Cours de Bitu Fabien : La diversité des systèmes parentaux PDF

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Université de Rouen Normandie

Bitu Fabien

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family systems family psychology bio-psycho-social context sociology

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Ce document présente un cours sur la diversité des systèmes parentaux, abordant le contexte bio-psycho-social de la famille en France. Il explore différentes définitions de la famille selon différents points de vues (biologique, juridique, économique, sociologique et psychologique).

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### Cours de Bitu Fabien : La diversité des systèmes parentaux : *I.Définition de la famille :* *vvdddddd1. Contexte bio-psycho-social de la famille en France :* Pour Grosbie-Burnett et Klein en 2013, la définition « fonctionnelle » de la famille est de soutenir le développement physique des mem...

### Cours de Bitu Fabien : La diversité des systèmes parentaux : *I.Définition de la famille :* *vvdddddd1. Contexte bio-psycho-social de la famille en France :* Pour Grosbie-Burnett et Klein en 2013, la définition « fonctionnelle » de la famille est de soutenir le développement physique des membres (nourriture, toit, vêtements), éduquer et socialiser les enfants. C'est aussi créer un environnement permettant la réalisation des besoins sexuels des couples, subvenir aux besoins des personnes vulnérables et dépendants (enfants, âgés, handicap..). C'est aussi subvenir aux besoins émotionnelles d'affiliation, d'appartenance et d'estime de soi (avoir une valeur pour les autres). Dans le contexte bio-psycho-social de la famille, on retrouve des définitions différentes. Pour les biologiste, la famille est un groupe d'individu relié génétiquement. Pour le juriste, la famille est un groupe d'individu relié par des liens légaux. Pour les économistes, la famille est un lieu de production et consomme des ressources. Pour les sociologues, la famille est la plus petite des analyses ou de regroupement sociaux qui permet la longévité des valeurs. Pour finir, pour les psychologue, la famille représente un ensemble d'individu reliée les uns aux autres par un lien psychologique. Dans cette définition, on a des des liens de reconnaissance mutuel de différentes personnes (ils peuvent se considérer comme faisant partit de la même famille). Selon.. La famille est un réseau d'engagement mutuel. Cette définition diffère des autres définitions de la familles. On peut donc avoir des personnes qui ne sont pas de notre familles biologiques faisant partit de notre famille sociale. Nous avons des liens qui se tisses et se détisses en fonction des aléas rencontré par l'individu. En psychologie, pour décrire la famille, nous nous retrouvons entre la bio et le social, même si elles ne sont pas tout le temps en concordance. Le but est d'accompagner les situations familiales sent prendre partit pour l'un ou pour l'autre et ici la psychologie est donc importante mais on n'a pas de psychologie sans la bio ou social. Au fil des années le liens psychologique se construit à travers la biologie et viens s'étayer sur le lien social. Le lien psychologique reste tout au long de la vie et est en lien avec les autres. Mais des perturbations sont possibles entre bio et social. Quand les liens bio et social sont éclaté alors on va venir impacter la psycho (exemple : Beau-père vs père ; le conjoint(e) de la sœur). Plus l'individu a de lien, plus il y aura des liens psychologiques. Dans la société occidental, les liens bio sont importants surtout pour les parents. Même à travers la juridiction, on essaye de garder le lien le plus possible entre l'enfant et le ou les parents. Le lien bio peut se positionner même si l'enfant a été adopter mais si cela se découvre alors on peut avoir une perte des lien qu'on pensait acquis et peut être compliquer à vivre (éthiquement, est-ce-que le médecin ne devrait pas garder ces choses là pour lui ?). Mais le lien bio reste relative. Si cela reste secret, on peut même se convaincre fermement que l'enfant ressemble à son parent. Aaaaaaaaa*2. Détour théorique sur l'influence des système sur le développement de l'individu :* La famille est un ensemble d'éléments qui vont s'influencer les uns et autres et qui sont reliés. L'approche écologique qui définit le développement comme