Introduction aux idées politiques

Recherche de la vrit par des mthodes rigoureuses et objectives.

Maintenir l'ordre social et la scurit d'une unit politique.

Maintien de la cohsion et stabilit au sein d'une socit.

Protection d'une nation contre les menaces venant de l'tranger.

Harmonie et tranquillit au sein d'une socit.

Influence grandissante de l'Eglise aprs la chute de l'Empire romain.

Cration d'un empire chrtien distinct de l'Empire byzantin, alliance entre pouvoir politique et religieux.

Charlemagne concentre le pouvoir et s'efforce d'instaurer un ordre religieux chrtien.

Système social et politique basé sur des liens personnels entre seigneurs et vassaux, impliquant fidélité et obligations réciproques.

Doctrine affirmant que l'Église détient l'autorité spirituelle et temporelle.

Doctrine où le dirigeant politique exerce des fonctions religieuses, et le dirigeant religieux joue un rôle politique.

Doctrine de Saint Bernard de Clairvaux affirmant la supériorité de l'Église sur l'État, divisant l'autorité en glaive temporel et spirituel.

Pouvoir politique, autorité sur le monde terrestre, guidée par l'Église, selon la théorie des deux glaives.

Pouvoir spirituel de l'Église, autorité et guide des affaires temporelles, selon la théorie des deux glaives.

Affrontements entre les princes laïques et la papauté au sujet de l'autorité et du pouvoir sur les territoires.

Lien fort entre l'Église et le Saint-Empire romain germanique durant la dynastie ottonienne, après la chute de l'Empire romain.

Principe de séparation entre le religieux et le politique, assurant l'indépendance de l'État vis-à-vis des institutions religieuses.

La personne qui détient le pouvoir à un moment donné.

Structure ou concept politique qui perdure malgré le changement des personnes au pouvoir.

Tendance à limiter l'influence de la religion dans le fonctionnement de l'État.

Une politique qui sépare davantage l'État des influences religieuses, voire niant les racines chrétiennes de l'État.

Idée que l'État français a des racines historiques et philosophiques religieuses.

Mot grec signifiant à la fois « peuple » et « indifférencié ».

Action de remettre en cause la légitimité des systèmes politiques établis.

La République romaine s'effondre en raison de l'utilisation excessive de la dictature et des crises internes. Le passage à l'Empire marque une transformation fondamentale du régime politique.

Auguste devient le premier empereur, assumant une forme de dictature en s'adressant directement au Sénat comme 'princeps' (premier citoyen). Son pouvoir semble être une forme de 'dyarchie' où l'empereur conserve l'autorité suprême tout en maintenant une façade républicaine.

Les stoïciens, pendant la période impériale, réfléchissent sur la liberté individuelle tout en acceptant l'ordre extérieur imposé par l'Empire.

Les stoïciens considèrent que la liberté intérieure peut être préservée tant que l'ordre extérieur (incarné par l'Empire) est perçu comme rationnel.

Les stoïciens approuvent en grande partie la domination impériale, bien qu'ils espèrent voir un équilibre entre l'autorité impériale et celle du Sénat.

Philosophe stoïcien et conseiller d'Auguste, Sénèque prône un équilibre entre la 'diarchie' de l'Empire et le Sénat. Il espère initier l'empereur aux principes stoïciens de modération.

À la fin de la dynastie des Sévères, l'Empire romain entre dans une phase de crise, marquée par l'anarchie militaire, ouvrant la voie au 'système du dominat' où le pouvoir impérial devient plus autoritaire et centralisé.

Ce régime, caractéristique du Bas-Empire, se distingue par une concentration accrue du pouvoir entre les mains de l'empereur, renforçant l'autorité impériale.

L'Édit de Milan, promulgué par l'empereur Constantin en 313, a légalisé la pratique du christianisme dans l'Empire romain.

Le Conseil de Nicée, convoqué par l'empereur Constantin en 325, a établi le credo chrétien pour lutter contre les hérésies comme l'arianisme.

Le pouvoir temporel se réfère au pouvoir politique, qui gère les affaires du monde terrestre.

