Armée Ahmad al-Khatib, 1975-1982

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Questions and Answers

Quelle était la principale cause de la division verticale entre les Libanais, mentionnée dans le contenu ?

  • La question de la reconstruction de l'armée libanaise.
  • L'ingérence des puissances régionales et internationales.
  • La compétition entre les communautés aidées depuis l'étranger.
  • La présence armée palestinienne au Liban. (correct)

Quel événement a marqué le début de la désintégration de l'« armée libanaise arabe » ?

  • L'assassinat de Joumblatt.
  • La défaite de Joumblatt et d'Arafat contre les forces syriennes.
  • La prise de contrôle de l'armée par Michel Aoun.
  • L'entrée Syrienne dans la Bekaa. (correct)

Quelle était la mission principale de l'avant-garde de l'armée libanaise sous Faheem al-Hajj ?

  • Préparer le terrain pour l'entrée des forces syriennes.
  • Combattre les forces syriennes dans la Bekaa.
  • Assurer la coordination avec l'armée à Tripoli.
  • Servir de refuge aux unités fragmentées et maintenir un commandement unifié. (correct)

Quelles actions Damas a-t-elle entreprises après la nomination de Michel Aoun pour former un gouvernement militaire ?

<p>A rejeté la mesure, délégitimé le gouvernement militaire et soutenu un autre commandant. (D)</p> Signup and view all the answers

Quel était le principal défi pour l'armée libanaise dans le contexte de la reconstruction après la guerre civile ?

<p>Se tenir à l'écart de la compétition entre les communautés et gérer le confessionnalisme. (D)</p> Signup and view all the answers

Quelles étaient les revendications des terroristes basés à Dinniyeh en 2000 ?

<p>Ils cherchaient à créer une enclave sécuritaire menaçant la région environnante. (C)</p> Signup and view all the answers

Quelle action a précipité le déclenchement des hostilités à Dinniyeh en décembre 1999 ?

<p>L'attaque d'une camionnette contre un poste de contrôle tuant des militaires et l'enlèvement du commandant al-Naddaf. (D)</p> Signup and view all the answers

Comment les terroristes à Dinniyeh ont-ils initialement réagi à l'arrivée de la délégation de négociation ?

<p>Ils ont accusé la délégation de collusion avec l'armée et les ont retenus. (D)</p> Signup and view all the answers

Quel était le but initial de la création du camp de Nahr el-Bared en 1949 ?

<p>Héberger des réfugiés palestiniens déplacés du nord de la Palestine. (D)</p> Signup and view all the answers

Quels actes terroristes ont été perpétrés par le groupe Fatah al-Islam avant le début des hostilités à Nahr el-Bared en 2007 ?

<p>Attaques contre des positions de l'armée libanaise, lancements de roquettes vers les territoires occupés, braquages de banques et explosions d'autobus civils. (C)</p> Signup and view all the answers

Quelle stratégie les terroristes de Fatah al-Islam ont-ils adoptée à Nahr el-Bared pour maximiser les pertes militaires ?

<p>Piégeage de tout, y compris des cadavres, entrainant un grand nombre de pertes militaires. (A)</p> Signup and view all the answers

Pourquoi l'armée libanaise a-t-elle eu besoin de bombes de très gros calibre à Nahr el-Bared ?

<p>Pour détruire des cibles terroristes fortement fortifiées. (B)</p> Signup and view all the answers

Quels éléments ont caractérisé le type de terrorisme combattu par l'armée libanaise à Nahr al-Bared selon le texte ?

<p>Un terrorisme impitoyable, dénué d'humanité, avec des ambitions dépassant les frontières des nations et des religions. (D)</p> Signup and view all the answers

Quelle stratégie les terroristes ont-ils adoptée à Nahr el-Bared pour contrer le siège de l'armée libanaise ?

<p>Ils ont utilisé des civils capturés comme boucliers humains. (C)</p> Signup and view all the answers

Quel était le statut d'Ahmad al-Khatib après le ralliement d'Arafat aux Syriens ?

