Technique Immobase

Calcul de l'échelle

• L'échelle se calcule en comparant la taille réelle à la taille sur le plan.
• L'échelle est une fraction ou un rapport qui exprime la relation entre les dimensions réelles et les dimensions représentées.

Exemples de calcul d'échelle

• Exemple 1 : Largeur réelle de 60 cm et largeur sur le plan de 3 cm.

  • Calcul de l'échelle : 60 cm / 3 cm = 20
  • L'échelle est donc de 1:20 (1 cm sur le plan représente 20 cm dans la réalité).

• Exemple 2 : Largeur réelle de 4,5 m (ou 450 cm) et largeur sur le plan de 1,8 cm.

  • Calcul de l'échelle : 450 cm / 1,8 cm = 250
  • L'échelle est donc de 1:250 (1 cm sur le plan représente 250 cm dans la réalité).

Propositions d'exercices supplémentaires

• Exemple 3 : Largeur réelle de 1,2 m (120 cm) et largeur sur le plan de 2,4 cm.

  • Calcul de l'échelle : 120 cm / 2,4 cm = 50
  • L'échelle est de 1:50.

• Exemple 4 : Largeur réelle de 3,6 m (360 cm) et largeur sur le plan de 6 cm.

  • Calcul de l'échelle : 360 cm / 6 cm = 60
  • L'échelle est de 1:60.

• Exemple 5 : Longueur réelle de 10 km (10 000 m) et longueur sur le plan de 5 cm.

  • Calcul de l'échelle : 10 000 m / 5 cm = 2 000 000
  • L'échelle est de 1:2 000 000.

Points Clés

• Toujours convertir les unités si nécessaire pour une comparaison correcte.
• L'échelle permet de comprendre la réduction des dimensions dans un plan par rapport à la réalité.

Types de plans et échelles d'utilisation

• Plan de situation : Montre l'environnement général d'un projet, utilisé aux échelles 1:500, 1:1000 et 1:200.
• Plan de masse : Illustré pour montrer l'agencement des constructions et des espaces, réalisé aux échelles 1:100 et 1:50.
• Plan d'étage : Détaille la disposition interne d'un bâtiment à des échelles de 1:100 ou 1:50.
• Élévation : Présente la façade d'un bâtiment, utilisé aux échelles 1:100 et 1:50.
• Coupe générale : Offre une vue verticale du bâtiment pour montrer la relation entre différents niveaux, aussi aux échelles 1:100 et 1:50.
• Plans de détails (cuisine, salle de bain, etc.) : Focalisés sur des sections spécifiques et techniques, disponibles à l'échelle 1:20.

Plans techniques

• Plan technique Lasc. : Utilisé pour le système de plomberie (sanitaire).
• Plan de ventilation : Illustré dans des détails techniques spécifiques pour la circulation de l'air.

Types de Plans

• Plan détail

  • Utilisé à l'échelle 1:10
  • Détails spécifiques tels que l'encadrement des fenêtres, des poutres et la balustrade de balcon.

• Plan technique

  • Utilisé à différentes échelles: 1:50, 1:20 et 1:10.

Normes et Règlementations

• Plans d'architecte conformes à la norme SIA 400 (Société suisse des Ingénieurs et des Architectes).
• Indication obligatoire des matériaux, installations électriques, de chauffage, de ventilation et sanitaires sur les plans.

Démolition et Construction

• Éléments à démolir et à reconstruire clairement indiqués.
  • Jaune : zone à démolir.
  • Rouge : zone à construire.

Ouverture et Construction

• Sens d'ouverture des fenêtres, portes-fenêtres et portes indiqués sur les plans.
• Utilisation de sigles conventionnels pour les matériaux de construction, détails disponibles dans les annexes.