Le pouvoir spirituel se réfère au pouvoir religieux, qui s'occupe des questions de foi et de morale.

Le Règne de Dieu est un concept chrétien qui désigne un royaume spirituel distinct du monde terrestre.

L'Évangile a introduit une révolution dans la pensée politique et religieuse en proclamant un ordre spirituel distinct du pouvoir terrestre.

L'influence chrétienne, après la conversion de Constantin, a marqué le début d'une séparation entre le pouvoir politique et le pouvoir religieux.

La Boétie soutient que les peuples acceptent la domination des tyrans par leur propre volonté.

Selon La Boétie, la résistance à la tyrannie doit être pacifique et non violente.

La Boétie soutient que la libération du peuple passe par une prise de conscience collective.

Selon Althusius, l'autorité politique vient de l'accord des gouvernés, et non d'un droit divin.

Althusius distingue la résistance justifiée à l'oppression de la violence.

Un mouvement qui prône la moralité chrétienne comme fondement de la politique.

Un humaniste chrétien qui prône la paix et la diffusion de l'Évangile.

Érasme soutient que la morale chrétienne est essentielle pour les gouvernants.

Saint-Thomas d'Aquin distingue deux cités : la cité terrestre (société humaine gouvernée par des lois humaines) et la cité céleste (dimension spirituelle gouvernée par Dieu).

La cité terrestre est la société humaine, gouvernée par des lois humaines et temporaires. Son but est de garantir l'ordre et le bien-être des citoyens.

La cité céleste représente la dimension spirituelle, où les individus aspirent à la béatitude éternelle. C'est le domaine du gouvernement divin.

Saint-Thomas reconnaît une certaine autonomie au pouvoir terrestre, mais celui-ci reste subordonné au pouvoir spirituel.

Pour Saint-Thomas, le régime mixte, combinant monarchie, aristocratie et démocratie, est le meilleur pour assurer l'ordre et le bien commun.

Saint-Thomas préfère la monarchie car elle permet d'avoir un régime royal qui incarne l'ordre divin et maintient l'unité de la cité sous une autorité centrale.

Le roi doit être à la fois souverain et à l'écoute du peuple. Il doit interagir avec ses sujets et agir pour le bien commun.

Chaque individu ou groupe doit être responsable de ce qui relève de sa compétence. C'est le principe de subsidiarité.

Punition religieuse qui exclut une personne de la communauté chrétienne. Les calvinistes à Genève utilisaient cette pratique pour punir ceux qui transgressaient les règles de la foi.

Un système politique qui exerce un contrôle strict sur la vie sociale et morale des citoyens, anticipant les caractéristiques d'un régime totalitaire. Le système calviniste de Genève était comparé à un régime pré-totalitaire en raison de sa discipline rigoureuse.

Un courant religieux protestant qui prône la pureté et la simplicité du culte, inspiré par les idées de Jean Calvin. Les Puritains anglais ont fui la persécution religieuse et s'installèrent en Amérique.

Le calvinisme a influencé des idées politiques essentielles telles que la légitimité du pouvoir fondé sur la justice divine, la souveraineté populaire et l'autonomie des communautés religieuses.

Périodes de grand chaos politique, marquées par des conflits internes, des luttes pour le pouvoir et des ingérences extérieures.

Un ouvrage de Machiavel qui offre des conseils pratiques sur la manière de gouverner efficacement dans un monde en proie à l'instabilité et aux intrigues. L'ouvrage est dédié à Lorenzo de Médicis, un prince florentin.

Maintenir un gouvernement stable et réussir à diriger un État efficacement. Machiavelli fournit des conseils sur comment gouverner dans un monde instable.

Un prince florentin à qui Machiavel a dédié son ouvrage 'Le Prince'.

Un penseur italien connu pour son ouvrage Le Prince et sa vision cynique de la politique, où les dirigeants sont libres de tout principe moral.

Juriste et humaniste anglais, auteur d'Utopia, une œuvre classique de pensée politique qui imagine une société idéale fondée sur la justice et la raison.

