Introduction à l'algèbre linéaire

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Questions and Answers

Watter van die volgende is die korrekte definisie van 'n dramaturg?

  • Die persoon wat toneelstukke of dramas met handeling en gedagtes skryf. (correct)
  • Die persoon wat kostuums vir die toneelstuk ontwerp.
  • Die persoon wat verantwoordelik is vir beligting en klankeffekte in 'n teaterproduksie.
  • Die persoon wat die konstruksies op die verhoog ontwerp.

Wat is die hoofdoel van 'n kostuumontwerper in 'n teaterproduksie?

  • Om seker te maak dat die verhoog altyd skoon is.
  • Om die beligting op die verhoog te beheer.
  • Om die verhoog te organiseer.
  • Om kostuums vir die toneelstuk te ontwerp wat ooreenstem met die styl van die toneelstuk. (correct)

Die souffleur is die persoon wat die toneelstuk skryf.

False (B)

Wat is die funksie van die grimeerkunstenaar in 'n teater?

<p>Om die akteurs se grimering te doen, wat kan beteken om hulle rooier te laat lyk of spesiale effekte aan te bring. (C)</p> Signup and view all the answers

Wat staan die 'foyer' in 'n teater?

<p>Die ingangsportaal van die teater. (D)</p> Signup and view all the answers

Die definisie van 'rekwisiete' verwys na watter van die volgende?

<p>Die los goed wat tydens 'n opvoering op die verhoog gebruik word. (A)</p> Signup and view all the answers

Die persone wat die dekorontwerper bystaan en hul instruksies en planne uitvoer is die ______.

<p>stelbouers</p> Signup and view all the answers

Wat is die doel van 'n 'siglyn' op die verhoog?

<p>Om aan te dui waar die akteurs vir die gehoor sigbaar moet wees.</p> Signup and view all the answers

Pas die volgende terme met hul definisies:

<p>Auditorium = Die deel van die teater waar die gehoor sit. Dekor = Die geskilderde doeke of konstruksies wat op die verhoog gebruik word om 'n toneel uit te beeld. Locket = Die plek waar kaartjies vir toneelopvoerings verkoop word. Anachronisme = 'n Fout in 'n toneelstuk waar voorwerpe of kostuums nie by die tydperk pas nie.</p> Signup and view all the answers

Wat is die verskil tussen 'n 'tegniese repetisie' en 'n 'kleedrepetisie'?

<p>'n Tegniese repetisie fokus op beligting, klank, dekor en rekwisiete, terwyl 'n kleedrepetisie fokus op die akteurs en hul kostuums. (A)</p> Signup and view all the answers

Flashcards

Wat is improvisasie?

Die opvoer van 'n scenario, sonder 'n volledige stuk gerepeteerde woord.

Wat is dramatiese elemente?

Tyd, ruimte, struktuur, karakterisering, en taalgebruik.

Wat is fisiese karakterisering?

Fisiese karaktereienskappe soos houding, taal, aksies en gebare.

Struktuur (toneelstuk)

'n Toneelstuk moet begin, middel en slot hê.

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Wat is applous?

Om hul waardering te toon deur hande te klap.

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Tegniese repetisie

Verwys na repetisies waar die toneelwisseling gesinchroniseer word.

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Gala-aand

'n Spoggerige geleentheid, 'n glansryke aand.

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Rolverdeling

Toewysing van verskillende rolle aan akteurs/spelers

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Wat is 'n souffleur?

Die akteur sit gewoonlik agter die gordyn en flits die akteurs die tekste voor.

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Die dramaturg

Skryf toneelstukke of dramas.

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Study Notes

Algèbre linéaire

  • L'algèbre linéaire traite des espaces vectoriels et des transformations linéaires.