le résultat d'interactions perpétuelles entre la personne et son environnement. On découvre cela grâce au modèle de Bronfenbrenner : la bio-écologie. Il y a 3 dimensions interreliées, aux influences mutuelles : Ontosystème : caractéristiques individuelles Chronosystème : influence du passage du temps, des transitions de vie Contexte et environnement dans lequel l'individu évolue. Cet environnement est constitué de 4 sous systèmes : Microsystème : milieu immédiat de la personne (ex : famille, foyer...) Mésosystème : interaction entre les microsystèmes (ex : liens entre l'école et le foyer) Exosystème : institutions non fréquentés mais dont les décisions exerce une influence sur sa ggggggvie (ex : promulgation d'une loi pro handicap) Macrosystème : modèle culturels ( idéologies, valeurs sociétales, culturelles) L'individu influence ses systèmes, il influence son environnement (acteur). Quand on parle de la psychologie de la famille, on pense à la psychologie systémique datant des années 70. La systémie est une manière de définir, étudier ou expliquer tout type de phénomène, qui consiste avant tout à considérer ce phénomène comme un système : un ensemble complexe d'interactions, souvent entre sous-systèmes, le tout au sein d'un système plus grand. La psychologie systémique est le ciment de la psychologie familiale, elle peut s'appliquer à un couple ou à un seul individu (en interaction avec la famille). Pour l'épistémologie systémique, le tout est plus que la sommes des parties. Dans une approche systémique, il est important de travailler avec tous les membres de la famille et nous retrouvons des interactions perpétuelles entre : L'intra-individuel (c'est l'individu qui initie ou pas des changements) L'interpersonnel (on prend en compte les relations qu'on entretien autour de nous) L'environnement (valeurs, d'idéologie, statut économique) On peut appliquer le stade développemental à l'évolution des familles (est ce qu'il y a un divorce, des enfants en bas âge, est-ce que le chef de famille est présent ou malade ⇒ bouleversement des rôles...). II.La famille en France aujourd'hui : *aaaaaaaa1. La famille dans l'histoire :* Dans l'histoire, la famille a souvent été liée à la notion d'affiliation, soit par le père : patrilinéarité (qui est la plus présente dans la société) ou soit par la mère : matrilinéarité. La notion de succession est aussi importante car elle a posé les bases de la famille, la succession définit la gestion de patrimoine familial. Dans l'histoire française, on procédait à une succession par l'aîné, c'était lui qui héritait de tout. Tous les hommes quittaient le foyer sauf l'aîné pour préserver l'héritage et créer des alliance évitant ainsi le morcellement du patrimoine (éviter que les autres frères obtiennent un morceau de la succession). Nos ancêtres avaient tendance à pratiquer l'endogamie pour garder le patrimoine dans la famille (se marier entre membres d'un même clan (cousin -- cousine). Depuis les années 50, il y a eu des changements où on est passé d'une famille reliée par le patrimoine à une famille cimentée par l'amour. Les individus ont envie de se choisir les uns et les autres pour fonder une famille, se marier et avoir des enfants. Dans ce nouveau modèle, si il n'y a plus d'amour, il n'y a plus de mariage. On n'accepte plus l'infidélité. Avant l'infidélité était accepter si le mariage pouvait être sauver et qu'on ne salisse pas le nom de famille. C'est difficile de considérer, l'amour, la sexualité, l'héritage dans ce modèle, ce qui a provoqué énormément de divorce et vient fragilisé la famille. L'accomplissement personnel (l'individualisme) est très important, cela ne passe pas forcément par le mariage, le couple et les enfants. On peut s'accomplir en voyageant, en faisant carrière, etc... Elle est encore plus forte depuis l'émancipation des femmes, cela amène à des différences dans l'éducation pour les enfants qui peut aussi être un problème dans le couple et mener au divorce. Aujourd'hui le modèle de la famille est beaucoup plus éclaté car avant il n'y avait aucune notion d'égalité des sexes et les enfants ont leurs mots à dire, ce qui complexifie la chose. Le système de famille est totalement chamboulé, certains auteur diront même que c'est la crise des familles. Maintenant, on a beaucoup de systèmes familiaux différents (familles monoparentales, parents homosexuels, parents divorcés, etc...). 