Douleur chez l'enfant: évaluation et conséquences

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Questions and Answers

Quel est le principal moyen par lequel un enfant exprime sa douleur?

  • Par des gestes
  • Par des mots
  • Par des pleurs (correct)
  • Par un comportement agressif

Les mesures physiologiques sont suffisantes pour évaluer la douleur chez un enfant.

False (B)

Quel type d'échelle est crucial d'utiliser pour évaluer la douleur chez un enfant?

  • Une échelle numérique
  • Une échelle basée sur des marqueurs biologiques
  • Une échelle comportementale adaptée (correct)
  • Une échelle basée sur l'auto-évaluation de l'enfant

Laquelle des réactions suivantes est typique d'un nourrisson face à la douleur?

<p>Pleurs et posture antalgique (C)</p> Signup and view all the answers

Quelle est la réaction typique d'un enfant d'âge scolaire face à un soin douloureux?

<p>Verbalisation plus précise et anticipation de la douleur (D)</p> Signup and view all the answers

À partir de quel âge l'auto-évaluation de la douleur est-elle généralement possible chez l'enfant?

<p>À partir de 5 ans (C)</p> Signup and view all the answers

Parmi les outils d'évaluation de la douleur suivants, lequel est spécifique à la douleur aiguë pédiatrique?

<p>Échelle Evendol (D)</p> Signup and view all the answers

Selon le modèle PQRSTU, quelle lettre correspond à la région ou la radiation de la douleur?

<p>R (A)</p> Signup and view all the answers

Quel est le premier choix de traitement pharmacologique pour une douleur légère à modérée chez l'enfant?

<p>Acétaminophène (D)</p> Signup and view all the answers

Dans quel cas l'ibuprofène est-il particulièrement utile comme traitement pharmacologique de la douleur chez l'enfant?

<p>En cas d'inflammation (D)</p> Signup and view all the answers

Parmi les interventions non pharmacologiques suivantes, laquelle relève des aspects cognitifs?

<p>Hypnose (B)</p> Signup and view all the answers

Quelle est l'attitude à adopter concernant la douleur lors de la communication avec l'enfant?

<p>Ne pas mentir sur la douleur (D)</p> Signup and view all the answers

L'auto-évaluation de la douleur est la méthode la moins fiable chez l'enfant.

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

Quel est l'objectif principal de la distraction comme intervention non pharmacologique?

<p>Modifier la perception de la douleur (C)</p> Signup and view all the answers

Nommez une complication neurologique possible de l'anémie falciforme.

<p>AVC ischémique ou hémorragique</p> Signup and view all the answers

Quel est le but de l'hydratation dans le traitement symptomatique de l'anémie falciforme?

<p>Réduire la viscosité sanguine et prévenir les crises vaso-occlusives (D)</p> Signup and view all the answers

Quel médicament est utilisé à long terme pour stimuler la production d'hémoglobine fœtale (HbF) dans le traitement de l'anémie falciforme?

<p>Hydroxyurée (B)</p> Signup and view all the answers

Lequel des éléments suivants n'est PAS un facteur déclenchant à éviter pour prévenir les crises vaso-occlusives dans l'anémie falciforme ?

<p>Températures modérées (C)</p> Signup and view all the answers

Quelle est la principale différence entre la localisation de la maladie de Crohn et de la rectocolite hémorragique (RCH)?

<p>La maladie de Crohn peut toucher tout le tube digestif, tandis que la RCH est limitée au rectum et au côlon. (D)</p> Signup and view all the answers

Quelle est la particularité de l'atteinte tissulaire dans la maladie de Crohn par rapport à la rectocolite hémorragique (RCH)?

<p>La maladie de Crohn est transmurale, tandis que la RCH est superficielle. (A)</p> Signup and view all the answers

Quel type de lésions est caractéristique de la maladie de Crohn?

<p>Lésions discontinues en &quot;pavés&quot; (D)</p> Signup and view all the answers

Laquelle des complications suivantes est plus fréquente dans la maladie de Crohn que dans la rectocolite hémorragique (RCH)?

<p>Sténoses, fistules, abcès (B)</p> Signup and view all the answers

Laquelle des manifestations extra-digestives suivantes est associée aux maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI)?

<p>Arthrite (D)</p> Signup and view all the answers

Quel est le but de la surveillance des selles dans la prise en charge infirmière des MICI?

<p>Évaluer la fréquence, l'aspect et la présence de sang ou de mucus (C)</p> Signup and view all the answers

Concernant le traitement pharmacologique en première ligne des MICI, quels médicaments seraient administrés?

<p>5-ASA (mésalazine, sulfasalazine) (C)</p> Signup and view all the answers

Nommez un exemple de facteur individuel de risque de maltraitance.

<p>Jeune âge, handicap, dépendance, troubles du comportement</p> Signup and view all the answers

Lequel des énoncés suivants décrit correctement la maltraitance?

<p>Tout acte de violence physique, psychologique, sexuelle ou de négligence ayant des conséquences néfastes (D)</p> Signup and view all the answers

Quel est un signe clinique de maltraitance physique?

<p>Ecchymoses inexpliquées (C)</p> Signup and view all the answers

Quel est un exemple de facteur familial associé à un risque accru de maltraitance?

<p>Violence conjugale (B)</p> Signup and view all the answers

Lesquelles des actions suivantes font partie du rôle de l'infirmière en cas de suspicion de maltraitance?

<p>Détecter et signaler les cas suspects aux autorités compétentes (D)</p> Signup and view all the answers

Il n'est pas nécessaire de signaler un cas de maltraitance si l'enfant n'est pas en danger immédiat.

