéressent. Synonymes : externalités de réseau (facebook…) *il y a un lien avec les externalités. Exemples 1. Réseaux de communication : instagram, facebook, email Ce sont des effets de réseaux directs : augmentation du nombre d’utilisateurs →augmentation de la valeur du réseau 2. Autre exemple : les biens système Console de jeux vidéos, lecteur DVD Combinaisons de composants complémentaires (jeux et le matériel pour l’utiliser) Ici on on parle d’effets de réseaux indirects : un plus grand nombre d’utilisateurs → augmente les incitations des développeurs à produire des contenus → augmente la valeur du bien Avec des effets de réseaux, le comportement d’un conso ne dépend pas uniquement du prix et des caractéristiques du bien ou service La valeur du réseau pour un utilisateur (cad sa propension à payer) augmente avec le nombre d’utilisateurs. Les revenus de la plateforme augmente car la capacité de la personne à payer augmente plus les gens sur la plateforme augmente. → revenus plus élevés sur les utilisateurs existants La valeur du réseau augmente aussi pour ceux qui ne sont pas connectés au réseau → incitations plus fortes à rejoindre le réseau Les effets de réseaux engendrent des rendements croissants (un avantage à la grande taille) …. comme les économie d’échelle Coût de changement et d’apprentissage ; (switching costs) : les coûts que subissent les consommateurs quand ils changent de fournisseur ou de bien ou service Exemples de coûts de changement pour les biens ou services en réseau : Coûts d’apprentissage Coût de conversion ou de compatibilité Coûts de recherche d’un nouveau fournisseur Créent de l’inertie chez les consommateurs → Verrouillage ou lock-in de la demande (effet lock in : enfermement de la demande ce qui créée une situation de monopole).) Exemple : modèle Qwerty (c’est le hasard qui fait que c QWERTY (car le gars pourvait écrire type writer ou qqch comme ça plus rapidement), il est le premier sur le marché, les gens qui se forment et travaille dessus =) effet de réseaux. Apple fait une étude et trouve que AZERTY est plus confortable mais ils n’arrivent pas à dépasser les autres car une entreprise n’a pas intérêt à s’équiper car ils ne vont pas trouver de secrétaire former dessus et inversement la secrétaire n’a pas intérêt à l’apprendre car les entreprises on des claviers QWERTY). Ce qu’il faut retenir Les effets de réseaux La valeur d’un B ou S en réseau ne dépend pas uniquement de sa qualité intrinsèque mais aussi du nombre d’utilisateurs. La valeur d’un bien ou d’un service qui est soumis à un effet de réseaux dépend aussi de son nombre d’utilisateur. Effet de feedback En présence d’effets de réseaux la firme qui développe le plus rapidement sa base d’utilisateurs prend un avantage important et peut dominer le marché de façon permanente (lock in) Une application d’externalités de réseau : https://www.dailymotion.com/video/x5crwx8 video: nouvel économie du numérique… Effet de réseau, aventage du pionnier (fidélise la clientel), effets d’entrainements (entraine un acteur dans une spiral positive ou negative), tendance à la concentration (plus la plateforme capte les utilisateur, plus elle deviant attractif et plus elle deviant forte). 4. Monopole naturel Monopole ex: nourriture sur l’autoroute prix élevé car monopole. Situation où les coûts fixes d’une activité sont si élevés qu’il est pas rentable qu’une seule entreprise serve le marché plutôt que plusieurs entreprises (leurs coûts de production individuels seraient plus élevés ainsi que leurs prix de marché) MAIS Il faut éviter que l’entreprise ne profite du fait d’être seule sur le marché (pouvoir de marché), d’où le besoin de réglementer : 1. Des exemples de réglementation du monopole naturel 1.1 Fixation des prix au coût moyen On impose au monopole par la réglementation de fixer un prix égal à son coût moyen. Problèmes : Asymétrie d’info entre réglementeur et règlementé, Sélection adverse ex ante : manip de l’info de la part de l’E pour obtenir un prix plus élevé Aléa moral difficile de contrôler ex post l’effort du réglementé Économie d’échelle: plus je produis plus j’ai des économies d’échelle. 