Définitions

  • Un espace vectoriel est un ensemble muni d’une addition et d’une multiplication scalaire.
  • L'addition : $E \times E \rightarrow E$, notée $(u, v) \mapsto u + v$
  • La multiplication scalaire : $\mathbb{K} \times E \rightarrow E$, notée $(\lambda, u) \mapsto \lambda u$
  • Le corps $\mathbb{K}$ peut être les nombres réels ($\mathbb{R}$) ou complexes ($\mathbb{C}$).
  • Un espace vectoriel doit satisfaire des axiomes spécifiques, assurant une structure algébrique cohérente.
  • Ces axiomes incluent la commutativité et l'associativité de l'addition, l'existence d'un élément neutre (vecteur nul) et d'inverses additifs.
  • Une combinaison linéaire de vecteurs $v_1, \dots, v_n$ est une expression $\lambda_1 v_1 + \dots + \lambda_n v_n$, où $\lambda_i \in \mathbb{K}$. C'est une somme pondérée de vecteurs.
  • Une famille de vecteurs $v_1, \dots, v_n$ est libre si $\lambda_1 v_1 + \dots + \lambda_n v_n = 0$ implique que tous les $\lambda_i = 0$.
  • Les vecteurs sont linéairement indépendants : aucun vecteur ne peut être exprimé comme combinaison linéaire des autres.
  • Une famille de vecteurs $v_1, \dots, v_n$ est génératrice si tout vecteur de $E$ peut être écrit comme une combinaison linéaire de $v_1, \dots, v_n$. Elle couvre l'ensemble de l'espace vectoriel.
  • Une base de $E$ est une famille de vecteurs qui est à la fois libre et génératrice.
  • Elle représente un ensemble minimal de vecteurs nécessaires pour exprimer n'importe quel vecteur de l'espace.
  • La dimension de $E$ est le nombre de vecteurs dans une base de $E$. Elle indique le nombre de degrés de liberté dans l'espace vectoriel.

Applications linéaires

  • Une application $f : E \rightarrow F$ est linéaire si $f(u + v) = f(u) + f(v)$ et $f(\lambda u) = \lambda f(u)$. Elle préserve les opérations d’addition et de multiplication scalaire.
  • Le noyau de $f$ est $\text{Ker}(f) = {u \in E \mid f(u) = 0}$. C'est l'ensemble des vecteurs qui sont transformés en vecteur nul.
  • L'image de $f$ est $\text{Im}(f) = {f(u) \mid u \in E}$. C'est l'ensemble des vecteurs qui peuvent être obtenus par l'application de $f$.
  • Le théorème du rang stipule que $\dim(E) = \dim(\text{Ker}(f)) + \dim(\text{Im}(f))$. La dimension de l’espace de départ est égale à la somme des dimensions du noyau et de l’image.

Matrices

  • Une matrice $A$ de taille $m \times n$ est un tableau de nombres avec $m$ lignes et $n$ colonnes. Chaque élément est identifié par sa position ligne-colonne.
  • Le produit de deux matrices $A$ ($m \times n$) et $B$ ($n \times p$) est une matrice $C$ ($m \times p$), où $c_{ij} = \sum_{k=1}^{n} a_{ik}b_{kj}$. La multiplication matricielle implique une somme de produits.
  • La transposée de $A$, notée $A^T$, est obtenue en échangeant les lignes et les colonnes de $A$. Les éléments $a_{ij}$ deviennent $a_{ji}$.
  • Une matrice $A$ est inversible s'il existe une matrice $B$ telle que $AB = BA = I$, où $I$ est la matrice identité. L'inverse d'une matrice, si elle existe, est unique.
  • Le déterminant d’une matrice carrée $A$ est un scalaire qui caractérise l’inversibilité de $A$. Si $\det(A) \neq 0$, alors $A$ est inversible, sinon elle est singulière.

Valeurs propres et vecteurs propres

  • Un vecteur propre de $A$ est un vecteur $v \neq 0$ tel que $Av = \lambda v$, où $\lambda$ est une valeur propre de $A$. Le vecteur propre ne change pas de direction lorsqu’une transformation linéaire est appliquée.
  • Le polynôme caractéristique de $A$ est $p(\lambda) = \det(A - \lambda I)$. Les racines de $p(\lambda)$ sont les valeurs propres de $A$. Les valeurs propres sont les solutions du polynôme caractéristique.
  • Un espace propre associé à la valeur propre $\lambda$ est $E_\lambda = {v \mid Av = \lambda v}$. C’est l’ensemble de tous les vecteurs propres associés à $\lambda$.
  • Une matrice $A$ est diagonalisable s'il existe une matrice inversible $P$ telle que $P^{-1}AP = D$, où $D$ est une matrice diagonale. La diagonalisation simplifie de nombreux calculs matriciels. Les colonnes de $P$ sont les vecteurs propres de $A$, et les éléments diagonaux de $D$ sont les valeurs propres de $A$.