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

Quel est un signe précoce de détresse respiratoire chez les enfants?

<p>Tachypnée (B)</p> Signup and view all the answers

Quelle est la conduite à tenir lors d'une laryngite aiguë (virale)?

<p>Administration de corticostéroïdes et humidification de l'air (A)</p> Signup and view all the answers

Quel est le principal agent pathogène impliqué dans la bronchiolite chez les enfants?

<p>Virus respiratoire syncytial (VRS) (C)</p> Signup and view all the answers

Quelle est la principale indication de l'oxygénothérapie dans la prise en charge des problèmes respiratoires chez l'enfant?

<p>Correction de l'hypoxie (C)</p> Signup and view all the answers

Quel est l'objectif clé des soins infirmiers dans l'accompagnement du deuil parental?

<p>Offrir un accompagnement spirituel si souhaité (A)</p> Signup and view all the answers

Quelle est la conséquence potentielle la plus dangereuse de l'utilisation de gel et de sirop pour geler la bouche du nourrisson lors de l'éruption dentaire?

<p>Maladie grave du sang (C)</p> Signup and view all the answers

Associez les interventions en cas de fièvre chez un nourrisson aux actions appropriées :

<p>Si bébé a moins de 3 mois = Consultez immédiatement Si bébé a plus de 6 mois et semble bien = Soignez à la maison en observant attentivement Administrez de l'ibuprofène = Seulement si bébé a plus de 6 mois et n'est pas déshydraté Enlevez des couches de vêtements = Sans trop découvrir l'enfant</p> Signup and view all the answers

Lorsqu'un enfant décède, les ______ expriment souvent un sentiment de vide, d'impuissance et d'incompréhension.

<p>parents</p> Signup and view all the answers

La ______ est une réaction courante chez la fratrie lors du décès d'un enfant, car ils se sentent abandonnés.

<p>colère</p> Signup and view all the answers

Nommez un exemple de pathologie respiratoire courante chez l'enfant.

<p>Bronchiolite, asthme pédiatrique, laryngite aiguë (laryngotrachéite virale), pneumonie, fibrose kystique</p> Signup and view all the answers

Quel est le volume mort estimé des tubulures lors d'une administration IV ?

<p>3 ml (A)</p> Signup and view all the answers

Flashcards

Expression de la douleur chez l'enfant

L'enfant exprime principalement sa douleur par des pleurs.

Échelle comportementale

L'utilisation d'une échelle comportementale adaptée est essentielle pour évaluer précisément la douleur chez l'enfant.

Conséquences de la douleur non traitée

Impact négatif sur le développement et risque de chronicité.

Réaction du nourrisson à la douleur

Pleurs, posture antalgique et agitation.

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Réaction du trottineur (1-3 ans) à la douleur

Pleurs, verbalisation simple (bobo) et résistance aux soins.

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Réaction de l'enfant d'âge scolaire (5-11 ans) à la douleur

Verbalisation plus précise, anticipation de la douleur et tentative de distraction.

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Réaction de l'adolescent à la douleur

Verbalisation claire, expression d'anxiété et évitement de certaines activités.

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Échelle visuelle analogique (EVA)

Mesure de la douleur de 0 à 10 ; nécessite la compréhension des consignes par l'enfant.

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Échelle des visages (FPS-R)

Adaptée aux enfants à partir de 4 ans, utilise des visages pour évaluer la douleur.

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Échelle FLACC

Évaluation basée sur le visage, les jambes, l'activité, les pleurs et la consolabilité.

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Échelle Evendol

Spécifique à la douleur aiguë pédiatrique.

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Modèle PQRSTU

P : Provoquer/Pallier/Aggraver, Q : Qualité/Quantité, R : Région/Radiation, S : Symptômes/Sévérité, T : Temps/Durée, U : Understanding (compréhension de l'enfant), I : Impact sur les activités quotidiennes.

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Gestion pharmacologique de la douleur

Analgésie multimodale et régulière.

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Acétaminophène

Premier choix pour douleur légère à modérée.

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Ibuprofène

Utile en cas d'inflammation (AINS).

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Opioïdes

Morphine en cas de douleur intense, surveillance accrue.

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Autres traitements pharmacologiques

Sucrose 24 % (nourrissons), EMLA (soins invasifs).

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Méthodes physiques non pharmacologiques

Massage, chaleur, glace, acupuncture.

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Méthodes cognitives non pharmacologiques

Hypnose, imagerie mentale, distraction.

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Méthodes comportementales non pharmacologiques

Relaxation, exercices respiratoires, renforcement positif.

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Communication avec enfant souffrant

Expliquer avec des mots simples, ne pas mentir, inclure les parents, utiliser des jeux.

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Distraction

Modifier la perception de la douleur avec bulles, jouets, musique, jeux vidéo.

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Messages Clés : Douleur

Ne jamais sous-évaluer, l'auto-évaluation est fiable, prévenir douleur avant procédure, approche individualisée.

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Anémie falciforme

Maladie génétique autosomique récessive affectant l'hémoglobine.

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Crises vaso-occlusives

Douleurs intenses (articulations, ventre, dos).

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Anémie hémolytique chronique

Fatigue, pâleur, ictère.

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Splénomégalie / Séquestration splénique

Augmentation du volume de la rate, risque d'hypovolémie.

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Infections récurrentes

Vulnérabilité aux infections (pneumonie, ostéomyélite).

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Complications neurologiques

AVC ischémique ou hémorragique.

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Complications rénales

Hématurie, insuffisance rénale.

