UE 4 - Histologie et physiopathologie pulpaire

Tissu complexe comprenant le ciment, le desmodonte, l'os alvéolaire et la gencive, qui soutient et nourrit l'organe dentaire.

Partie de la dent, formant un complexe pulpo-dentin, et constituant la masse principale de la dent.

Tissu d'origine épithéliale, très minéralisé à plus de 95%, recouvrant les couronnes dentaires.

Interaction entre la dentine et la pulpe dentaire, répondant à des stimuli externes.

Processus de formation de l'émail lors du développement dentaire.

Affection ou maladie de la pulpe dentaire, souvent due à une carie.

Tissu minéralisé recouvrant la racine des dents, jouant un rôle dans l'ancrage à l'os alvéolaire.

Formation de la dentine par les odontoblastes durant le développement dentaire.

Dentin caractérisé par des extensions polarisées des odontoblastes.

Dentin mantelle hypominéralisée sous la jonction amélo-dentina.

Islets peu minéralisés trouvés dans la dentine périphérique.

Dentin primaire formée par la transformation de la prédentine.

Formée à partir de la pré-dentine pendant la fonction dentaire.

Ratio élevé, indique la densité des tubules dentinaires.

Dentin hyperminéralisée entourant les tubules dentinaires.

Dentin moins minéralisée, formée à partir de la prédentine.

Extensions dans le prédentin formant des branches latérales qui traversent la dentine intertubulaire.

Dépend de la zone de dentine : 8,000/mm² à 58,000/mm².

Obstruction des tubules due aux précipitations avec l'âge.

Dentin formée à la suite d'une agression pouvant être soit réactive, soit réparatrice.

Dentin produite par les odontoblastes survivants après une agression.

Tissu conjonctif spécialisé responsable de la dentinogénèse et de la détection des agressions.

Partie de la cavité pulpaire contenant la pulpe coronaire.

Ouverture par laquelle la pulpe communique avec le ligament parodontal, souvent décentré.

Tissu contenant fibroblastes, cellules mésenchymateuses et cellules immunitaires.

Cellules impliquées dans la construction et le remodelage de la matrice extra-cellulaire de la pulpe.

Cellules près des vaisseaux sanguins, capables de se transformer en fibroblastes ou odontoblastes.

Cellules de défense de la pulpe, réagissant aux agressions.

Substance issue des cellules de la pulpe, facilitant la communication intercellulaire.

Protéine principale de la pulpe, formant 34% des protéines, particulièrement type III.

Polymères présents dans la matrice pulpaire, permettant à la pulpe de retenir l'eau.

Enzymes jouant un rôle clé dans le remodelage de la pulpe lors des inflammations.

Tissu pulpéal très vascularisé, conduit à l'échange de nutriments.

Réseau dense de capillaires sous les odontoblastes, facilitant les échanges.

Pression élevée dans l'espace pulpéal, ne permettant pas l'expansion.

Le réseau vasculo-lymphatique maintient l'équilibre des fluides pulpaux.

Présence d'ouvertures dans les murs des vaisseaux, améliorant la diffusion.

Augmentation du flux sanguin en réponse aux lésions pulpaires.

Capture et neutralisation des substances nuisibles dans la pulpe.

Routes supplémentaires pour la vascularisation pulpale au-delà des vaisseaux principaux.

Substances chimiques libérées par les terminaisons nerveuses pulpaires, y compris la noradrénaline et les neuropeptides.

Neuropeptide impliqué dans la transmission de la douleur et la vasodilatation dans la pulpe dentaire.

Théorie expliquant la sensibilité dentinaire par le mouvement rapide des fluides dentinaires.

Le tissu pulpaire produit la dentine tout au long de la vie, même sans irritants chimiques.

La pulpe fournit des nutriments nécessaires à la formation des tissus minéralisés par la vascularisation.

Réaction de la pulpe à l'agression par la douleur pour protéger l'intégrité de la dent.

Réponse de la pulpe aux agressions, indiquant un processus inflammatoire.

Changements qui se produisent dans la pulpe avec l'âge, réduisant sa taille et sa fonction.