Transport de la cellule - Microtubules

Structure cellulaire tubulaire composée de 13 protofilaments de tubuline.

Protéine formant les protofilaments des microtubules.

Structure cellulaire qui initie la croissance des microtubules.

Concentration de tubuline libre nécessaire pour initier la croissance d'un microtubule.

Processus par lequel les microtubules changent de taille de manière aléatoire, en se polymérisant et dépolymérisant.

Organite cellulaire, contenant des microtubules, important pour la division cellulaire.

Transport de molécules, division cellulaire, structure de cils et flagelles.

L'extrémité où la polymérisation, et donc la croissance des microtubules se produit.

La vitesse à laquelle les molécules de tubuline s'ajoutent à l'extrémité (+) d'un microtubule.

La vitesse à laquelle les molécules de tubuline se détachent de l'extrémité (-) d'un microtubule.

La concentration de tubuline libre nécessaire pour que la polymérisation des microtubules soit équilibrée avec la dépolymérisation.

Un microtubule qui s'allonge en raison d'une polymérisation plus rapide que la dépolymérisation.

Un microtubule qui se raccourcit en raison d'une dépolymérisation plus rapide que la polymérisation.

Molécule de tubuline liée à une molécule de GTP.

Molécule de tubuline liée à une molécule de GDP.

Plus la concentration de tubuline libre est élevée, plus la vitesse de polymérisation est rapide.

La vitesse de dépolymérisation est indépendante de la concentration de tubuline libre.

La stathmine se lie à la tubuline libre, empêchant sa polymérisation et favorisant la dépolymérisation des microtubules.

La stathmine provoque le désassemblage des microtubules.

La vitesse de polymérisation est plus élevée aux extrémités (+) des microtubules, tandis que la vitesse de dépolymérisation est plus élevée aux extrémités (-) des microtubules.

Protéines associées aux microtubules qui contrôlent leur stabilité et leur dynamique.

Une couche de molécules de GTP-tubuline à l'extrémité plus d'un microtubule qui le stabilise.

Une drogue qui se lie à la tubuline libre et inhibe la polymérisation des microtubules.

Une drogue qui se lie aux microtubules et inhibe la dépolymérisation, les stabilisant.

Une protéine motrice qui se déplace le long des microtubules vers l'extrémité plus.

Une protéine motrice qui se déplace le long des microtubules vers l'extrémité moins.

Des structures cellulaires qui servent de points d'ancrage pour les microtubules des cils et flagelles.

Une maladie génétique qui affecte les protéines ciliaires associées aux microtubules.

Une protéine qui forme des filaments d'actine, un composant important du cytosquelette.

Une structure filamenteuse composée de deux brins d'actine enroulés l'un autour de l'autre.

L'extrémité d'un filament d'actine où la polymérisation se produit.

L'extrémité d'un filament d'actine où la dépolymérisation se produit.

Une protéine qui se lie à l'actine libre et inhibe la polymérisation des filaments d'actine.

Ce type de polymérisation de l'actine est lente et se produit à l'extrémité moins du filament.

L'actine associée à l'ADP se trouve à l'extrémité moins du filament d'actine et contribue à une polymérisation plus rapide.

L'ATP-actine se retrouve à l'extrémité plus du filament d'actine et stabilise la structure du filament.

Le processus de création de filaments d'actine à partir de monomères d'actine.

Le processus de dégradation des filaments d'actine en monomères d'actine.

Une toxine qui se lie aux filaments d'actine et les stabilise, empêchant la dépolymérisation.

Projections de la membrane plasmique, riches en filaments d'actine, qui augmentent la surface d'échange des cellules.

Processus par lequel les cellules ingèrent des composants du milieu extracellulaire, impliquant le cytosquelette d'actine.

Processus qui empêche les filaments d'actine de se désassembler, les stabilisant ainsi.

Une substance qui se lie à l'actine libre, inhibant la polymérisation des filaments d'actine et provoquant leur désassemblage.

La myosine I est une protéine motrice qui se fixe aux filaments d'actine et transporte des vésicules en utilisant l'énergie de l'ATP.

La myosine I possède une tête globulaire qui se lie à l'actine et une queue qui se lie aux vésicules.

Structure formée par l'interaction des filaments d'actine et de myosine II, permettant la contraction des cellules.

Filaments fibreux, plus résistants que les filaments d'actine et les microtubules, constituant un réseau de soutien interne à la cellule.

Différents types de filaments intermédiaires, spécialisés pour différentes fonctions et localisations dans la cellule.

Filaments intermédiaires spécifiques au noyau, impliqués dans l'organisation et la stabilité du noyau.

Formés par l'assemblage de monomères en dimères, puis en tétramères, qui s'associent pour former des filaments.

Les filaments intermédiaires, les microtubules et les filaments d'actine contribuent à la résistance mécanique du cytosquelette.

L'association des lamines nucléaires est régulée par leur phosphorylation, les lamines phosphorylées étant instables.

Les mutations des lamines nucléaires ou de l'émérine peuvent entraîner des pathologies, comme la dystrophie musculaire de Emery-Dreifuss.

Une maladie génétique affectant les muscles squelettiques et cardiaques, due à des mutations des lamines nucléaires ou de l'émérine.