Database Concepts Quiz

Une association plusieurs-à-plusieurs est modélisée par une table séparée. La clé primaire de cette table est composée des clés étrangères des entités associées. Les attributs de l'association sont inclus dans la nouvelle table.

Une relation réflexive est une relation où une entité est liée à elle-même. Exemple : un employé peut être le manager d'un autre employé.

Le modèle logique de données est une représentation abstraite de la structure des données d'une base de données. Il décrit les entités, les attributs et les relations entre les entités, sans prendre en compte les aspects physiques d'implémentation.

Le modèle physique de données (MPD) est une représentation précise de la base de données, en tenant compte des aspects physiques d'implémentation. Il décrit la structure des tables, les types de données, les contraintes et les clés.

Le passage du modèle logique au modèle physique implique la transformation des entités et des relations en tables et colonnes. Les clés primaires et étrangères sont définies, ainsi que les types de données pour chaque colonne.

Une table de données contenant des informations distinctes qui sont liées à la même entité.

Un attribut qui identifie de manière unique chaque enregistrement dans une table de données.

Attributs dans une table qui référencent la clé primaire d'une autre table.

Un modèle qui représente les concepts d'une application avec des entités et leurs relations.

La transformation d'un modèle logique en un modèle physique, qui définit les structures de données, les types et les contraintes.

Une anomalie qui survient lorsque l'ajout d'une nouvelle information dans une table nécessite la mise à jour d'enregistrements existants.

Une anomalie qui survient lorsque la modification d'une information dans une table conduit à la mise à jour d'enregistrements multiples, ce qui peut entraîner des incohérences.

Une anomalie qui survient lorsque la suppression d'une information dans une table entraîne la suppression d'informations liées qui ne devraient pas être supprimées.

Une dépendance fonctionnelle (DF) est dite élémentaire si elle n'est pas déductible par transitivité d'autres DF.

Une DF a → c est dite directe si elle n'est pas déductible par transitivité d'autres DF. Autrement dit, il n'existe pas de DF a → b et b → c.

Un ensemble d'axiomes permettant de déduire toutes les DF d'une relation à partir d'un ensemble minimal de DF. Ces axiomes permettent de simplifier les analyses de dépendances fonctionnelles.

Un attribut est dit atomique si il ne peut pas être divisé en attributs plus petits. Une relation est en 1FN si tous ses attributs ont une valeur atomique.

Une DF a → b est une DF élémentaire si a → b est une DF et si aucune partie propre de a détermine b.

Un attribut est une clé candidate s'il détermine tous les autres attributs de la relation.

Une dépendance fonctionnelle a → b est une dépendance triviale si b est un sous-ensemble de a.

Une situation où un éditeur est supprimé alors que son unique livre l'est aussi. Cela entraîne une perte d'information sur l'éditeur.

Une relation entre deux entités (par exemple, éditeur et livre) où les informations sur l'une dépendent de l'autre. S'il y a des changements dans l'une, les informations liées dans l'autre doivent également être modifiées.

Un attribut dépend fonctionnellement d'un autre si à une valeur du premier correspond au plus une valeur du second. Par exemple, si on connaît le code apogée d'un étudiant, on peut déterminer son nom.

Un schéma relationnel normalisé respecte le principe de non-redondance, où chaque attribut appartient à une seule table, sauf s'il s'agit d'une clé étrangère.

Une dépendance fonctionnelle a,b → c est élémentaire si ni a → c ni b → c ne sont des dépendances fonctionnelles. En d'autres termes, il est impossible de décomposer la dépendance en dépendances plus simples.

Si à un couple (numéro de pilote, jour) correspond au plus un nombre d'heures de vol, on dit que nbHeuresVol dépend fonctionnellement du couple numPilote, jour.

Une dépendance fonctionnelle est dite totale si l'attribut dépendant dépend de tous les attributs de la clé primaire.

Attribuer des valeurs nulles aux attributs ISBN et titre permet de préserver l'intégrité d'entité, même si un livre est supprimé.

La 3FN (Troisième Forme Normale) est un niveau de normalisation des bases de données qui vise à éliminer les dépendances transitives et les dépendances partielles. En 3FN, chaque attribut d'une table doit dépendre directement de la clé primaire.

Une dépendance transitive se produit lorsqu'un attribut dépend d'un autre attribut qui n'est pas la clé primaire.

Exemple: Si on a une table 'Ventes' avec les attributs 'num' (clé primaire), 'prix' et 'dateAchat', et si 'prix' dépend de 'dateAchat' qui dépend de 'num', alors il existe une dépendance transitive.

Une dépendance partielle se produit lorsqu'un attribut dépend d'une partie de la clé primaire.

Exemple: Si on a une table 'Ventes' avec les attributs 'num' (clé primaire), 'nomCons' et 'nimm', et si 'nomCons' dépend de 'nimm' qui dépend de 'num', alors il existe une dépendance partielle.

La Deuxième Forme Normale (2FN) est un niveau de normalisation des bases de données qui vise à éliminer les dépendances partielles. En d'autres termes, chaque attribut d'une table doit dépendre de la clé primaire entière, et non pas seulement d'une partie de la clé.

Une forme normale est un standard pour la conception de bases de données relationnelles, où une relation n'est pas redondante, et où chaque attribut est dépendant de la clé primaire.

La première forme normale (1FN) exige que chaque colonne d'une relation ne contienne qu'une seule valeur atomique. Par exemple une colonne ne peut pas contenir une liste de valeurs séparées par des virgules.

La deuxième forme normale (2FN) est atteinte lorsqu'une relation est en 1FN et que tous les non-clés dépendent de la clé primaire entière, et non d'une partie de celle-ci.

La troisième forme normale (3FN) est atteinte lorsqu'une relation est en 2FN, et que les attributs non-clés ne dépendent pas transitivement de la clé primaire.

La décomposition d'une relation consiste à la diviser en plusieurs relations plus petites qui répondent aux exigences d'une forme normale.

La normalisation des données consiste à organiser les données en une série de tables, en appliquant des règles spécifiques pour éliminer la redondance et les dépendances anormales.