Summary

This document covers Spanish grammar, specifically focusing on verbal phrases. It details different types of verbal phrases, their usage, and context.

Full Transcript

Espagnol – L2 – T2HF312-Grammaire (semestre 3) Chapitre 6 : Périphrases verbales CHAPITRE 6 : PÉRIPHRASES VERBALES Une périphrase verbale est une construction dans laquelle une forme du mode quasi- nominal est associée à un verbe emp...

Espagnol – L2 – T2HF312-Grammaire (semestre 3) Chapitre 6 : Périphrases verbales CHAPITRE 6 : PÉRIPHRASES VERBALES Une périphrase verbale est une construction dans laquelle une forme du mode quasi- nominal est associée à un verbe employé comme auxiliaire. Le sens et les emplois de chaque périphrase dépendent à la fois de la forme quasi-nominale et du verbe auxiliaire. 1- PÉRIPHRASES FORMÉES AVEC L'INFINITIF Les périphrases formées avec l’infinitif indiquent, en général, une action future ou le début de son déroulement (sauf acabar de, soler et acostumbrar) : « DEBER (DE) + infinitif » exprime une conjecture (‘devoir’) ; c’est l’équivalent du futur ou du conditionnel de conjecture : Voy a llamarle a ver... Me dijo antes que iba para la Alcaldía, ya debe de estar allí (Carlos Gallego, Adelaida) ; No debes haber llegado hace mucho, imagino (José María Guelbenzu, El río de la luna) « DEBER + infinitif » exprime l’obligation, en particulier morale (‘devoir’) : Vivir es luchar. No debes resignarte nunca (Clara Sánchez, El palacio varado) ; Si quieres conocer su masa, debes utilizar la balanza (VV.AA., Física y química). « TENER QUE + infinitif » exprime une obligation (généralement il s’agit d’une nécessité externe inévitable, imposée par les circonstances) ou une inférence (conclusion) manifeste, évidente (il ne peut pas en être autrement) : Mañana al mediodía yo tengo que estar en la galería, Brian está de viaje... (Fernando G. Delgado, La mirada del otro) ; Hay científicos que sostienen que el uso exclusivo de analgésicos como el fentanil no sólo no pudo haber provocado tantas muertes, sino ni siquiera haber dormido a nadie en una sala como la del teatro de Dubrovka. Por ello insisten que el compuesto utilizado tiene que haber sido un cóctel de anestésicos con algún gas nervioso (El País) « HABER DE + infinitif » exprime une obligation, une convenance, une inférence probable ou simplement une action future : Vaya pensando cómo se justifican las pesetas que hemos de darle a Máximo Estrella (Ramón del Valle-Inclán, Luces de Bohemia) = obligation ; Le han de haber encargado que viniera a quitarme el sueño (Juan Rulfo, Pedro Páramo) = ‘seguramente le han encargado’ (inférence) ; Tanto se me da, que en todas maneras, sé que de pobre no he de salir (Domingo Miras, Las brujas de Barahona) = ‘no voy a salir’. « PODER + infinitif » exprime la capacité, la faculté, l’habileté, la permission ou, parfois, la conjecture : Ya puedo mover la mano ; ¿Puedo pasar ?; En el mundo puede haber varios millones de minas terrestres. « VENIR A + infinitif » exprime l’approximation : La carencia o el exceso venían a significar lo mismo (Lucía Etxebarria, Beatriz y los cuerpos celestes) « IR A + infinitif » exprime une action à venir (postériorité immédiate) : — Mira —dijo Aníbal, las nubes avanzan, va a llover (Patricia de Souza, La mentira de un fauno) /vs/ Siempre ha llovido en mis pesadillas, quizá porque llovía el día que nací. Estoy seguro de que lloverá también el día que muera... (Santiago Moncada, El hombre del Taj Mahal) Cette périphrase implique