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Physiopathologie falciforme

Mutation du gène HBB (bêta-globine) causant la production d'hémoglobine S (HbS).

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Hydratation

Permet de réduire la viscosité sanguine et prévenir les crises vaso-occlusives.

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Gestion de la douleur (falciforme)

Acétaminophène et AINS en première intention, Opioïdes en cas de douleur intense.

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Hydroxyurée

Stimule la production d'hémoglobine fœtale (HbF) qui empêche la polymérisation de l'HbS.

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Acide folique

Aide à la production de nouveaux globules rouges.

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Antibioprophylaxie (pénicilline)

Prévention des infections chez les jeunes enfants.

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Greffe de moelle osseuse

Seul traitement curatif, réservé aux cas graves avec donneur compatible.

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Prévention des crises (falciforme)

Éviter les températures extrêmes, la déshydratation, le stress, l'hypoxie.

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Signes d'alerte maltraitance

Recherche d'une discordance entre les explications et les lésions observées.

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Anatomie des voies aériennes pédiatriques.

Les voies aériennes pédiatriques sont plus étroites, augmentant le risque d'obstruction.

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Respiration nasale chez les nourrissons.

La respiration est principalement nasale chez le nourrisson, augmentant le risque d'encombrement.

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Tachypnée

Rythme respiratoire augmenté.

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Study Notes

Difficultés d'évaluation de la douleur chez l'enfant

  • Les enfants expriment principalement leur douleur par des pleurs.
  • La présence des parents peut faciliter l'évaluation de la douleur.
  • Les mesures physiologiques ne suffisent pas à évaluer la douleur.
  • Il est essentiel d'utiliser une échelle comportementale adaptée à l'enfant.

Causes de la douleur chez l'enfant

  • Les causes de la douleur chez l'enfant peuvent être aiguës ou récurrentes
  • Les douleurs aiguës peuvent être causées par des traumas, infections, inflammations, chirurgies ou procédures médicales.
  • Les causes récurrentes sont plus fréquentes chez les filles, notamment les céphalées, douleurs abdominales et douleurs de croissance.

Conséquences de la douleur non traitée

  • Si la douleur n'est pas traitée, elle peut avoir un impact négatif sur le développement de l'enfant.
  • Elle peut devenir chronique et difficile à inverser.

Réactions de l'enfant selon son développement

  • Les réactions de l'enfant à la douleur varient selon son âge et son niveau de développement.
  • Les nourrissons expriment leur douleur par des pleurs, adoptent une posture antalgique et s'agitent.
  • Les trottineurs (1-3 ans) pleurent, verbalisent simplement ("bobo") et résistent aux soins.
  • Les enfants d'âge scolaire (5-11 ans) verbalisent de manière plus précise, anticipent la douleur et tentent de se distraire.

Outils d'évaluation de la douleur

  • L'auto-évaluation de la douleur chez l'enfant est possible à partir de 5 ans.
  • L'échelle visuelle analogique (EVA) permet à l'enfant d'évaluer sa douleur de 0 à 10, à condition qu'il comprenne les consignes.
  • L'échelle des visages (FPS-R) est adaptée pour les enfants à partir de 4 ans.
  • L'hétéro-évaluation est utilisée pour les enfants de moins de 5 ans.
  • L'échelle FLACC évalue la douleur en fonction du visage, des jambes, de l'activité, des pleurs et de la consolabilité.
  • L'échelle Evendol est spécifique à la douleur aiguë pédiatrique.

Collecte de données selon le modèle PQRSTU

  • P : Provoquer/Pallier/Aggraver
  • Q : Qualité/Quantité
  • R : Région/Radiation
  • S : Symptômes/Sévérité
  • T : Temps/Durée
  • U : Understanding (compréhension de l'enfant)
  • I : Impact sur les activités quotidiennes

Traitement pharmacologique

  • L'analgésie multimodale et régulière est recommandée.
  • L'acétaminophène est le premier choix pour les douleurs légères à modérées.
  • L'ibuprofène, un AINS, est utile en cas d'inflammation.
  • La morphine est utilisée en cas de douleur intense, avec une surveillance accrue.
  • Le sucrose à 24 % est utilisé pour les nourrissons, et l'EMLA pour les soins invasifs.

Interventions non pharmacologiques

  • Les interventions physiques incluent le massage, la chaleur, la glace et l'acupuncture.
  • Les interventions cognitives incluent l'hypnose, l'imagerie mentale et la distraction.
  • Les interventions comportementales incluent la relaxation, les exercices respiratoires et le renforcement positif.

Approche et communication avec l'enfant

  • Il est important d'expliquer les choses avec des mots simples.
  • Il ne faut pas mentir sur la douleur ou le traitement.
  • Les parents doivent être inclus dans la discussion.
  • Des jeux ou jouets peuvent être utilisés pour distraire l'enfant.

Distraction

  • La distraction a pour objectif de modifier la perception de la douleur.
  • Les techniques de distraction incluent les bulles de savon, les jouets, la musique et les jeux vidéo.

Messages clés

  • Il ne faut jamais sous-évaluer la douleur.
  • L'auto-évaluation est la méthode la plus fiable.
  • Il est important de prévenir la douleur avant une procédure.
  • Une approche individualisée doit être utilisée.

Anémie falciforme

  • L'anémie falciforme est une maladie génétique autosomique récessive affectant l'hémoglobine des globules rouges.
  • Elle est plus fréquente chez les personnes d'origine africaine, méditerranéenne, moyen-orientale et sud-américaine.
  • La physiopathologie de l'anémie falciforme implique une mutation du gène HBB qui cause la production d'hémoglobine S (HbS).
  • Sous hypoxie, les globules rouges prennent une forme falciforme, causant une occlusion vasculaire, une hémolyse et une ischémie.