Plan de situation

• Représente la disposition d'un immeuble sur un terrain spécifique.
• Indique la limite de propriété, délimitant l'espace possédé.
• Montre la surface du bien-fonds, essentielle pour les transactions immobilières.
• Identifie le numéro de parcelle, un élément clé pour le cadastre.
• Fournit le numéro ECA (Établissement du Cadastre Administratif), utile pour la gestion foncière.
• Mentionne les servitudes, qui peuvent affecter l'utilisation du terrain.
• Indique le numéro d'entrée d'immeuble, facilitant l'identification de l'accès.
• Décrit l'orientation du bâtiment, importante pour la lumière naturelle et l'efficacité énergétique.
• Inclut des informations sur les immeubles voisins, relevant du contexte environnant.
• Fournit des détails sur les accès, chemins et routes, influençant la circulation et la logistique.
• Précise l'alignement du bâtiment par rapport à la voie publique, important pour le design urbain.
• Montre l'implantation du bâtiment sur le terrain, essentiel pour la planification et la construction.
• Peut également contenir d'autres informations pertinentes selon les besoins cadastraux.
• Établi par un géomètre officiel, garantissant sa précision et son authenticité.
• Disponible au cadastre, permettant aux propriétaires et aux notaires d’y accéder pour diverses démarches administratives.

Union Suisse des Professionnels de l'Immobilier (USPI)

• Organisation formée pour représenter les intérêts des professionnels de l'immobilier en Suisse.
• Usages de la formation continue pour améliorer les compétences des membres.

Plan de situation 1:500

• Échelle utilisée : pour chaque centimètre sur le plan, cela correspond à 500 centimètres dans la réalité.
• Conversion de distances : si 4 cm sur le plan, on multiplie par 500 pour obtenir la distance réelle.
• Calcul : 4 cm x 500 = 2000 cm = 20 mètres.

Vérification de l'échelle

• Utilisation de la formule : distance réelle (20 m) x 100 / 500 = 4 cm.
• Importance de la vérification pour garantir l'exactitude des mesures sur le plan.

Cartouche

• Élément graphique ajoutant des informations essentielles à un plan, comme l’échelle et les coordonnées.
• Sert à normaliser la présentation des documents de planification.

Impliqué dans les professions immobilières

• Membres formés à la gérance technique, importance d'intégrer des mesures et des plans précis.
• Outil clé pour la planification et la gestion immobilière efficace.

Plans d'étage

• Représentation des espaces incluant parties communes, appartements et locaux divers.
• Précise les dispositions, dimensions de pièces, surfaces et orientations nécessaires pour la vente, location ou transformation d’un bien immobilier.

Élévation

• Visualisation des façades d'un bâtiment, incluant le nombre d'étages.
• Aide à comprendre l'esthétique et la structure extérieure d'un immeuble.

Coupe

• Indication des hauteurs et des niveaux intérieurs d'un bâtiment.
• Utilisé pour le calcul des volumes et analyse du profil du terrain.

Échelle et Tableau

• Les unités de mesure utilisées incluent : km, hm, dam, m, dm, cm, mm.
• L'échelle permet de représenter des distances réelles sur un plan ou une carte.

Plans Architecturaux

• Plan de situation (ou plan de masse) : échelles courantes sont 1/500, 1/1000, et 1/200.
• Élévation : échelles utilisées de 1/100 et 1/50, représentant la vue verticale des bâtiments.
• Plan d'étage : également à l'échelle de 1/100 ou 1/50, illustrant la disposition des pièces à l'intérieur des étages.
• Coupe générale : échelles similaires à celles utilisées pour les plans d'étage, soit 1/100 ou 1/50.

Plans Spécifiques

• Plan de détails (ou plan de cerisine) : échelle détaillée de 1/20, permettant une vue précise des éléments spécifiques.

Normes Professionnelles

• La Société Suisse des Ingénieurs et Architectes (SiA) définit les normes pour les plans architecturaux, notamment la norme SiA400.
• Couleurs des plans : jaune pour les projets à démolir, rouge pour les constructions.

Plan de Situation

• Représente la situation d'un immeuble et comprend des éléments tels que :
  • Surface, numéro de parcelle, ECA (État civil des actes), servitudes.
  • Alignement et géométrie, informations souvent obtenues au cadastre.

Différence entre Plan de Masse et Plan de Situation

• Plan de masse : offre plus de détails, y compris les réseaux d'eau et d'électricité.
• Plan de situation : fournit une vue d'ensemble pour situer le bâtiment dans son environnement géographique.

