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This document appears to be lecture notes or study material related to modern history, specifically the French Revolution. It includes details on the French society of the 18th century, the Enlightenment, and pre-revolutionary political climate.

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TD 1 (19 septembre) : La France entre Lumière et Révolution -​ Fichage du manuel : La Révolution Française (1787-1804) Armand Colin, Michel BIARD, Pascal Dupuy (CAIRN) + Analyser le texte avant chaque séance -​ Compléter avec le dictionnaire de Albert Soboul (fiche biblio à faire sur...

TD 1 (19 septembre) : La France entre Lumière et Révolution -​ Fichage du manuel : La Révolution Française (1787-1804) Armand Colin, Michel BIARD, Pascal Dupuy (CAIRN) + Analyser le texte avant chaque séance -​ Compléter avec le dictionnaire de Albert Soboul (fiche biblio à faire sur les perso important) -​ Chaîne YT : Sociétés des Études robespierriste -​ France au XVIIIe siècle : -​ Croissance démographique (1700 : 20M 1790 : 28M), changement d’une société qu’on ne commence plus à reconnaître -​ Grands progrès agricole, recul des famines -​ Développement de l’économie et du commerce (Bordeaux, Nantes), grande bourgeoisie marchande -​ Ce n’est pas un siècle calme néanmoins : période de fortes contestations politiques, sociales et religieuse -​ Malgré cela, on reste dans une monarchie absolue (même si il y a une désacralisation de la personne royal), une seule église (révocation de l'édit de Nantes 1685) qui joue le rôle de l’État civil (recensement, éducation) -​ Une société en ordre provenant des oratores, bellatores et laboratores -​ Une tripartition qui doit assurer la bonne harmonie du royaume -​ Un ordre structuré par des privilèges mais aussi des villes (Paris, Bordeaux qui ne paye pas la taille), privilège aussi pour les imprimeurs pour imprimer un livre -​ Clergé : Opposition entre le bas clergé (curés de campagnes, vicaires) et haut clergé (évêques, cardinaux, chanois de cathédrales) qui ont un train de vie plus proche de celle des nobles. -​ Noblesse : Noblesse d’épée (ancienne, croisade) vs Noblesse de robe (achat d’un office) + 3e noblesse, financière qui vivent noblement -​ Comte de Vergennes (ambassadeur + ministre de Louis XVI) -​ Tiers états : Gros propriétaire agricole vs petit salarié (Campagne) + Grand banquier, domestique, ouvrier, artisan (ville) -​ Les Lumières : -​ Conception vague et flou, conçue après les faits, à l’échelle de l’Europe (Enlightenment, Aufklarung…) -​ Utilisation de la raison (Pas nécessairement anti religieux) -​ Pas de conception d’appartenir à un groupe uni (lieux, personnages différents) -​ Lieux : Salons bourgeois, la cours (café palais royal) -) diffusion des idées -​ Voltaire, Rousseau, Montesquieu, Diderot… Mais aussi Emilie du Châtelet (proche Voltaire, traductrice des travaux de Newton en français) -​ Réseau de correspondance à l'échelle européenne -​ Aux XVIIe & XVIIIe siècles : -​ Dimension physique : Les astres qui reviennent à leur point de départ -​ Dimension morale : retour aux origines -​ Seconde moitié du XVIIIe -​ Conception politique (Révolution française) -​ Révolution anglaise (XVIIe) -​ La “Révolution” est prise comme une rupture politique, comme une étape fondamentale dans la naissance de la démocratie -​ La Gazette : Périodique consacré à l’information politique international (Théophraste Renaudot - 1631) -​ Elle devient de la Gazette de France (1762) -​ 12 000 exemplaires pendant la révo américaine (participe néanmoins au culte du roi et les informations viennent des cours européennes) -​ Développement du français comme langue officiel de la diplomatie (protestant français aux Pays-Bas - “Le Refuge” : Protestants ayant fruits la France) -​ Gazette françaises à l’étranger pour éviter la censure qui vont réussir à entrer en france grâce à la poste -​ Publique néanmoins limité (frais de transports) -​ Rôle de la fausse information très importante (Catherine II - État de ses troupes) car lue par les diplomates -​ Guerre de succession d'Espagne (1701-1713) -​ Guerre de succession de Pologne (1733-1738) -​ Guerre de succession d'Autriche (1740-1748) -​ Guerre de Sept Ans (1756-1763) -) Explosion du déficit public pour la France -​ Fréderic Il : Roi de Prusse (début de l'ascension de la Prusse en tant que puissance européenne) -​ Marie-Thérèse : impératrice d'Autriche -​ Louis XV: roi de France (1715-1774) -​ Georges IIl : roi d'Angleterre (1760-1820) -​ Rôle législatif du parlement (enregistrement des lois (édits royaux) et peut faire des remontrances) et rôle juridique (cours suprême) -​ 1766 : Séance de la flagellation, Louis XV impose son autorité devant le parlement -​ Physiocratie : Mouvement qui souhaite libérer le commerce du grain -​ Méthode : Moodle (séance 1) plan 2 ou 3 parties -​ Dans quelle mesure le Mercure de La Haye rend-t-il compte de l'état des équilibres entre les puissances anglaise et française au lendemain de la guerre de Sept Ans et de la situation interne des deux monarchies alors que les Lumières se posent la question de l'organisation des sociétés ? -​ I/ Le contexte européen et international au lendemain du traité de Paris -​ A - La fin de la guerre de Sept Ans -​ B - L’Angleterre aux prises avec les troubles en Irlande et en Amérique -​ II/ Les divisions internes : l’évocation des contextes “domestiques” -​ A - Le conflit entre la monarchie absolue et les parlements (France) -​ B - L’affaire Wilkes (Angleterre) -​ The North Brighton (Journal virulent de Wilkes) -​ III/ Un texte