Économie Chapitre 1 et 2

<p>Chapitre 12 (B)</p> Signup and view all the answers

<p>L'hypothèse de Porter. (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Rapport Rodwell, 2023 (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Le coût d'opportunité de la production. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Diminution des normes de qualité. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Modèle de Romer (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Théorie keynésienne (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Influencer la demande agrégée (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle démontre une relation inverse entre inflation et chômage à long terme. (B)</p> Signup and view all the answers

<p>La difficulté de maintenir la convertibilité d'une monnaie nationale (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Achat d'obligations par la banque centrale (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Ricardo (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Analyser les différences de productivité entre les secteurs (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Adapter les taux d'intérêt en fonction de l'inflation et de l'écart de production (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Effets du commerce sur les salaires relatifs (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Modèle de Friedman (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Les comparaisons de la fiscalité entre les États membres (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Éviter des crises financières (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Rapport Supiot (C)</p> Signup and view all the answers

Le concept d'État aménageur, développé par Marshall en 1920, décrit le rôle de l'État comme un acteur actif dans l'organisation et le développement économique et social de son territoire.

La règle de Ramsey-Boiteux, établie en 1956, est un modèle d'optimalité pour la tarification des services publics, en particulier les monopoles naturels. Elle vise à maximiser le bien-être social en tenant compte des coûts marginaux et de la demande.

L'avantage comparatif ricardien, développé par David Ricardo en 1817, est un principe économique qui stipule qu'un pays a intérêt à se spécialiser dans la production des biens et services pour lesquels il possède un avantage comparatif, c'est-à-dire un coût de production relativement plus faible.

L'équation de Kaya, développée en 1995, est un outil pour analyser les facteurs qui contribuent aux émissions de dioxyde de carbone. C'est une formule qui met en relation les émissions de CO2 avec la population, la richesse par habitant, l'intensité énergétique et l'intensité carbone.

L'hypothèse de Porter, formulée en 1991, suggère qu'une réglementation environnementale stricte peut stimuler l'innovation et la compétitivité des entreprises, créant ainsi de nouvelles opportunités économiques.

La stratégie du signal, popularisée dans les années 1973, est une théorie économique qui explique comment les entreprises peuvent utiliser des signaux tels que des prix élevés, des emballages de qualité, ou des certifications, pour communiquer leur valeur et leur qualité aux consommateurs.

Le scénario « race to the bottom », décrit par Paul Romer en 1990, est un scénario où les pays sont encouragés à abaisser leurs standards environnementaux pour attirer les investissements et les entreprises, ce qui crée une course à la baisse en termes de protection environnementale.

Le rapport Stern, publié en 2007, est une analyse économique des impacts du changement climatique et des coûts de l'inaction. Il préconise des mesures urgentes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Le modèle de Solow-Swan, développé en 1956, est un modèle néoclassique de croissance économique qui explique la croissance à long terme par l'accumulation de capital physique. Il postule que la croissance économique est limitée par la productivité marginale décroissante du capital.

La Courbe de Kuznets, mise en évidence en 1955 par le prix Nobel Simon Kuznets, décrit l'évolution des inégalités de revenus au cours du temps pendant le processus de développement économique. Selon Kuznets, les inégalités augmentent initialement avec la croissance, puis diminuent à un stade avancé de développement.

La loi d'Okun, établie en 1962 par l'économiste américain Arthur Okun, établit un lien empirique négatif entre le chômage et la croissance économique. En d'autres termes, une baisse du taux de chômage est généralement accompagnée d'une augmentation du taux de croissance économique.

La théorie des avantages comparatifs, formulée par David Ricardo en 1817, affirme qu'un pays a intérêt à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels il a un avantage comparatif, c'est-à-dire ceux où son coût relatif de production est le plus faible.

La théorie des spécialisations à l'échange, développée par Hecksher, Olin et Samuelson à partir de 1933, explique le commerce international par les différences de dotations factorielles entre les pays. Les pays exportent les biens utilisant abondamment les facteurs de production dont ils sont relativement bien dotés.

Le Théorème de Stolper-Samuelson, établi en 1941, est une conséquence de la théorie des spécialisations à l'échange. Il stipule que l'ouverture au commerce international conduit à une augmentation du prix du facteur de production abondant et à une diminution du prix du facteur de production rare.

Le paradoxe de la crédibilité, identifié par Charles Goodhart et développé par Claudio Borio en 2002, explique l'inefficacité des politiques monétaires visant à réduire la volatilité financière lorsque les banques centrales ont une réputation de stabilité financière. Les marchés financiers anticipent une intervention des banques centrales pour stabiliser les marchés, ce qui réduit leur efficacité.

La règle de Taylor, introduite en 1993 par John Taylor, est un modèle simple qui préconise la fixation d'un taux d'intérêt réel en fonction de l'écart entre l'inflation actuelle et l'inflation cible, et de l'écart entre le PIB réel et le PIB potentiel. Elle permet d'automatiser la politique monétaire en utilisant des règles simples.

Le paradoxe de Triffin, formulé par Robert Triffin en 1960, souligne l'incompatibilité entre le rôle de monnaie internationale du dollar et le besoin de discipline budgétaire américaine. Si les États-Unis ne sont pas disciplinés, cela menace la stabilité financière mondiale.

Le privilège exorbitant des États-Unis, exprimé par Valéry Giscard d'Estaing en 1965, décrit le fait que le dollar américain, en tant que monnaie internationale, bénéficie d'un avantage unique. Les États-Unis peuvent financer leurs déficits en émettant de nouveaux dollars, sans nécessairement subir une hausse d'inflation.

L'Effet Balassa-Samuelson, mis en évidence par Bela Balassa et Paul Samuelson en 1964, explique les différences de niveaux de prix entre les pays par des différences de productivité dans les secteurs non échangeables (services) par rapport aux secteurs échangeables (manufacturiers). La productivité plus élevée dans les secteurs non échangeables conduit à des prix plus élevés.

La trappe à liquidité, décrite par John Maynard Keynes dans sa Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie (1936), est une situation où les taux d'intérêt sont si bas que les entreprises hésitent à investir, malgré l'abondance de liquidités. Cela peut entraîner une stagnation économique.

Le modèle IS-LM-BP, développé en 1962, combine les modèles IS-LM et BP pour analyser l'interaction entre les politiques monétaire et budgétaire dans un contexte d'économie ouverte. Il permet d'étudier l'impact des politiques économiques sur le taux de change, le PIB et les taux d'intérêt.

Le NAIRU (Non-Accelerating Inflation Rate of Unemployment), introduit en 1975, est le taux de chômage compatible avec une inflation stable. En dessous de ce seuil, l'inflation accélère. Au-dessus, l'inflation ralentit.

La Courbe de Phillips, mise en évidence par A. W. Phillips en 1958, représente la relation inverse entre le taux de chômage et le taux d'inflation. Elle suggère qu'une baisse du chômage s'accompagne d'une hausse de l'inflation, et vice-versa.