Plan de détails

• Échelles couramment utilisées : 1:1, 1:2, 1:5, 1:10, 1:20.
• Permet une appréciation précise des espaces, comme les cuisines et les toilettes.
• Idéal pour le rangement et l'agencement fonctionnel des pièces.
• Facilite la compréhension de détails techniques spécifiques.
• Possibilité de réalisations en trois dimensions, surtout pour les cuisines.

Plan technique

• Comprend les plans pour ascenseurs, électricité, installations sanitaires, chauffage et ventilation.
• Essentiel pour la planification et la mise en œuvre technique des bâtiments.
• Joue un rôle clé dans l'intégration des systèmes au sein d'une construction.

Définitions des murs porteurs

• Mur d'échiffre : Mur qui supporte la structure d'un édifice, souvent situé dans une échappée.
• Mur mitoyen : Mur partagé entre deux propriétés, soutenant à la fois l'une et l'autre.
• Mur de refend : Mur interne qui divise l'espace et contribue à la résistance de l'ensemble du bâtiment.
• Mur de façade : Mur extérieur de l'immeuble, souvent le premier point de contact avec l'environnement extérieur.

Définitions des murs non porteurs

• Murs non porteurs : Structures qui ne soutiennent pas la charge du bâtiment, servant principalement à séparer des espaces.

Galandages ou cloisons

• Galandages : Cloisons rétractables ou encastrées qui permettent une flexibilité de l’espace.
• Cloisons : Structures légères, souvent non porteuses, utilisées pour diviser les pièces.

Plans

• L’illustration présente deux appartements côtés à côté dans une disposition symétrique.
• Mur B : Mur séparateur entre les deux appartements, essentiel pour l'étanchéité et la sécurité.
• Mur C : Mur des deux appartements, indiquant une continuité des structures.
• Mur E : Mur d'Apartment 1, catégorie non précisée, mais pourrait indiquer une séparation thermique ou acoustique.
• Mur D : Mur d'Apartment 2, similaire au mur E, contribuant probablement à la séparation.
• Mur A : Situé dans l’Apartment 1, il abrite un escalier, un élément clé pour le passage vertical dans une habitation.
• Les appellations "Logement I" et "Logement II" désignent respectivement les deux appartements, indiquant leurs fonctions résidentielles.

Définitions des murs porteurs

• Mur d'échiffre : Mur qui supporte la structure d'un édifice, souvent situé dans une échappée.
• Mur mitoyen : Mur partagé entre deux propriétés, soutenant à la fois l'une et l'autre.
• Mur de refend : Mur interne qui divise l'espace et contribue à la résistance de l'ensemble du bâtiment.
• Mur de façade : Mur extérieur de l'immeuble, souvent le premier point de contact avec l'environnement extérieur.

Définitions des murs non porteurs

• Murs non porteurs : Structures qui ne soutiennent pas la charge du bâtiment, servant principalement à séparer des espaces.

Galandages ou cloisons

• Galandages : Cloisons rétractables ou encastrées qui permettent une flexibilité de l’espace.
• Cloisons : Structures légères, souvent non porteuses, utilisées pour diviser les pièces.

Plans

• L’illustration présente deux appartements côtés à côté dans une disposition symétrique.
• Mur B : Mur séparateur entre les deux appartements, essentiel pour l'étanchéité et la sécurité.
• Mur C : Mur des deux appartements, indiquant une continuité des structures.
• Mur E : Mur d'Apartment 1, catégorie non précisée, mais pourrait indiquer une séparation thermique ou acoustique.
• Mur D : Mur d'Apartment 2, similaire au mur E, contribuant probablement à la séparation.
• Mur A : Situé dans l’Apartment 1, il abrite un escalier, un élément clé pour le passage vertical dans une habitation.
• Les appellations "Logement I" et "Logement II" désignent respectivement les deux appartements, indiquant leurs fonctions résidentielles.

Plan de détails

• Échelles couramment utilisées : 1:1, 1:2, 1:5, 1:10, 1:20.
• Permet une appréciation précise des espaces, comme les cuisines et les toilettes.
• Idéal pour le rangement et l'agencement fonctionnel des pièces.
• Facilite la compréhension de détails techniques spécifiques.
• Possibilité de réalisations en trois dimensions, surtout pour les cuisines.