Manifestations cliniques de l'anémie falciforme

  • Les crises vaso-occlusives causent des douleurs intenses dans les articulations, le ventre et le dos.
  • L'anémie hémolytique chronique provoque fatigue, pâleur et jaunisse.
  • La splénomégalie peut entraîner un risque d'hypovolémie.
  • Les complications neurologiques peuvent inclure un AVC ischémique ou hémorragique.
  • Le syndrome thoracique aigu se caractérise par des infiltrats pulmonaires, une hypoxie, une dyspnée et de la fièvre.
  • Le priapisme est une érection prolongée et douloureuse.
  • Les complications ophtalmologiques incluent la rétinopathie.
  • Les complications rénales incluent l'hématurie et l'insuffisance rénale.

Prise en charge et traitements de l'anémie falciforme

  • L'hydratation réduit la viscosité sanguine et prévient les crises vaso-occlusives.
  • La gestion de la douleur inclut l'acétaminophène et les AINS en première intention.
  • Des opioïdes sont utilisés en cas de douleur intense.
  • Chaleur locale et relaxation
  • L'oxygénothérapie est utilisée en cas d'hypoxie.
  • Une transfusion sanguine est nécessaire en cas d'anémie sévère ou d'AVC.

Traitement pharmacologique de fond de l'anémie falciforme

  • L'hydroxyurée stimule la production d'hémoglobine fœtale, empêchant la polymérisation de l'HbS.
  • L'acide folique aide à la production de nouveaux globules rouges.
  • Une antibioprophylaxie à la pénicilline est utilisée pour prévenir les infections chez les jeunes enfants.
  • La vaccination contre Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae et Neisseria meningitidis est essentielle.
  • La greffe de moelle osseuse est un traitement curatif réservé aux cas graves avec donneur compatible.

Prévention des crises d'anémie falciforme

  • Il est important d'éviter les facteurs déclenchants tels que les températures extrêmes, la déshydratation, le stress, la fatigue excessive et l'hypoxie.
  • Une surveillance régulière de la rate par palpation est nécessaire.
  • La gestion rigoureuse des infections est essentielle.

Complications à surveiller et indications de consultation

  • Il faut consulter rapidement en cas de fièvre persistante supérieure à 38,5°C, de difficulté respiratoire, de douleur abdominale intense, de signe neurologique ou de priapisme persistant.

Soutien et accompagnement des familles

  • L'éducation sur la maladie et la gestion des crises est importante.
  • Un soutien psychologique et social est nécessaire.
  • Favoriser l'autonomie de l'enfant dans la gestion de sa maladie.
  • L'adaptation des activités scolaires et sportives est essentielle.

Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI)

  • Ces maladies regroupent principalement la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique (RCH).
  • Ce sont des pathologies inflammatoires du tube digestif, d'étiologie multifactorielle, impliquant des facteurs génétiques, immunitaires et environnementaux.

Différences entre la maladie de Crohn et la RCH

  • La maladie de Crohn peut toucher tout le tube digestif, tandis que la RCH est confinée au rectum et au côlon.
  • L'atteinte tissulaire dans la maladie de Crohn est transmurale, tandis qu'elle est superficielle dans la RCH.
  • Les lésions dans la maladie de Crohn sont discontinues, tandis qu'elles sont continues dans la RCH.
  • Les symptômes de la maladie de Crohn incluent des douleurs abdominales, une diarrhée chronique, de la fatigue et un amaigrissement, tandis que ceux de la RCH incluent des diarrhées sanglantes, des faux besoins et des douleurs abdominales.
  • Les complications de la maladie de Crohn incluent des sténoses, des fistules, des abcès et une malabsorption, tandis que celles de la RCH incluent des hémorragies digestives et un risque de cancer colorectal.

Manifestations cliniques des MICI

  • La diarrhée chronique est plus marquée dans la RCH avec rectorragies.
  • Les douleurs abdominales sont plus intenses et diffuses dans la maladie de Crohn.
  • La fatigue est secondaire à l'inflammation et à la malabsorption.
  • La perte de poids est associée à la malabsorption et au déficit nutritionnel.
  • La fièvre peut survenir en cas de poussée inflammatoire ou de complication infectieuse.
  • Les manifestations extra-digestives incluent des atteintes articulaires, dermatologiques, ophtalmiques et hépatiques.

Prise en charge infirmière des MICI

  • La surveillance clinique inclut la surveillance des selles, l'évaluation de la douleur, la surveillance des signes de complications et la surveillance des paramètres biologiques.

Soins et interventions pour les MICI

  • Les interventions diététiques incluent une alimentation à faible résidu en phase aiguë, des compléments nutritionnels en cas de malnutrition et une supplémentation en fer, calcium et vitamines si nécessaire.
  • Les aliments irritants doivent être évités.
  • Le traitement pharmacologique inclut des anti-inflammatoires intestinaux, des corticostéroïdes, des immunosuppresseurs, des biothérapies et des antibiotiques.
  • La gestion des poussées inclut le repos digestif, la correction de la déshydratation et la surveillance de la tolérance aux traitements.
  • Un accompagnement psychologique et une éducation thérapeutique sont essentiels.