Produit scalaire et orthogonalité

  • Un produit scalaire sur $E$ est une application $\langle \cdot, \cdot \rangle : E \times E \rightarrow \mathbb{K}$ qui est linéaire en chaque argument, symétrique/hermitienne et définie positive. Il généralise la notion de projection d’un vecteur sur un autre.
  • Linéaire en chaque argument.
  • Symétrique/Hermitienne : $\langle u, v \rangle = \overline{\langle v, u \rangle}$.
  • Définie positive : $\langle u, u \rangle > 0$ pour $u \neq 0$.
  • La norme d'un vecteur $u$ est $|u| = \sqrt{\langle u, u \rangle}$. La norme représente la longueur du vecteur.
  • Deux vecteurs $u$ et $v$ sont orthogonaux si $\langle u, v \rangle = 0$. Ils sont perpendiculaires l’un à l’autre.
  • Une base orthogonale est une base où tous les vecteurs sont orthogonaux deux à deux. Les calculs sont simplifiés car les vecteurs sont indépendants.
  • Une base orthonormée est une base orthogonale où tous les vecteurs ont une norme de 1. C’est une base orthogonale dont tous les vecteurs sont unitaires.
  • Le procédé de Gram-Schmidt permet d'orthonormaliser une base quelconque. Il transforme une base en une base orthogonale, puis orthonormée.

Fonctions trigonométriques

  • Ce chapitre porte sur les fonctions trigonométriques.

1.1 Angles

  • La mesure en radians est une méthode utilisée pour quantifier les angles.
  • Un angle de 1 radian est sous-tendu au centre d'un cercle par un arc d'une longueur égale au rayon du cercle.

Formules de conversion

  • Convertir les degrés en radians nécessite de multiplier par $\frac{\pi}{180}$.
  • Convertir les radians en degrés nécessite de multiplier par $\frac{180}{\pi}$.
  • Longueur de l'arc : $s = r\theta$, où $\theta$ est en radians

Exemple 1

  • Convertir $60^\circ$ en radians : $60^\circ = 60 \cdot \frac{\pi}{180} = \frac{\pi}{3} \text{ rad}$
  • Convertir $\frac{\pi}{6}$ rad en degrés : $\frac{\pi}{6} \text{ rad} = \frac{\pi}{6} \cdot \frac{180}{\pi} = 30^\circ$

Exemple 2

  • Trouver la longueur d'un arc d'un cercle avec un rayon de 10 m qui soutend un angle central de $30^\circ$.
  • La conversion de $30^\circ$ en radians : $30^\circ = 30 \cdot \frac{\pi}{180} = \frac{\pi}{6} \text{ rad}$.
  • Calculer la longueur de l'arc : $s = r\theta = 10 \cdot \frac{\pi}{6} = \frac{5\pi}{3} \text{ m}$.

1.2 Les fonctions trigonométriques

  • Pour un angle $\theta$ en position standard, soit $P(x, y)$ un point sur le côté terminal de $\theta$ et soit $r = \sqrt{x^2 + y^2}$ la distance de l'origine à $P$.
  • Définitions des fonctions trigonométriques :
  • sine: $\sin \theta = \frac{y}{r}$, cosecant: $\csc \theta = \frac{r}{y}$
  • cosine: $\cos \theta = \frac{x}{r}$, secant: $\sec \theta = \frac{r}{x}$
  • tangent: $\tan \theta = \frac{y}{x}$, cotangent: $\cot \theta = \frac{x}{y}$

Exemple 3

  • Si $(-4, 3)$ est un point sur le côté terminal de $\theta$, déterminer les valeurs des six fonctions trigonométriques de $\theta$.
  • $x = -4$, $y = 3$, $r = \sqrt{(-4)^2 + 3^2} = 5$.
  • $\sin \theta = \frac{3}{5}, \cos \theta = -\frac{4}{5}, \tan \theta = -\frac{3}{4}, \csc \theta = \frac{5}{3}, \sec \theta = -\frac{5}{4}, \cot \theta = -\frac{4}{3}$.