Plan technique

• Comprend les plans pour ascenseurs, électricité, installations sanitaires, chauffage et ventilation.
• Essentiel pour la planification et la mise en œuvre technique des bâtiments.
• Joue un rôle clé dans l'intégration des systèmes au sein d'une construction.

Répartition des coûts de construction

• L'architecte et l'ingénieur, avec les bureaux techniques, établissent les soumissions pour les travaux de construction.
• Respect des normes SIA, notamment la SIA 118, qui régule les conditions générales d'exécution des travaux.

CFE - eCCC - CFC

• CFE (Code des frais par éléments) : classification normalisée pour l'établissement d'un plan financier préliminaire lors des études de projet.

• Structure hiérarchique du CFE : environ 140 éléments regroupés en catégories.

  • Groupes d'éléments pour le bâtiment identifiés par lettres : A, B, C, D, E, M, P, Q, R, T, V, W, X.
  • Eléments individuels identifiés par chiffres de 0 à 9, rattachés aux groupes.

• eCCC (Code des coûts de construction) : norme suisse destinée à remplacer le CFE, introduisant un niveau supplémentaire dans le découpage des projets.

• L'eCCC permet une meilleure vue d'ensemble sur la gestion des coûts de construction.

Définition des Fondations

• Les fondations sont des éléments architecturaux cruciaux qui garantissent la transmission des charges d'un bâtiment vers le sol.
• Elles jouent un rôle fondamental dans la stabilité d'un ouvrage, prévenant le tassement et les infiltrations d'eau.
• L'analyse du sol doit être effectuée par un ingénieur géologue pour déterminer le type de fondation approprié.

Types de Fondations

• Les fondations sont classées en trois catégories, selon la nature du sol :
  • Superficielles : adaptées aux sols bons.
  • Semi-profondes : utilisées pour les sols de portance moyenne.
  • Profondes : nécessaires dans les sols de mauvaise portance.
• La profondeur des fondations augmente avec la mauvaise qualité du sol afin d'assurer une stabilité adéquate.

Fonction du contrôle CFEC

• Vérification de la qualité des données, conformité aux normes et procédures établies.
• Analyse des erreurs pour proposer des améliorations.
• Garantie de la traçabilité et sécurité des données traitées.
• Rapport de l'activité du service à la hiérarchie pour assurer la transparence.

Erreurs courantes

• Erreurs de saisie concernant des montants financiers.
• Erreurs dans la rédaction des chèques qui peuvent affecter la validité.
• Erreurs de calcul lors de la réalisation de sommaires d'opérations, pouvant mener à des incohérences.
• Erreurs de codage dans les mouvements comptables qui compliquent les audits.

Objectif du contrôle CFEC

• Établir un plan comptable visant à comparer les pertes et profits liés à la comptabilité générale.

Types de plans

• Plan de situation (plan de masse) : Échelles de 1/500 et 1/1000
• Plan d'étage : Échelle de 1/200
• Élévation : Échelles de 1/100 et 1/50
• Plan de détails (cuisine) : Échelle de 1/20

Coupe générale

• Échelles disponibles : 1/100 et 1/50

Normes et identification

• SiA : Acronyme pour Société Suisse des ingénieurs et architectes
• Plans établis selon la norme SiA 400
• Couleurs sur les plans :
  • Jaune : Zone à démolir
  • Rouge : Zone à construire

Plan de situation

• Comprend la situation de l’immeuble et les propriétés environnantes
• Informations sur la surface, numéro de parcelle, ECA, servitudes, orientation et alignement
• Élaboré par un géomètre et accessible au cadastre

Différence entre plan de masse et plan de situation

• Plan de masse : Offre plus de détails, incluant souvent les réseaux tels que l’eau et l’électricité
• Plan de situation : Présente la propriété dans un contexte géographique global

Mise à l'enquête

• Obligation de mettre en conformité les éléments non conformes lors d'une mise à l'enquête

Ponteins

• Mur d'échiffre : Mur qui soutient une structure ou offre une finition.
• Mur mitoyen : Mur partagé entre deux propriétés adjacentes.
• Contre escalier : Structure d'appui pour escaliers.
• Mur de façade : Mur extérieur d'un bâtiment.
• Mur gouttereau : Mur latéral de l'édifice, généralement orienté vers le faîtage.
• Mur de soutènement : Mur qui soutient le poids de la terre ou d'autres structures.
• Mur de refend : Mur interne qui divise un espace en plusieurs zones.

