Criminologie cours 5

False (B)

Une augmentation liée aux délits routiers et de drogue.

<p>augmenté</p> Signup and view all the answers

<p>Évolution de la répression pénale = Augmentation de la criminalité féminine Opportunités pour les femmes = Diminution de la délinquance Position sociale des femmes = Relation claire avec la criminalité Abus subis = Impact sur la carrière criminelle</p> Signup and view all the answers

<p>L'âge et le genre (A), Le niveau d'éducation (D)</p> Signup and view all the answers

<p>True (A)</p> Signup and view all the answers

<p>C'est une théorie qui explique la criminalité en fonction des opportunités, des motivations et des cibles.</p> Signup and view all the answers

<p>risque</p> Signup and view all the answers

<p>La présence d'une arme (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Abus physique = Souvent commis par des membres de la famille Abus sexuel = Plus fréquent avec des connaissances non familiales Violence domestique = Relation intime entre l'agresseur et la victime Abus émotionnel = Impact négatif sur la santé mentale</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Les traditions culturelles peuvent influencer les normes de comportement et parfois autoriser des châtiments corporels.</p> Signup and view all the answers

<p>16-17 ans (C)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>4%</p> Signup and view all the answers

<p>contrôle</p> Signup and view all the answers

<p>Carra (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Hirschi = Théorie du contrôle social Gottfredson = Théorie de l'autocontrôle Greenberg = Prolongement de l'enfance Moffitt = Délinquance persistante</p> Signup and view all the answers

<p>True (A)</p> Signup and view all the answers

<p>environ 20 ans</p> Signup and view all the answers

<p>La position socio-économique (D)</p> Signup and view all the answers

<p>élevée</p> Signup and view all the answers

<p>Agressivité indirecte (D)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>25 ans</p> Signup and view all the answers

<p>4-5</p> Signup and view all the answers

<p>Délits mineurs = Femmes Délits violents = Garçons Vol à l'étalage = Femmes Cambriolages = Garçons</p> Signup and view all the answers

<p>Pas de favoritisme remarqué (A)</p> Signup and view all the answers

<p>True (A)</p> Signup and view all the answers

<p>L'étude Buckle &amp; Farrington</p> Signup and view all the answers

<p>16-17</p> Signup and view all the answers

<p>La position socio-économique (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Accroître le succès économique individuel (A)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Il empêche les pauvres d'évoluer et les force à s'adapter à leur situation.</p> Signup and view all the answers

<p>classes</p> Signup and view all the answers

<p>Anomie = Conflit entre la culture de la réussite et l'accès inégal aux moyens pour l'atteindre Délinquance acquise = Sous-culture criminelle axée sur le gain matériel Violence domestique = Comportement abusif au sein d'un foyer Classe dangereuse = Catégorie de personnes perçue comme à risque de criminalité</p> Signup and view all the answers

<p>Aucune relation n'est trouvée entre délinquance juvénile et origine sociale. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>True (A)</p> Signup and view all the answers

<p>La classe sociale et les facteurs de risque psychosociaux.</p> Signup and view all the answers

<p>gens de parole</p> Signup and view all the answers

<p>Se concentrer sur des buts plus accessibles comme le sport (C)</p> Signup and view all the answers

<p>La présence d'une arme (A)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Les châtiments corporels ont diminué au fil des ans.</p> Signup and view all the answers

<p>séparation</p> Signup and view all the answers

<p>Abus physique = Impliquant des blessures corporelles Abus sexuel = Interactions sexuelles non consensuelles Abus émotionnel = Manipulation ou intimidation Abus négligence = Échec à répondre aux besoins fondamentaux</p> Signup and view all the answers

<p>Des connaissances non familiales (D)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Ils présentent des risques plus élevés de victimisation.</p> Signup and view all the answers

<p>L'augmentation des opportunités professionnelles pour les femmes (A)</p> Signup and view all the answers

<p>True (A)</p> Signup and view all the answers

<p>socialisation</p> Signup and view all the answers

<p>Théorie féministe = Impact des abus subis Hypothèse biologique = Relation avec la violence Hypothèse de position sociale = Influence des classes sociales Socialisation = Adaptation aux normes de la société</p> Signup and view all the answers

<p>La classe sociale (C)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Quetelet</p> Signup and view all the answers

<p>violence</p> Signup and view all the answers

<p>Théorie de l'anomie de Merton = Difficultés économiques et délinquance Théorie des opportunités = Délits liés aux sous-cultures criminelles Théorie de l'attachement = Influence des relations sociales sur la délinquance Théorie de l'anomie institutionnelle = Impact des normes sociales sur le comportement criminel</p> Signup and view all the answers

<p>16-17 ans (D)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Vols à l'étalage</p> Signup and view all the answers

<p>socio-économique</p> Signup and view all the answers

<p>2.8% (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Un lien direct entre la taille de la génération et l'augmentation de la criminalité (B)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>contrôle</p> Signup and view all the answers