au coeur de l’Europe des Lumières -​ A - LA critique de la sociétés d’ordres -​ B - La paix, une notion au coeur du projet des Lumières -​ C - M’agriculture, seul source de richesse -​ Fichage 2 chapitres + texte p 13 CM 1 (19 septembre) : -​ Partiel : FORCEMENT UN COMMENTAIRE DE DOCUMENT -​ Sujet : Surtout la Révolution et beaucoup moins les Lumières -​ 5 ans seront approfondies spécifiquement -​ Fin 1794 : Convention Thermidorienne (Cadre du cours) -​ Début : Commence dès les années 1770 avec une forte résistance de l’aristocratie, crise de l’ancien régime -​ Cette transformation politique découle de nombreux bouleversement politique (Révolution Anglaise & Américaine mais aussi aux Pays-Bas, dans la confédération helvétique) -​ La révolution française serait la dernière de ses révolution atlantique -​ Il y a aussi une dimension insurrectionnel et populaire, contestation de l'ordre social ce qui découle vers 1792 à une “seconde révolution” -​ De multiples causes -​ Les décisions des acteurs ont de réels enjeux sur la situation présente -​ 1. La question des origines -​ 2. Les Lumières : des origines intellectuelles aux origines culturelles -​ Roger Chartier évoque une modification dans la lecture de la révolution vu comme la mise en pratiques des idées philosophique du XVIIIe siècle -​ Pour lui les Lumières ne sont pas le contexte de la Révolution, il l’est décrit comme un certains nombres de pratiques culturels, leur diffusion des idées n’a pas été si large que ça mais leurs pratiques culturels ont eu impacte significatif sur l’espace publique : -​ Alphabétisation croissante, pratique de la lecture (pas nécessairement celle des philosophes), accroissement du nombre de personne participant au débat publique -​ Circulation croissante de l’information, qui permet l'élargissement d’une opinion publique et de débattre de sujets extrêmement variés (arts, sciences, religion, politique) -​ Création de certains lieux qui échappent au contrôle de l’État (café, académies, loges maçonniques…) -​ Il évoque donc plutôt un ensemble de pratiques qu’un ensemble de discours -​ En 1750 Voltaire accepte l’invitation de Frédéric II à le rejoindre, c’est pour le philosophe un despote éclairé -​ En 1748 : Esprit des lois Diderot -​ Une nouvelle génération émerge autour du pire ennemi de Voltaire, Rousseau qui rencontre un grand succès -​ Le despotisme éclairé est également une réponse aux radicaux des Lumières qui cherchent à contester la figure du souverain. -​ Nécessité croissant de l’État monarchique dans des domaines nouveaux -​ C’est sur cette idée que se fonde le modèle prussien mais aussi au niveau de la mer baltique (Suède et Russie) -​ 3. Enjeux géopolitiques : -​ Au XVIIIe siècles, les coalitions se font et se défont au gré années -​ Ce n’est pas un affrontement idéologiquement/religieux, ni de détruire un ennemi mais d’établir un cadre géopolitique avantageux -​ Déclin des provinces-unis au XVIIIe, deux puissances s’affirment, la Russie (par rapport à la Suède et la Pologne) et la Prusse (règne de Frédéric II, 1740-1786) -​ L’enjeu commerciale prend une place croissant (commerce coloniale) -​ Rivalités Franco-Anglaise dans les colonies -​ Guerre de succession d’Autriche & guerre de Sept ans -​ Cela se double d’une situation agricole difficile et Louis XV en plus après la guerre de succession d’Autriche devient impopulaire -​ Traité de Paris (10 février 1763) TD 2 (26 septembre) : -​ La révolution américaine : contexte de base, contestation fiscale (trop de taxation), contestation politique (pas de taxation sans représentation) -​ Provinces Unies : Guillaume V/ Régents (bourgeoisie urbaine)/ Patriotes (noblesse libérale -) rapports privilégiés avec les insurgés américain) -​ Patriotes (soutenue par la France) prend l’avantage mais deviennent trop radicaux, les régents se rapproche de Guillaume V (répression de la révolte 1787 avec l’aide du roi de Prusse) révolution batave -​ Condorcet : Enthousiasme sur la révolution américaine -​ On parle de “révolution atlantique”, pas réellement de révolution en Angleterre, révolution brabançon (plutôt une révolte, sentiment d’unité), en Europe on a une agitation sociale et politique depuis les années 1760 -​ Ces agitations sont qualifiées par le vocabulaire de la révolution américaine (résumé des idées des lumières) -​ Des espaces ne sont pas du tout touchés (Espagne, Portugal, Russie), pas de grands mouvement de contestations -​ Chapitre 2 du manuel : -​ Édit de Ségur (1781) : Réservation de l’accès des grades les plus hauts gradés aux nobles (vieille famille noble) -​ Débat entre la naissance et le talent (évoqué par Beaumarchais -) le mariage de Figaro/1782) -​ Sieyès (janvier 1789) : Pamphlet : Qu'est ce que le tiers état ? Évoque le non pouvoir politique du tiers état, volonté de souveraineté populaire -​ Émeute Paris (avril 1789) : faubourg (quartier populaire, en dehors des murailles) saint Antoine -) Antoine Reveillon (atelier de papier peint) -) discours (mal compris) baissé le salaire de ses ouvriers alors que le prix du pain monte, début d’émeutes -​ À cause du hausse du coût de la vie, pas révolutionnaire -​ Jean Nicolas (Rébellion française) : historien, évolution des révoltes, graphique du manuel, distinction des motifs (fiscale avec les impôts indirectes par la ferme générale, subsistance accusations des accapareurs “complot de famine”) -​ Guerre des farines (1775) : Révolte qui touche les grandes régions céréalières du haut de la France, émeutes de la faim mais aussi des motivations anti seigneuriale. -​ Attaque des gros fermiers car ils ont un lien avec