1.2 Fixation des prix au taux de rendement On fixe un taux de rendement satisfaisant de façon à satisfaire les investisseurs (comparaison avec ce qu’ils auraient gagné s’ils avaient placé leurs capitaux sur le marché financier) Problème : Distorsion d’Averch et Johnson, l’entreprise aura tendance : surinvestissement en capital 1.3 Fixation des prix au price-cap (meilleur solution) En fonction de l’observation de la productivité observée dans le passé on fixe le le cap On annonce que chaque année il y aura un ajustement des prix entre la différence du coût des inputs et ce cap. Par ex. si cap de 3% et si le coût des inputs, on augmente le prix de la différence. Dans le cas contraire l’E conserve les économies réalisées sur ses coûts pour elle-même. Pb : L’E comme la société bénéficient de cette réglementation, mais on laisse à l’E l’essentiel de sa rente. L’entreprise a besoin de faire un surprofit pour insister l’entreprise à continuer. 2. Le recours au marché : théorie des marchés contestables (Baumol, Panzar, Willig 1982) Substituent au modèle de concurrence parfaite, celui de contestabilité parfaite : - ce n’est pas le nombre d’E qui compte sur un marché (hyp d’atomicité) - on peut voir de la concurrence même avec deux E. Ce qui compte, c’est la concurrence potentielle Si menace d’entrée crédible, prix bas. Conditions nécessaires : - Entrée totalement libre ( techniques de prod) - Sortie libre, pas de sunk costs ou coûts irrécupérables/perdu (marché de l’occasion développé) Encourage le comportement « d’entrée fugitive » Dérèglement a traversé l’atlantique car gage d’efficience https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001341/dix-ans-de-dereglementation-du-transport- aerien-aux-etats-unis-1978-1988.html Première période 1978-1985 ↗ du nombre de compagnies 1978 : 36 compagnies sur le marché 1984: 120 compagnies sur le marché ↗ de la concurrence mais le taux de concentration des 12 premières firmes reste important : 96,5% du trafic avant 90,6% fin 1984 Les entrants sont de taille modérée et n’exercent pas une menace très importante sur les grandes firmes déjà installées Application au secteur aérien EU : début 78 début du processus de dérèglementation aérienne Jusqu’alors, contrôle des prix, attribution des lignes par le Civil Aeronautic Board. Suppression progressive du CAB entre 1978 et 1985 (Entrées et sorties libres (81) puis libéralisation des prix (83) ↗ du nombre de compagnies 1978 : 36 compagnies sur le marche 1984: 120 compagnies sur le marche Puis 1987 fusions faillites 1991 26 compagnies (contre 36 en 1978…) Concentration plus élevée en dépit règlementation (concurrence déloyale, système Réservation) Que s’est-il passe ? Mise en place d’une nouvelle structure plus efficace. Les cnies fonctionnent en rayon pour diminuer les couts (rayonnent à partir d’un aéroport central (structure hub and spoke) Avec cette structure éco d’échelle et d’envergure Gros appareils Elargissement des liaisons autour d’un même noyau (multiplication des outputs) ↗ de la densité et du trafic ↗ de la fréquence des grandes lignes C’est moins onéreux d’avoir plusieurs entreprise qui font le même bien que une car ils se partagent les couts ex: - marque de produit de maquillage: A,B et C on leur propre réseau de distribution, si une entreprise distribue les 3 autres c’est moins chère comme il y a des cout fixe de distribution: magasin, vendeur.. - Editeur (Hachette) - Dark kitchen… =) économies d’envergure Mais effets sur les tarifs ambigus : pb des subventions croisées ↗des prix 10 a 14% sur les vols courts ↘ des prix 30 a 50% sur les vols longs Le surprofit qu’elle fait est utilisé pour payer les lignes moins ou non rentable (train par ex avec paris marseille vs un endroit à la campagne) En outre stratégies de réservation agressive des entreprises installées Mise en place de système informatises de réservation. Pratiques anticoncurrentielles, actions en justice Les plus petites E font faillite ou acceptent de fusionner avec les firmes grande/installées Et au final concentration plus élevée mais la contestabilité