Non ponteins

• Galandage ou cloisons : Structures internes non porteuses permettant de diviser les espaces.

Coûts de construction

• CFE : Code des frais pour éléments, essentiel pour la comptabilité de la construction.
• Grouper par lettres : Classification des postes de travaux et des coûts.
• Rattaché aux lettres : Liens entre lettres de classification et chiffres de métier.

CFC

• CFC = code des frais de construction : Récupère plus de 1300 postes répartis selon les catégories de travaux.

Années veinnent 2

• Comprend les éléments tels que fenêtres, portes, et crépis de façade.

Gnès œuvre 1

• Inclut des travaux comme la maçonnerie, le béton armé, le terrassement, et la charpente.

Second œuvre

• Englobe les travaux d'aménagement intérieur et les finitions.

CFE

• Dénomination pour le code des frais pour éléments.

Radior

• Terme désignant les éléments qui soutiennent le bâtiment, généralement en bas.

Fondations

• Matériaux utilisés : sable, graviers, cailloux, pierres, dalle en béton.

Drainage

• Importance de séparer les eaux usées des eaux pluviales pour éviter la contamination et la montée des eaux.

Enveloppe du bâtiment

• Protection thermique, acoustique, sécurité et étanchéité pour assurer la stabilité et l’intégrité du bâtiment.

Revêtement extérieur

• Protège des intempéries et améliore la pérennité de l'enveloppe.

Mur porteur

• Destiné à supporter la charpente et la structure des planchers ou dalles. Épaisseur typique de 20 cm en béton, brique, ou terre cuite.
• Cloisons : peuvent être en brique, bois, ou plâtre, avec une épaisseur de 8-10 cm.
• La dalle entre les étages peut être en béton, bois, ou métallique, reposant sur les murs porteurs.

Chape

• Couche de mortier, de ciment ou de chaux qui sert à aplanir les surfaces ou à intégrer des éléments tels que le chauffage au sol.

Énergies Fossiles

• Comprend le pétrole, le gaz et le charbon.
• Sources d'énergie non renouvelables qui génèrent des émissions de CO2.

Énergies Renouvelables

• Inclut les sources suivantes :
  • Solaire: utilise l'énergie du soleil pour produire de l'électricité ou de la chaleur.
  • Éolienne: exploite la force du vent pour générer de l'énergie.
  • Bois: biomasse utilisée comme combustible pour le chauffage.
  • Géothermie: utilise la chaleur de la terre pour le chauffage ou la production d'électricité.
  • Pompe à chaleur: absorption des calories de l'extérieur pour chauffer l'intérieur.
  • Biomasse: provenant de matières organiques, peut être transformée en énergie.

Chauffage

• Énergie nucléaire: principale source pour la production d'électricité.
• CAD (Chauffage à distance): système de distribution de chaleur à partir d'une centrale.
• Chauffage central: fonctionne à partir d'une chaudière qui chauffe un fluide.
• Le circuit de chauffage est fermé, permettant la circulation de l'eau chaude.
• L'eau chaude peut être chauffée par différentes sources : chaudière, électricité ou énergie solaire via une pompe à chaleur.

Contrat d'entretien

• Obligatoire: nécessaires pour des raisons de sécurité comme prévenir les incendies.
• Optionnalités :
  • Abris incendie (inconcus) à considérer.
  • Recommandation : entretien du brûleur pour améliorer l'efficacité.
  • Entretien de la toiture conseillé pour éviter les dégradations.
  • Curage des canalisations et buanderie sont des services facultatifs.