les seigneurs -​ Contexte déficitaire à cause des précédentes guerres qui s’ajoute aux contestations d’un ordres sociale structuré par les classes -​ Turgot 74-76 (contrôleur général des finances) : réforme du système de l’impôt, ajout d’un impôt des propriétaires fonciers (nobles, bourgeois, levé de bouclier) -​ Necker 76-81 (directeur général des finances) : souhaite emprunter de l’argent pour financer la guerre américaine (ça marche pas congédier aussi) -​ Calonne (83-87) : souhaite mettre en place un impôt payé par tous (essaye de contourner le parlement avec une assemblé des notables (qui malheureusement sont aussi des nobles) -​ Loménie de Brienne (87-88) : toujours une nouvelle opposition du parlement de Paris pour de nouveaux impôts/ nécessité de convoquer les états généraux -​ Journée des tuiles (1788)/Grenoble : Révolte du parlement, émeutiers qui jette des tuiles sur les troupes royales -​ Août 1788 : Convocation des états généraux -) 1789 (dernière fois en 1615) -​ Necker : Adversaire de Turgot, dénonce la politique de régulation économique de Turgot (pas totalement libéral), étranger et protestant, pendant son premier passage parvient à rester très populaire, publication des finances royales (normalement uniquement accessible au conseil du roi) -​ Problématique proposé (text p 13) : En quoi le Compte rendu au roi participe t’il à la mise en contribution de l’opinion publique dans la gestion des affaires de l’État -​ 1) Rendre public les mystères de l’État -​ a) Lever le voile sur les mystères de l’État… -​ La Dîme royale (1707), Vauban : évoque une réforme fiscale -​ b) … pour défendre son bilan -​ Son opposition avec Turgot, la nécessité d’emprunter, confiance au sein des milieu banquier pour pouvoir emprunter -​ c)... au détriment de la vérité -​ Atténuation de poids financier de la guerre aux Amérique, exagère les dépenses de la cours -​ Attise le ressentiment vis à vis de Necker pour les courtisans (41 % du budget de la couronne va dans la dette, 17 % dans la guerre et 7,5 % dans les pensions (la cours) en 1788 -​ 2) L’appel de l’opinion publique -​ a) Faire de l’opinion publique un arbitre des finances royales -​ b) Necker, défenseur du bien public et des plus humbles (le refus de l’impôt) -​ Permit par la politique de l'emprunt -​ 3) Un mémoire au service de l’homme public Necker -​ A - La guerre des imprimés -​ B - Un succès de librairie au service de la réputation de Necker -​ Best seller derrière la bible, même dans les villages -​ Se sachant menacé de disgrâce, il démissionne de lui même et conserve une belle image jusqu’à son rappelle en 1788 grâce à la pression populaire -​ Son renvoie en 1789 (Camille Desmoulins appelle à la la révolte, prise la bastille) -​ Text 16 à 19 CM 2 (26 septembre) : -​ Van der Capellen, Appel au peuple des Pays-Bas, 1781 (dénonce le pouvoir de Guillaume V, de plus en plus monarchiste). -​ Révolution brabançonne (1787-1790) (pays bas autrichiens) : Joseph II (1780), plus de souplesse que sa prédécesseur et veut incarner le modèle de despote éclairé -​ Il veut mettre en oeuvre des réformes, notamment dans le domaine religieux, 1781 : promulgue un édit de tolérance -​ 1783 : suppression des ordres religieux contemplatif, dgonpa (gueune pa) -​ Réforme de la justice, réorganisation administrative, justice unifié (réforme joséphienne) TD 3 (2 octobre) : 1789, l’année sans pareille (expression de Michel Winock) -​ Une révolution qui a également une dimension social (s’accompagne en plus de la révolution politique, une intervention populaire) -​ Réunion par corporation dans les villes (bouchers,boulangers) pour l’élection d’un député par corporation -​ Synthèse faite par l’assemblée de l’ordre du tiers états de tous les cahiers de doléances (400-500 cahier arrivant à Versailles) -​ 4-5 mai : Necker fait un discours (sur l’état de finances du royaume), discours ennuyant de Necker et de Louis XVI -​ Débat avant la séance sur le débat par ordre ou par tête -​ 6 mai : Déclaration du tiers état en tant que nation assemblé (symbolique) -​ 19 juin : ralliement du clergé à l’assemblé national -​ Tension entre on laisse faire ou on rétabli l’ordre -​ 24 : ralliement de la noblesse / 27 : Louis XVI cède -​ Mort du fils aîné de Louis XVI pendant les états généraux -​ Révolution par le haut s’achève le 9 juillet, acte de fin de la monarchie absolue -​ Armes aux Invalides, poudre à la Bastille -​ Mort de Launay (gouverneur de la Bastille), extrêmement violent -​ Roi pouvoir de créer des lettres de cachets (prison à la Bastille sans aucun procès) -​ 15 juillet : démolition de la Bastille -​ 17 juillet : Louis XVI à Paris, porte de la cocarde tricolor donné par le maire de Bailly -​ Formation de milices bourgeoises (révolution municipale) -​ Nuit du 4 août : deux nobles (Duc d’Aiguillon et le vicomte de Noailles) -​ Égalités de tous dans les droits et devoirs -​ Clivages au sein de l’Assemblée constituante -​ Les “Noirs” (à droite) -) partisans de la monarchie absolue -​ Monarchiens (centre) -) partisans de la monarchie constitutionnel (Mounier / fiche à faire) -​ Patriotes (gauche) -) club breton / Pétion, Sieyès (Société des amis de la constitution) -​ Pour les noirs le roi doit avoir le droit de véto absolu -​ Monarchiens pareil que les noirs -​ En revanche, pour les patriotes, le roi doit avoir un droit de véto suspensif (si la loi reviens, le roi ne pourra plus utiliser le véto) -​ C’est cette dernière qui l’emportera -​ Fin de 1789, la droite reprend l’avantage (monarchiens obtiennent les postes de direction à l’assemblée dont Mounier) -​ Manque d’organisation