<p>Le sentiment d'impunité (B)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle peut augmenter la probabilité de comportements délinquants.</p> Signup and view all the answers

<p>avec</p> Signup and view all the answers

<p>Corrélation entre des générations nombreuses et des pics de criminalité (B)</p> Signup and view all the answers

<p>False (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Statut socio-économique et facteurs de risque psychosociaux</p> Signup and view all the answers

<p>inférieures</p> Signup and view all the answers

<p>Sous-culture criminelle = Délinquance acquise Sous-culture conflictuelle = Actes de violence Sous-culture de retraite = Consommation de drogues Sous-culture sociale = Engagement communautaire</p> Signup and view all the answers

<p>Âge et statut socio-économique (D)</p> Signup and view all the answers

<p>True (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Il conteste que tous les groupes sociaux soient touchés de la même façon par la délinquance.</p> Signup and view all the answers

<p>détriment</p> Signup and view all the answers

<p>Merton = Théorie de l'anomie Cloward &amp; Ohlin = Théorie des opportunités Braithwaite = Critique de la délinquance Albrecht &amp; Howe = Délinquance juvénile et origine sociale</p> Signup and view all the answers

Les jeunes hommes sont plus susceptibles d'être victimes de crimes dans l'espace public, en raison de leur style de vie et de leurs activités.

La théorie des activités routinières explique la victimisation en fonction de l'interaction entre des victimes potentielles, des délinquants potentiels et des endroits propices aux crimes.

Les femmes sont moins souvent victimes de crimes violents dans l'espace public que les hommes, car elles adoptent moins souvent des comportements à risque.

La violence domestique comprend des actes de violence physique, psychologique et sexuelle entre des personnes qui vivent ensemble ou qui ont vécu ensemble.

La séparation est un facteur de risque élevé de violence domestique, car l'agresseur perd le contrôle et peut chercher à reprendre le contrôle.

Les homicides conjugaux sont un type de violence domestique grave où un partenaire tue l'autre.

Les châtiments corporels envers les enfants ont décliné avec le temps, tandis que les abus par des connaissances ou des étrangers ont augmenté.

Les abus sexuels envers les enfants sont plus fréquents avec des personnes en relation avec la famille, mais pas de la famille proche.

Une théorie sociologique expliquant la criminalité par la tension entre les buts culturels (succès économique) et les moyens légitimes pour les atteindre. Les classes défavorisées ont moins accès aux moyens légitimes et sont donc plus susceptibles de recourir à des comportements déviants.

Une extension de la théorie de l'anomie qui met l'accent sur l'affaiblissement des institutions sociales (famille, école, religion) qui favorise la poursuite du succès économique au détriment d'autres valeurs importantes.

Des groupes de personnes qui développent des normes et des valeurs alternatives en réaction aux normes sociales dominantes. Ces sous-cultures offrent des moyens de réussir, même illégitimes.

Une adaptation à l'anomie où les individus abandonnent leurs aspirations et se replient sur la consommation de drogues ou d'alcool.

La recherche sur la classe sociale et la criminalité a montré qu'il est difficile de mesurer objectivement la classe sociale, surtout chez les adolescents.

Les individus de statut social plus élevé ont tendance à avoir des aspirations plus élevées et à poursuivre des buts plus accessibles en dehors du domaine criminel (sport, loisirs).

La notion de 'gens du geste' et 'gens de parole' souligne que l'appartenance sociale influence le type de criminalité commis. Les 'gens du geste' sont plus susceptibles d'utiliser la violence tandis que les 'gens de parole' sont plus impliqués dans des activités de fraude.

La classe sociale influence l'accès aux opportunités criminelles. Les individus privilégiés ont accès à un plus large éventail de possibilités criminelles.

L'étude de cohorte de Pittsburgh a révélé une augmentation du taux de criminalité grave chez les adolescents provenant de milieux défavorisés, particulièrement ceux ayant des facteurs de risque sociopsychologiques.

La 'réaction sociale' remet en question l'idée que la criminalité est principalement liée à la classe sociale. Elle souligne l'importance du contrôle social et de la discrimination dans la construction de la délinquance.

Depuis le 18ème siècle jusqu'à la seconde guerre mondiale, le taux de criminalité féminine a baissé progressivement, principalement lié à la diminution de la pauvreté.

La criminalité féminine est influencée par les changements dans les lois et les normes sociétales. Par exemple, la criminalisation accrue des comportements masculins et l'augmentation des opportunités pour les femmes ont eu un impact.

L'impact des abus subis par les femmes, comme la violence domestique, pourrait expliquer certains comportements criminels, mais cette théorie ne suffit pas à expliquer les fluctuations historiques.

On peut expliquer la criminalité féminine par la socialisation des femmes à la soumission et à l'adaptation, mais cette théorie ne répond pas à toutes les questions.