Fonctions trigonométriques des angles aigus

  • $\sin \theta = \frac{\text{opposite}}{\text{hypotenuse}}$, $\cos \theta = \frac{\text{adjacent}}{\text{hypotenuse}}$, $\tan \theta = \frac{\text{opposite}}{\text{adjacent}}$.
  • $\csc \theta = \frac{\text{hypotenuse}}{\text{opposite}}$, $\sec \theta = \frac{\text{hypotenuse}}{\text{adjacent}}$, $\cot \theta = \frac{\text{adjacent}}{\text{opposite}}$.

Exemple 4

  • Déterminer les valeurs des six fonctions trigonométriques de $\theta$ dans la figure.
  • $\sin \theta = \frac{5}{13}$, $\cos \theta = \frac{12}{13}$, $\tan \theta = \frac{5}{12}$, $\csc \theta = \frac{13}{5}$, $\sec \theta = \frac{13}{12}$, $\cot \theta = \frac{12}{5}$.

Fonctions trigonométriques de certains angles spéciaux

$\theta$ 0 $\frac{\pi}{6}$ ($30^\circ$) $\frac{\pi}{4}$ ($45^\circ$) $\frac{\pi}{3}$ ($60^\circ$) $\frac{\pi}{2}$ ($90^\circ$)
$\sin \theta$ 0 $\frac{1}{2}$ $\frac{\sqrt{2}}{2}$ $\frac{\sqrt{3}}{2}$ 1
$\cos \theta$ 1 $\frac{\sqrt{3}}{2}$ $\frac{\sqrt{2}}{2}$ $\frac{1}{2}$ 0
$\tan \theta$ 0 $\frac{\sqrt{3}}{3}$ 1 $\sqrt{3}$ undefined

Exemple 5

  • Évaluer :
  • (a) $\sin \frac{\pi}{6} + \cos \frac{\pi}{4} = \frac{1}{2} + \frac{\sqrt{2}}{2} = \frac{1+\sqrt{2}}{2}$.
  • (b) $(\sin \frac{\pi}{3})(\tan \frac{\pi}{3}) = \frac{\sqrt{3}}{2} \cdot \sqrt{3} = \frac{3}{2}$.

Signes des fonctions trigonométriques

Quadrant $\sin(\theta)$ $\cos(\theta)$ $\tan(\theta)$
I + + +
II + - -
III - - +
IV - + -

Exemple 6

  • Déterminer le quadrant dans lequel $\theta$ se trouve si $\sin \theta > 0$ et $\cos \theta < 0$.
  • $\sin \theta > 0$ dans les quadrants I et II.
  • $\cos \theta < 0$ dans les quadrants II et III.
  • Par conséquent, $\theta$ doit être dans le quadrant II.

Angles de référence

  • Soit $\theta$ un angle dans la position standard. Son angle de référence $\overline{\theta}$ est l'angle aigu (non négatif et inférieur à $90^\circ$) formé par le côté terminal de $\theta$ et l'axe des x.

Exemple 7

  • Déterminer l'angle de référence pour :
  • (a) $\theta = \frac{5\pi}{6}$ : $\overline{\theta} = \pi - \frac{5\pi}{6} = \frac{\pi}{6}$.
  • (b) $\theta = \frac{8\pi}{3}$ : $\frac{8\pi}{3} - 2\pi = \frac{2\pi}{3}$, $\overline{\theta} = \pi - \frac{2\pi}{3} = \frac{\pi}{3}$.
  • (c) $\theta = -150^\circ$ : $\overline{\theta} = 180^\circ - 150^\circ = 30^\circ$.

Exemple 8

  • Déterminer :
  • (a) $\sin \frac{5\pi}{6} = \sin \frac{\pi}{6} = \frac{1}{2}$.
  • (b) $\cos \frac{8\pi}{3} = \cos \frac{2\pi}{3} = -\cos \frac{\pi}{3} = -\frac{1}{2}$.
  • (c) $\tan(-150^\circ) = \tan 30^\circ = \frac{\sqrt{3}}{3}$.