des patriotes (ils vont alors s’organiser en club) -​ Roi boulanger, reine boulangère, petit mitron (dauphin) -​ Le roi serait mal entouré à Versailles (5-6 octobres) -​ 21 octobre : loi martiale contre les révoltes populaires -​ Les paysans vont s’attaquer aux Terriers (document qui prouve les droits des seigneurs sur le tiers) -​ 2 vagues restantes : -​ Été 91 : politique (contexte de la tentative de fuite du roi) -​ Fin 92/début 93 : révolte contre la levée en masse TD 4 (10 octobre) : -​ 5-6 octobre : Louis XVI, signe la DDHC (règne au constitution) -​ Fête de la fédération (représentants des départements présents/concorde nationale), nation, loi, roi -​ 14 déc 1789 : création des municipalités (échappées aux pouvoirs des seigneurs) -​ 15 fév 1790 : création de 83 départements -​ Concorde illusoire : tensions autours des lois (juillet 1790, constitution civile du clergé = crise religieuse) + obligation de serment début 91 -​ Fuite de Varennes -​ Club des cordelier (pétition de la fusillade du 17 juillet) -​ Thèse de l’enlèvement (évoqué par les autorités pour sauver la notion de nation, loi, roi) -​ Aucun députés de la constituante à l’assemblé législative -​ Droite : Feuillants (Lameth, La Fayette) partisan de la monarchie constitutionnel, de l’apaisement et de terminer la révolution (Barnave) -​ Gauche : Jacobins (Brissot, Condorcet) -) Gironde (dans le groupe des jacobins, droite des jacobins) -​ Bras de fer entre L XVI et la Rev : -​ Brissot (chef des girondins + pour la guerre, exportation des idées de la révolution) vs Robespierre (contre la guerre) -​ 10 avril 1792 : Louis XVI déclare la guerre à l'empereur d’Autriche (espère la défaite de la révolution) -​ Défaites d’avril et de mai -​ Oppositions du roi sur trois lois (printemps) : licenciement de la garde Suisse, déportation des prêtres insermentés, 20 000 gardes nationaux (fait venir depuis les provinces) -​ 20 juin (Tentative d’invasion des tuileries, le roi continue et maintient son véto) -​ 25 juillet : Manifeste de Brunswick -​ 10 août (Commune insurrectionnelle), prononciation de la suspension du roi -​ Convention nationale (suffrage universel masculin) -​ 21 septembre : premier décret, suspension de la monarchie, 22 premier jour de la république (pas de proclamation officiel) -​ 40 % de la pop en âge de voter masculine qui ne peut pas voter -​ Bureau électorale constitués d’un président, secrétaire et d’un scrutateurs -​ Appel nominal, serment civique -​ Pourcentage de serf en Russie ? (système similaire à celui du Moyen Âge, fixation de la main d’oeuvre) TD 5 : (17 octobre) : Religion -​ I/ Des politiques religieux -​ Commission des Réguliers (sous Louis XV, suppression des monastères jugés inutiles) -​ Cahier de doléance du tiers (contre le clergé, reproche évêque de Lyon, demande d’amélioration de vie du bas clergé) -​ 13 février : suppression des ordres à voeux solennels (d’abord ceux qui ne contribuent pas au service publique) -​ Messe de la fête de la fédération (14 juillet 1790) -​ Concordat de Bologne 1516 : Accorde le droit au Roi de nommer les Évêques -​ Confirmation des Évêques par les évêques métropolitain et non plus par le Pape -​ Exposition des principes (15 octobre 1790) : Clergé opposé à ses réformes mais le Pape ne dit rien -​ 3 mai 1791 : On brûle l'effigie du Pape -​ Reconversion des vicaires et des moines en curé (si leur prédécesseur ne prête pas serment) -​ On parle plus de Défanatisation (Paul Chopelin) plutôt que déchristianisation -​ Serment liberté, égalité (10 août) : s’adresse à tous les membres du clergé -​ 30 août 1792 : mise en place du divorce et du consentement mutuel -​ 21 sep : laïcisation de l’État civil -​ Plan : -​ I/ La réponse de l'évêque constitutionnel à l'évêque réfractaire de Rennes -​ A/ L'évêque constitutionnel face à l'évêque réfractaire -​ B/ La réaction à la Déclaration de Girac aux électeurs du département -​ C/ La volonté de se mettre au niveau de l'évêque de Rennes -​ II/ Les débats sur la juridiction de l'AN -​ A/ la question de l'autorité civile et de l'autorité spirituelle -​ B/ La CCC : une politique gallicane -​ III/ Croire au pape, croire à la Révolution: la question de la légitimité des réformes -​ A/ L'appel à la soumission aux lois révolutionnaires -​ B/ La défense du clergé constitutionnel CM (15 octobre) : -​ Jansénisme : certaine notion du salue, ligne médiane entre le catholicisme et le protestantisme (même si il se définit sous l’Église romaine) TD 6 (24 octobre) : -​ Partiel de mi-semestre : commentaire de doc 2 heures -​ Début du A/ page 40 -​ A/ Une fuite interrompue à Varennes -​ Fuite de comte de Provence (Louis XVIII) -​ 20/21 juin fuite, 25 retour à Paris -​ B/ Louis XVI discrédité -​ Peur de l’invasion, soutien de l’assemblé par les municipalités -​ Discrétisation du roi, caricatures de Louis XVI -​ Généralement en cochon (un animal à l’époque considéré comme sournois et comploteur) -​ C/ Innocenter le roi ? -​ 23 juin : Robespierre lance l’idée de destitution (idée refusé) -​ 25 juin : Suspension du roi, c’est le ministre justice qui signe les décrets -​ 26 juin : ouverture d’une enquête parlementaire -​ Barnave développe la thèse de l’enlèvement, le roi prend une mauvaise décision car il est mal conseillé -​ Volonté de terminer la révolution, la personnalité de Louis XVI est inviolable, seul Bouillé et ses complices seront condamnés -​ 25 juin : Club de Jacobins font une pétition qui évoque le fait que vu que le roi est partie, il a de fait abdiqué et doit être destitué -​ Scission des Jacobins : Jacobin républicain et Feuillants monarchistes (Duport, La