Complications et prise en charge spécifique des MICI

  • Les fistules dans la maladie de Crohn nécessitent une prise en charge chirurgicale si elles sont symptomatiques.
  • Les sténoses intestinales peuvent nécessiter une dilatation endoscopique ou une résection chirurgicale.
  • Les abcès intra-abdominaux nécessitent un drainage percutané ou chirurgical et une antibiothérapie.
  • Les hémorragies digestives dans la RCH nécessitent une transfusion en cas d'anémie sévère.
  • La colite fulminante nécessite une corticothérapie IV ou une colectomie en urgence.
  • Le cancer colorectal nécessite une surveillance endoscopique accrue.

Indications chirurgicales pour les MICI

  • La maladie de Crohn peut nécessiter une résection segmentaire en cas de complications sévères.
  • La RCH peut nécessiter une colectomie curative en cas de complications.
  • Les techniques chirurgicales incluent l'anastomose iléo-anale et la stomie temporaire ou permanente.

Messages clés en soins infirmiers pour les MICI

  • Il faut adapter la prise en charge aux besoins spécifiques de chaque patient, assurer une surveillance rigoureuse des signes de complications, soutenir le patient et favoriser une approche multidisciplinaire.

Maltraitance

  • La maltraitance est définie comme tout acte de violence physique, psychologique, sexuelle ou de négligence ayant des conséquences néfastes sur le bien-être d'une personne.

Types de maltraitance

  • La maltraitance physique inclut les actes de violence corporelle intentionnels et se manifeste par des signes cliniques et des conséquences spécifiques.
  • La maltraitance psychologique ou émotionnelle inclut les humiliations, les menaces et le rejet, et se manifeste par une faible estime de soi et des troubles du comportement.
  • La maltraitance sexuelle inclut l'exposition à des actes à caractère sexuel et se manifeste par des signes physiques et comportementaux.
  • La négligence inclut l'absence de soins essentiels et a un impact sur le développement de l'enfant.
  • La maltraitance institutionnelle inclut les mauvais traitements dans les établissements de soins ou éducatifs.

Facteurs de risque de maltraitance

  • Les facteurs individuels incluent le jeune âge, le handicap et les troubles du comportement.
  • Les facteurs familiaux incluent la violence conjugale, la toxicomanie et le stress parental.
  • Les facteurs socio-économiques incluent la précarité et un faible niveau d'éducation.
  • Les facteurs institutionnels incluent un manque de formation des soignants et une surcharge de travail.

Dépistage et évaluation de la maltraitance

  • Les signes d'alerte incluent une discordance entre les explications données et les lésions observées, un comportement anormal de l'enfant et un retard de développement inexpliqué.
  • Les outils d'évaluation incluent des grilles standardisées, des entretiens avec l'enfant et l'observation des interactions avec les proches.

Prise en charge infirmière de la maltraitance

  • Le rôle de l'infirmière inclut la détection et le signalement des cas suspects, le soutien psychologique, l'orientation vers des ressources spécialisées et la collaboration avec d'autres professionnels.
  • Les procédures de signalement doivent respecter le cadre légal

Conséquences de la maltraitance

  • Les conséquences à court terme incluent des douleurs physiques et des troubles du sommeil, ainsi que l'anxiété et la dépression.
  • Les conséquences à long terme incluent le développement de troubles mentaux et un risque accru de maladies chroniques.

Prévention et interventions de la maltraitance

  • La prévention primaire inclut la sensibilisation et l'éducation du public, ainsi que la formation des soignants.
  • La prévention secondaire inclut le dépistage précoce des familles à risque.
  • La prévention tertiaire inclut la prise en charge des victimes et la réhabilitation.

Ressources et soutien pour la maltraitance

  • Les ressources incluent des lignes d'écoute, des services sociaux et des groupes de soutien.

Messages clés en soins infirmiers pour la maltraitance

  • Il est crucial de rester attentif aux signes subtils de maltraitance, d'établir une relation de confiance avec la victime, de collaborer avec d'autres professionnels et de ne jamais banaliser un soupçon de maltraitance.

Problèmes respiratoires chez l'enfant

  • Les problèmes respiratoires sont fréquents chez l'enfant en raison de l'immaturité du système respiratoire.
  • Ils peuvent être d'origine infectieuse, inflammatoire, allergique ou congénitale.
  • Ils nécessitent une surveillance étroite en raison du risque élevé de complications.

Anatomie et physiologie des voies respiratoires pédiatriques

  • Les voies aériennes sont plus étroites, augmentant le risque d'obstruction.
  • L'épiglotte est plus souple et plus large, la rendant sensible aux inflammations.
  • Les muscles respiratoires sont immatures, entraînant une fatigabilité accrue.
  • La respiration est principalement nasale chez les nourrissons, augmentant le risque d'encombrement.

Signes cliniques de détresse respiratoire

  • Les signes précoces incluent la tachypnée, le battement des ailes du nez, le tirage intercostal et la cyanose légère.
  • Les signes de détresse respiratoire sévère incluent le stridor,, la désaturation en oxygène et l'agitation ou La bradycardie est un signe tardif de détérioration..

Pathologies respiratoires courantes

  • La bronchiolite est une infection virale entraînant une inflammation des petites bronches.
  • L'asthme pédiatrique est une inflammation chronique des bronches avec hyperréactivité.
  • La laryngite aiguë est une infection virale causant un œdème laryngé.
  • La pneumonie est une infection pulmonaire bactérienne ou virale.

Fibrose kystique

  • La fibrose kystique est une maladie génétique affectant les sécrétions bronchiques.

Évaluation infirmière et surveillance de la détresse respiratoire

  • L'évaluation infirmière inclut la surveillance de la fréquence respiratoire, de la saturation en oxygène et des bruits pulmonaires, ainsi que l'évaluation de la tolérance à l'effort et de la coloration de la peau.