Theorie Des Perturbations Chirales (Lecture 24)

  • C'est une théorie efficace des champs pour décrire les interactions des pions à basses énergies.

Références

  • S. Scherer, Advanced Quantum Mechanics, Springer 2003
  • "QCD chiral symmetry and its breaking" lecture notes by Aneesh Manohar

Résumé

  • Les symétries globales de QCD sont passées en revue.
  • Le concept de brisure de symétrie chirale est exposé.
  • Les interactions des pions à basses énergies sont décrites.

Lagrangien QCD

  • Le lagrangien QCD avec $N_{f}$ est donné par :

    $\qquad \mathcal{L}{Q C D}=\sum{q=u, d, s...} \bar{q}\left(i \gamma^{\mu} D_{\mu}-m_{q}\right) q+\mathcal{L}_{\text {gluons }}$

    où $D_{\mu}=\partial_{\mu}-i g A_{\mu}$.

  • $\mathcal{L}_{\text {gluons }}$ contient le terme d'énergie cinétique des gluons ainsi que les termes de fixation de jauge.

Symétries du Lagrangien QCD

  • Dans la limite des quarks sans masse, le Lagrangien QCD a la symétrie globale suivante :

    $\qquad S U\left(N_{f}\right){L} \times S U\left(N{f}\right){R} \times U(1){V} \times U(1)_{A}$

    où les courants vectoriels et axiaux sont

    $\qquad J_{V}^{\mu}=\bar{q} \gamma^{\mu} q, \quad J_{A}^{\mu}=\bar{q} \gamma^{\mu} \gamma^{5} q$

  • La symétrie $U(1){V}$ correspond à la conservation du nombre baryonique, tandis que la symétrie $U(1){A}$ est explicitement rompue par les effets quantiques.

Rupture de Symétrie Chirale

  • La symétrie chirale est spontanément rompue:

    $\qquad S U\left(N_{f}\right){L} \times S U\left(N{f}\right){R} \rightarrow S U\left(N{f}\right)_{V}$

    conduisant à $N_{f}^{2}-1$ bosons de Goldstone.

  • Pour $N_{f}=3$, ce sont les huit mésons pseudoscalaires $\pi^{\pm}, \pi^{0}, K^{\pm}, K^{0}, \bar{K}^{0}, \eta$.

  • Le paramètre d'ordre pour la rupture de symétrie chirale est la condensation de quarks $\langle 0|\bar{q} q| 0\rangle \neq 0$.

  • Puisque les quarks ne sont pas sans masse, la symétrie chirale est explicitement rompue par les masses des quarks.

  • Les bosons de Goldstone ne sont donc pas sans masse, mais ont une masse proportionnelle aux masses des quarks. Ils sont appelés bosons Pseudo-Goldstone.

Lagrangien Effectif

  • Le lagrangien effectif décrivant les interactions des bosons Pseudo-Goldstone peut être écrit en termes des champs de pions $\pi^{a}(x)$ comme :

    $\qquad \mathcal{L}{\text {eff }}=\frac{f{\pi}^{2}}{4} \operatorname{Tr}\left(\partial_{\mu} U \partial^{\mu} U^{\dagger}\right)+\frac{f_{\pi}^{2} B_{0}}{2} \operatorname{Tr}\left(m\left(U+U^{\dagger}\right)\right)+\ldots$

    où $U=\exp \left(i \pi^{a} \tau^{a} / f_{\pi}\right)$.

  • $f_{\pi} \approx 93 \mathrm{MeV}$ est la constante de désintégration du pion, $B_{0}=-\langle 0|\bar{q} q| 0\rangle / f_{\pi}^{2}$ et $m$ est la matrice de masse des quarks.

  • Les $\tau^{a}$ sont les matrices de Pauli.

  • Le premier terme du lagrangien effectif décrit l'énergie cinétique des pions et leurs interactions.

  • Le second terme décrit la rupture explicite de la symétrie chirale due aux masses des quarks et donne lieu aux masses des pions.