Fayette) -​ Pétition vite abandonné -​ 17 juillet : Le club des cordeliers (encore plus à gauche que les jacobins) propose une nouvelle pétition signée par des milliers de personnes, réclame la république -​ Les Feuillants et le maire de Paris (Bailly) proclame la loi martiale, La Fayette arrive aux champs de Mars, la troupe tire sur la foule (environ 50 morts) -​ Épisode du massacre du Champ-de-Mars -​ Pour les jacobins et les cordeliers c’est un massacre, pour les feuillants c’est une répression et un retour à l’ordre -​ Georges Danton (cordeliers important) part en exil en Angleterre, le mouvement des cordeliers est interdit -​ 3 septembre : Constitution adoptée -​ 14 septembre : amnistie générale sur l’affaire du Champ-de-Mars -​ En premier lieu nous évoquerons le récit du massacre du Champ-de-Mars du 17 juillet 1792 que Mme Roland expose dans sa lettre. Dans ce récit, l'auteure met en évidence le motif du rassemblement, celui de la signature des pétitions pour la proclamation d’une république, ainsi que la répression du mouvement symbolisé par l’application de la loi martiale. Ce témoignage des événements du 17 juillet évoque la question et la volonté de terminer la Révolution, ici du point de vue d’une jacobine qui dans un second temps développe une diatribe contre les traîtres de l’Assemblée. TD 8 (14 novembre) : 1792 -​ 1er octobre 1791 : As législative -​ Feuillant vs Jacobin (dislocation après Varennes) -​ Déchirement entre pro guerre en anti guerre (hiver 91, printemps 92) -​ 20 avril 1792 : Déclaration de guerre pars Louis XVI contre le roi de Bohême Joseph II -​ 20 juin : Envahissement des Tuileries (pression sur le roi pour qu’il retire ses vétos) -​ 25 juillet : manifeste de Brunswick -​ 10 août : Prise des Tuileries (suspension du roi) -​ Massacres de septembre (début) : invasion des prisons remplis de nobles arrété la journée du 10 août les prêtres réfractaires -​ 20 septembre Valmy : Engouement pour la révolution -​ 21 septembre : 1ère de la Convention nationale (élu au suffrage universel), premier décret de la séance : abolition de la royauté -​ Pas de proclamation, datation de l’an I de la république française (1jour, mois) -​ Téléologie : Interprétation d’un document par rapport aux événements futurs -​ Fin crono 11 juillet 1794 -​ Chapitre 12 : -​ La révolution suscite l'intérêt de tous (Times) -​ Victoire de prestige en 1783 (cache toutes les difficultés financières, sociales… de la monarchie) -​ Fracture entre ceux qui perçoivent la rev fr comme un événement remarquable qui vont s’en inspirer et ceux qui la rejettent -​ Hypothèse du complot maçonnique -​ Critique par Edmund Burke -​ Recherche du bonheur, c’est donc dans cette logique que les anti-guerre (Robespierre) ne la souhaite pas -​ Néanmoins décisions révolutionnaires qui va froisser les relations internationale -​ Notamment concernant les propriétés des princes étranger, la révocation partielle dans un premier temps des droits féodaux -​ Fiche sur Mirabeau -​ Idée de la fraternité des peuples et que la France selon ces idéaux ne peut pas exporter ses idées par la guerre -​ Brissot : assemblée législative, Robespierre : au club (lutte entre les deux sur la question de la guerre) -​ Louis XVI voulant profiter de la scission multiple, va mettre aux affaires étrangères des brissotins -​ Déclaration de guerre du roi, au début ils perdent beaucoup jusqu'à Valmy -​ 1792-1793 : Un seul club Jacobins (divisé entre montagnards et brissotins) -​ Théroigne de Méricourt (1762-1817) -​ Fille de riche laboureur, juin 1789 Paris, Versailles assiste aux débats de l’AN -​ S'installe à Paris après les journées d'octobre -​ Poursuivie après octobre, exil. Enlevée par des émigrés, de retour à Paris fin 1791 -​ Mars 1792 : discours appelant les citoyennes à s'organiser en corps armé, réclame l'égalité politique -​ participe au 10 août 1792 -​ 1793 : prise à partie pour avoir soutenu Brissot (dénudée, fessée publiquement). -​ Humiliation qui la plonge dans un délire de persécution -​ Internment -​ Plan TD 8 : -​ 1) Une prise de parole publique des femmes révolutionnaires parisiennes A/ Une pétition à l'Assemblée législative B/ Des femmes qui s’adresse à des hommes (députés) C/ La volonté de se légitimer -​ 2) Revendiquer le droit de s’armer A/ Un droit naturel… B/ … Pour lutter contre les ennemi de la Révolution et défendre la patrie (puissances étrangères mais aussi émigrés) -​ 3) Une source qui invite à prendre en compte les question de genre A/ La division genrée des rôles et des qualités (faiblesse, mère, épouse) B/ Une pétition qui cherche à dépasser les discours sur les femmes : “des citoyennes sans citoyenneté” qui revendiquent le droit citoyen de s’armer et de se former en garde nationale” TEXTE DE BRISSOT À FAIRE Reine Audu : Leader des journées d’octobre Moderne le 16 décembre (partiel) 14-17h Moderne le 28 novembre contrôle de connaissance TD 9 (21 novembre) : -​ 10 avril : déclaration de guerre -​ 20 mai : Manifestation contre le “comité autrichien” (nobles pro autrichiens au palais des Tuileries) -​ 20 juin : Manifestation anti-royaliste, palais des tuileries envahi pour forcer le roi a retiré son veto (décret contre les prêtres réfractaires et pour le camp de 20 000 fédérés autour de Paris) -​ “Le roi examinera” veut dire utilisation du veto -​ Radicalisation des positions -​ 11 juillet : déclaration de la patrie en danger -​ 25 juillet : Manifeste de Brunswick -​ 3 août : Pétitions républicaines (47 sections parisienne sur 48 demande la république) -​ 9 août : Commune insurrectionnelle (dans les heures et jours qui