Soins et interventions infirmières pour la détresse respiratoire

  • L'oxygénothérapie peut être administrée à l'aide de lunettes nasales ou d'un masque à haute concentration.
  • Le désencombrement et l'hydratation sont importants.
  • Des bronchodilatateurs, des corticostéroïdes et des antibiotiques peuvent être administrés.

Prévention et mesures de protection pour la détresse respiratoire

  • La vaccination, la réduction de l'exposition à la fumée de tabac et le lavage des mains sont importants.

Messages clés en soins infirmiers pour la détresse respiratoire

  • Toute détresse respiratoire chez l'enfant doit être évaluée rapidement.
  • L'oxygénothérapie doit être adaptée à la sévérité de l'hypoxie.
  • L'éducation des parents est essentielle pour prévenir les complications.

Introduction au processus de deuil

  • Le décès d'un enfant est une épreuve profondément traumatisante.
  • L'accompagnement des parents et des proches nécessite une approche empathique

Comprendre le processus de deuil

  • Le deuil est un processus complexe influencé par des facteurs individuels, culturels et sociaux.
  • Il peut inclure plusieurs phases non linéaires : le choc et le déni, la colère et la culpabilité, la tristesse et le désespoir, ainsi que l'acceptation et la réorganisation.
  • Parents peuvent vivre un deuil compliqué nécessitant une prise en charge spécialisée.

Réactions émotionnelles des parents et de la fratrie au deuil

  • Les parents peuvent ressentir un choc émotionnel intense, un sentiment de vide ou d'impuissance, de la culpabilité et un isolement social.
  • La fratrie peut ressentir un sentiment d'abandon, une peur de la mort, de la colère et une modification du comportement.

Rôle de l'infirmière dans l'accompagnement du deuil

  • Il faut offrir un soutien émotionnel, accompagner les derniers moments et assurer un soutien post-décès.

Stratégies d'intervention infirmière dans le deuil

  • Une communication adaptée est essentielle.
  • Les besoins concrets des familles doivent être pris en charge.
  • Le soutien aux frères et sœurs est important.

Approche palliative et soins en fin de vie dans le deuil

  • Il faut soulager la douleur et assurer un confort maximal à l'enfant.
  • Il est important de respecter les volontés de la famille.

Facteurs influençant le deuil

  • La nature du décès, l'âge de l'enfant, le soutien social disponible, les expériences antérieures de deuil et les croyances religieuses peuvent influencer le processus de deuil.

Ressources et soutien dans le deuil

  • Des associations de soutien aux familles endeuillées, des groupes de parole et des lignes d'écoute sont disponibles.

Messages clés en soins infirmiers dans le deuil

  • Chaque deuil est unique et nécessite une écoute empathique.
  • L'accompagnement nécessite un suivi.
  • Travailler en collaboration avec une équipe interdisciplinaire est essentiel.

Enseignement et soins infirmiers à apporter aux parents (BSI 228) : Érythème fessier, le muguet et poussée dentaire chez le nourrisson

Érythème fessier :
  • Physiopathologie : Causé par le contact de la peau avec les selles ou l'urine ou l'irritation si la couche n'est pas changée assez souvent. Favoriser un environnement humide
  • Traitement : Laver les fesses avec un gant de toilette et un savon inodore. Laisser les fesses à l'air libre et appliquer un onguent à base d'oxyde de zinc.
  • Surveillance : Rougeur des fesses qui s'étendent de la cuisse à la vulve ou au scrotum et irritabilité du bébé lorsqu'il urine.
Muguet
  • Physiopathologie : Infection de la bouche causée par un champignon.
  • Il est habituellement asymptomatique et disparait d'elle même.
  • Les tâches blanchâtres apparaissent dans la bouche du bébé sans douleur apparente (lèvre interne /joue) et ne se retire pas avec une débarbouillette
  • Traitement : Consulter un professionnel de la santé qui prescrira le traitement selon l’état. Ne plus utiliser de violet de gentiane car cause le cancer.
  • Surveillance : Présence de taches blanchâtre dans la bouche.
Éruption dentaire (normalité) :
  • Les dents se perçent dans les gencives, ce qui cause une éruption. Survient jusqu'à 3 ans et vers l'âge de 6 mois (peut être plus tôt ou plus tard, 12 mois).
  • Les salives augmentent, le nourrisson ressent le besoin de mordiller, une irritation ou une rougeur sur le visage, se montre grincheux et refuse de s'alimenter
  • Les dents du bas en avant poussent en avant
  • Possibilité l’apparition d’une bulle bleutée sur la gencive malade environ 2 mois avant le passage de la dent.
  • Soulager la douleur : Débarbouillette et/ou anneau de dentition froid et/ou frotter avec un doigt propre
Conseils/Prescriptions
  • Éviter : collier de dentition car risque d’étouffement /Gel et sirop pour geler la bouche possible maladie grave du sang.
  • Brossez les dents, quand et avec quoi ? – Avant l’apparition des premières dents (gencives) avec débarbouillette, – Dès un bout de dent visible brosser 2 fois /jours avec un dentifrice fluoré.
  • Communiquez avec un professionnel si vous remarquez un inconfort
Érythème fessier :

Comment prévenir?

