RI CHAP 4 :

Les organisations non gouvernementales (ONG) sont des institutions indépendantes, sans but lucratif, créées par des personnes physiques ou morales, et non par des États. Elles visent à promouvoir la solidarité humaine dans des domaines variés comme l'humanitaire, l'éducation, l'environnement et la défense des droits de l'homme.

Les ONG agissent dans différents domaines comme l'aide humanitaire (Croix Rouge, Oxfam), la défense des droits de l'homme (Amnesty International), la protection de l'environnement (Greenpeace, WWF), les droits de l'enfant (Save the Children) et le désarmement (Pugwash).

Les ONG internationales sont des institutions qui poursuivent des objectifs internationaux et sont soumises au droit de l'état où elles ont leur siège.

Les ONG peuvent influencer les opinions publiques en sensibilisant sur des problématiques et en mobilisant les citoyens autour de causes.

L'ONU reconnaît le rôle des ONG en leur accordant un statut consultatif, ce qui permet une collaboration étroite entre les deux entités.

Les ONG ont une expertise sur le terrain et une légitimité auprès des populations, ce qui peut les rendre plus efficaces que les organisations intergouvernementales (OIG) dans certaines situations.

Les ONG s'engagent pour des valeurs universelles et obtiennent le soutien des opinions publiques, ce qui leur confère une influence importante dans les relations internationales.

L'article 71 de la Charte des Nations Unies permet à l'ONU de consulter les ONG sur des sujets relevant de sa compétence.

Les ONG ont plusieurs fonctions, notamment aider les populations, faire des propositions aux organisations internationales (OIG), être consultées sur des problèmes internationaux et surveiller l'application du droit international, comme le droit de l'Homme.

Les ONG sont limitées dans leurs actions par un manque de compétences, des problèmes de financement et la possibilité d'être créées en commun avec des États pour espionner sur le terrain.

L'opinion publique joue un rôle plus important dans les démocraties occidentales depuis les années 1960, en participant à des manifestations ou en utilisant les réseaux sociaux pour influencer les décisions internationales.

L'opinion publique peut contester les politiques exercées par les États, comme lors de la mobilisation contre la guerre en Irak ou pour le conflit israélo-palestinien.

Le commerce est un facteur d'échange et de convoitise des ressources depuis l'antiquité. La mondialisation a intensifié ces échanges, mais elle n'est pas un phénomène récent.

La mondialisation a été marquée par des étapes clés, comme la découverte de l'Amérique au 15ème siècle, la révolution industrielle au 19ème siècle et l'ouverture économique de la Chine à la fin du 20ème siècle.

La mondialisation a permis une libre circulation des marchandises, des services et des humains, ce qui a estompé les frontières entre les pays.

La mondialisation a été freinée au 20ème siècle par les guerres mondiales et la guerre froide, qui ont divisé le monde en deux.

La mondialisation a provoqué une transformation profonde des entreprises, conduisant à une diminution de l'importance de l'attachement national et à une augmentation de la dimension internationale des activités économiques.

Avant la mondialisation, les entreprises étaient souvent liées à leur pays d'origine, dépendant de l'État pour leur cadre de référence.

La mondialisation a encouragé les acteurs économiques et financiers à élargir leurs activités à l'échelle mondiale, conduisant à des stratégies divergentes de celles de leurs États d'origine.

Un type d'entreprise qui possède des filiales dans différents pays, avec un siège social centralisé.

Ces entreprises ne se contentent plus de gérer des filiales, elles délocalisent une partie ou la totalité de leurs activités dans d'autres pays.

De nombreuses entreprises, y compris les PME, les grandes marques et les entreprises publiques, se livrent désormais à des activités internationales.

La mondialisation a complexifié les chaînes d'approvisionnement, rendant les entreprises plus vulnérables aux perturbations, comme les crises sanitaires.

Les firmes transnationales peuvent s'affranchir des normes sociales et environnementales et négocier des avantages fiscaux avec les États.

Ces organismes, souvent privés, donnent des notes aux États en fonction de leur stabilité économique et de leur capacité à rembourser les prêts. Les notes données influencent ensuite les taux d'intérêt que les États devront payer pour emprunter de l'argent.

L'augmentation des échanges mondiaux a entraîné une meilleure circulation des biens, des services et des capitaux. Cela a également facilité l'accès à Internet et à des informations mondiales, ce qui a contribué à la création d'un marché financier global.

Les réseaux criminels ont profité de la mondialisation pour intensifier leurs activités. L'ouverture des frontières, la circulation accrue des personnes et des biens, ainsi que les contrôles plus difficiles ont créé un environnement favorable à la criminalité transnationale.