viennent, action violente à prévoir) -​ 10 août : Prise des Tuileries, le roi suspendu et retenu en otage, convocation d’une Convention nationale -​ Suppression du suffrage censitaire (universel masculin), 21 ans plus 25 ans -​ Quel régime politique ? -​ 2-5 septembre : Massacres de septembre (1000-1400 personnes tués) -​ 20 septembre : Victoire de Valmy -​ 21 septembre : 1ère séance de la Convention, abolition de la royauté -​ 22 septembre : Premier jour de la République (pas de proclamation) -​ Faire une fiche sur les journaux et leur directeur (Brissot, Marat) Youtube : -​ 60 000 cahier de doléances -​ Dernier état généraux : 1614 -​ Collecte des cahier de doléance : 25 ans, masculin, domicile + contribution fiscale, synthèse des demandes dans des cahier dans les bailliages secondaire puis principaux avec une élection des députés -​ DROITE DU PRÉSIDENT -​ Noirs/augustins : Cazales, l’abbé Maury Journaux : Les actes des apôtres, l’ami du roi -​ Centre droit, monarchiens : Mounier, Malouet, monarchie à l’anglaise/Bicamérisme -​ Centre gauche, constitutionnels : Mirabeau, Bailly, Talleyrand, Lafayette -​ Gauche : Lameth, Duport, Barnave -​ Extrême gauche : Buzot, Piéton, Robespierre, Journaux : L’ami du peuple (Marat), Patriot français (Brissot), Révolution de France et Brabant (Demoulin) -​ Décret du 9 novembre 1791 : Menace les émigrés de rentrer sinon confiscation de leurs propriété, mort, considéré comme suspect de conjuration (droit de véto du roi) -​ 29 novembre : Décret contre les prêtres réfractaires (véto encore) -​ Émeutes de subsistance (hiver 1791/1792), disparition de produits de premières nécessités, menace des immigrés, division interne, état qui n’arrive pas à sauvegarder correctement les acquis de la révolution -​ (Mounier / fiche à faire) CM 9 : -​ Pendant la révolution municipale commune provisoire : Autour de Bailly et la GN -​ Attente de la réorganisation de la ANC -​ Prévision d’une commune parisienne, loi du 21 mai 1790 promulguée le 27 juin (60 districts -) se transforme en 48 sections dont les citoyens actifs sont électeurs -​ Nouveaux districts : échelon intermédiaire entre les communes et les départements -​ Paris à la fois commune et district, dans le district de Paris il n’y a donc qu’une commune -​ Prends ses origines des sections électorales pour la préparation des États généraux -​ Sections ont un but à la fois électoral et délibérative -​ La municipalité et ses institutions sont l’objet d’un processus électoral -​ Conseil générale de la commune, corps municipale (48 membre du conseil générale) -​ Composant : Maire / Conseil générale de la commune / Un procureur et 2 substituts (représente le côté judiciaire) -​ Maire de Paris -) Mairie de Paris (ancien palais de justice) -​ Relation tumultueuse entre la commune et le département de Paris -​ Les départements sont souvent plus concervateur que les municipalité (c’est le cas à paris) à cause du système d’élection censitaire -​ Conseil du département à un degré de suffrage de plus que la municipalité -​ Mise en place du département de Paris en février 1791 -​ Opposition entre les deux (91/92) -​ Élection pour la commune en août 1790, réélection de Bailly le 9 octobre -​ Élection municipale de novembre 1791, Bailly discrédité par les événements de l’été ne se représente pas à ses Piéton qui est élu face à Lafayette -​ Glissement à gauche de la municipalité, l’antagonisme se creuse avec les institutions départementales -​ Séances du corps municipale et du conseil générale deviennent publique, mise sur la place publique des débats interne -​ Tensions accrues par la journée du 20 juin -​ Pétion et Manuel suspendus par le Département le 6 juillet (rétablis le 13) -​ Mobilisation des sections, font pression sur l’AL (win car ils sont rétablis) -​ 27 juillet : bureau central de correspondance » entre les 48 sections. Permet aux représentants de se réunir, d’échanger -​ 3 août : Piéton va devant l’AL pour demander au nom des sections la déchéances du roi -​ 9 août: Assemblée des commissaires de sections; Assemblée des représentants de la majorité des sections. -​ Santerre -> Commandant de la Garde nationale désigné par l’Ass des commissaires de sections -​ Après le 10 août: Législative reconnaît la Commune insurrectionnelle. -​ Représentants des sections remplace les membres de la municipalité/ du conseil général (crée dans le nuit du 9-10 août) -​ Piéton à la tête de la commune constitutionnelle reste à la tête de la commune insurrectionnelle -​ Convocation de la convention nationale pour réorganiser le pouvoir -​ Proclamation de la fin séparation entre c actifs et passif, abatt les status de L 16, 14, Bailly, Lafayette -​ Représentant dans les armées, arrêtés les journalistes royalistes, prêtres réfractaires -​ Comités de surveillance : peut investir le domicile -​ Tension très forte entre la commune insurrectionnelle et l’AL, procès pour les excès du 10 août -​ Piéton : proche de Robespierre/Brissot contre le veto absolu, SDADN, supporte la mise en procès du roi, reste jacobin après la scission avec les feuillants, élu assez largement maire de Paris, rejoint le groupe des brissotins sous l’AL, pro guerre, lutte contr les émigrés et les réfractaire -​ Figure de héro du 14 juillet quand il est viré, il sera très vite rétabli -​ Elections du maire en octobre 1792 -​ Petion élu mais refuse (député à la Convention) : Chambon -​ Novembre 1792: « corps municipal provisoire » = commune constitutionnelle + délégués des sections. -​ Processus électoral: de novembre 1792 à juillet 1793 -​ 18 mai 1793: « Commission des douze » Lutte de la