Facteurs individuels de la criminalité

Meurtre caractérisé par la cruauté et le plaisir sadique de l'agresseur envers la victime.

Meurtre commis dans un accès de colère, souvent impulsif.

Personne ayant commis au moins trois meurtres à des moments différents, souvent sans empathie pour les victimes et motivé par des besoins de domination.

Acte abusif visant à soumettre une personne à des désirs sexuels sans son consentement, même s'il prétend en avoir obtenu un.

Attraction sexuelle envers des enfants prépubères ou débutants en puberté, généralement d'âge plus avancé.

Meurtre motivé principalement par des raisons financières, avec une absence d'empathie.

Personne ayant commis un ou plusieurs meurtres, souvent ciblant un lieu public, en visant des vies à court terme

Meurtre motivé par des idéologies visant à maximiser le nombre de victimes, souvent planifié et organisé, sans improvisation.

Caractéristiques inhérentes à une personne, divisées en facteurs innés (héréditaires, ethniques) et transitoires (santé mentale, physique, consommation de drogue ou d'alcool).

Un lien existe entre la consommation de drogues et d'alcool et les actes criminels. Certaines conduites liées à ces substances (conduire sous l'emprise, vol) sont illégales.

Ces composantes sont liées à des actes criminels, notamment à cause du besoin de se procurer des drogues et des risques liés à leur commerce.

Un certain niveau de consommation d'alcool et de drogue peut mener à des infractions criminelles, notamment conduire en état d'ébriété ou possession de substances illicites.

L'impact de la dépendance aux drogues sur la criminalité dépend de la substance et de la fréquence. Le retrait ou l'obtention de la drogue peut mener à des comportements criminels.

L'exposition à la violence, que ce soit dans les relations familiales ou via les médias, peut influencer négativement le comportement et mener à des comportements délinquants chez les enfants.

Les criminels de carrière peuvent très souvent avoir des problèmes de consommation de substances.

L'exposition à la violence conjugale ou à la violence présente dans les médias peut influer sur le comportement d'un individu et contribuer au développement potentiels d'actes délinquants.

Type de délinquance caractérisée par peu de délits mineurs sur une courte période.

Délinquant dont les actes sont occasionnels et passagers, liés à l'immaturité (souvent entre 13 et 15 ans).

Délinquant avec délits importants dès l'enfance (9-10 ans). Ils ne tirent pas leçon de leurs erreurs.

Formes de délit bénin devenant plus fréquente avec le temps.

Délinquant dont les délits augmentent en gravité, atteignant un niveau élevé avec des crimes contre la personne.

Un criminel dont les actes sont motivés par une passion intense (amour offensé, honneur contrarié) et généralement commis de manière impulsive, sans préméditation.

Risque potentiel de nouveaux actes criminels s'il se retrouve dans des conditions semblables à celles qui ont initialement motivé le délit.

Système de classification des criminels qui permet de considérer le crime comme un mode de vie et d'identifier des potentiels de réhabilitation.

Analyse des liens entre les types de criminels et les réactions sociales qu'ils suscitent, incluant 4 dimensions sociologiques.

Analyse du rôle social du criminel, de sa perception de soi et de l'évolution de ses activités criminelles.

Évaluation de la manière dont l'entourage du criminel soutient ou renforce ses comportements délictueux (partage de valeurs, objectifs, idéaux).

Mesure de la gravité de la violation de valeurs sociales par le comportement criminel.

Individu dont les facteurs internes et les événements extérieurs n'influencent pas le comportement criminel.

La conséquence d'un crime, déterminée par sa gravité.

L'objectif de la peine pour prévenir les futurs crimes en utilisant la peur de la punition.

L'aide offerte aux délinquants pour qu'ils puissent s'intégrer à nouveau à la société.

Le processus d'aider un délinquant à changer son comportement et à réduire ses risques futurs.

L'isolement d'un délinquant de la société pour éviter qu'il ne commette d'autres crimes.

Un courant de pensée qui croit que la peine doit être proportionnelle à la gravité du crime.

Un courant de pensée qui estime que la peine doit maximiser le bien social.

Tout acte de violence physique, sexuelle, psychologique ou économique commis par un partenaire contre l'autre.

La peine peut avoir plusieurs objectifs, comme la rétribution, la dissuasion, la réhabilitation ou la neutralisation. Ces objectifs contribuent à donner un sens socialement acceptable aux pratiques punitives.

La rétribution vise à faire payer le délinquant pour son crime, permettant de rétablir l'équilibre. La peine est vue comme un devoir de l'autorité.

La dissuasion spéciale vise à empêcher un délinquant en particulier de recommencer. Une peine plus sévère peut être appliquée si le délinquant récidive.

Les femmes représentent une proportion relativement faible des délinquants au Canada, comparativement aux hommes. Les crimes contre les biens sont plus fréquents chez les femmes, tandis que les crimes violents sont plus fréquents chez les hommes.

Le taux de criminalité est en baisse au Canada, autant chez les femmes que chez les hommes depuis 2009. Cependant, le taux de baisse est plus important chez les hommes.