  • Lavez bien les fesses de bébé doucement avec de l’eau ou préparation eau
  • Utilisez une couche non parfumée pour ne pas irriter la peau de le nourrisson
  • Changez la couche de bb dès qu’elle est souillée

Enseignement et soins infirmiers aux parents (BSI 228) : Introduction des aliments complémentaires

  • Introduire vers 6 mois car besoins en nutritif ++++- Avant 4 mois, bb pas assez développé pour recevoir aliments autres que lait
  • Comment savoir si le bb est prêt à recevoir aliments complémentaires ? a environ 6 mois /tient assis +++ chaise haute sans soutien/contrôle +++ tête /tourner tête pour refuser/porter aliment à sa bouche
  • Evaluer besoin psychosocial et $$ de la famille : demander ce qu’il préfère
  • Donner un aliment nutritif et varié et choisir ce qu’il veut manger/Quantité : petites portions plusieurs fois car petit estomac/Laisser guider par l’appétit+++/Vers 1 an = horaire régulier+++(3 repas et collation
  • S’assurer que l’enfant surveillé +++++ pendant le repas/Aliment dur-petit-rond-lisse-collants
  • ++++ viande, substituts, fer+++/Alcool pas année de ++++++/Miel pas avant 1 an cause du botulisme
  • La texture des aliments / Lait de vache pas avant +++++++9/12 mois. Pourquoi ?

Enseignement et soins infirmiers à apporter aux parents (BSI 228) : Le sommeil sécuritaire du nourrisson & recommandations

  • Faire ses nuits c’est avoir tout son temps de sommeil & bien dormir. Ne pas comparer notre sommeil à celui du nourrisson !

Sommeil moyen selon âge :

  • 1 semaine = 16h total
  • 1-3 mois = 15 h total
  • 6 mois = 14-15
  • 1 an = 13h total
  • 3-5 ans =11h total
  • 10-12 ans = 9h total
  • Adulte 7-8h total
  • Vers 4 mois = cycle sommeil change (devient comme le votre)

Le cycle du sommeil vers 4 mois :

  • Dort + longtemps la nuit/Horaire de vie +++++ stable/ Routine du dodo ++++ (important+++) c’est répétition des gestes(important+++) (1/2h et +++)/Pas de cododo+++ (augmente les risques)
  • Chambre = lieu et climat (20c max, humidité ++++, noir, calme++)
  • Garder les mêmes heures pour routine du dodo ++/Se séparer s’il dort super bien
  • Normal 1-3 réveils pour boire tétine-sucette/Enseigner la séparation et comment s’endormir seul++++++

Sommeil du nourrisson

Le 2 cododos : les dangers+ le lien avec la mort subit+++ du nourrisson/ Si cododo il y a++++++ dans le lit, petit fort, 1 adulte responsable/Les cycles du sommeil vers 1 an/Apprendre une routine++++ de dodo pour le rassurer

Enseignement et soins infirmiers aux parents (BSI 228) : La Fièvre

Fièvre chez l’enfant
  • Température pour prendre ? Rectale pour moins de 2 ans c’est celle qui a de l’allure++ et pas vérifier en forme++ sinon c’est inutile++ (doit noter ça +++++) et axillaire
  • Comment intervenir ? Tylenol++++ ou advil++++ ou autre chose,++ enlever couche car bb ne thermoregule pas+++/Favoriser hydratation ++++++++ Muchi ++++ est bouche sèche/pleurnichage excessif +++////Moins de couche++//// et moins de larmes+++ Si état vous inquiète +++++ ou 3 moins ou convulsion ou vomit bcp+++ ou pleure sans arrêt+++ ou léthargique++++ ou mal coloré +++///ou réagit pas bcp ++++++ consulter++ //Donner lait ou aliment selon tolérance
Les valeurs normales de la fièvre :
  • Rectal : 38.0 et +
  • Axillaire : 37.5 et +/Comment prendre la température ?

Signes et symptômes de déshydratation

  • Bouche et muqueuse sèche ++++++++.Augmentation soif/mouille -++couche/ yeux -+++++enfoncés Préventions:
  • Favoriser hydratation
  • Donner du lait ou aliment selon la tolérance/Ne pas se fier à toutes les vieilles histoires***+
  • Réhydratations orales/Petites quantités++++ de liquides
  • Quand consulter ? -Si fièvre dure plus de 72h+++/Moins de trois mois +++ c’est trop pt++/-Convulsion/Vomissements excessifs/Pleurs intermittents

Soins infirmiers aux parents (BSI 228) : la constipation

Constipation chez l’enfant

Ce qui est important à l’examen++++/Les causes avec explications • Qu’est-ce que c’est+++ la constipation/La surveillance de la condition ?Important ? et le poids+++ des selles++++ ? ou l’alimentation++++/.Le poids pris trop lentement c’est quoi++

Important qu’il y ait du fibre+++++++++/Important de masser+++++++/important de s’assurer que le bébé bouges++ Douleur ++ plus de 3 jours++ pour les selles ou dures+++ qui se cassent+++Important les causes++++++ pas de panique++++++/Mouvement de pédalo++++

Vous êtes capable++++ Après+++ 3 jours de selles très dures++++++/Un enfant anciennement propre+ se met+++ à être incontinent/+++ inconfort intestinal+Douleurs et selles petites-dures+++ avec fissures à l`anus.Sèches Mettez -lui plus de fibre ++++++ /Bouger++++ pieds de bébé/massage+++++abdominale Laxatif ou suppléments++ sans avis+ /En cas+++ pas bien+++ vomissement +++++ou sang+++

Causes :

aucun aliments cause constipation c’est le manque de fibre qui en ait la cause/d’autres causes sont qu’il est malades

  • Les éléments de surveillance : Poids-selles-alimentation
  • Quand consulter un médecin : si constipation continuent-bébé vomit-sang dans les selles -prends di poids trop lentement Trus pour contrer la constipation : activités physique-priorisation eau et jus de pruneau-fibre-mouvement en pédale -appuyer les genoux contre bedaine-massage circulaire dans le sens horaire du l`abdomen.