Gironde contre la Commune -​ Journées du 31 mai - 2 juin 1793, -​ Installation définitive de la Commune le 7 août (processus électoral aboutit le 13 juillet) -​ Taxatrice : Pour la régulation des prix pour un certain nombre de produits TD (12 décembre) : 1793 -​ Convention nationale se réunit à partir du 21 sep 1792 -​ 749 députés, suffrage universel masculin -​ ¼ des députés venant des assemblés précédente, ½ ont eu un poste politique au moin locale -​ Disparition des feuillants, les conventionnels viennent de la dérivé jacobine -​ On retrouve la division interne des jacobins dans la convention, girondins (droite des jacobins) et montagnard (gauche) qui sont placés en haut des tribunes -​ Déplacement du centre politique vers la gauche -​ Plus complexe qu’une rivalité entre Brissot et Robespierre -​ 30 % Montagnards, 20 % Girondins = le reste est indécis (la Plaine/Marais) -​ Chez les Montagnards, il n’y a pas que jacobins mais aussi des cordeliers -​ Novembre 1792-janvier 1793 = procès du roi -​ Désaccord des girondins entre eux, sur l’appel au peuple dans le jugement du roi, ils étaient au début opposé à l'exécution du roi et voulait faire appel au peuple mais l’assemblée était hostile à cette proposition -​ On passe à l’élimination physique des opposants -​ Exclusion des girondins pendant les journées insurrectionnelles du 31 mai et 2 juin, sans culottes envahissent l’assemblée, les leaders (Brissot) exécutés en octobre -​ Printemps 94 : Hébertistes -) mouvance radicale des montagnards, Hébert, promotion de l'athéisme, font appel au peuple, exécutés -​ Indulgents : Danton, Camille desmoulins, exécutés, trop mous, trop tiède -​ Tout cela ce termine à l’été 1794, le 27 juillet exécution des robespierristes, 9 THERMIDOR -​ Hors la loi : plus protégé par la loi -) exécution par guillotine dans les 24H -​ Plus de roi, besoin d’une nouvelle constitution, elle sera créé, votée mais jamais mise en application à cause de la guerre, comité de salut publique -​ 1793 : guerre de Vendée, entrée en guerre de l’ANG -​ Convention, envoie dans les départements des représentants du peuple en mission (députés) -) changement de dirigeant trop modéré (remplacement par les jacobins) -​ Fouché à Lyon, répression de la ville rebelle, Nantes -​ Création du tribunal rév, comité de surveillance/sureté général (contrôle de la police, dossier sur des individus suspects), de salut public -​ C’est ce qu’on nomme le gouvernement révolutionnaire qui doit durée jusqu’à la paix -​ Vendée/Normandie : fédéralisme -) préférence pour les girondins -​ Dans la convention, le pouvoir exécutif est représenté par le comité de salut public (au Tuilerie) est dépendant du PW législatif -​ Présence également de la commune de Paris (10 août), qui met la pression, mesure radical, contrôle du prix du grains, Hébert membre de la commune (jacobins et cordeliers) -) Journal : Père Duchêne -​ Élimination des hébertistes et de la menace de la commune au printemps 1794 -​ Figure du sans culotte qui s’affiche dans l’espace public (pantalon, bonnet rouge, refuse la perruque, armée) -) s'exprime autrement, prône l’égalité “citoyen, citoyenne, salut et fraternité” -​ Moment de réduction des liberté et de violence mais d'expérimentation = réflexion sur la redistribution des richesses (des émigrés), développement des écoles laïque et républicaine -​ La “terreur” : un terme complexe qui existe à postériori, répression politique très forte mais malgré tout il n’y avait pas une organisation intentionnel d’un système de terreur -​ Accusation après la mort de Robespierre par ses détracteurs -​ Crise de la terreur, défaites militaire, trahison des officiers (Dumouriez), assassinat de Marat (13 juillet 1793) -​ Deux période dans le tribunal rév : printemps / octobre 1793 : 30% d'exécution -​ En automne 1793 nette radicalisation, surtout la loi 22 prairial le 10 juin 1794 : suppression des avocats et des témoins qui ne sont pas à charge, deux possibilité la mort ou l’acquittement -​ Prison : conciergerie -) exécution place de la révolution -​ Jusqu’au 27 juillet plus de condamnation en 6 semaines que depuis le début du TBR -​ Résumé : concentration du pouvoir, élimination des opposants, plus de liberté de la presse, toute forme de modération est réprimée, -​ Bilan humain terrible 1793/94 : 30 000 à 50 000 exécutions -​ 160 000-170 000 mort Vendéens Question coloniale : -​ Apogée de la traite négrière -​ Concentration de l’empire sur les Îles à sucres (Antilles) -​ Objectif : production des denrées tropicale vers la métropole (système du commerce triangulaire) -​ Saint Domingue : Première production mondiale de sucre, forte concentration d'esclaves (500 000 esclaves -) chaque années environ 50 000 nouveaux arrivants) -​ Prise de conscience par des hommes comme Voltaire (Candide)/Montesquieu/ Société des amis des noirs (Brissot/Mirabeau) -​ Les colons ne sont pas appeler aux états généraux car les colonies sont le domaine du roi -​ Inquiétude des colons à cause du lobby anti esclavagiste en métropole, en réponse ils vont également faire un lobbying (pression économique pour l’État) -​ Représentation des colonies à l’AC, DDHC -) Mirabeau exige que l’article I s’applique aux noirs -​ En réponse, les colons vont créer le club Massiac, dénonciation des droits de l’homme et refus de la DDHC dans les colonies -​ Ils vont convaincre la majorité l’AC d’exclure les colonies de la constitutions -​ Aut 89 -) révolte des libres de couleur et en Sept 90 = échec, répréssion violente : désir être citoyens (remplisse les conditions pour et demande l’égalité des droits uniquement pour