Commerce Triangulaire en Nouvelle France

Commerce et surplus en Nouvelle-France

• Les colonies de la Nouvelle-France pouvaient vendre leur surplus grâce à un réseau de commerce qui reliait la métropole, permettant l'échange de matières premières.
• La Nouvelle-France produisait peu de surplus sous Jean-Talon en raison de l'environnement difficile et du manque de population pour cultiver des terres supplémentaires.

Rôle des navires dans le commerce triangulaire

• Les navires jouaient un rôle crucial dans le commerce triangulaire, transportant des produits entre la Nouvelle-France, la France et les Antilles.
• Ils facilitaient l'importation de produits européens et l'exportation de matières premières comme le fourrage, la fourrure et le poisson vers l'Europe.

Négligence de la Nouvelle-France par les compagnies de contrôle

• Les compagnies de contrôle privilégiaient les Antilles à cause de la rentabilité plus élevée de la production de sucre et de tabac par rapport aux ressources de la Nouvelle-France.
• Le manque d'infrastructures et de revenus rapides en Nouvelle-France réduisait son attrait commercial.

Caractéristiques du commerce triangulaire

• Le commerce triangulaire était caractérisé par l’échange de produits comme le sucre et le café des Antilles contre des matières premières de la Nouvelle-France.
• Ce commerce était établi et résilient jusqu'au début du 18e siècle, reliant étroitement les économies au sein des colonies.

Impact des hivers rigoureux

• Les hivers rigoureux affectaient le commerce triangulaire en ralentissant les échanges et en rendant certaines routes maritimes impraticables, impactant ainsi l'approvisionnement.

Main-d'œuvre dans les plantations des Antilles

• La principale source de main-d'œuvre dans les plantations de canne à sucre et de tabac était l’esclavage, avec des esclaves africains transportés via le commerce triangulaire.

Attractivité des colonies des Antilles

• Les colonies des Antilles étaient plus attractives pour les compagnies en raison des cultures de rente, comme le sucre, qui offraient des profits beaucoup plus élevés que ceux de la Nouvelle-France.