2.Aspects démographiques des systèmes parentaux : On s'appuiera des enquête « couple et famille » (2015) et « France, portrait social » (2021). Pour l'INSEE, une famille est une partie d'un ménage comprenant soit des personnes en couples et leur(s) enfant(s) ou beau(x) enfant(s) habitant dans la même résidence principale, soit un parent vivant sans conjoint avec son ou ses enfants (familles monoparentales). L'INSEE retient 3 principaux type de familles : Famille traditionnelle (nucléaire) Famille monoparentale Famille recomposée. Ici, nous n'avons pas de famille homoparental car l'enquête date de 2011 et à cette époque là le mariage n'était pas encore possible (contexte juridique). → Les unions couples/Mariage : 66,4 % des français majeur sont en couple ; 18 % l'ont été et 15 % ne l'ont jamais été. Dans ce qui sont en couple : 73 % sont marié, 4 % sont pacsé et 23 % sont en union libre Pour les couples qui vivent ensemble (96 %) : 75 % sont marié, 4 % sont pacsé et 20 % sont en union libre. Pour les couples qui ne vivent pas ensemble (4 %) : 15 % sont mariés, 2 % sont pacsés et 83 % sont en union libre. Pour les unions-couple homo : Les homo sont plus jeunes, plus urbain et plus diplômé. → Les séparations : 44 % des mariages finissent en divorce. Le mariage reste toujours en baisse Les séparations sont nombreuses avant même de se marier. Il est difficile de divorcer quand on est au 2eme au 3eme mariage car cela peut être mal vu par l'entourage et par l'individu lui même. Le pic de divorce se situe aux alentours de la cinquième année de mariage. → La fécondité : En 2014, il y a une moyenne de 2 enfants par femme en France. L'âge moyen des femmes quand elles deviennent mères ne fait qu'augmenter, on est a 28 ans pour le premier enfant. En 1965, le premier enfant se faisait à 25 ans. Les couples passent plus de temps à profiter ensemble avant d'avoir des enfants. C'est une sorte d'accomplissement personnel de vouloir d'abord construire un couple avant de faire des enfants. Cependant, faire des enfants vers 30 ans peut apporter des problèmes d'un point de vue biologique. Il y a un conflit entre leur vie perso et la maternité. → Le parcours de vie : Les étapes ont tendances à reculé avec l'âge notamment sur la fin des études, 1^er^ emploi, 1^er^ couple, départ du foyer parental, 1^er^ cohabitation, 1^er^ enfant. Les hommes font tout généralement plus tard que les femmes et les diplômés font tout en retard par rapport au non diplômé. Les femmes se retrouvent plus seules en fin de vie que les hommes qui ont tendance à refaire leur vie en cas de séparation ou de décès du conjoint. Mais les hommes se mettent en couple plus tard que les femmes. *III. La diversité des systèmes parentaux facteurs de risques et de protections :* Facteur de risque : Ce sont des caractéristiques, conditions ou variables qui augmentent la probabilité de développement des troubles ou des difficultés psychologiques, émotionnelles ou comportementales. Ces facteurs peuvent être d'origine biologique (prématurité, maladies chroniques), psychologique (stress, faible estime de soi), sociale (pauvreté, négligence parentale) ou environnementale (conflits familiaux, exposition à des violences). Plus un individu est exposé sur des facteurs de risque, plus il a de chances de rencontrer des difficultés dans son développement. Les facteurs de protection contribuent à renforcer la capacité d'un individu à surmonter les adversités, à mieux faire face au stress et à diminuer le risque de troubles psychologiques, même en présence de facteurs. L'aspect démographiques des systèmes parentaux dans la typologies des familles montrent qu'il y a 67 % de famille traditionnelle, 9.1 % de famille recomposée et on constate une augmentation de famille monoparentale dont 19.8 % sont des mères et 4 % sont des pères. Si on regarde le nombre d'enfants par type de famille, on retrouve, 2 enfants par femmes dans les familles traditionnelles, 2 enfants même si on a un peu plus d'enfants dans les familles recomposées et pour finir on a1 enfant par femme ou père dans les familles monoparental. Sur 100 enfants, 68 enfants vivent avec 2 parents, 21 enfants en monoparental dont 18 enfants avec des mères et 3 enfants avec des pères. Pour les familles recomposées 5 enfants vivent avec leur mère, 2 enfants avec leur père et 4 enfants vivent avec leurs 2 parents. Mais les enfants ne voient pas régulièrement un de leur parents. 