<p>Il a été exclu, voire arrêté, en Syrie. (A)</p> Signup and view all the answers

Que s'est-il passé pour le commandant Saad Haddad après l'effondrement de l'armée libanaise arabe ?

<p>Il a été accusé de collaboration avec Israël et expulsé de l'armée. (C)</p> Signup and view all the answers

Quelle était la situation du Liban après la fin du mandat du président Gemayel en 1988 ?

<p>Deux gouvernements se faisaient face, avec deux armées distinctes. (A)</p> Signup and view all the answers

Quelle a été la première action signalant la lutte de l'armée libanaise contre le terrorisme takfiriste ?

<p>La bataille de Dinniyeh en 2000. (D)</p> Signup and view all the answers

Comment l'armée libanaise a-t-elle réagi au piégeage des bâtiments par les terroristes à Nahr al-Bared ?

<p>Elle a mis au point un explosif de 500 kilogrammes pour détruire les cibles fortement fortifiées. (D)</p> Signup and view all the answers

Quelles lois l'armée libanaise a-t-elle respectées pendant la bataille de Nahr al-Bared contre Fatah al-Islam ?

<p>Le droit international humanitaire et le droit international des droits de l'homme. (B)</p> Signup and view all the answers

Flashcards

1975-1990 : La fracture

Période de division de l'armée libanaise en factions distinctes pendant la guerre civile.

Armée libanaise arabe

Première rébellion par un lieutenant qui proclame une armée distincte de l'armée régulière.

Causes de la division

Division de l'armée libanaise en raison de questions fatidiques, notamment la présence armée palestinienne.

Coup d'État d'Aziz Al-Ahdab

Tentative ratée par le général Aziz Al-Ahdab pour prendre le pouvoir par une déclaration médiatique.

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Armée Fahim El Hage

Formation militaire pro-syrienne créée après l'entrée des forces syriennes au Liban.

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Michel Aoun

Général chargé de former un gouvernement militaire après la fin du mandat de Gemayel.

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Fin des années 1980

Période où deux gouvernements et deux armées rivales existent au Liban.

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Bataille de Dinniyeh (2000)

Début officiel de la lutte de l'armée libanaise contre le terrorisme takfiriste.

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Enlèvement du commandant al-Naddaf

Tactique des militants consistant à enlever des soldats pour forcer des négociations.

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Nahr el-Bared

Camp de réfugiés palestiniens au nord du Liban devenu un bastion pour des éléments extrémistes.

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Fatah al-Islam

Groupe terroriste basé à Nahr el-Bared qui a attaqué l'armée libanaise.

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Stratégie de l'armée libanaise à Nahr el-Bared

L'armée a encerclé le camp, repoussé les terroristes et ensuite les a attaqués dans le camp fortifié.

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Défis à Nahr el-Bared

Défis rencontrés par l'armée libanaise lors des combats de rue à Nahr el-Bared.

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Piégeage terroriste

Tactique des militants consistant à piéger des bâtiments et des corps à Nahr el-Bared.

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État des terroristes en 2007

Diminution du nombre de terroristes à 150 combattants, encerclés.

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2 septembre 2007

Date marquant la fin de la bataille de Nahr al-Bared avec la victoire de l'armée libanaise.

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Terrorisme takfiri

Type de terrorisme dénué d'humanité et inspiré de la religion.

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Soutien de la nation

L'armée est soutenue par un consensus politique et populaire considérable.

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Force étatique

L'armée a renvoyé l'état à son monopole de la violence légitime.

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Boucliers humains

Stratégie des terroristes consistant à utiliser des civils comme boucliers humains à Nahr el-Bared.

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Study Notes

Période 1975-1982

  • Durant cette période de la guerre civile, il existait trois armées principales : l'armée de Yarzé, l'armée Ahmad al Khatib et l'armée Fahim el Hage.

