Terminologie de l'entraînement physique

Chaque individu réagit différemment à l'entraînement.

Un programme d'entraînement doit prendre en compte les caractéristiques et capacités de l'individu pour être efficace.

Les adaptations au sport et à l'entraînement doivent être spécifiques à l'activité pratiquée.

Les gains en force, endurance et vitesse obtenus grâce à l'entraînement se maintiennent tant qu'il y a une stimulation régulière.

L'entraînement doit être planifié et structuré pour maximiser les effets, et doit inclure des périodes de repos et de récupération.

Une contraction isométrique maintient la longueur du muscle constante alors que la tension augmente.

Une contraction dynamique implique un mouvement et un changement de longueur du muscle.

Les exercices isocinétiques maintiennent une vitesse constante du mouvement, quelle que soit la force appliquée.

Les exercices pliométriques utilisent un mouvement explosif pour solliciter la force élastique du muscle.

Les charges libres peuvent varier en fonction du mouvement et de la position du corps.

Méthode d'entraînement utilisant des poids libres (haltères, kettlebells) ou des machines.

Les machines offrent une résistance constante et contrôlée.

Les méthodes d'entraînement adaptent la résistance en fonction des points faibles et forts du mouvement.

Méthode d'entraînement où la résistance est ajustée en fonction de la force à différents points du mouvement.

La planification des programmes d'entraînement vise à optimiser les séances pour atteindre les objectifs de musculation.

Méthode d'entraînement où la vitesse du mouvement est maintenue constante, quelle que soit la force appliquée.

Méthode d'entraînement qui sollicite le composite élastique et contractile du muscle.

Méthode d'entraînement où le muscle développe une force maximale pendant un temps très court.

L'entraînement en musculation nécessite une planification méticuleuse pour maximiser les résultats et minimiser les risques de blessure.

Les machines de musculation offrent une amplitude de mouvement pré-définie, mais contrôlent le mouvement et réduisent le risque de blessure.

La méthode isocinétique utilise des appareils qui régulent la vitesse du mouvement, quelle que soit la force appliquée. La résistance est adaptée à l'effort du muscle.

Le core training met l'accent sur le renforcement des muscles posturaux profonds, responsables du maintien de la colonne vertébrale. Il inclut des exercices comme le plank et le crunch.

La méthode pliométrique consiste à exploiter l'élasticité du muscle pour augmenter la puissance du mouvement. Elle implique un mouvement rapide d'étirement suivi d'une contraction explosive.

La méthode excentrique est une phase de contraction musculaire où le muscle s'allonge sous l'effet de la résistance. Elle permet de développer une force maximale.

L'hypertrophie musculaire est le processus d'augmentation de la taille des fibres musculaires. Elle implique une augmentation du nombre de myofibrilles, des filaments d'actine et de myosine, ainsi qu'une augmentation du volume sarcoplasmique.

L'hypertrophie musculaire se produit lorsque les muscles sont soumis à un stress régulier et intense, comme lors des entraînements de force.

La formation supplémentaire de ponts d'acto-myosine, qui sont les points de contact entre les filaments d'actine et de myosine, permet une contraction musculaire plus forte.

L'hyperplasie des fibres musculaires est l'augmentation du nombre de fibres musculaires. Ce processus est moins fréquent que l'hypertrophie et peut se produire dans certaines conditions d'entraînement très intenses.

Le tissu conjonctif, composé de collagène et d'élastine, joue un rôle crucial dans la résistance musculaire. Il augmente en volume lors de l'entraînement de force.

Les hormones de croissance comme la testostérone et l'hormone de croissance stimulent la synthèse des protéines musculaires, contribuant ainsi à l'hypertrophie.

Une prescription d'entraînement de force inadéquate peut entraîner une augmentation chronique du cortisol, une hormone de stress qui peut avoir un impact négatif sur les performances.

Le stress métabolique est directement lié à la réponse hormonale à l'exercice. Plus le stress métabolique est important, plus la réponse hormonale sera élevée.

L'entraînement continu consiste à réaliser une seule répétition d'exercice sans intervalle de repos. Il peut être pratiqué à basse intensité (60-75% de la fréquence cardiaque maximale) ou à haute intensité (85-95% de la fréquence cardiaque maximale).

L'entraînement continu à basse intensité est idéal pour le développement du système oxydatif et glycolytique. Il est souvent utilisé par les spécialistes des longues distances, qui parcourent de 160 à 320 km par semaine.

L'entraînement continu à haute intensité est parfait pour améliorer les performances cardiovasculaires.

L'entraînement par intervalle à haute intensité (HIIT) consiste en des efforts intenses suivis de courtes périodes de récupération. Il s'agit d'une méthode efficace pour améliorer la VO2max, l'endurance et la force musculaire.

Les séances d'HIIT peuvent être réalisées à l'intérieur, à l'extérieur ou en utilisant du matériel sportif comme des poids, des barres ou des machines.

L'HIIT a un impact significatif sur la VO2max, augmentant l'endurance de la même manière que l'entraînement continu d'intensité modérée ; il peut donc être utilisé pour améliorer la santé cardiovasculaire.

L'effort supra-maximal ou proche maximal correspond à un effort supérieur à la limite maximale que l'individu peut produire.

Les efforts intenses et courts de l'HIIT sont suivis de périodes courtes de récupération.