Diffusion Pion-Pion

  • Le lagrangien effectif peut être utilisé pour calculer l'amplitude de diffusion pour la diffusion pion-pion.

  • À l'ordre principal dans le développement de l'impulsion, l'amplitude de diffusion pour $\pi^{a} \pi^{b} \rightarrow \pi^{c} \pi^{d}$ est donnée par :

    $\qquad \mathcal{A}(s, t, u)=\frac{s-m_{\pi}^{2}}{f_{\pi}^{2}} \delta^{a b} \delta^{c d}+\frac{t-m_{\pi}^{2}}{f_{\pi}^{2}} \delta^{a c} \delta^{b d}+\frac{u-m_{\pi}^{2}}{f_{\pi}^{2}} \delta^{a d} \delta^{b c}$

    où $s, t, u$ sont les variables de Mandelstam.

Trading Algorithmique

  • Le trading algorithmique utilise des ordinateurs pour prendre des décisions de trading et exécuter automatiquement des transactions.

Qu'est-ce que le trading algorithmique ?

  • Également connu sous le nom de « Algo Trading » ou « Black-Box Trading ».
  • Il utilise des ordinateurs pour prendre des décisions de trading.
  • Il peut exécuter des transactions automatiquement en fonction d'instructions préprogrammées.
  • Objectif : Générer des profits à une vitesse et une fréquence impossibles pour un trader humain.

Avantages du trading algorithmique

  • Vitesse : Les algorithmes peuvent analyser les données et exécuter les transactions beaucoup plus rapidement que les humains.
  • Efficacité : Trader 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 sans intervention humaine.
  • Influence émotionnelle réduite : Supprime l'émotion des décisions de trading.
  • Diversification : Facile à trader sur plusieurs marchés et instruments.
  • Backtesting : Tester rigoureusement les stratégies sur des données historiques.

Stratégies de trading algorithmique courantes

  • Suivi de tendance : Identifier et capitaliser sur les tendances dominantes. Acheter lorsque le prix a une tendance à la hausse, vendre quand il a une tendance à la baisse.
  • Retour à la moyenne : Parier sur le retour des prix à leur moyenne ou valeur moyenne. Acheter lorsque le prix baisse en dessous de sa moyenne, vendre lorsqu'il grimpe au-dessus.
  • Arbitrage : Exploiter de minuscules différences de prix du même actif sur différentes bourses. Acheter à bas prix sur une bourse, vendre à prix élevé sur une autre.
  • Tenue de marché : Placer des ordres d'achat et de vente pour fournir des liquidités et gagner l'écart entre les prix d'achat et de vente.
  • Arbitrage statistique : Stratégies complexes qui utilisent des modèles statistiques pour identifier les erreurs de prix entre des actifs connexes.

Composants clés d'un système de trading algorithmique

  • Flux de données : Les données de marché en temps réel sont cruciales.
  • Logique de stratégie : L'algorithme de base qui définit les règles de trading.
  • Gestion des risques : Règles pour limiter les pertes potentielles.
  • Moteur d'exécution : La partie du système qui envoie des ordres à la bourse.
  • Plateforme de backtesting : Pour évaluer la performance de la stratégie sur des données historiques.

Défis

  • Surajustement : Une stratégie qui fonctionne bien sur des données historiques peut échouer en trading réel.
  • Latence : La vitesse est cruciale, les retards peuvent éroder les bénéfices.
  • Évolutions du marché : Les stratégies doivent s'adapter aux conditions changeantes du marché.
  • Conformité réglementaire : Doit se conformer aux réglementations en matière de trading.
  • Problèmes techniques : Les défaillances du système peuvent entraîner des pertes importantes.

Le trading algorithmique est-il fait pour vous ?

  • Nécessite des compétences en programmation, une compréhension des marchés financiers et une gestion des risques.
  • Ce n'est pas une méthode pour « devenir riche rapidement ».
  • L'apprentissage continu et l'adaptation sont essentiels.
  • Commencer petit, tester rigoureusement et gérer les risques.

Chapitre 1 Logique et raisonnement

1.1 Propositions

Définition 1.1.1

  • Une proposition (ou énoncé) est une phrase déclarative qui est soit vraie, soit fausse, mais pas les deux.