Armée Ahmad El Khatib

  • Une division verticale entre les Libanais s'est formée sur des questions critiques, notamment la présence armée palestinienne au Liban.
  • Certains officiers libanais, soutenant la cause palestinienne, ont mené des rébellions contre la direction de l'armée régulière.
  • Le premier mouvement, dirigé par le lieutenant Ahmad al-Khatib, nommait ses forces rebelles « l'armée libanaise arabe ».
  • La rébellion a débuté dans la nuit du 21 janvier 1976 à Souq Al-Khan-Kawkaba, s'étendant vers le nord où plusieurs casernes, dont Hasbaya et Rashaya, sont tombées aux mains des rebelles.
  • Le 11 mars 1976, les casernes de Tripoli et Youssef Hlayel ont été prises par le lieutenant Ahmed Al-Maamari.
  • Mars 1976 a vu l'effondrement des casernes à El khyam, Marjayoun, Mohammed Zughaib-Saida, Nabatiyeh, Ablah, Benoi Barakat Tyr et Saeed Al-Khatib-Hammana.

Événements de Mars et Juin 1976

  • Le 11 mars 1976, le coup d'État du général Aziz Al-Ahdab fut un mouvement principalement médiatique sans réel impact sur le terrain.
  • Le 1er juin 1976, l'entrée des troupes syriennes dans la Bekaa a entraîné une séparation entre les forces pro-Arafat et les alliés syriens.

Désintégration de l'Armée Libanaise Arabe

  • L'entrée des Syriens a marqué le début de la désintégration de "l'armée libanaise arabe" à cause de la relation entre Al-Assad, Abou Ammar, Ahmed Al-Khatib et Joumblatt.
  • Al-Assad voulait contrôler directement la résistance palestinienne, les partis de gauche et l'armée libanaise arabe.
  • La désintégration de "l'armée libanaise arabe" s'est achevée après la défaite de Joumblatt et d'Arafat face aux forces syriennes.
  • Arafat s'est rallié aux Syriens, Joumblatt a été assassiné, et Elkhatib a été exclu et même arrêté pendant un an et demi.
  • Ahmed al-Khatib est resté dans la caserne hors de la ligne rouge tracée par Israël pour les forces syriennes jusqu'à l'invasion israélienne du 6 juin 1982, date à laquelle il a déménagé à Tripoli.
  • Après l'effondrement de « l'Armée libanaise arabe », l'armée a chargé Lcl Nayef kallas, Cdt Saad haddad et Sami chidiac de rassembler les soldats tout en gardant le commandement de Yarzeh.

Relations de Haddad et l'Ordre d'Expulsion

  • Les relations de Haddad avec Israël ont mené à un ordre de l'armée pour l'expulser et le traduire en justice.

Armée Fahim El Hage

  • L'avant-garde de l'armée libanaise arabe a été formée le 10 septembre 1976.
  • C'était une formation militaire plus alignée sur les Syriens qu'Ahmad al-Khatib, servant de refuge aux officiers et soldats de l'armée libanaise après sa désintégration.
  • L'avant-garde était commandée par des officiers libanais (5 musulmans, 4 chrétiens) et dirigée par le lieutenant-colonel Faheem al-Hajj, un maronite.
  • Sa mission était d'abriter les unités fragmentées et les maintenir sous un commandement unifié, en coordination avec l'armée à Yarzeh, elle a été dissoute le 10 mai 1977 lors de la nomination de Victor Khoury comme commandant.

Période 1988-1990

  • Après la fin du mandat du président Gemayel le 22 septembre 1988, Michel Aoun a été chargé de former un gouvernement militaire.
  • Damas a rejeté cette mesure, délégitimé le gouvernement militaire et a soutenu la nomination d'un autre commandant de l'armée dans les zones sous contrôle syrien.
  • Le général Sami Al-Khatib a été nommé commandant de l'armée par intérim le 9 novembre 1988, suite à une décision du ministre de la Défense Salim Al-Hoss.