souvent une intention, une volonté, un projet de la part du sujet : Te voy a leer una carta de mi padre (Alejandro Jodorowsky, Donde mejor canta un pájaro) -1- Espagnol – L2 – T2HF312-Grammaire (semestre 3) Chapitre 6 : Périphrases verbales Au passé, elle peut indiquer qu’il s’agit d’une action inattendue, fortuite : Rebotaron los plomos y uno fue a matar a un pobre palomo blanco, que estaba bebiendo pbajo el peral (Juan Ramón Jiménez, Platero y yo) « SOLER, ACOSTUMBRAR + infinitif » expriment la fréquence, l’habitude (‘avoir l’habitude de’, ‘d’habitude’, ‘d’ordinaire’, ‘généralement’, ‘avoir coutume de’) – SOLER s’emploie avec n'importe quel type de sujet : Aquí suele llover poco en agosto. – ACOSTUMBRAR ne peut avoir pour sujet que des êtres animés capables d'habitude (beaucoup moins fréquent que soler) : Mi tío acostumbraba madrugar. « ACABAR DE + infinitif » exprime une action qui vient de se terminer (‘venir de’) : Sé que su hermano Alfonso está en su casa, acabo de verle, y me gustaría hablar un momento con él (Almudena Grandes, Los aires difíciles) « VOLVER A + infinitif » exprime la répétition ou le retour à un état antérieur (‘recommencer’, ‘se remettre à’ ; on peut aussi traduire par le préfixe re- : volver a caer = retomber) : No vuelvas a caer en los mismos errores ; Abrió mucho los ojos y nos miró a todos, intentó levantarse, pero volvió a caer en el sofá y se quedó durmiendo como un buey (Antonio Muñoz Molina, El invierno en Lisboa) « ESTAR PARA, ESTAR POR + infinitif » expriment l’imminence de l’action (‘être sur le point de’, ‘être prêt à’) : Supo que estaba para morir (Alberto Cousté, Biografía del diablo) ; Casi estoy por pedirle un autógrafo (Jordi Sierra i Fabra, El regreso de Johnny Pickup) « EMPEZAR A, COMENZAR A + infinitif » sont des périphrases inchoatives, qui expriment le début de l’action (‘commencer à’) ; « PONERSE A + infinitif » : idem + caractère ponctuel (‘se mettre à’) ; « ECHAR(SE) A, ROMPER A + infinitif » : ‘se mettre à’ + action soudaine et inattendue (surtout avec reír et llorar) : Se agarró la cabeza con las manos y se echó a llorar (Almudena Grandes, Los aires difíciles) ; Notablemente emocionado tras recibir el galardón, rompió a llorar (La Razón) « DEJAR DE + infinitif » : exprime une interruption ‘cesser de’ ‘ne … plus’ ; « CESAR DE + infinitif » : idem, plus littéraire : Por un instante dejé de ver la balsa, pero procuré no perder la dirección (Gabriel García Márquez, Relato de un náufrago) ; El tiempo es la imagen de la eternidad cuando se mueve. La eternidad en movimiento es el tiempo. No ceso de maravillarme ante esta idea que es imagen (Carlos Fuentes, En esto creo) « ACABAR DE, TERMINAR DE + infinitif » : exprime la fin de l’action (‘terminer de’) : La cocinera acabó de freír unas rebanadas de plátano (Isabel Allende, Eva Luna) ; Cuando terminó de regar, se hincó y dijo en voz alta [...] (Carlos Fuentes, La región más transparente). Attention : ne pas oublier que ACABAR DE a aussi une valeur d’antériorité immédiate (voir supra). 