Un modèle de société idéale décrit dans le livre de Thomas More, fondé sur l'égalité, la justice et la raison.

Le XVIIe siècle, marqué par l'ascension des monarchies absolues où le pouvoir est concentré entre les mains d'un seul souverain.

Le pouvoir suprême et inconditionnel du souverain dans une monarchie absolue, sans aucune obligation de rendre des comptes.

Un penseur politique français, auteur des Six Livres de la République, qui a défini le concept de la souveraineté.

Distinction entre le pouvoir du souverain (droit public) et les droits des individus (droit privé) dans la théorie de Bodin.

L'idée que l'État existe indépendamment des changements de régimes politiques, un principe fondamental de la théorie de Bodin.

Période de l'histoire chrétienne (Ier-VIIIe siècle) marquée par les écrits des Pères de l'Église.

Apôtre du Christ, il exhorte les chrétiens à obéir au prince, voyant l'autorité du prince comme divine.

Apôtre du Christ, il enseigne que toute autorité vient de Dieu, justifiant l'obéissance au prince.

Père de l'Église, il affirme que la rébellion contre le pouvoir établi est une rébellion contre Dieu.

Évêque et historien de l'Église, il rapproche le pouvoir politique de l'autorité divine, distinguant le monde divin du monde terrestre.

Selon les Pères de l'Église, l'homme est pécheur et nécessite une autorité extérieure pour maintenir l'ordre dans une société imparfaite.

L'Empereur est perçu comme un représentant de Dieu sur Terre, justifiant l'obéissance au pouvoir.

L'obéissance au pouvoir politique est un devoir religieux car l'autorité terrestre vient de Dieu.

Selon Saint Augustin, c'est la cité spirituelle, éternelle et gouvernée par Dieu. Elle représente le royaume de Dieu qui est indépendant du monde terrestre.

Selon Saint Augustin, c'est la cité terrestre, mortelle et gouvernée par les hommes. Elle est vouée à disparaître et n'est pas le but ultime de l'existence humaine.

Une interprétation erronée de la pensée d'Augustin qui tend à confondre la Cité de Dieu et la Cité des hommes, menant à une confusion entre la sphère spirituelle et la sphère politique.

Selon Carl Schmitt, la distinction fondamentale qui caractérise le politique est l'opposition ami/ennemi, qui représente le degré extrême d'union et de désunion.

Le critère central de la pensée politique de Carl Schmitt, qui définit la politique comme étant fondée sur la distinction entre l'ami et l'ennemi.

Carl Schmitt ne cherche pas à définir le politique en général, mais à identifier le critère distinctif qui permet de reconnaître un acte comme étant politique.

Selon Eusèbe, l'empereur est le représentant de l'autorité divine sur Terre, et le pouvoir impérial est comparable à celui du royaume céleste.

Le critère central de la pensée politique de Carl Schmitt, qui définit la politique comme étant fondée sur la distinction entre l'ami et l'ennemi.

L'État polémique renvoie à un conflit violent et direct, où les adversaires sont en guerre ouverte, cherchant à imposer leur domination par la force.

L'État agonale, quant à lui, repose sur un conflit non violent. Le terme "agon" en grec fait référence à une lutte ou un combat, mais qui n'implique pas nécessairement la violence.

Schmitt soutient que la politique a son propre domaine et est autonome par rapport aux autres sphères sociales (économie, morale, etc.)

La souveraineté de l'État se manifeste dans sa capacité à décider de l'ennemi et à mobiliser les ressources pour le combattre si nécessaire.

Schmitt s'appuie sur les propos de Clausewitz, qui affirme que "la guerre n'est que la continuation de la politique par d'autres moyens.

Cette distinction peut devenir tellement forte qu'elle peut mener à un conflit ouvert, voire à la guerre.

Elle est fondamentale pour comprendre l'existence politique, car elle détermine qui fait partie de la même communauté politique et qui en est exclu.

Les idées de Marsile de Padoue et d'autres penseurs remettent en question l'autorité de l'Église sur les affaires politiques, préparant le terrain pour la Réforme protestante et les luttes entre les pouvoirs laïques et l'Église.