Types d'escaliers

• Escalier droit : structure linéaire sans courbures, idéal pour un accès direct entre deux niveaux.
• Escalier à quartier tournant : comprend une partie droite suivie d'un ou plusieurs paliers tournants, offre une transition fluide entre niveaux à angles.
• Escalier à moitié tournante : caractérisé par un changement de direction à mi-chemin, souvent utilisé dans des espaces restreints pour optimiser l’accès.
• Escalier à vis : spirale serrée autour d’un axe central, économique en espace, souvent utilisé dans les lieux de culture ou en extérieur.
• Escalier à la française : conçu avec des marches larges et un faible angle d'inclinaison, offrant un confort accru lors de la montée.
• Noyau : structure centrale qui soutient l'escalier, peut être conçu de manière à intégrer des éléments de design tout en apportant une stabilité.

Couverture

• La couverture est essentielle pour protéger un bâtiment des intempéries.
• Elle est composée de divers matériaux selon les besoins et les exigences esthétiques.

Sous-couverture

• La sous-couverture joue un rôle crucial dans l'évacuation de l'eau vers l'extérieur.
• En cas d'infiltration, elle aide à préserver la structure du bâtiment.

Isolation

• L'isolation est indispensable pour conserver une température confortable à l'intérieur du bâtiment.
• Elle prévient les pertes de chaleur en hiver et garde la fraîcheur en été.

Frein / Pare-vapeur

• Le frein ou pare-vapeur est conçu pour empêcher la condensation nuisible à la construction.
• Il aide à prévenir les problèmes d'humidité et à maintenir l'intégrité de la structure.

Sous construction et revêtement intérieur

• Les sous-constructions et les revêtements intérieurs contribuent à la durabilité et à l'esthétique des bâtiments.
• Ils complètent les systèmes de couverture et d'isolation pour un résultat optimal.

Principe de fonctionnement du chauffage central

• Le chauffage central permet de chauffer plusieurs pièces d'une maison ou d'un immeuble à partir d'un seul générateur de chaleur.
• Le générateur de chaleur est généralement une chaudière ou une chaufferie.
• La chaleur est distribuée à travers des tuyaux vers des radiateurs situés dans les différentes pièces.
• Un autre système de distribution est le plancher chauffant, qui chauffe par le sol.
• Le circuit de chauffage fonctionne en circuit fermé, garantissant une circulation efficace de l'eau chaude.

Principe de fonctionnement du chauffage central

• Le chauffage central permet de chauffer plusieurs pièces d'une maison ou d'un immeuble à partir d'un seul générateur de chaleur.
• Le générateur de chaleur est généralement une chaudière ou une chaufferie.
• La chaleur est distribuée à travers des tuyaux vers des radiateurs situés dans les différentes pièces.
• Un autre système de distribution est le plancher chauffant, qui chauffe par le sol.
• Le circuit de chauffage fonctionne en circuit fermé, garantissant une circulation efficace de l'eau chaude.

Gros œuvre

• Comprend tous les travaux nécessaires à la structure et à la construction d'un bâtiment, garantissant sa solidité et sa stabilité.
• Catégories de gros œuvre :
  • Gros œuvre 1 :
    • Échafaudages : supports temporaires pour les travaux en hauteur.
    • Terrassements : préparation du sol par excavation ou remblayage.
    • Canalisations intérieures : installation des systèmes de plomberie et de drainage.
    • Béton et béton armé : matériaux principaux pour la fondation et la structure.
    • Maçonnerie : construction de murs et structures en briques ou blocs.
    • Charpente : structure en bois ou métal supportant la toiture.
    • Escaliers : élaboration des accès verticaux dans le bâtiment.
    • Éléments préfabriqués : composants fabriqués en usine et assemblés sur le site.
  • Gros œuvre 2 :
    • Fenêtres : ouvertures vitrées intégrées à la structure du bâtiment.
    • Portes extérieures : accès principal et sécurité du bâtiment.
    • Ferblanterie : travaux en métal, souvent liés aux toits et gouttières.
    • Couverture : toiture protégeant l'édifice des intempéries.
    • Crépi de façades : finition extérieure pour l’esthétisme et la protection.
    • Fermetures extérieures : systèmes pour sécuriser et isoler le bâtiment.
    • Protections contre le soleil : installations pour réguler la lumière et la chaleur.