2- PÉRIPHRASES FORMÉES AVEC LE GÉRONDIF (Bedel, § 398 § 360 de la Nouvelle grammaire…, 2017) Les périphrases formées avec le gérondif indiquent une action en cours de déroulement. « ESTAR + gérondif » dit une action en cours i.e. commencée mais non terminée (aspect PROGRESSIF) : Ahora está hablando el Presidente. « Estar + gérondif » est souvent employé avec des verbes qui renvoient à des actions duratives : Está lloviendo. Cette périphrase est parfois rendue en français par ‘être en train de’, ‘rester à’, mais on ne peut pas toujours la traduire. -2- Espagnol – L2 – T2HF312-Grammaire (semestre 3) Chapitre 6 : Périphrases verbales « IR + gérondif » : au caractère progressif de l'action s’ajoute l’idée que l’événement se réalise selon des étapes successives (aspect CUMULATIF) (‘peu à peu’, ‘un à un’, ‘l'un après l'autre’, ‘de plus en plus’, ‘progressivement’, successivement, etc.) : A medida que fue creciendo se convirtió en una nena deliciosamente espabilada y divertida (Albert Boadella, Memorias de un bufón). La périphrase « ir + gérondif » est particulièrement adaptée pour évoquer des changements graduels et elle est souvent accompagnée de locutions qui insistent sur cet aspect (poco a poco, gradualmente, sucesivamente, etc.). « VENIR + gérondif » marque la progressivité de l'action et le verbe venir situe cette action par rapport au sujet et au temps du récit ou de l'énoncé, en indiquant qu'elle se prolonge ou s'est prolongée jusqu'à lui ; s’y ajoute souvent une nuance d’insistance ou de répétition : Éste, con la policía en los talones, viajó de súbito a Estambul, donde había venido acumulando sus ganancias durante las visitas a esa ciudad (Álvaro Mutis, Empresas y tribulaciones de Maqroll el graviero). « ANDAR + gérondif » met en relief caractère progressif de l'action et indique que l’action se déroule de façon intermittente, avec des interruptions ou que le sujet se déplace ou l'applique à des objets différents (aspect FRÉQUENTATIF) : ¿No me has dicho que andas buscando un piso más grande?; Andaba contando que … → il racontait (à l'un et à l'autre) ; A mí me tiene muy sin cuidado si tú y Pedro se van al infierno por andarse besuqueando por todos los rincones (Laura Esquivel, Como agua para chocolate). On traduit parfois cette périphrase par ‘de-ci de-là’, ‘d’un côté et de l’autre’. « LLEVAR + C.C.T. + gérondif » indique depuis combien de temps une action est en train de se réaliser : … esa mujer que lleva aguantando palizas diez y siete años (Ramón Gómez de la Serna, Automoribundia) ; Y como no encuentra mejor cosa que decir, repite lo mismo que lleva diciendo desde la mañana (Miguel Delibes, Cinco horas con Mario) « SEGUIR, CONTINUAR + gérondif » exprime la continuation d'une action déjà entamée (‘continuer à’, ‘encore’, ‘toujours’…) : La huelga, en la que los empresarios siguieron pagando a los trabajadores, no alcanzó su objetivo, al carecer aún del apoyo de la burguesía financiera y del gobierno Carter (Víctor S.Pozas, La revolución sandinista) 3- PÉRIPHRASES FORMÉES AVEC UN ADJECTIF PARTICIPIAL Les périphrases formées avec un adjectif participial indiquent une action accomplie. « TENER + adjectif participial » : idée de permanence, de maintien ; insiste sur le fait que l’action est terminée ; elle est toujours accompagnée d’un COD avec lequel s’accorde l’adjectif participial : Esta lección ya la tengo aprendida. « LLEVAR + adjectif participial » : indique partie achevée d'une action qui doit normalement se poursuivre : Llevo escrita la mitad del informe. Remarque : Un bon nombre des périphrases étudiées dans ce chapitre (en particulier celles au gérondif) n’ont pas d’équivalent exact en français ; il n’existe donc pas de traduction automatique et il faudra toujours tenir compte du contexte. Parfois, pour essayer de rendre la même nuance, on utilisera un adverbe ; parfois, on devra se contenter d’utiliser, en français, le verbe simple. -3- Espagnol – L2 – T2HF312-Grammaire (semestre 