La position sociale des femmes dans la société n'explique pas l'augmentation de la délinquance féminine après les années 1960.

La criminalité augmente entre 12 et 18 ans, atteint un pic vers 16-17 ans et varie selon les types de crimes.

L'agressivité physique atteint son sommet à la deuxième année de vie, puis diminue tandis que l'agressivité indirecte augmente entre 4 et 10 ans, étant plus fréquente chez les filles.

Il est difficile de savoir si la délinquance indirecte est aussi fréquente que la délinquance physique car les sondages n'incluent pas toujours les comportements indirects.

Environ 4 % des garçons ne maîtrisent pas leur agressivité en âge préscolaire, et ce pourcentage semble rester stable jusqu'à l'adolescence.

Heintz (1956, 1957/74, 1968) et Greenberg (1979) suggèrent que la délinquance juvénile pourrait être liée aux frustrations et aux contradictions ressenties par les adolescents.

Carra (1999) et Walser & Killias (2009) suggèrent que certains jeunes pourraient penser qu'ils ne sont pas punis pour leurs actions car ils sont mineurs.

Hirschi (1969) propose que plus les adolescents sont liés à la société, moins ils risquent de délinquer.

Gottfredson et Hirschi (1990) croient que le faible autocontrôle est un facteur majeur de délinquance.

Blumstein (1986) et Kuhn (2010) suggèrent que les baby-boom peuvent influencer les taux de criminalité en raison des changements dans les conditions de vie.

Selon Hirschi (1969), la délinquance juvénile est moins fréquente chez les jeunes qui sont bien intégrés à la société.

Les jeunes hommes sont plus susceptibles de commettre des infractions que les femmes et les hommes adultes.

Les données provenant des tribunaux et des enquêtes de victimisation montrent que les jeunes hommes sont surreprésentés dans les statistiques criminelles.

Les jeunes hommes âgés de 25 ans présentent le pic de criminalité ; les données de victimisation et les statistiques policières montrent un pic à la fin de l'adolescence (16-17 ans).

Des études montrent que l'éducation, le revenu et le statut professionnel sont associés à des taux de criminalité plus bas ; les personnes à revenu faible et peu scolarisées sont plus susceptibles de commettre des crimes.

Il y a plus de femmes impliquées dans des délits moins graves (vol à l'étalage) que dans des délits plus graves comme les vols à main armée ; les hommes sont surreprésentés dans les crimes violents.

Les femmes ne sont pas favorisées par rapport aux hommes dans le système judiciaire ; les peines sont généralement similaires pour les crimes similaires.

Une étude a révélé que les hommes voilent deux fois plus souvent que les femmes dans les magasins.

Les jeunes hommes sont surreprésentés dans les accidents de la route et les infractions impliquant des prises de risques.

Ce sont souvent les délits violents qui attirent l'attention du système de justice pénale, ce qui explique pourquoi les jeunes hommes sont surreprésentés dans les statistiques.

Ce constat sur la criminalité des jeunes hommes est présent depuis le 19e siècle et se retrouve également dans les sondages de victimisation.

Les femmes sont moins souvent victimes de crimes violents dans l'espace public que les hommes, car elles adoptent moins souvent des comportements à risque.

La présence d'une arme est un des plus importants facteurs de risque de violence dans les homicides.

L'augmentation significative de la criminalité féminine à partir des années 1960, en particulier dans les domaines des infractions routières et de la drogue, contraste avec les théories traditionnelles qui mettent l'accent sur la position sociale des femmes.

La socialisation en tant que source de la criminalité féminine suggère que les femmes sont socialisées pour être soumises et adaptatives, ce qui peut limiter leurs possibilités de criminalité. Cette théorie rencontre cependant des limites.

Les jeunes hommes sont plus souvent impliqués dans des actes criminels que les femmes et les hommes plus âgés. Ce constat est observable depuis le 19ème siècle.

L'âge de 25 ans correspond au pic de criminalité pour les jeunes hommes. Ce constat est basé sur les données des tribunaux et de la victimisation.

Une étude de 1984 a observé que les hommes volent deux fois plus que les femmes dans des magasins. Cette observation directe confirme les statistiques sur la délinquance.

Les femmes sont moins souvent victimes de violence dans l'espace public que les hommes. Cela s'explique par les choix de comportements à risque plus fréquents chez les hommes.

L'agressivité physique atteint son sommet à la deuxième année de vie, puis diminue progressivement avec l'âge. En revanche, l'agressivité indirecte, comme les rumeurs ou les exclusions, augmente entre 4 et 10 ans, et est plus fréquente chez les filles.

Les études montrent que l'agressivité indirecte, souvent non incluse dans les sondages de délinquance autoreportée, est un problème important. Elle ne fait pas l'objet d'une intervention du système de justice pénale, ce qui révèle une lacune dans la compréhension et la gestion de la délinquance.