Second œuvre

• Représente les travaux de finition et d'aménagement intérieur, effectués après la réalisation du gros œuvre.

Introduction à la vie d'un bâtiment

• Le cycle de vie d'un bâtiment commence à sa fin de construction ou lorsque certaines parties entrent en service.
• Les matériaux commencent à vieillir et se détériorent à cause des agressions externes, des défauts de construction ou d'accidents.
• La maintenance régulière d'un bâtiment est essentielle pour garantir sa viabilité et son bon fonctionnement.
• Le maintien des installations est appelé maintenance, qui vise une opération optimisée et durable.
• Il est nécessaire de signer des contrats de maintenance et de réaliser des travaux d'entretien.

Importance de la rénovation

• Des travaux de rénovation sont nécessaires pour prolonger la durée de vie d'un bâtiment.
• Ces rénovations doivent se conformer aux lois et règlements en vigueur.
• Le responsable technique joue un rôle clé dans les tâches qui assurent la viabilité du bâtiment à long terme.
• Augmenter la valeur d'un bâtiment est un objectif principal de ces interventions.

Conséquences de l'absence de maintenance

• Sans réparations ni actions correctives, la valeur d'un bâtiment peut diminuer jusqu'à devenir inutilisable.
• Ce phénomène est désigné par la perte de valeur patrimoniale et financière.
• La maintenance est donc indispensable pour préserver la valeur et la fonctionnalité d'un bâtiment.

Dégradations des éléments de construction

• Les éléments de construction subissent des dégradations dues au vieillissement normal, aux agressions externes ou à des défauts de construction.

Fondations

• Des erreurs de calcul par l'ingénieur peuvent causer des problèmes structurels.
• Un terrain instable augmente le risque de dégradation.
• La proximité de nouvelles constructions peut affecter la stabilité.

Façades

• Les façades sont affectées par les conditions climatiques comme le soleil, le gel et la pluie.
• La carbonatation du béton et la corrosion des métaux sont des problèmes majeurs.
• La remontée par capillarité entraîne des infiltrations d'eau dans les murs.

Toitures

• Les matériaux de couverture comme les tuiles et ardoises se dégradent sous l'action du soleil et de la pluie.
• Une sous-couverture abimée due à un manque de ventilation favorise l'humidité.
• Les charpentes peuvent être attaquées par des insectes ou des moisissures.

Murs intérieurs

• Les remontées par capillarité provoquent des infiltrations d'humidité.
• L'usure et la salissure entraînent des défauts fonctionnels comme le bruit.
• L'humidité et les moisissures sont souvent dues à des erreurs de conception, notamment les ponts thermiques.

Fenêtres

• Les fenêtres subissent des dégradations similaires aux façades (soleil, gel, pluie).
• La vétusté affecte leur fonctionnement et leur efficacité énergétique.
• Une mauvaise manipulation peut entraîner des dommages importants.

Installations techniques

• Les installations techniques peuvent souffrir de corrosion, d'usure et d'encrassage entraînant des problèmes d'écoulement.
• Une installation inadaptée à l'usage prévu peut réduire l'efficacité.
• La capacité insuffisante, par exemple pour le chauffage, peut causer des inconforts.
• L'obsolescence des équipements techniques nécessite des mises à jour.

Importance des contrats d'entretien

• Les contrats d'entretien garantissent un usage approprié et fonctionnel des installations techniques en tout temps.
• Un entretien régulier réduit le vieillissement, permettant de repousser le remplacement des installations.

Coûts et investissement

• Considérer les coûts d'entretien comme un investissement à moyen et long terme.
• Prévenir des frais importants dus à un manque d'entretien en agissant de manière proactive.

Genre de contrats d'entretien

Obligatoire

• Installation de défense incendie : comme les sprinklers et extincteurs, essentiel pour la sécurité.
• Installation de détection incendie : assure la détection précoce des incendies.
• Exutoire de fumée : évite l'accumulation de fumée lors d'incendies.
• Ascenseur : entretien nécessaire pour la sécurité des utilisateurs.

Recommandé

• Brûleur : entretien requis pour se conformer aux normes et éviter l'obsolescence.
• Toiture : entretien conseillé pour prévenir les fuites d'eau.
• Portes automatisées : entretien suggéré pour éviter des pannes de fonctionnement.