3) Chapitre 6 : Périphrases verbales 4- EXPRESSION DE L’OBLIGATION, DE LA NÉCESSITÉ ET DU BESOIN (Bedel, § 423-427 § 383-387 de la Nouvelle grammaire…, 2017) Nous avons vu que plusieurs périphrases à l’infinitif permettent d’exprimer une obligation ; d’autres constructions (qui ne sont pas nécessairement des périphrases) sont possibles. Pour savoir comment utiliser ces diverses structures, il est important de distinguer entre obligation personnelle et obligation impersonnelle. Dans l’expression personnelle de l’obligation, le verbe peut se conjuguer à toutes les personnes (qu’il s’agisse du verbe exprimant l’obligation ou du verbe de la subordonnée) ; par exemple, je dois travailler et il faut que je travaille sont des formes personnelles de l’obligation, puisque l’on peut également dire tu dois travailler, il doit travailler, etc. et il faut que tu travailles, il faut qu’il travaille, etc. En revanche, l’expression impersonnelle ne varie pas : il faut travailler. 4.1- Expression personnelle TENER QUE (voir § 1) : Tengo que ir a visitar a Begoña. La acaban de operar ; Lo siento pero tenéis que quedaros hoy en la oficina hasta que acabéis el informe. DEBER (voir § 1): Debes devolverme el diccionario lo antes posible. Lo necesito ; Debéis traer los ejercicios hechos. Cette périphrase est souvent utilisée au conditionnel pour exprimer un conseil ou indiquer qu’il convient de faire quelque chose: Sé que debería hacer más ejercicio, pero me da pereza ; Deberías usar lentillas: verías mejor que con gafas ; Deberíamos tener más paciencia. HABER DE (voir § 1) : Ha conseguido buenos resulatdos. Hemos de darle una promoción ; Esta chica ha de tener mucho éxito. HACER FALTA QUE + subjonctif et SER NECESARIO (PRECISO) QUE + subjonctif expriment la nécessité : Los doctores concluyeron que su salud estaba empeorando y que era necesario que continuara con el tratamiento. 4.2- Expression non personnelle HABER QUE + infinitif (hay que au présent) – toujours à la 3e personne du singulier – indique une obligation ou une nécessité : Habrá que arreglar esa luz un día u otro. HACE FALTA, ES NECESARIO (PRECISO, IMPRESCINDIBLE) + infinitif (et sans COI) : Hace falta saber si el Gobierno español quiere actuar sobre los problemas. SE TIENE QUE, SE DEBE, SE HA DE + infinitif : Nunca se debe olvidar que el mejor laboratorio para impartir las clases prácticas de Ciencias Naturales lo brinda la propia naturaleza. CABE + infinitif marque une obligation très atténuée (‘il convient de’) : En descargo de los dormilones, cabe señalar que las tardes eran muy largas y el sol de castigo (Fernando Arrabal, La torre herida por el rayo). ES DE + infinitif (‘il vaut la peine de’) s'emploie surtout avec ver, notar, esperar, suponer, extrañar, temer, etc. : Por otra parte, es de notar que dentro de las actividades de los alumnos se encontraba el ayudar en la construcción de obras públicas (Carmen Aguilera, El arte oficial tenochca. Su significación social). * * * -4- Espagnol – L2 – T2HF312-Grammaire (semestre 3) Chapitre 6 : Périphrases verbales EXERCICES Exercice 24 Relevez et identifiez les périphrases dans l’extrait suivant. Donnez leur valeur et traduisez-les en français. 1 La puerta del salón se abrió y apareció en el hueco el señor Savolta, circundado de un halo de luz y trayendo consigo el griterío de la pieza contigua. – ¡Mira quién ha llegado! –exclamó, y añadió en tono de reproche–: Ya pensábamos que no vendríais. 