1.La famille homoparentale : Ce type de famille est quasi absente dans les chiffres et statistiques en France mais à l'international on a des études. Les principales possibilités pour avoir des enfants sont soit par recomposition familial, soit par adoption depuis 2013, soit par PMA (bio-étique 20021 depuis septembre 2022) et coparentalité. On a des particularités où on va avoir des situations de pluri-parentalité et pendant le développement de l'enfant, on peut retrouver des questions de filiation génétique. Les facteurs de risques sont la stigmatisation sociale même si l'orientation sexuelle des parents n'est pas un facteur de risque. Il y a très peu de facteur de risque, les facteurs de risques est dû à la spécificité des parents qui sont su même sexe résidant dans l'imaginaire collectifs (société très conservatrice : Les homo sont de mauvais parents, parents inapproprié). Les enfants ne peuvent pas vivrent la scène originels avec les parents. Il y a peu d'étude mais une conclusion universelle où l'orientation sexuelle n'impacte pas la capacité à être parent. Il n'y a pas de différence entre un enfant issu d'un couple homo et hétéro, en terme d'estime de soi, de dépression, de problème comportementales, du fonctionnement social, du QI ou d'orientation sexuelle des enfants. Mais il existe des facteurs de risque où on a un risque potentiel de séparation qui s'applique aux couples sans enfants. Certaines études soulignent l'homoparentalité comme facteur de protection où les parents sont plus souvent de classe supérieur. *2. Les familles monoparentale :* Cela dure en moyenne 6 ans, c'est quelque chose de transitoire, soit on a un nouveau conjoint ou soit l'enfant quitte le foyer. Les principales causes sont le décès du conjoint, une femme qui veut un bébé seule, séparation ou encore divorce.. On retrouve 78 % des situations qui sont dû aux séparations, 16 % d'enfant naissent hors couple et 6 % qui on subit la perte d'un parent. Entre 2010 et 2011, on observe une augmentation de 2 % des familles monoparentale dont 16 % entre dans cette situation et 14 % en sorte. Cela concerne beaucoup plus les femmes (85%) que les hommes (15%) (garde alternée). Mais dans ce type de famille, on constate 40 % de précarité social où ils vivent sous le seuil de pauvreté contrairement aux familles biparentale (14%). Le facteur de risque sont le stress (1 seul revenue, cela a des conséquences sur l'école notamment sur l'isolation social : stigmatisation social). On retrouve des foyers où l'autre parent s'occupe économiquement de son enfant. Dans la monoparentalité, on a des individu moins diplômé et on des enfants plus tôt alors que les femmes qui ont un diplôme ont plus de facilité à se remettre en ménage. Cela rend plus facile à l'isolement donc le stress augment aussi car pas de soutien social. Ils sont plus à risques que les biparentalité où les enfants ont des capacité cognitif inférieur et abandonne leurs études plus tôt et on des grossesses et sexualité plus précoces. Les principaux facteurs de risques sont liées à la séparation, la précarité et le fait qu'il y a qu'un seul modèle parental. On a des facteurs à prendre en considération comme les causes de la mono-parentalité, l'âge des mono-parents, la présence ou non d'un compagnon officieux et les situations subies ou choisies. Les différences marquées entre un enfant de famille mono et biparental concernent les plans cognitif, économique, social, culturel, la santé, académique, sexuel et la grossesse. La vision sociétal à évoluer et on retrouve de moins en moins de stigmatisation. Chez les ados, on retrouve de la dépression, de l'obésité et de la délinquance. Au niveau académique, le niveau de la mère peut impacter celui de l'enfant. Les deux grandes explications entre la précarité social et mauvais développement sont les manques de ressources (santé, hygiène de vie, logement, matériel et expériences cognitives..) et l'omniprésence du stress (isolation). Tous sont liées et vont venir impacter le systèmes (systémie). Dans les facteurs de protection individuel, l'enfant peut opter pour des stratégies de coping (elle varie selon l'âge), avoir une meilleure résistance au stress et être optimiste (psychologie positive). Dans les facteurs de protection familiaux, on remarque de la cohésion, de la résilience et la capacité à surmonter les conflits (grand-parents, les parents, les frères et sœurs..). Dans les facteurs de protection externes, on retrouve les aides sociales, l'école.. *3. La famille recomposée :* Cela suppose un enfant et au moins un parent issus de la famille avec potentiellement un enfant où des liens sociaux se créaient. Dans cette famille, on a 47 % des couple qui n'ont pas d'enfant en communs où 34 % proviennent de la femme et 47 % proviennent des hommes et 5.4 % sont autant de la femme que de l'homme. De plus, 52.8 % refont un enfant où 41;2 % ont en plus l'enfant de la femme, 9.7 % ont l'enfant de l'homme et 1.9 % sont autant e l'homme que de la femme. Dans la situation des beaux-parents par rapport à leurs propres enfants, on a 59 % des hommes qui vivent avec leur enfants contre 70 pour les femmes. Mais 50 % des hommes vivent uniquement des enfants du couple contre 41 % pour les femmes. Dans certains cas, les parents accueillent une partie du temps de leur enfants chez eux, d'autre non juste pas eux d'enfants avant et d'autre n'ont plus de liens avec leur parent. On retrouve deux catégories de risques, les risques liées à la séparation parentale et à la résidence et les risques liées à la vie quotidiennent et avec la belle famille. De plus, on peut avoir des difficultées dans la construction des liens affectifs, on a l'absence de devoir légaux pour le beau-parent (juridiquement) avec la loi de 2002 de co-parentalité, cela veut dire que le couple parental reste les parents biologiques. Du côté social, on a le concept de pluri-parentalité où l'enfant se retrouve avec plusieurs parents. La place de l'enfant peut amenée à développer un risque du syndrome de « l'enfant encombrant » et il doit créer des liens avec sa nouvelle fraterie (soit facile ou difficile). Au sein des frateries, cela peut créer des alliances entre eux. Dans ce type de famille, la place de chacun doit bien être claire et déterminer. En ce qui concerne les nouvelles naissances, nous avont deux opposition. On a les familles hébergeantes où on ressens de l'investissement et cela est bien perçu (positif). On a aussi les familles visitant, où on peut retrouver de la jalousie et les enfants peuvent se questionner sur sa place au sein de la famille. Si on a une séparation d'une famille recomposée, cela cause des problèmes des ruptures multiples. On retrouve aussi des questions par raport aux différents noms de famille. Dans ce type de famille, le facteur de protection se résume à éviter les facteurs de risques. *4. La séparation :* Les risques liés à la séparation parentale et à la résidence montrent que l'enfant rencontre des problèmes lorsque les parents sont mis à mal dans leur capacité de parent. Notamment sur les performances académiques où ils étudient moins longtemps, ils rencontrent des problèmes émotionnels et comportementaux, l'estime de soi est fragilisé impactant les relations interpersonnelles. Les capacité de parent surivennent après les 2 à 3 années après le divorce et s'estompe assez rapidement qui peut amener chez l'enfant des troubles des conduites et de l'humeur (1 enfant sur quatre). Les conséquences varie selon l'âge de l'enfant. Chez les jeunes-enfants, cela influence sur les qualitées du lien d'attachement avec une peur de l'abandon, il va avoir des comportements agressifs ou répressif impactant l'estime de soi. Chez les enfants d'âges scolaires, on peut retrouver des problèmes à l'école et de comportements et ne s'est pas à qui donner sa loyauté (âge de loyauté). A l'adolescent, on a une augmentation des comportements à risques et il éprouvre des difficultés à faire confiance en amour amplifiant ainsi des conflits dans les relations amoureuses. L'ado peut être amener à prendre le rôle du parent absent (parentalité de l'enfant), il faut bien définir les rôles de chacun. La variation du niveau de facteur de risque et de protection varie selon le niveau de conflit entre les deux parents. Dans les mauvais divorce ou séparation, on a une augmentation des facteurs de risques. Dans ce cas là, il est préférable de garder les enfants à l'écarts des conflits, la pire chose est que les enfants soient pris en otage et doivent être obliger de prendre partit pour un des deux parents. Quand les enfants sont écartés des conflits, ils ont un profil psychologique identique à ceux des enfants avec des parents non séparés.

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