Cours 6 et la Réunification de l'Armée en 1990

  • L'objectif est de comprendre la philosophie de la « volonté de vivre ensemble ».
  • Le Liban est devenu un champ de bataille où les puissances régionales et internationales s'affrontent indirectement.
  • L'armée doit éviter la compétition entre communautés soutenues par l'étranger, malgré l'enracinement du confessionnalisme.
  • La reconstruction de l'armée a commencé le 13 octobre 1990, avec la défaite du général Aoun par une coalition dirigée par la Syrie.
  • Depuis fin 1988, deux gouvernements et armées se sont opposés, atteignant un point bas pendant la guerre civile.
  • En 1998, l'accession du général Lahoud à la présidence marque l'achèvement de la reconstruction de l'armée.
  • Reconstruire une armée nationale est essentiel pour éviter la reprise des hostilités et rétablir la paix et la sécurité.
  • Il est impératif de restituer à l'État son monopole sur la violence légitime et de redéfinir les missions des forces armées.

Contexte de l'Armée Libanaise après la Guerre Civile

  • Le Liban était sous influence étrangère, notamment syrienne, et une partie de son territoire, la zone de sécurité du sud, était contrôlée par Israël.
  • L'État libanais et son armée n'ont pas bénéficié des aides internationales typiques d'une sortie de guerre civile.
  • Il n'y avait pas de force multinationale pour séparer les belligérants ou rétablir la sécurité, et l'armée n'a pas bénéficié d'expertise internationale pour sa reconstruction.

Cours 7: La Bataille de Dinniyeh en 2000

  • La bataille de Dinniyeh en 2000 a marqué le début de la lutte contre le terrorisme takfiriste, dont les premières manifestations armées remontent aux années 1970.
  • Des éléments extrémistes ont tenté de plonger le pays dans le chaos dans le nord de Dinniyeh.

Début des Hostilités

  • Le 24 octobre 1999, une église à Tripoli a été attaquée à la dynamite, conduisant à l'arrestation puis à la libération de plusieurs islamistes.
  • En novembre, une autre église a été attaquée, incitant l'armée à mener des raids qui ont poussé des suspects à fuir vers Jurd al-Njas, où ils ont été rejoints par d'autres, atteignant 150 personnes pendant le Ramadan.
  • Les leaders de ces groupes étaient Bassam Kanj, Abdel Hakim al-Jazzar et Abdullah Hazim.

Tentatives de Négociation

  • Des rumeurs concernant les préparatifs des militants ont conduit à des efforts pour éviter une confrontation avec l'armée.
  • Une délégation composée de chefs religieux, dont Khaled Daher et Bilal Shaaban, a été formée pour convaincre les militants de se rendre aux autorités libanaises à Jurd al-Njas.
  • Les négociations ont été interrompues après un ultimatum de l'armée.

Déclenchement des Hostilités

  • Le 31 décembre 1999, la délégation a repris ses rencontres avec les militants, tandis que l'armée mettait en œuvre un plan de sécurité.
  • Une camionnette dirigée par Bassam Kanj a attaqué un point de contrôle de l'armée à Aassoun, tuant quatre soldats et enlevant le commandant Milad al-Naddaf.
  • Hazim a accusé Daher de collusion avec l'armée, menant à la rétention de la délégation et à la confiscation de leurs équipements.
  • Les négociations ont échoué, et l'armée a lancé une opération militaire.

Début 2000

  • Les montagnes et villages environnants ont été le théâtre d'une bataille acharnée, remportée par l'armée au prix de onze martyrs.
  • L'armée a envoyé des commandos pour bloquer les terroristes à Jabal al-Arbaeen et Jurd al-Ijas.
  • Al-Naddaf a été informé de la présence d'une camionnette suspecte avec un homme armé près de la radio du Coran à Aassoun.
  • Al-Naddaf et six soldats ont été pris dans une embuscade, tuant quatre soldats, et Al-Naddaf et le soldat Mohammed Mleiss ont été capturés.