Guillaume d'Ockham, philosophe du XIVe siècle, critique les idées universelles et abstraites, s'attachant à la réalité des individus concrets, ce qui aura un impact significatif sur la pensée religieuse et politique.

Ockham défend l'idée que le pouvoir de l'empereur vient directement de Dieu, s'opposant à l'autorité papale sur le pouvoir temporel.

Pour Ockham, Dieu dirige le peuple via le roi ou l'empereur, et non par l'intermédiaire de l'Église. L'empereur est comme le représentant de Dieu sur Terre.

Mouvement religieux qui remet en question l'autorité de l'Église catholique et conduit à la création de nouvelles confessions protestantes, influencé par les idées de figures comme Luther et Calvin.

Les idées qui remettent en question l'autorité papale, comme celles d'Ockham et de Marsile de Padoue, contribuent à des conflits entre les puissances laïques et religieuses.

Ockham justifie le pouvoir absolu du prince comme une expression de la volonté divine, un concept qui influence les théories du pouvoir royal et les doctrines de souveraineté.

Le pouvoir royal est considéré comme une mission confiée par Dieu, l'obéissance au souverain devient alors un acte d'obéissance à la volonté divine.

Le droit naturel est issu de la nature humaine et la volonté divine. Il légitime les actions humaines en accord avec la nature.

Grotius affirme que les hommes ont un instinct social qui les pousse naturellement à vivre en société.

Chez Hobbes, l'état de nature est un état chaotique où l'homme vit dans la peur et la guerre, car il est intrinsèquement égoïste.

Fénelon défend l'idée d'une monarchie modérée, avec un pouvoir spirituel indépendant du pouvoir temporel.

La Bruyère critique l'absolutisme en dénonçant les vices liés au pouvoir royal, l'arrogance et l'orgueil des monarques.

Pascal présente une vision pessimiste de la nature humaine, marquée par le péché et le désordre. Il critique l'absolutisme et incite à la modestie et la charité.

Pascal distingue la cité terrestre, imparfaite et soumise au péché, de la cité de Dieu, idéale et parfaite. L'homme doit se soumettre à l'ordre divin avec humilité.

Une vision de la politique qui rejette les principes moraux traditionnels. Machiavel soutient que le prince doit faire tout ce qui est nécessaire pour maintenir et augmenter son pouvoir, même s'il faut recourir à la tromperie et à la cruauté.

Pour Machiavel, l'efficacité et la stabilité de l'État sont primordiales, même si cela implique de violer les principes moraux.

Machiavel considère l'homme comme égoïste et motivé par la recherche du pouvoir et de la sécurité. Il pense que la morale est illusoire et que la politique doit être pragmatique.

La philosophie politique de Machiavel est centrée sur l'homme et son action. Il rejette la justification divine du pouvoir et met en avant la capacité de l'homme à façonner son destin.

Machiavel identifie des vertus nécessaires pour un prince, mais celles-ci se basent sur l'adaptabilité, la ruse et la cruauté. Le prince doit savoir se faire aimer et craindre.

Le prince doit être capable de changer de stratégie et de s'adapter aux circonstances pour maintenir son pouvoir.

Un ouvrage de Machiavel qui propose des conseils pratiques pour gouverner un État. Il est dédié à Lorenzo de Médicis, un prince florentin.

Machiavel est un penseur italien connu pour son ouvrage Le Prince et sa vision cynique de la politique, où les dirigeants sont libres de tout principe moral.

Saint Ambroise insiste sur les devoirs religieux du prince chrétien. Il soutient que le prince doit se soumettre à l'Église en tant que représentant de Dieu sur Terre.

Georges Duby propose une vision de la société médiévale divisée en trois ordres hiérarchiques : les Priants (clergé), les Combattants (noblesse) et les Travailleurs (paysans).

L'organisation féodale est hiérarchique, reflétant un dessein providentiel. Chacun a une fonction spécifique et nécessaire dans la société, ordonnée par Dieu.

