Physiologie Humaine I - Chapitre 16

La transformation du glucose en glycogène, qui est ensuite stocké dans la cellule.

La libération du glucose à partir du glycogène stocké dans la cellule, stimulée par une faible concentration de glucose dans le sang.

Une enzyme qui facilite la conversion du glucose en glucose-6-phosphate.

Une enzyme qui décompose le glucose-6-phosphate en glucose et en phosphate inorganique.

Une enzyme qui convertit le glucose-1-phosphate en glucose-6-phosphate.

Une enzyme qui catalyse la formation d'une liaison glycosidique entre le glucose et le glycogène.

Une enzyme qui décompose le glycogène en glucose-1-phosphate.

Une enzyme qui décompose les lipides en glycérol et en acides gras.

Le glycérol, produit de la lipolyse, est transporté au foie où il peut être converti en glucose.

Lorsque les réserves de glycogène sont épuisées, l'organisme utilise les protéines musculaires comme source d'énergie.

Certains acides aminés, comme l'alanine, peuvent être transformés en pyruvate par transamination. Le pyruvate est ensuite converti en glucose dans le foie.

L'état post-absorptif se caractérise par la mobilisation des nutriments stockés pour répondre aux besoins énergétiques de l'organisme.

Un processus qui consiste à décomposer les acides gras en acétyl-CoA, un composé qui peut être ensuite utilisé dans le cycle de Krebs pour produire de l'énergie.

Une molécule qui porte des groupes acétyle dans la cellule, en particulier dans la β-oxydation.

Une molécule de trois atomes de carbone créée pendant la glycolyse, un processus qui dégrade le glucose pour produire de l'énergie.

Le principal produit de la β-oxydation, une molécule qui contient deux carbones et est utilisée dans le cycle de Krebs pour produire de l'énergie.

L'enzyme responsable du détachement des groupes acétyle à deux carbones à partir des molécules d'acides gras pendant la β-oxydation.

Une série de réactions chimiques qui ont lieu dans les mitochondries, utilisant l'acétyl-CoA pour produire de l'ATP (énergie).

Le processus de dégradation du glucose en pyruvate, qui est une étape préliminaire de la production d'énergie.

Un processus qui consiste à transférer un groupe amine d'un acide aminé à un acide cétonique.

La sécrétion d’insuline est stimulée par une augmentation du taux de glucose dans le sang. L’insuline favorise l’entrée du glucose dans les cellules, ce qui entraîne une diminution du taux de glucose dans le sang. Cette baisse de glycémie arrête la sécrétion d’insuline.

Le glucose et les lipides stimulent la sécrétion de l’hormone GIP (peptide insulino-tropique dépendant du glucose) par les endocrinocytes de l’intestin grêle. Le GIP stimule la sécrétion d’insuline par le pancréas et favorise la captation du glucose par les adipocytes et les muscles.

La sécrétion de glucagon est stimulée par une diminution du taux glucose dans le sang. Le glucagon favorise la libération du glucose stocké dans le foie (glycogénolyse) et stimule la néoglucogenèse (la production de glucose à partir d’autres sources).

Le glucagon a des effets opposés à ceux de l’insuline. Il stimule la glycogénolyse et la néoglucogenèse, ce qui augmente le taux de glucose dans le sang. Sa sécrétion est élevée en période post-absorptive et pendant le jeûne prolongé.

La sécrétion de glucagon est stimulée par l’hypoglycémie. Ce mécanisme permet de maintenir le taux de glucose dans le sang à des niveaux normaux.

Le glucose est synthétisé dans le foie à partir des réserves de glycogène et par la néoglucogenèse.

La néoglucogenèse est la production de glucose à partir de sources non glucidiques, comme le lactate, le pyruvate, le glycérol et les acides aminés.

Le glucose synthétisé dans le foie est libéré dans le sang pour alimenter les tissus.

Les muscles et les autres tissus non nerveux utilisent très peu de glucose pendant le jeûne.

La lipolyse est la dégradation des triglycérides stockés dans les tissus adipeux, libérant des acides gras dans le sang.

Les acides gras et les corps cétoniques libérés par la lipolyse sont utilisés comme source d'énergie principale par l'organisme pendant le jeûne.

Le cerveau peut utiliser des corps cétoniques comme source d'énergie en plus du glucose pendant le jeûne.

L'insuline est une hormone qui favorise l'absorption et l'utilisation du glucose par les cellules.

L'insuline stimule le stockage de glycogène dans le foie, les muscles et les adipocytes.

La sécrétion d'insuline est stimulée par l'augmentation du taux de glucose dans le sang.

L'état de repas se caractérise par la présence d'insuline et l'utilisation du glucose comme principale source d'énergie. Le glucose est stocké sous forme de glycogène dans le foie et les muscles. Les protéines sont utilisées pour la construction et la réparation des tissus.

Les cellules sensibles à l'insuline, comme les cellules musculaires et les adipocytes, possèdent des récepteurs d'insuline sur leur membrane plasmique. Ces récepteurs activent la mobilisation et l'insertion des transporteurs de glucose (GLUT-4) dans la membrane plasmique, ce qui facilite l'entrée du glucose dans la cellule.

L'augmentation du glucose plasmatique stimule la sécrétion d'insuline par les cellules B des îlots de Langerhans du pancréas. Cette sécrétion est également stimulée par l'augmentation du polypeptide insulinotropique dépendant du glucose (GIP).

La concentration élevée d'insuline stimule la synthèse de glycogène, la lipogenèse (formation de graisse) et l'entrée de glucose dans les cellules.

La concentration basse d'insuline stimule la glycogénolyse (dégradation du glycogène), la lipolyse (dégradation des graisses) et la gluconéogenèse (production de glucose à partir de sources non glucidiques).

La gluconéogenèse est le processus de production de glucose à partir de précurseurs non glucidiques, tels que les acides aminés et le glycérol. Elle se produit principalement dans le foie.