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Un bâtiment qui produit plus d'énergie qu'il n'en consomme.

Un label qui certifie la performance énergétique d'un bâtiment selon les critères RE2020.

Objectif d'un bâtiment à énergie positive. Un bâtiment qui produit plus d'énergie qu'il n'en consomme, mais plus poussé.

Calcul pour déterminer la production d'énergie nécessaire pour atteindre le niveau BEPOS d'un bâtiment.

Un facteur lié à la performance énergétique d'un bâtiment.

Utilisation de l'énergie produite sur place pour satisfaire ses propres besoins.

Production d'énergie au sein d'un bâtiment.

Exigences réglementaires pour garantir un confort thermique pendant la période estivale.

Mesure du confort thermique estival (température, temps d'exposition), mesuré en °C.h.

Un label qui évalue l'impact environnemental d'un bâtiment en tenant compte des émissions de gaz à effet de serre.

Le volet du label BBCA qui évalue la quantité de gaz à effet de serre évités ou séquestrés par le bâtiment.

Un label d'État qui certifie la réduction des émissions de gaz à effet de serre d'un projet.

Une méthode développée par l'ADEME pour évaluer l'impact environnemental d'un bâtiment.

L'impact carbone d'un projet de construction, mesuré en kg CO₂eq.

Le niveau de performance d'un bâtiment en matière de contribution à la neutralité carbone. Plus le nombre d'étoiles est élevé, plus la contribution est importante.

La phase du projet de construction où le label BBCA est provisoire.

La phase du projet de construction où le label BBCA devient définitif.

Les exigences réglementaires de la RE2020 s'appliquent aux bâtiments dès le 1er janvier de l'année suivante. Les bâtiments doivent répondre aux valeurs de la RE2020 à partir de 2025, avec des échéances spécifiques pour 2027 et 2028.

Les bureaux d'études qui effectuent les calculs d'indicateurs 'environnement' de la RE2020 doivent être qualifiés. La qualification OPQIBI 1333 'Étude ACV des bâtiments neufs' est nécessaire.

La perméabilité à l'air du bâti est une exigence pour tous les bâtiments hors immeubles de grande hauteur (IGH). La valeur maximale autorisée est Q4Pa-surf ≤ 1,00 m3/h par m² de parois déperditives (hors plancher bas).

Les mesures de perméabilité à l'air du bâti doivent être réalisées par un opérateur indépendant et qualifié, certifié QUALIBAT 8711.

Le protocole PromevenTertiaire est utilisé pour mesurer et contrôler les systèmes de ventilation. Il mesure les débits, pressions, puissances et vitesses des ventilateurs, ainsi que l'étanchéité à l'air.

Les mesures et contrôles des systèmes de ventilation doivent être réalisés par un opérateur indépendant et qualifié, certifié QUALIBAT 8721.

Le commissionnement des systèmes de ventilation est l'étape où l'on vérifie que les systèmes fonctionnent correctement. On utilise le guide du COSTIC 'Memento du commissionnement pour des équipements techniques aux qualités durables'.

L'exigence minimale du commissionnement est de fournir les rapports de mise en service des systèmes et équipements qui contribuent à la performance environnementale du bâtiment.

Méthode utilisée pour estimer les émissions de CO2 liées à la démolition d'un bâtiment en l'absence de données précises. Le calcul utilise un taux d'émission par m² de surface utile (SU) démolie, spécifique à chaque type de bâtiment.

Le taux d'émission de CO2 pour les modules C et D est de 10 kgCO2éq par m² de SU démolie. Ces modules correspondent généralement à des bâtiments moins complexes avec une durée de vie résiduelle plus courte.

Le taux d'émission de CO2 pour les modules A et B est de 350 kgCO2éq par m² de SU démolie. Ces modules correspondent généralement à des bâtiments plus complexes avec une durée de vie résiduelle plus longue. Le taux est pondéré par la durée de vie résiduelle.

Les émissions de CO2 liées à la démolition ne sont pas prises en compte si le bâtiment a un usage différent du nouveau bâtiment, s'il est déconstruit plus de 5 ans avant le dépôt du permis de construire du nouveau bâtiment ou si la démolition est due à une injonction administrative.

Les impacts carbone liés à la fin de vie des éléments de gros œuvre (lots 2 et 3) ayant une durée de vie résiduelle (DVR) supérieure à 100 ans ne sont pas pris en compte.

L'artificialisation des sols est pénalisée car elle réduit la capacité des sols à séquestrer le carbone. Un taux de 30 kgCO2/m² de surface artificialisée est appliqué, avec des ajustements pour la déduction de l'emprise de bâtiments démolis éventuels et la surface de pleine terre reconstituée.

Ce sont des points attribués aux projets qui mettent en œuvre des solutions innovantes pour réduire leur impact carbone. Les points sont attribués pour des actions comme la déconstruction sélective, le réemploi, la mutualisation, la mutabilité, l'extension et l'optimisation des consommations énergétiques.

Ce volet incite les projets immobiliers à contribuer de manière positive à la neutralité carbone en allant au-delà des actions de réduction d'émissions dans le périmètre de l'analyse du cycle de vie du bâtiment.

Le dossier complet qui contient tous les documents nécessaires pour l'évaluation du label BBCA Neuf v4.1.

Analyse du Cycle de Vie, une étude qui mesure l'impact environnemental d'un produit ou d'un bâtiment du berceau au tombeau.

Le rapport simplifié d'évaluation environnementale, un document qui résume les résultats de l'ACV.

Un document qui explique les détails de l'analyse du cycle de vie pour le vérificateur.

Le fichier utilisé par le logiciel pour effectuer l'analyse du cycle de vie.

Les conditions et les suppositions utilisées lors de l'analyse du cycle de vie.

Une personne ou un organisme indépendant qui vérifie la conformité du projet aux critères du label.

Les informations utilisées dans l'analyse du cycle de vie, comme la quantité de matériaux utilisés.