leur catégorie) -​ Mai 1791 : égalités des droits civil uniquement si né d’un père et d’une mère affranchie -​ Les colons -) accordé des droits civique à des noirs est inacceptable, ne sera jamais appliqué -​ Août 1791 : Révolte des esclaves de Saint-Domingue contre les colons -​ Début 1792 = Révolte des libres de couleur, Loi du 4 avril: égalité libres de couleur et blancs, Sonthonax envoyé par l'Assemblée Législative pour faire appliquer la loi, avec l’aide des esclaves en arme commence la reconquête -​ Juin 1793 : Le Cap incendié et pillé par les colons, mars (entrée en guerre de l’ANG, une partie des colons vont donner une partie de l'île à l’ANG) -​ Été : Une partie de l'ile livrée aux Britanniques, Août (29) 1793 : Sonthonax promulgue l’abolition de l’esclavage sur l’île, c’est au niveau de l’île et pas une loi de la république -​ Début 1794 : Une délégation envoyée à Paris pour réclamer l'abolition, une délégation tricolor ( JB Beley (noir) JB Ilillis (métis) Pierre Louis Dufay (blanc) -​ Décret du 16 pluviôse an Il / 4 février 1794 : abolition immédiate et sans compensations des colons -​ Toussaint Louverture (se met à la tête de l’armée républicaine de l’Île), chasse les ANG et les Espagnols, autonomie de l’Île -​ Mutinerie de Nancy (août 1790) : répression par Bouillé -​ Jacobins défend les mutins de Nancy et vont réussir à faire libérer les bagnards de Brest (fête du 15 avril 92 : fête de la liberté) -​ Permet d’attaquer Bouillé et La Fayette qui sont cousin CM (12 dec) : La Convention -​ Montagnard : Robespierre, Danton, Marat -​ Deux points de litiges entre les deux parties -​ Au niveau de la constitution et la nouvelle DDHC -​ Le premier est sur la question de la propriété (pour les girondins : la Constitution doit garantir le libre usage de la propriété de chacun hors de la question des hommes) -​ Montagnards : Dénonce la propriété et son usage, une mesure favorable aux riches, défendre la nécessité d’établir des limites morales aux droits de propriétés et la liberté du commerce qui doivent être subordonnée à une justice sociale -​ Question et débat sur le prix du blé (entre régulation et laissé faire) -​ La deuxième est sur la résistance de l’oppression, pour les girondins il n’est pas possible qu’une partie limitée du peuple résiste à l’oppression, cela doit être le peuple entier (donc les institution publics) -​ Montagnards : A la fin de l’année 1792/93 c’est oui, un seul individu peut prendre le salut de la cité et le droit de résister à l'oppression -​ Débat sur la légitimité de la convention de juger le roi sur la base de la constitution de 91 qui évoque que le figure du roi est sacré -​ Pour les girondins : nécessité d’assemblée primaire -​ Pour les montagnards : la constitution est pour eux caduque depuis l’été 1792 -​ C’est finalement un procès mené par la convention elle même -​ Montée d’un sentiment de menace et de guerre civil + entrée en guerre de l’ANG au début février 1793 (levé de 300 000) -​ Inquiétude de la mobilisation d’hommes sur le front extérieur alors qu’une menace persiste à l’intérieur​ À cause de ça pour le tribunal révo (10 mars) et comité de salut public -​ Revendication des sections parisiennes (journées du 9 et 10 mars) -​ Trahison de Dumouriez (18 mars), sentiment de patrie en danger -​ Bataille de neerwinden (défaite français), sentiment de complot, de la présence des traîtres se renforce -) généralisation des comités de surveillance révolutionnaire -​ Comité de salut publique nommé par la convention et renommé tous les mois (25 mars), compte rendu à la convention -​ Avril : les tensions se renforce, Marat reçoit de vive critique de la par les girondins -​ Rapprochement des jacobins et des enragés (mise en place d’une insurrection, appelé par Robespierre à la fin du moi de mai 1793) -​ 31 mai : sans culottes entoure la convention, liste de 22 députés girondins, demande l’abolition, loi des suspects, taxe sur les riche, mise en place d’un prix fixe du pain -​ C’est à partir de ce moment qu’on parle de convention montagnard -​ Constitution du 24 juin 1793, constitution montagnard -​ Chalier = montagnard lyonnais / insurrection des sections girondine le 29 mai, emprisonné le jour même, exécuté le 17 juillet -​ Proximité temporel avec l’assassinat de Marat qui est un cataliseur de la mise en place d’un gouvernement révolutionnaire -​ Dans un contexte de révolte fédéraliste à Lyon, préparation de la fête du 10 août 1793 -​ Récupération politique de la mort de Marat, notamment par les hébertistes qui vont prendre beaucoup d’influence et devenir une menace pour la convention M -​ Automne 1793 : multiplication des pétitions des sections -​ 2 septembre : chute de Toulon occupé les anglais -​ 5 septembre : les sections envahisse la convention, début présumé de la terreur, loi des suspects, épuration des membres du comité de salut public, union entre les sections, les communes et la convention et ouvre la période de la Terreur -​ Jacques Roux arrêté le 5 sep, répressions des soulèvements populaire, encadre le système de droit à l’insurrection de la constitution utilisé par les fédéraliste -​ Mise en place du calendrier républicain à partir d’octobre, 10 octobre 1793 constitution suspendue -​ Pouvoir organisé par décrets, 4 décembre 1793 -​ Installation définitive de la commune le 7 août 1793, elle continue à s’appuyer sur les sans culottes, maintien de revendications politique et sociale -​ Loi du maximum 29 septembre -​ Réduction de l’autonomie des commune en faveur des district et des départements 56:57

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