Exemple 1.1.1

  • Les énoncés suivants sont des propositions :
  • La neige est blanche.
  • 2 + 2 = 4
  • Toronto est la capitale du Canada.

Exemple 1.1.2

  • Les énoncés suivants ne sont pas des propositions :
  • Quelle heure est-il ?
  • Lis attentivement ceci.
  • $x + 1 = 2$

Définition 1.1.2

  • La valeur de vérité d'une proposition est vraie, notée par $V$, si elle est une proposition vraie et fausse, notée par $F$, si elle est une proposition fausse.

Définition 1.1.3

  • Une proposition est dite simple si elle ne peut pas être divisée en propositions plus petites.
  • Une proposition est dite composée si elle est formée de deux propositions ou plus.

Exemple 1.1.3

  • « Le Canada est un pays » est une proposition simple.
  • « Le Canada est un pays et Toronto est sa capitale » est une proposition composée.

Définition 1.1.4

  • Si $p$ est une proposition, alors la négation de $p$, notée $\neg p$ (ou $\bar{p}$), est l'énoncé « Il n'est pas vrai que $p$ ».
  • La proposition $\neg p$ est lue « non $p$ ».
  • Si $p$ est vraie, alors $\neg p$ est fausse ; si $p$ est fausse, alors $\neg p$ est vraie.

Exemple 1.1.4

  • Trouver la négation des propositions suivantes :
  • «Aujourd'hui, c'est jeudi.»
  • «Il n'y a pas de pollution à New Delhi.»
  • «2 + 1 = 3»
  • Solution :
  • «Il n'est pas vrai qu'aujourd'hui est jeudi.» ou «Aujourd'hui n'est pas jeudi.»
  • «Il n'est pas vrai qu'il n'y a pas de pollution à New Delhi.» ou «Il y a de la pollution à New Delhi.»
  • «Il n'est pas vrai que 2 + 1 = 3.» ou «2 + 1 $\neq$ 3.»
  • La table de vérité pour la négation de $p$ est donnée comme suit :
$p$ $\neg p$
V F
F V

Programmation Dynamique (Lecture 14)

Nombres de Fibonacci

  • Les nombres de Fibonacci sont définis comme suit :

    $$ F(n) = \begin{cases} 0 & \text{si } n = 0 \ 1 & \text{si } n = 1 \ F(n-1) + F(n-2) & \text{si } n > 1 \end{cases} $$

  • Une implémentation récursive directe est terriblement inefficace.

  • L'usage de la programmation dynamique permet de calculer $F(n)$ en temps $O(n)$.

  • Implémentation en Python :

    def fibonacci(n):
     F =  * (n + 1)
     F = 0
     F = 1
     for i in range(2, n + 1):
     F[i] = F[i-1] + F[i-2]
     return F[n]
    

Coefficients Binomiaux

  • Les coefficients binomiaux sont définis comme suit :

    $$ \binom{n}{k} = \frac{n!}{k!(n-k)!} $$

  • $\binom{n}{k}$ est le nombre de manières de choisir $k$ objets parmi un ensemble de $n$ objets.

  • Les coefficients binomiaux peuvent être calculés en utilisant la récurrence suivante :

    $$ \binom{n}{k} = \begin{cases} 1 & \text{si } k = 0 \text{ ou } k = n \ \binom{n-1}{k-1} + \binom{n-1}{k} & \text{si } 0 < k < n \end{cases} $$

  • Une implémentation récursive directe est terriblement inefficace.

  • L'usage de la programmation dynamique permet de calculer $\binom{n}{k}$ en temps $O(nk)$.

  • Implémentation en Python :

    def binomial_coefficient(n, k):
     C = [[0 for i in range(k + 1)] for j in range(n + 1)]
     for i in range(n + 1):
     for j in range(min(i, k) + 1):
     if j == 0 or j == i:
     C[i][j] = 1
     else:
     C[i][j] = C[i-1][j-1] + C[i-1][j]
     return C[n][k]
    

Distance d'Édition (Edit Distance)

  • La distance d'édition entre deux chaînes de caractères $x$ et $y$ est le nombre minimal d'opérations d'édition nécessaires pour transformer $x$ en $y$.

