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La mise en place d'une politique sportive par le régime de Vichy pour atteindre des objectifs sanitaires et idéologiques

Améliorer la « race française » par le biais du sport et de l'éducation physique, dans une perspective eugéniste positive

Inculquer les valeurs vichystes de l'ordre, de la discipline, de l'obéissance, de l'effort et de la loyauté

Organisme responsable de la politique sportive en France et dans les colonies sous Vichy

Organiser la politique sportive, gérer l'équipement sportif, développer l'éducation physique

Le budget du sport a augmenté considérablement sous Vichy, passant de 50 millions en 1939 à 50 milliards en 1940

Développer les corps des élèves, en les éloignant d'un système éducatif jugé trop intellectuel

Former des « êtres d'action » en privilégiant les pratiques sportives et l'éducation physique

Le NSDAP (parti nazi) remporte 43% des voix lors de cette élection, marquant un tournant majeur dans la montée au pouvoir d'Hitler.

Le sport joue un rôle central dans l'idéologie nazie, servant à promouvoir la santé, la force et la supériorité de la race aryenne.

Hitler voyait le sport comme un outil contre la « décadence » et la promotion de la « race pure » allemande.

La promotion de la santé, la race et la supériorité allemande étaient à la base de l'intégration du sport dans le régime nazi.

L'idéologie nazie reposait sur des principes racistes, avec une croyance en une inégalité naturelle entre les races.

L'idéal nazi du Nouvel Homme, fort et dominant, était favorisé par le sport.

Les jeux Olympiques de Berlin de 1936 ont été utilisés par le régime nazi pour afficher sa puissance et sa supériorité.

Dès l'hiver 1933, les nazis ont instauré un climat de terreur et de propagande pour consolider leur pouvoir.

Les Jeux Olympiques d'été de 1936, organisés à Berlin, en Allemagne, sous le régime nazi.

Les Jeux Olympiques de Berlin ont été controversés en raison du régime nazi au pouvoir. Les Jeux ont été utilisés par les nazis comme une plateforme de propagande pour promouvoir leur idéologie.

Le régime nazi a utilisé les Jeux Olympiques de Berlin pour promouvoir son idéologie, démontrer la puissance allemande et la supériorité de la race aryenne.

Beaucoup de pays ont envisagé de boycotter les Jeux Olympiques de Berlin pour protester contre le régime nazi, mais le Comité International Olympique a finalement décidé de les maintenir.

Un athlète afro-américain qui a remporté quatre médailles d'or aux Jeux Olympiques de Berlin, malgré la propagande nazie.

Les nazis ont orchestré une mise en scène soigneusement planifiée pour présenter une image positive du régime aux yeux du monde aux Jeux Olympiques de Berlin.

L'architecture des Jeux Olympiques de Berlin était conçue pour refléter la puissance et l'idéologie nazie.

Leni Riefenstahl a réalisé des films sur les Jeux Olympiques de Berlin qui mettaient en avant le succès allemand et glorifiaient le régime nazi.

Le régime fasciste en Italie, dirigé par Mussolini, a pris le pouvoir en 1922 après la marche sur Rome. Il a mis en place une dictature, supprimé les droits démocratiques et modernisé le pays en développant l'économie et les infrastructures.

Sous le régime fasciste en Italie, le sport était utilisé comme un outil politique pour éduquer les Italiens à l'idéologie fasciste, promouvoir l'unité nationale et obtenir une reconnaissance internationale.

Le régime fasciste a entrepris des programmes de modernisation pour améliorer le niveau de vie des Italiens et renforcer la puissance de l'Italie sur la scène internationale. Cela comprenait le développement de l'infrastructure, de l'électricité dans les campagnes et des réseaux ferroviaires.

En 1922, les fascistes italiens ont mené une marche sur Rome pour exiger le pouvoir du roi. Le roi a cédé et Mussolini est devenu Premier ministre, marquant le début du régime fasciste en Italie.

Le parti politique fasciste en Italie, dirigé par Mussolini, qui a prôné la violence, l'autorité, la nationalisme et le culte du leader.

Le régime fasciste a aboli les libertés individuelles, la liberté d'expression et les droits démocratiques. Le régime a mis en place une surveillance et une répression des opposants.

Le régime fasciste a cherché à contrôler l'éducation pour former des citoyens obéissants et loyaux au régime. Le sport faisait partie de cette éducation et était utilisé pour inculquer les valeurs fascistes.

Le régime fasciste cherchait à obtenir une reconnaissance internationale pour l'Italie, utilisant le sport comme un moyen d'affirmer la puissance et la grandeur de l'Italie.

Des sports qui se pratiquent sur des surfaces glissantes, comme le skate ou la trottinette.

Un mode de vie qui se caractérise par une liberté de pratique, un rejet des institutions, une culture musicale et vestimentaire.

Des événements sportifs qui mettent en scène des sports extrêmes, souvent pour rapporter de l'argent.

Des pratiques physiques non compétitives qui visent à améliorer la santé et le bien-être.

La Fédération Française d'Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire, dédiée au sport d'entretien.

La FFEPGV est un héritage de Philippe Tissié, créateur de la ligue girondine d'éducation physique.

Un programme de fitness populaire dans les années 80, présenté par Véronique et Davina.

La proportion de femmes licenciées dans le sport a considérablement augmenté entre les années 60 et aujourd'hui.

La devise du mouvement de jeunesse fasciste italien, le Licteur, créée en 1937, est "Croire, Obéir et Combattre".

Le fascisme a tenté d'utiliser le sport pour promouvoir ses idéaux, en le considérant comme un outil d'éducation physique et morale.

Organisation créée par le fascisme italien pour former des femmes au sport, afin de promouvoir une image de la "nouvelle femme" conforme à l'idéologie fasciste.

Championne italienne d'athlétisme, victorieuse aux Jeux olympiques de Berlin en 1936, célébrée par le régime fasciste comme symbole de la réussite sportive italienne.

Les notions de genre et de sport sont inextricablement liées. Les rôles sociaux assignés aux hommes et aux femmes influencent la pratique et la perception du sport.

Historiquement, certains sports sont associés de manière stéréotypée à un genre plutôt qu'à un autre, reflétant les normes sociales et culturelles.

L'étude des relations entre le sport et le genre est apparue dans les années 1970 aux États-Unis et au Canada, puis s'est diffusée en Europe.

L'analyse de l'histoire du sport et du genre permet de comprendre les transformations sociales, culturelles et politiques liées aux rôles des hommes et des femmes dans le sport.