La protection sociale en France

La protection sociale correspond à l'ensemble des mécanismes qui permettent aux individus de faire face à des situations comme la maladie, les accidents du travail, la vieillesse ou le chômage.
Les risques sociaux sont les situations susceptibles de provoquer une baisse de leurs ressources ou une hausse de leur dépendance.

Deux types de mécanismes : les prestations de services sociaux et les prestations sociales.
Les prestations de services sociaux désignent l'accès à des services à prix réduits voire gratuitement, comme la prise en charge dans les hôpitaux publics.
Les prestations sociales sont versées directement aux individus par les organismes de protection sociale.

Logique d'assurance : les allocations chômage ou les indemnités journalières de maladie, où les salariés cotisent en étant prélevés sur leur salaire.
Logique d'assistance : le revenu de solidarité active (RSA), qui n'est pas nécessaire de cotiser pour en bénéficier, mais est versé sous conditions de ressources.
Logique de protection universelle : les allocations familiales, qui sont versées sans condition de cotisation préalable ou de ressources et sont les mêmes pour tous.

La sécurité sociale fournit aux individus la couverture de base pour les risques maladie, accidents du travail, maladies professionnelles, famille et vieillesse.
Les organismes chargés des régimes dits complémentaires fournissent une couverture supplémentaire à ces risques, comme les mutuelles de santé et les régimes complémentaires de retraite.
L'union nationale pour l'emploi dans l'industrie et le commerce (UNEDIC) gère l'assurance chômage.

Les sources de financement de la protection sociale proviennent essentiellement des cotisations sociales.
Les cotisations sociales sont des prélèvements effectués sur les salaires, dont une partie est payée par l'employeur et l'autre par le salarié.
Les impôts, comme la CSG (contribution sociale généralisée), ont été créés pour financer la protection sociale.
Les contributions publiques de l'État financent des dépenses de solidarité, comme le RSA.

La protection sociale permet aux individus de faire face à des situations comme la maladie, les accidents du travail, la vieillesse ou le chômage.
Les risques sociaux sont les situations qui peuvent provoquer une baisse de leurs ressources ou une hausse de leur dépendance.

Deux types de mécanismes : prestations de services sociaux et prestations sociales.
Les prestations de services sociaux offrent l'accès à des services à prix réduits ou gratuitement, comme la prise en charge dans les hôpitaux publics.
Les prestations sociales sont versées directement aux individus par les organismes de protection sociale.

La logique d'assurance concerne les allocations chômage ou les indemnités journalières de maladie, où les salariés cotisent en étant prélevés sur leur salaire.
La logique d'assistance concerne le revenu de solidarité active (RSA), qui n'est pas nécessaire de cotiser pour en bénéficier, mais est versé sous conditions de ressources.
La logique de protection universelle concerne les allocations familiales, qui sont versées sans condition de cotisation préalable ou de ressources et sont les mêmes pour tous.

La sécurité sociale fournit la couverture de base pour les risques maladie, accidents du travail, maladies professionnelles, famille et vieillesse.
Les organismes chargés des régimes dits complémentaires fournissent une couverture supplémentaire à ces risques, comme les mutuelles de santé et les régimes complémentaires de retraite.
L'union nationale pour l'emploi dans l'industrie et le commerce (UNEDIC) gère l'assurance chômage.

Les cotisations sociales sont des prélèvements effectués sur les salaires, dont une partie est payée par l'employeur et l'autre par le salarié.
Les impôts, comme la CSG (contribution sociale généralisée), ont été créés pour financer la protection sociale.
Les contributions publiques de l'État financent des dépenses de solidarité, comme le RSA.

8 Questions