est toujours prête à agir…. Pour resumer (diminution des couts mais aussi effets negatifs) ↗trafic pour les grandes compagnies mais pertes financieres Guerre des prix ↗ des vols avec transit Delais d’attente ↘qualite Diversite des tarifs : Fin des subventions croisees Prix divers avec ou sans transit (selon les desagrements acceptes par les clients) + opaque Marche contestable Entrants potentiels jouent sur les prix Entree libre et sans cout d’une ligne sur l’autre (conc. Virtuelle) Structuration effective grace a la structure en reseaux Mais…..strategies anti-concurentielles actives des firmes installees Cas particulier des industries de reseau : distrib de B ou S aux menages a partir d’une infrastructure d’interconnexion entre utilisateurs (distrib eau, electricite, transports et telecom) En France pres 2eme GM nombreuses industries gerees comme des monop publics Permet de faire les investissements necessaires pour offrir l’acces a tous de ces services Controle des prix Evite la rente de monopole Mais pas d’incitation a innover Liberalisation des activites. Mecanisme qui permet de separer les activites de distrib sur le reseau L’entretien du reseau lui-meme (operateur unique) Conditions tarifaires et nombre d’operateurs controles par une autorite independante En France marche des telecom ouverture complete a la concurrence a partir de 1998 apres 10 ans de transfo de l’operateur historique Resultats variables de l’ouverture a la concurrence selon les secteurs : Dans la tel mobile ententes illicites, hausse des prix meme si ouverture a la concurrence (energie Sur l’ouverture a la concurrence de la SNCF h"ps://www.youtube.com/watch?v=Ke77Ujl5YCo (15min) h"ps://www.youtube.com/watch?v=HjNcZgv4j0s (10 min) MIZBERG NE SERA PAS DANS L’EXAM. EXAM : cours ou lien avec les video (définition) - FIN CHAPITRE – CONCURRENCE IMPARFAITE ET STRATEGIES DES FIRMES LA politique de la concurrence. Le monopole, concurrence pure est parfait vu dans les cours precedent. CONCURRENCE IMPARFAITE: Au moins une des hypothese de la concurrence oarfaite n’est pas respectée (HYPHOTESE A SAVOIR!!!) - Firmes ont un pouvoir de marché: son ten mesure de fixer un prix supérieur au prix de concurrence pure et parfait (elle empeche d’autre entreprise de grignoter dans ses profits) - Abus de position dominante: notion très proche du pouvoir de marché. Consiste pour une entreprise à profiter de son poids pour éliminer contraindre ou dissuader tout concurrent d’entrer et de se maintenir sur le marché (avec son poid, l’entreprise empeche d’autre de venir sur son marché) - Paradoxe: Concurence: selection des entreprises les plus efficaces Si vous etes moins efficace pour produire qqch, vous allez disparaitre et faire autre chose donc la concurrence séléctionne les entreprises les plus efficacies qui vont rester sur le marché. Politique de la concurrence: Encadrer le processus de ocncurrence afin qu’il profite aux consommateurs et à l’économie en general: que ce soit en terme de prix, de croissance, de variété ou de qualité de produits. 1. Le PARADIGME (SCP = structure, comportement, performance) (Bain 1951) 1.1 Paradigme Condition de base d’un marché = Element généraux qui servent à caractériser le produit, sa position dans le cycle de vie, reactions des clients aux variations de prix, presence de substituts, orga de la profession, ect. Cycle de vie d’un produit: Approche biologique de la stratégie, modele élaboré dans les année 60 (Raymond Vernon) puis développé par de nombreux développeur. Développement(bcp s’arrete la), Croissance (vente s’accelère), Maturité (la courbe stagne, le marché se segmente, innovation?? Pour se différencier), Déclin: facteurs de croissance fragiles qui amene à un déclin des vente et baisse des prix. voir video: Cycle de vie du produit (philippe gattet) Structure de marché: Plus ou moins propice à la concurrence selon qu’elle est le plus ou moins concentrée. Barrière à l’entré: un obstacle sur le marché qui fait qu’il est difficil d’acceder au marché pour une entreprise: - boulangerie pas de savoir faire ou technologique insurmountable donc pas de barrière