L'opposition entre Dieu (Église) et César (pouvoir temporel) est au cœur de la société féodale. Les rôles sociaux sont définis par cette relation.

Pratique de l'Église catholique consistant à acheter le pardon des péchés par des dons financiers.

Texte de Martin Luther critiquant les indulgences et dénonçant leur corruption.

Branche du christianisme fondée par Luther, rejetant l'autorité papale et privilégiant la lecture individuelle de la Bible.

Doctrine luthérienne selon laquelle le salut est obtenu par la foi en Jésus-Christ, sans les œuvres.

Idée que chaque individu peut avoir une relation directe avec Dieu sans l'intermédiaire du clergé.

Punishment imposé à Luther par l'Église catholique pour ses critiques de la foi.

Luther soutient que les croyants ne doivent pas obéir à l'autorité religieuse si elle est contraire à la Bible.

Luther accuse l'Église catholique de corruption en raison de pratiques comme la vente d'indulgences.

Le pouvoir royal est considéré comme une mission divine, l'obéissance au roi est donc une obéissance à Dieu.

Fénelon critique l'absolutisme royal et prône une monarchie modérée, avec une plus grande indépendance du pouvoir spirituel.

La Bruyère critique l'absolutisme en dénonçant l'arrogance des monarques et les vices liés au pouvoir centralisé.

Pascal, influencé par le jansénisme, a une vision pessimiste de la nature humaine et critique l'absolutisme. Il voit la politique comme un terrain de péché et de désordre.

Le pouvoir du roi perdure même après sa mort, car il s'agit d'un pouvoir indépendant de la personne qui le détient. Cela illustre l'idée que le pouvoir est une structure abstraite et permanente.

Le terme "laïcité" provient du mot grec "laos", qui désigne le peuple dans son ensemble, sans distinctions de classe sociale, de religion, ou de générations.

La laïcité française vise à séparer le religieux du politique afin d'assurer l'indépendance de l'État face aux institutions religieuses. Le concept est basé sur l'idée d'unité du peuple sans distinction religieuse.

Le phénomène d'as-sécularité de l'État correspond à une séparation plus marquée entre l'État et les influences religieuses, allant jusqu'à nier l'origine chrétienne de l'État français.

La laïcité française, en se sécularisant, aspire à rompre avec les racines chrétiennes de l'État et à établir un État neutre vis-à-vis des croyances religieuses. L'État devient un espace neutre où les convictions religieuses ne doivent pas influer sur la gestion publique.

A la Renaissance, un conflit a émergé entre les cités italiennes, les empereurs germaniques et la papauté. Ce conflit portait sur la remise en cause du magistère du catholicisme.

La Renaissance est un mouvement culturel et intellectuel qui ouvre la voie à la modernité en remettant en question les dogmes religieux et les structures politiques médiévales.

Le magistère catholique désigne l'autorité de l'Église catholique pour enseigner et interpréter la doctrine chrétienne.

L'auteur affirme que la liberté est indispensable au bonheur et que le bonheur est l'objectif ultime de la politique.

L'auteur soutient que la propriété est un droit naturel, comme l'a défendu Locke. Il lie cela à l'essor de la bourgeoisie.

Vauban, soucieux de justice sociale, propose une réforme fiscale pour simplifier le système et répartir plus équitablement les impôts.

Ce courant économique associe la fiscalité au développement économique. Il préconise des réformes fiscales qui n'entravent pas l'activité économique.

Ce courant soutient que la nature est la source de toute richesse, et que l'agriculture est le moteur de l'économie. Il prône un despotisme éclairé et un libéralisme économique.

Philosophe physiocrate qui croit en l'existence de lois économiques naturelles. Il défend la propriété foncière et l'importance de l'agriculture comme base de l'économie.

Ce penseur s'inspire des physiocrates, mais il tempère leurs idées. Il est hostile au despotisme et prône la liberté des échanges.

La modernité est caractérisée par une nouvelle conception de la raison, qui s'éloigne de la pensée antique et ne se limite pas uniquement aux domaines de la théologie et de la politique.