Les réseaux criminels tirent profit de la mondialisation pour blanchir de l'argent, influencer les politiques et corrompre les fonctionnaires.

La coopération internationale est essentielle pour lutter efficacement contre la criminalité transnationale. La coordination entre les agences de renseignement, les forces de l'ordre et les institutions financières est crucial pour identifier, poursuivre et démanteler les réseaux criminels.

Le CICR (Comité International de la Croix Rouge) est la plus vieille ONG au monde, créée à la fin du 19ème siècle. Elle a pour mission d'aider les populations en situation d'urgence.

Les ONG sont souvent présentes sur le terrain et travaillent directement avec les populations. Elles ont ainsi une expertise et une connaissance approfondie des problèmes locaux.

Selon l'article 71 de la Charte des Nations Unies, l'ONU peut consulter les ONG sur des sujets relevant de sa compétence. Cela permet aux ONG de participer aux discussions internationales et de partager leur expertise avec les organisations internationales.

Les ONG apportent une aide directe aux populations, soumettent des propositions aux organisations internationales (OIG), s'impliquent dans des missions de consultation sur des problèmes internationaux et surveillent l'application du droit international, notamment le droit de l'Homme.

Les ONG peuvent être limitées par un manque de compétences, des problèmes de financement, et parfois des liens étroits avec des États qui peuvent compromettre leur indépendance.

L'opinion publique prend de plus en plus d'importance dans les démocraties occidentales, notamment en matière de politique internationale. Elle peut contester les actions des États et influencer les décisions politiques sur la scène mondiale.

Le commerce est un vecteur d'échanges et de tensions depuis l'antiquité. La mondialisation a intensifié ces échanges, mais elle n'est pas un phénomène récent. Elle a connu différentes phases, notamment la découverte de l'Amérique au 15ème siècle, la révolution industrielle du 19ème siècle et l'ouverture économique de la Chine à la fin du 20ème siècle.

La mondialisation a permis une libre circulation des marchandises, des personnes et des services, réduisant les frontières entre les pays.

Au 20ème siècle, les guerres mondiales et la guerre froide ont freiné la mondialisation, créant un monde divisé.

La mondialisation a entraîné des transformations profondes pour les entreprises, qui sont devenues plus internationales et moins liées à leurs pays d'origine.

Les firmes transnationales sont des entreprises qui exercent une influence croissante sur la scène mondiale, pouvant parfois s'affranchir des normes sociales et environnementales des pays où elles opèrent.

Avant l'intensification de la mondialisation, les entreprises étaient généralement liées à leur pays d'origine, dépendant de l'État pour leur cadre de référence.

La mondialisation a poussé de nombreuses entreprises à délocaliser une partie ou la totalité de leurs activités dans d'autres pays, ce qui a complexifié les chaînes d'approvisionnement.

Les firmes multinationales ont des filiales dans plusieurs pays et peuvent ainsi négocier des avantages fiscaux avec différents États, tout en s'affranchissant parfois de normes sociales et environnementales.

Les firmes transnationales, par leur puissance économique, peuvent influencer les décisions politiques des États en leur faveur, par exemple en exerçant un lobbying pour éviter des réglementations trop contraignantes.

La mondialisation a créé un système complexe où les entreprises internationales, avec leurs activités mondiales, tendent à échapper au contrôle des États.

Les firmes transnationales ont souvent des stratégies qui divergent de celles de leurs états d'origine, car elles recherchent avant tout la maximisation de leurs profits, indépendamment des intérêts nationaux.

Les agences de notation financière sont des organisations privées qui évaluent la stabilité économique des États et leur capacité de remboursement. Elles attribuent une note qui détermine le taux d'intérêt que les États devront payer pour emprunter de l'argent.

La mondialisation a permis la création d'un marché financier global, où les flux de capitaux circulent librement entre les pays. Cela a facilité l'accès à des informations mondiales et l'investissement à l'échelle internationale.

Ces réseaux criminels exploitent la mondialisation pour intensifier leurs activités. L'ouverture des frontières, la circulation accrue des personnes et des biens, ainsi que les contrôles plus difficiles rendent la criminalité transnationale plus facile.

L'intensification de la mondialisation rend la coopération internationale essentielle pour lutter contre la criminalité transnationale. La coordination entre les institutions financières, les agences de renseignement et les forces de l'ordre d'états différents est nécessaire.

Le blanchiment d'argent est une pratique utilisée par les réseaux criminels transnationaux pour cacher l'origine illicite de leurs fonds, souvent provenant de trafics illicites, en leur donnant un aspect légal.