Administration sécuritaire des médicaments en pédiatrie

Principes et règles de sécurité:

  • Pharmacocinètique: immaturité rénale hépatique et gastrique Important : TOUJOURS vérifier à 2 infirmières !! -PO sirop-suspensions-administration à la seringue -SC: rare chez les jeunes enfants -Im surtout pour les vaccins et ATB -IV: Toujours privilégier le volume minimal et pousse-seringue

  • Certains médicaments demandant une surveillance plus accrue comme un dosage sérique (ex: garamycine) *ceux qui sont néphrotoxique

Administration d’un médicament

  • Principalement comme chez l’adulte
  • -Signes precoces d’allergie: -Rash -Boutton -Engorgement/œdème

Important

  • Attention aux allergies ex :ATB: qui sont souvent méconnues
  • Attention aux risques de vomissements surtout si pb respiratoire
  • Vérification du site IV chez les enfants aux 30-60 minutes selon les milieux

Intraveinothérapie soins et surveillances

  • ** Important la DESINFECTION des connecteurs ****
  • Toujours peser en Kg
  • Calculer le dosage selon de la masse corporelle Il faut arrondir les calcules au centième avec le clientèle pediatrique..
    • Important si l’enfant vomit la dose ??

Voies périphérie: x/ quart ou avant med ou après meds=3ml

  • Voies centrale: 5-10 ml dépend de l’âge de l’enfant

Que retenir ?

Il faut evaluer la capacité de l’enfant à avaler le med aupt le moment avant d’admit le med -Si l’enfant vomit le med, notez la quantité vomie et le temps depuis l’admin, puis consultez le med pour avoir une nouvelle ordonnance si autre dose est nécessaire

Que faire si un enfant vomie + med - si l’enfants après avale son méd, mais recrache immédiatement, le redonner sans problème.

  • Si vomi peu de temps après avalée genre environ moins de 15 minutes (genre avec une partie importante), donnez leur dose habituelle et attente +++.1h après et regardez leur température ==Si 1h après encore mal faites leur même dose Si vomi encore et ça va pas ++++ aller aux urgences pour le moment le processus pour aider+++

  • Par contre à partir du moment si enfant vomi plus++++ que 15 minutes ou après c’est rare qu’on va les faire avaler les vomis… le med auront fait effet. On ne redonne +

  • Les 7 bons • bon médicament * bonne posologie *** bonne voie admin * bon moment bon Client * bon documentation** bonne surveillance est bien

  • En pédiatrie il fait arrondir nos chiffres aux centièmes :::: important important ça se retrouvera au futur++++

• La règle la ++++ difficile = le calcul de la dose On arrondit au centième+ Toujours peser le patient Important:

  • Il faut toujours double vérifier nos valeurs des poids et mesures avec un autre collègue. Important: Norme d’exercices administration Sécuritaire des médicaments : • C’est une application de la norme+++++++ • IMPORTANT+++: La norme et les 7 bons+++ vont ensemble. Ça fait une équipe

  • Important: Les mesures Important: Qu’est-ce à qu’on faire avec tous ce qu’on va utiliser+++ pour admin le med++++ • On arrondit au centième+ Toujours peser le patient *

Important: Qu’est-ce qu’ON FAIRE quand ON va le préparer??? • IMPORTANT++++: On arrondie+++ ce qu’on avait trouvé comme mesure.

• Dispositifs d’administration IV ou IM on arrondie au centième important exam • Laisser infirmiere l’immobilise et admin les médicaments à enfant

Lieu sécuritaire enfant tout le temps+++ il comprends pas+++ donc besoin comblé

Diapo: On le fait pour de vrai +++++

Référence d’exercice : La dose++++ à utiliser, vérifier auprès des documents!!!!!!!!!

  • *** Le top: Si dose est dans le vomi++++ c’est le mieux+++++++

• A quel endroit+++ je piquerai++++ mon enfnat++++ ++++++Les 7 boOOoons!!!!Et la vérification de la dose

  • Pour vous faire donner: Les sites sécuritaires!!!!**
  • *Diapos: Les 7 BOOOon++++!!!!
  • *VoiR LE TABLEAU + +pour AIGulle++ Et la région a utiliser :::: selon age-etc++++Important++++.
  • **Important++++ : Pour le volume à utilisé à l’endroit utiliser :::: à lire + comprendre
  • **Important++++ à comprendre pour comprendre -

IMPORTANTISSIME DE CONNAITRE LES DILUTIONS

La diluction +++++ est+++++ super important et ne dois pas se tromper

  • *PÉDIATRIE+++++ :C’EST SUPER IMPORTANT de BIEN FAIRE SES CALCULS

C’EST UN +++++++Sujet DANS LA VRAIE::::: LIFE

C’EST PAS UNE BLAGUE LA vie++++ c’est +++++++ serieuxe++++

  • *IMPORTANTISSime *******C’Est notre travail:: C’est une job important

• * **IL FAIT ÊTRE SECURITAIRE ET COMPETENCE++++: IMPORTANT++++++++++++++++++++

À FAIRE LES MEILLES CHOIX POUR NOS BEBE:::: IMPORTANTISSime+++****.

  • IMPORTANT DE CONSULTER NOS collèGUE++ Pour la sécurité+++
  • Il faut + toujours être++++ vigilant et sécuritaire++++**

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