Nelligan et la poésie canadienne-française

Le père de Nelligan était anglophone d'origine irlandaise et sa mère francophone d'origine québécoise.

Symbolisme.

Schizophrénie et internment.

Sa vie, marquée par l'échec et les difficultés, le classe parmi les poètes exilés/isolés.

Anaphore, répétition de "Ah! comme".

Le e muet est compté dans le décompte des syllabes s'il est suivi d'une consonne prononcée dans le même mot ou le mot suivant.

Question non résolue, il manque les données nécessaires pour la réponse.

Un vers comportant dix syllabes.

Le vocabulaire du texte, qui présente une répétition de consonnes au début des mots.

Des tensions politiques au Québec dues à l'obligation de combattre pendant la Première Guerre mondiale.

Henri Bourassa distinguait deux pays pour les Canadiens anglais (Royaume-Uni et Canada), contre un seul pour les Canadiens français.

Désignation des années 1920 caractérisées par une effervescence économique et sociale.

Grave crise économique mondiale des années 1930, suivant la Première Guerre mondiale.

La Seconde Guerre mondiale a débuté en 1939.

Génération de poètes québécois marquée par les thèmes de la solitude, introspection et isolement.

La télévision

Le clergé/l'Église

Radio-Canada

Réalisme, surréalisme, existentialisme

Roman de la ville (représenté par Bonheur d'occasion de Gabrielle Roy, 1945)

Paul-Émile Borduas

Surréalisme

Suspension de l'École du meuble

Le pseudonyme de l'essayiste Jean-Paul Desbiens est Frère Untel.

L'essai aborde le système éducatif québécois, particulièrement les institutions religieuses.

Michel Tremblay et Jean-Guy Pilon sont les dramaturges les plus importants de la Grande Noirceur.

Marcel Dubé est l'auteur de ces deux œuvres.

Gabrielle Roy, bien que souvent perçue comme Québécoise, est originaire du Manitoba.

Spécifiez le type de vers utilisé dans le poème, incluant le nombre de pieds et le nom donné aux vers de cette longueur.

Identifier la métaphore principale qui est récurrente tout au long du poème.

Expliquer la raison derrière la requête de Nelligan aux oiseaux de pleurer en février.

Nelligan se compare à un bateau qui a sombré dans les profondeurs de l'océan, symbolisant ainsi sa propre descente dans la tristesse et le désespoir.

Le poème explore les contrastes entre deux réalités parallèles, comme l'être et l'apparence, l'ici et l'ailleurs, la vie et la mort.

Nelligan aspire à une réalité plus pure et essentielle, à la liberté spirituelle et à l'accomplissement intérieur, s'échappant des contraintes de la vie quotidienne.

Le style poétique de Saint-Denys Garneau, caractérisé par l'absence de règles strictes de rythme et de rimes.

'L'étranger' représente un élément extérieur qui perturbe ou interroge la réalité du poète.

Jean Lévesque est rebuté par l'attitude de pauvreté et le manque de distinction sociale de Florentine, symbole de son propre désir d'ascension sociale.

L'auteur utilise un français plus soutenu, plus cultivé et plus correct que celui de ses élèves qui parlent souvent un français plus populaire ou le joual.

Le problème de l'aliénation culturelle et linguistique est présenté comme un problème de civilisation car l'incapacité à préserver et à maîtriser la langue française représente un manque d'identité culturelle.

L'auteur dénonce la domination de l'anglais et de la culture anglo-saxonne qui érode l'essence même de la culture québécoise.

L'auteur souligne l'assimilation progressive du peuple québécois à une culture dominante étrangère, ce qui est un symptôme de la perte de l'identité collective.

Selon l'auteur, les jeunes n'admirent et ne sont impressionnés que par l'argent et le pouvoir, ce qui explique pourquoi ils ont si peu d'intérêt pour le français.

Le nom de famille "Coq" dans Tit-Coq peut être interprété comme une métaphore de la fierté et de l'identité masculine (le coq étant un symbole traditionnel de virilité).

Le nom "Coq" est aussi un jeu de mots qui reflète l'humilité et la simplicité du personnage.

Le nom "Coq" symbolise la situation des Québécois de l'époque, souvent perçus comme modestes, marginalisés et dans une position inférieure par rapport aux anglophones.