Facultatif

• Curage des canalisations : entretien optionnel pour garantir un bon fonctionnement des systèmes.
• Machines de buanderie : entretien facultatif pour prolonger leur durée de vie.
• Autres installations techniques : comme les pendaiges, entretien recommandé pour assurer une performance optimale.

Types de dégradations

• Les dégradations d’un bâtiment peuvent être dues à des événements non liés à l'usure normale.
• Les influences directes peuvent provenir de divers facteurs tels que :
  • Dégâts d'eau
  • Incendie
  • Vol ou effraction
  • Vandalisme
  • Bris de glace
  • Intempéries et dégâts naturels

Assurance bâtiment

• Les propriétaires de bâtiments doivent conclure des assurances pour se protéger financièrement contre ces différents risques.
• L'assurance bâtiment est calculée sur la valeur incendie de l'immeuble, ce qui influence le montant de la prime annuelle.

Rôle du gérant technique

• En cas de sinistre, le gérant technique doit intervenir rapidement et de manière méthodique.
• Une réaction prompte est essentielle pour limiter les dégâts matériels à l’immeuble.
• L'objectif principal est de garantir une couverture financière pour le propriétaire via la compagnie d'assurance avec laquelle un contrat a été signé.

Obsolescence

• Obsolescence programmée : Création de matériel avec une durée de fonctionnement limitée intégrée.
• Obsolescence : Dépréciation d'un matériel due au progrès technique, pas seulement à l'usure.

Table d'amortissement

• Utile pour réaliser un état des lieux et planifier des travaux de rénovation.

Lois et normes

• Les constructions et rénovations doivent respecter des restrictions aux niveaux fédéral, cantonal et communal.
• OIBT : Ordonnance sur les installations à basse tension.
• AEAI : Association des Etablissements cantonaux de basse tension.
• OFST : Ordonnance Fédérale sur la santé au travail, aborde le diagnostic du radon et de l'amiante.
• MOPEC : Modèle de prescription d'énergie des cantons.
• SiA : Société des Ingénieurs et Architectes.
• SiA118 : Conditions générales pour l'exécution des travaux de construction.
• BPA : Bureau de Prévention des Accidents, sous l'égide de la Suva.
• CECB/CECB+ : Certificat énergétique des bâtiments, lié à l'isolation et au chauffage.

Subventions

• Les subventions se déclinent en trois domaines clés :
  • Aide financière pour les bâtiments construits avant 2000.
  • Soutien aux bâtiments neufs pour améliorer la performance énergétique.
  • Aide à l’installation de chauffage à distance.

Sinistre

• Connaissances nécessaires sur les infiltrations pour recueillir des informations pertinentes.
• Contacter l’entreprise concernée et coordonner les interventions nécessaires.
• Informer l’assurance immobilière du sinistre survenu.

Procédure

• Processus typique en cas de sinistre comprend :
  • Assèchement des locaux affectés.
  • Obtention de devis pour les travaux nécessaires.
  • Réalisation des travaux de réparation ou de rénovation.
  • Clôture du dossier une fois les travaux terminés.

Échelles de représentation

• Un homme et sa figurine

  • Un homme mesurant 1,75 m est représenté par une figurine de 17,5 cm.
  • L'échelle utilisée est de 1/10, ce qui signifie que 10 cm sur la figurine représentent 1 m dans la réalité.

• Distances entre les maisons

  • Deux maisons séparées par une distance de 350 m sont illustrées sur une carte par des points distants de 7 cm.
  • L'échelle de la carte est de 1/5000, impliquant que 1 cm sur la carte équivaut à 50 m dans la réalité.

• Représentation d'un objet

  • Un objet avec un diamètre de 3 mm est affiché comme un cercle ayant un diamètre de 9 cm.
  • L'échelle de ce dessin est de 1/300, ce qui signifie que 1 cm dans la représentation équivaut à 3 mm dans la réalité.

Exercices résolus sur la détermination de l'échelle à partir des mesures réelles et des mesures sur plan. Améliorez vos compétences en mathématiques et en cartographie.