à l’entré. - Barrière structurelle = endogènes au marché (= propre/intérieur au marché). Barrière materiel: four (boulangerie) VS construire un avion plus couteux (technologie) OU Barrière Légal: phramarcie =) réglementaire, car il y a un nombre de pharmacie imposé (Brevet, douane, normes…) - Barrière Stratégique = dréssées intentionnellement par les entreprises installées. EX: les remises de fidélité et ristournes groupées, différenciation outrancière des produtis, ect. Attention: Une barrière stratégique peut devenir structurelle En concurrence pure et parfait il n’y a pas de barrière à l’entré. Car les entreprises prennent des prix imposé (price taker). En monopole (on est price maker). En oligopole (on se diférencie). La stratégie définit les performance (au niveau du secteur: innovation, qualité, prix bas/élevé, profils, progress techniques…). Performance: Se mesurent au niveau de la firme et du secteur (PT, Satisfaction conso ect). Ecole de Harvard courent interventioniste, quand ya trop de concurrence ils dominant tout?? VS CHICAGO (pas la peine d’intervenir, même si vous avez un surprofit, notre monopole va éclaté car il y aura tj une entreprise qui entrera dans le marché. 05/12/24 (dernier cours) 1.2.1 Ecole de Harvard: Courant de pensée structuraliste affirmé à la fin du début du XXeme: La concurrence conduit à la formation de trusts capable d’asseoir et de renforcer leur pouvoir de marché Courant en faveur de l’intervention de l’Etat 1.2.2 Mise en cause du paradigme: école de Chicago années 1970 (courant liberal, faut pas que l’état intervienne car selection naturel) Processus de selection que renferme la concurrence si elle est libre et que l’Etat n’intervient pas garantit la survie des entreprises les plus efficientes A LT, toute rente qui n’est pas liée à l’efficacité productive doit disparaitre par le libre jeu des lois du marché. Mais en réalité, les Entreprises peuvent developer des mécanismes de collusion assez stables. A LT, les inefficaces disparaitront mais les comport collusifs assurent une certaine pérennité aux E inefficaces au detriment des consommateurs. EX: RankXerox (inventer le process de la reprographie et photocopieur): profit énorme qui a attire d’autres entreprises (comme HP ect qui on innové) Chicago c a très long terme le cas mais a moyen terme chicago ignore que les grosses entreprises peuvent empecher les autres entreprises 1.2.3 Mise en cause du paradigm: nouvelle éco indus à partir des années 1980 Structure trop linéaire Elements du comportement peuvent par retroaction influencer la structure Ex: mise en place de barriers à l’entrée par les E en place. Pour la NEI ce sont les comportements qui sont au Coeur de l’analyse Courant qui se focalise sur les strategies que les entreprises peuvent employer pour améliorer leur position concurrentielle EX: Boeing Rendements croissants, effets d’apprentissage Volonté de boeing de controller les segments de marché années 1970 Mais conc oligopolistique: 1972 Alliance en Europe pour le concorde Puis EADS Airbus, audace strat + soutien des pouv. Plublics Réussit à contrecarrer les tdces structurelles de l’inductrie (rdts croissant et courbe d’apprentissage) et à éviter le monop de Boeing. 1.2 Politique de la concurrence 1.2.1 USA: des précurseurs Fortes concentration industrielle sur le territoire Nord américain (trusts (=grosse entreprse financière qui en controle d’autre) dans le pétrole, la sidérurgie, industrie électrique et chemin de fer) - Sherman act 1890. Texte relative aux ententes et positions dominantes Section I interdit les ententes Section II interdit les monopoles Si abus avéré, différentes sanctions possibles jusqu’au démantèlement de l’entreprise - Clayton act 1914 Interdit 4 pratiques Discrimination par les prix (non autorisé) qand elle diminue la concurrence Vente liées et distrib exclusives si ells diminuent la concurrence Fusions si ells dimminuent la concurrence Création d’organismes de concertation et de coordination Discrimination par les prix pour les étudiants, les chomeur, les billets de train acheté en avence, les femmes en boite de nuit (entrée gratuite). EX: Nespresso et leur capsules (abus de position dominate pour essayer de ne pas faire entrer les autres) Applications varibales au cours du temps: Première vague: 1900-1914 démentèlement American Tobacco, standard oil 2eme vague: 1960-1970: Rank Xerok, IBM, ATT Mise en sommeil sous Reagan et Bush 3eme vague Durant les années 1990: Microsoft (2003, vente couplée windows internet explorer, netscape) 1.2.2Dans la CEE - Interdiction totale des accords restreignant la concurrence (article 101 du traité FUE, 1992) - Interdiction des abus de position dominante (article 102 du traité FUE) - Controle des concentrations - Interdiction des aides d’Etat (article 107 du traité FUE) Modernisation du controle dans les années 2000 (nouveau règlments) - Décentralisation de la mise en oeuvre de la politique européenne de concurrence au niveau des Etats membres, qui peuvent désormais appliquer directement les articles 101 et 102 du traité sur le function de l’UE - Mise en place d’un « Réseau européen de concurrence » (REC), Assure la cohérence des décisions et la coordination entre autorités TF1 à voulu racheté M6 mais les autorités de la concurrence on interdit que TF1 achètenet M6 car sinon ils auraient été en monopole par rapport à la pub à la TV (tariff très élevé pour les gens qui veulent metre des pub). 2. Les abus de position dominate 2.1Définition et indices Capacité pour une E de s’abstraire de la pression concurrentielle en se comportant de manière indépendante vis-à-vis de ses concurrents ou clients Lié au “pw de parché”: capacité d’une E à vendre au-dessus de se scouts de production Faisceaux d’indices: - Part de marché (si inférieur à 40% peu probable qu’il y ait position dominante) - Répartition des parts de marché (entre l’E et les concurrents) EX: Marché de Michelin (entre 57 et 65%), Celles de ses principaux concurrents (entre 4% et 8%) Indice de position dominante - Importance des barriers à l’éntrée et à sortie - CR4 = la somme des 4 marché les plus important (ex: nike, Adidas, reebook, puma = 64%), mais ce n’est pas bien car on peut avoir des changements de structures dans les 4 premiers passé de 30% à 60 et les autres ont moins de part donc on reste à 64% mais l’entreprise a n’a plus du tout le même pourcentage). - L’indice IHH (on l’utilise aujourd’hui) =) nous donne comment la concentration à augmenté donc plus précis 2.3 Formes de l’abus En ‘théorie’ - Eviction: décourager ou éliminer des concurrents - Exploitation: conditions exorbtantes aux concurrents ou clients (en part. Prix) En pratique, quelque exemples: A-Les ventes liées: ventes de plusieurs produits différents sous forme d’un package. - Peut être justifié par des questions efficience éco EX: pas besoin d’assembler les constrituants pour les conso Ou aussi parce que la qualité de l’ensemble depend de celle des constituants. - Pratique pas interdite en elle-même, B- Remises et rabais: Remises quantité ou de fidélité ou de gamme Pratique fréquentes, peuvent être motives par des questions d’efficacité (grosse Q, gamme, ect. Permet aussi au fournisseur de faire des éco d’échelle donc d’avoir des cout plus bas) Mais aussi possibilité de faire des remises pour exclure des concurrents aussi efficacies: - Si A présente sur plusieurs marches et ps l’autre B, A peut realiser les profits réalisées sur les autres marches pour offrir une compensation insuffisante aux clients et exclure B - Rabais fait a posteriori - Ex: Michelin https://www.quechoisir.org/actualite-capsules-de-cafe-nespresso-n-entravera-plus-la-concurrence- n5925/ c-Prix prédateurs (INTERDIT. perte à court terme et gain après mais cela ne va pas marché car l’entreprise ne peut pas faire de perte pendant 20ans une entreprise va partir et une nouvel va venir. Pas besoin d’intervention de l’état. OU stratégie aggressive le faire plusieurs fois et après les entrprises ont peur de venir sur le marché a force que l’autre casse les prix) Consiste, pour une entreprise en position dominante, à baisser dans un premier temps son prix de vente, dans le but de sor

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