5 – Tu mujer nos lo acaba de decir –apuntó el señor Claudedeu–, y nos ha dado un buen susto, además, ¿eh? – Todos andan preguntando por ti. Una fiesta sin Claudedeu es como una comida sin vino –se dirigió a la señora de Claudedeu–. ¿Qué tal, Neus? –y besó respetuoso la mano de la dama. – Ya veo que echabais a faltar las payasadas de mi marido –dijo la señora de Claudedeu. 10 – Haz el favor de no coartar el pobre Nicolás –respondió a la señora el señor Savolta, y dirigiéndose al señor Claudedeu–: Tengo noticias de primera mano. Te vas a petar de risa, con perdón –y a las damas–: Si me dais vuestro permiso, me lo llevo. Tomó del brazo a su amigo y ambos desaparecieron por la puerta del salón. Las dos señoras aún permanecieron unos instantes en el vestíbulo. 15 – Dime, ¿cómo se porta la pequeña María Rosa? –preguntó la señora de Claudedeu. – Oh, se porta bien, pero no parece muy animada –respondió su amiga–. Más bien un poco aturdida por todo este ajetreo, como si dijéramos. – Es natural, mujer, es natural. Hay que hacerse cargo del contraste. – Quizá tengas razón, Neus, pero ya va siendo hora de que cambie de manera de ser. El año 20 que viene termina los estudios y hay que empezar a pensar en su futuro. – ¡Quita, mujer, no seas exagerada! María Rosa no tiene por qué preocuparse. Ni ahora ni nunca. Hija única y con vuestra posición…, va, va. Déjala que sea como quiera. Si ha de cambiar, pues ya cambiará. – No creas, no me disgusta su carácter: es dulce y tranquila. Un poco sosa, eso sí. Un poco…, ¿cómo te diría?…, un poco monjil, ya me entiendes. 25 – Y eso te preocupa, ¿verdad? Ay, hija, que ya veo adónde vas a parar. – A ver, ¿qué quieres decir, eh? – Tú me ocultas una idea que te da vueltas en la cabeza, no digas que no. – ¿Una idea? – Rosa, con la mano en el corazón, dime la verdad: estás pensando en casar a tu hija. 30 – ¿Casar a María Rosa? ¡Qué cosas se te ocurren, Neus! – Y no sólo eso: has elegido al candidato. Anda, dime que no es verdad, atrévete. La señora de Savolta se ruborizó y ocultó su confusión tras una risita queda y prolongada. – Huy, Neus, un candidato. No sabes lo que dices ¡Un candidato! Jesús, María y José… (Eduardo Mendoza, La verdad sobre el caso Savolta) Exercice 25 Traduisez les phrases suivantes. 1. Il faut absolument que vous le voyez. 2. Je devrai me lever très tôt si je prends un charter. 3. Certains se demandent si, de nos jours, les enfants doivent encore respecter leurs parents. 4. Il faut toujours essayer de calmer les esprits. Cela ne sert à rien de s'énerver. 5. Pour que votre dossier soit accepté, il faut absolument que vous remplissiez tous les imprimés. 6. Il ne fallait pas s'attendre à ce qu'il revienne sur sa parole. 7. Avec lui, il n'y avait pas de discussion possible. Il fallait que les choses soient comme il l'avait décidé. 8. Il ne faut pas accepter des associés comme lui qui vous coulent une entreprise. -5- Espagnol – L2 – T2HF312-Grammaire (semestre 3) Chapitre 6 : Périphrases verbales 9. Il faut remarquer que chez tous les auteurs de cette époque on trouve la même préoccupation sociale. Exercice 26 Remplacez les séquences en italiques par une périphrase verbale. 1. Juan se habrá ido a Barcelona. 2. Cuando supo que no le habías traído caramelos, mi hijo rompió a llorar. 3. A causa de la quiebra de la empresa, la fábrica ya no produce coches. 4. Hace muy poco que he encontrado trabajo. 5. Hace cincuenta años que vivimos en Madrid. 6. Serían aproximadamente las cuatro de la mañana cuando oyó el disparo. -6-

Use Quizgecko on...
Browser
Browser