Révolution Néolithique et Santé

Study Notes

Augmentation significative de la durée de travail: Passant de 4 à 10 ou 12 heures par jour.
Nouvelles maladies liées à la promiscuité animale: Trichinose porcine, grippes aviaires, COVID-19 (mentionné, mais bien plus récent que le néolithique, donc probablement une erreur dans le contexte).
Réduction de la diversité alimentaire: Conduisant à des carences en minéraux, vitamines et protéines.
Risques accrus de parasites et d'insectes: Ergot des céréales (particulièrement le seigle), pullulation des larves, insectes et rongeurs dans les récoltes.
Insertion du chat dans l'économie humaine: Nouvelle forme de présence animale.
Complication de l'accouchement pour les femmes: La sédentarisation aggrave la rigidité du bassin et la faiblesse musculaire profonde.
Augmentation des conflits (pillage de stocks): L'accumulation de ressources encourage le conflit.
Conséquences négatives sur l'humain: Diminution de la taille corporelle et de l'espérance de vie par rapport aux chasseurs-cueilleurs.

Prolongement de la durée et de l'intensité du travail: 10 à 12 heures par jour, voire plus, avec des jours de travail importants (plus de 260 jours par an dans certains cas et des horaires très longs, jusqu'à 16/12 h par jours pour 310 J/an) ; exploitation du travail des enfants.
Nouvelles maladies liées à la vie urbaine: Choléra, parasites (poux, puces, etc.).
Perturbation de la diète: Consommation de céréales raffinées, sucre et alcool.
Mortalité maternelle et infantile accrue: Mortalité infantile multipliée par 2,5 dans les sociétés néolithiques, par 2 dans les sociétés traditionnelles et par 5 à Paris vers 1850.
Exacerbation des conflits: Guerres et massacres entre nations.