Criminologie cours 7

Une approche qui se concentre sur les circonstances et les opportunités qui favorisent la criminalité, plutôt que sur les caractéristiques des délinquants.

Une théorie qui suggère que le mode de vie d'une personne peut influencer son risque d'être victime d'un crime.

L'analyse des facteurs liés au mode de vie d'une personne, tels que la structure sociale, ses interactions et ses habitudes quotidiennes.

La probabilité de devenir victime d'un crime basée sur des facteurs liés au mode de vie.

L'idée selon laquelle des facteurs contextuels jouent un rôle dans le choix de la victime.

Un concept crucial de la théorie du mode de vie, impliquant le temps passé dans les espaces publics.

Un facteur important dans l'analyse du mode de vie, qui prend en compte les caractéristiques sociodémographiques d'une personne.

Il est plus probable d'être victime si le délinquant et la victime partagent des caractéristiques sociodémographiques.

L'idée selon laquelle des endroits avec un taux de criminalité élevé augmentent le risque d'être victime pour les habitants.

L'étude des facteurs qui influencent la probabilité d'un crime, en mettant l'accent sur les opportunités et les risques.

Théorie qui explique le risque accru d'être victime d'une agression sexuelle, de vol ou d'agression en fonction de différents facteurs, comme l'âge, l'utilisation des transports en commun et le sentiment d'invincibilité.

Théorie qui explique le crime en fonction de l'interaction entre un délinquant, une victime et l'absence de gardien.

Théorie qui propose des stratégies pour réduire le crime en modifiant l'environnement et en réduisant les opportunités pour les délinquants.

Modèle qui identifie cinq facteurs influant sur la criminalité : le nombre de cibles disponibles, la facilité d'accès aux cibles, l'attractivité des cibles, le risque d'être arrêté et les alternatives légitimes.

Ensemble de techniques visant à réduire le crime en modifiant les aspects environnementaux ou sociaux qui le favorisent.

Théorie qui met l'accent sur le lien entre la criminalité et les opportunités de crime.

L'augmentation du nombre de familles monoparentales et la participation accrue des femmes au marché du travail ont contribué à l'augmentation de la criminalité.

La diminution du nombre de cibles faciles, la réduction de liquidités en circulation et l'adoption de mesures de prévention situationnelle ont contribué à la baisse de la criminalité.

Le crime est plus susceptible de se produire lorsque les délinquants se sentent invincibles et moins susceptibles de se faire prendre.

La théorie des activités routinières explique l'augmentation de la criminalité après la Seconde Guerre mondiale.

Augmenter les difficultés pour le délinquant en renforçant les cibles, limitant l'accès aux infrastructures, filtrant les sorties, détournant les délinquants et contrôlant les armes et les outils.

Augmenter les risques pour le délinquant en améliorant la protection, en développant la surveillance naturelle, en réduisant l'anonymat, en utilisant des gestionnaires de lieux et en renforçant la surveillance formelle.

Réduire les récompenses pour le délinquant en camouflant les cibles, en les supprimant, en identifiant les biens, en perturbant les marchés, en refusant les avantages et en réduisant la frustration et le stress du délinquant.

Réduire les provocations pour le délinquant en diminuant la frustration et le stress, en évitant les conflits, en réduisant les réactions émotionnelles, en neutralisant la pression des pairs et en découragant l'imitation.

Réduire les excuses pour le délinquant en établissant des règles, en affichant des instructions,, en sensibilisant, en favorisant le respect des normes et en contrôlant les drogues et l'alcool.

La théorie de la prévention situationnelle soutient que la criminalité peut être réduite en modifiant l'environnement physique et social pour rendre le crime plus difficile, plus risqué et moins gratifiant.

La critique argue que la prévention situationnelle ne fait que déplacer la criminalité vers d'autres cibles ou méthodes, sans la réduire réellement.

L'hypothèse du déplacement suppose que les motivations criminelles sont fixes, mais en réalité, les criminels peuvent s'adapter à des circonstances changeantes.

Le renforcement des cibles, comme l'installation de serrures sur les voitures, est une méthode clé de la prévention situationnelle.

La suppression des armes et des outils utilisés pour commettre des crimes est une stratégie importante pour réduire les opportunités criminelles.

La suppression des avantages vise à réduire la criminalité en contrôlant la distribution de substances illicites, en promouvant des traitements préventifs contre la toxicomanie et en légalisant certaines substances.

La théorie des fenêtres brisées suggère que la dégradation physique d'un environnement peut créer une perception de désordre et d'impunité, ce qui encourage la criminalité.

Les mesures positives visent à fournir aux criminels des moyens légaux et alternatifs d'atteindre leurs objectifs.

La moralisation consiste à essayer de réduire la criminalité en modifiant la nature humaine et en promouvant des valeurs morales.

Le concept de "terrain d'entraînement" suggère que les délits moins graves peuvent fournir aux criminels une expérience et une compétence, les préparant à des crimes plus importants.

La criminalité est considérée comme une partie fondamentale de la nature humaine, qui ne peut être complètement éliminée.

La criminalité est souvent influencée par les opportunités et les risques présents dans l'environnement.

Les cadres juridiques peuvent avoir du mal à suivre le rythme de l'évolution technologique, créant de nouvelles opportunités pour la criminalité.

Une personne susceptible d'être victime d'un crime en raison de ses caractéristiques sociodémographiques.

Les pionniers de cette approche se sont concentrés sur la prévention des maladies au XIXe siècle. Ils ont étudié l'impact de la situation sur la santé publique, ce qui a inspiré l'application de ce concept à la criminologie.

Ce chercheur est un pionnier de l'approche situationnelle, qui se base sur son expérience pendant la Seconde Guerre mondiale. Il a étudié les erreurs humaines qui ont mené à des pertes d'avions pendant la guerre, et il a développé des techniques de prévention pour réduire les risques.

Une théorie qui reconnaît l'influence de l'opportunité sur le crime. Elle suggère que la criminalité est plus susceptible de se produire lorsque les opportunités sont présentes et que les risques sont faibles.

Une théorie qui se concentre sur les aspects contextuels du crime, en suggérant que des facteurs externes comme la proximité entre le délinquant et la victime jouent un rôle clé dans la perpétration d'un crime.

La théorie des activités routinières identifie l'interaction entre un délinquant motivé, une cible attrayante et l'absence de gardien comme éléments clés permettant l'occurrence d'un crime.

La théorie des activités routinières soutient que l'augmentation du nombre de familles monoparentales et l'augmentation de la participation des femmes au marché du travail ont contribué à l'augmentation de la criminalité en raison de la présence accrue de cibles faciles et de l'absence de gardiens.

C'est une critique courante de la prévention situationnelle. On suppose que le crime ne disparaît pas, mais se déplace vers d'autres cibles ou méthodes, sans être réellement réduit.

Cette approche de la prévention situationnelle se concentre sur la difficulté du crime en renforçant les cibles, en limitant l'accès aux infrastructures, en filtrant les sorties, en détournant les délinquants et en contrôlant les armes et les outils.