  • Les opérations d'édition sont :

  • Insertion : insérer un caractère dans $x$.

  • Suppression : supprimer un caractère de $x$.

  • Substitution : remplacer un caractère dans $x$ par un caractère différent.

  • Soit $m = |x|$ et $n = |y|$. Soit $E(i, j)$ la distance d'édition entre $x[1..i]$ et $y[1..j]$.

  • La distance d'édition peut être calculée en utilisant la récurrence suivante :

    $$ E(i, j) = \begin{cases} j & \text{si } i = 0 \ i & \text{si } j = 0 \ E(i-1, j-1) & \text{si } x[i] = y[j] \ 1 + \min{E(i-1, j), E(i, j-1), E(i-1, j-1)} & \text{si } x[i] \neq y[j] \end{cases} $$

  • L'usage de la programmation dynamique permet de calculer $E(m, n)$ en temps $O(mn)$.

  • Implémentation en Python :

    def edit_distance(x, y):
     m = len(x)
     n = len(y)
     E = [[0 for j in range(n + 1)] for i in range(m + 1)]
     for i in range(m + 1):
     E[i] = i
     for j in range(n + 1):
     E[j] = j
     for i in range(1, m + 1):
     for j in range(1, n + 1):
     if x[i-1] == y[j-1]:
     E[i][j] = E[i-1][j-1]
     else:
     E[i][j] = 1 + min(E[i-1][j], E[i][j-1], E[i-1][j-1])
     return E[m][n]
    

Relations (Relations)

  • Une relation entre deux ensembles est une collection de paires ordonnées, indiquant une certaine association entre les éléments des ensembles.

Définition

  • Une relation R entre deux ensembles A et B est un sous-ensemble du produit cartésien $A \times B$, c'est-à-dire $R \subseteq A \times B$.

Représentations Possibles

  • Possibilité d'écriture de l'ensemble.
  • Représentations graphiques.
  • Représentations matricielles.

Écriture d'un ensemble

$R = {(a, b) \mid a \in A, b \in B, aRb }$

Représentation Graphique

  • Nœuds : Éléments des ensembles $A$ et $B$.
  • Arêtes : $(a, b) \in R$ est représenté par une arête de $a$ vers $b$.

Représentation Matricielle

  • Matrice $m \times n$ $M_R$ avec $M_R[i, j] = \begin{cases} 1, & \text{if } (a_i, b_j) \in R \ 0, & \text{autrement} \end{cases}$ où $A = {a_1, a_2, \dots, a_m}$ et $B = {b_1, b_2, \dots, b_n}$

Propriétés des Relations

  • Les propriétés des relations incluent la réflexivité, la symétrie, la transitivité et les relations d'équivalence.

Réflexivité

  • Une relation R sur un ensemble A est réflexive si $(a, a) \in R$ pour tous $a \in A$.

Symétrie

  • Une relation R sur un ensemble A est symétrique si pour tous $(a, b) \in R$, également $(b, a) \in R$.

Transitivité

  • Une relation R sur un ensemble A est transitive si pour tous $(a, b) \in R$ et $(b, c) \in R$, également $(a, c) \in R$.

Relation d'équivalence

  • Une relation R sur un ensemble A est une relation d'équivalence si elle est réflexive, symétrique et transitive.

Exemple

Sei $A = {1, 2, 3}$ and $R = {(1, 1), (2, 2), (3, 3), (1, 2), (2, 1)}$.

  • Réflexif : Oui, puisque $(1, 1), (2, 2), (3, 3) \in R$.
  • Symétrique : Oui, car pour $(1, 2) \in R$, également $(2, 1) \in R$.
  • Transitif : Non, car $(1, 2) \in R$ et $(2, 1) \in R$, mais $(1, 1) \in R$ est déjà donné. Si $(1, 3)$ et $(3, 2)$ étaient dans $R$, mais pas $(1, 2)$, alors ce ne serait pas transitif, car $(1, 2)$ est déjà donné.
  • Ce n'est pas une relation d'équivalence car elle n'est pas transitive.

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