Suite des Événements

  • Les assaillants se sont retirés vers les hauteurs de Dinniyeh.
  • Des renforts ont été envoyés mais les assaillants avaient déjà quitté les lieux.
  • Les terroristes ont tenté de se diriger vers Aïn es-Samak le 2 janvier 2000, capturant le gardien d'une carrière pour obtenir des directions.
  • Ils ont fini par atteindre Kfarhabou après que le gardien ait alerté les villageois et ont tué une femme et sa mère.
  • Mleiss s'est échappé, les terroristes ont refusé de se rendre, et des négociations locales ont échoué.
  • La famille de Naddaf et l'armée ont refusé un échange.
  • La famille du commandant Naddaf a été informée de sa mort, et sept assaillants ont été capturés.

Arrestations et Jugement

  • Les terroristes étaient entraînés pour combattre Israël.
  • Ils ont été emprisonnés jusqu'en 2005, puis libérés en vertu d'une loi d'amnistie.
  • Le courage des soldats tombés au combat reste dans la mémoire collective libanaise.

Cours 8: La Bataille de Nahr el-Bared

Contexte et Circonstances

  • Le camp de Nahr el-Bared, situé au nord du Liban, est le deuxième plus grand camp de réfugiés palestiniens, établi en 1949 par la Croix-Rouge.
  • Fin novembre 2006, des éléments affiliés à "Fatah al-Islam", adoptant une idéologie extrémiste, se sont infiltrés dans le camp.

Déclenchement et Déroulement de la Bataille

  • Avant le 20 mai 2007, le groupe avait commis des attaques contre l'armée, lancé des roquettes et braqué des banques.
  • Des affrontements ont éclaté le 19 mai 2007, lorsque des membres de Fatah al-Islam ont attaqué une banque à Amioun.
  • Les forces de sécurité ont attaqué des appartements à Tripoli le 20 mai 2007, tuant dix terroristes et saisissant des armes.
  • En représailles, Fatah al-Islam a attaqué des postes de l'armée et des bus civils, causant la mort d'un officier et de 22 soldats.

Mobilisation de l'Armée Libanaise

  • L'armée, soutenue par un consensus national, s'est mobilisée pour éliminer la sédition.
  • Des habitants d'Abdeh ont offert leurs maisons aux militaires.
  • L'armée a encerclé le camp, a repoussé les terroristes à l'intérieur, et a défini les limites de la bataille.

Défis et Conditions de Combat

  • L'armée a affronté des conditions difficiles, notamment des combats dans des ruelles étroites, et a dû respecter les lois nationales et internationales en matière de conflits armés.
  • Les terroristes utilisaient les civils comme boucliers humains.
  • Les terroristes de Fatah al-Islam contrôlaient trois positions fortifiées dans le camp.

Position Samid

  • Proche de la mer
  • Superficie de 1 000 mètres carrés
  • Protégée par des barricades en béton armé
  • Dotée de trois entrées

Bâtiment du Comité Populaire

  • Situé à l'entrée principale nord du camp

Bureau de Fatah al-Intifada

  • Situé dans la rue principale du camp

Stratégies et Tactiques Militaires

  • Malgré les difficultés, l'armée a persisté et les terroristes se sont repliés vers le centre du camp.
  • Les terroristes ont tiré profit de leur expérience en matière de piégeage, y compris des cadavres.
  • Six militaires du génie ont été tués en tentant de désamorcer des explosifs.
  • L'armée a utilisé une bombe de 500 kilogrammes pour détruire les cibles fortifiées.
  • Le 24 juillet, le nombre de terroristes avait diminué à 150, encerclés dans une zone de 40 000 mètres carrés.
  • Les terroristes ont tiré des roquettes sur des zones résidentielles et ont refusé d'évacuer leurs familles.
  • Les terroristes ont adopté des opérations de sniper mobiles pour éviter d'être ciblés.

Fin de la Bataille

  • Au début du mois d'août, la fin de l'organisation terroriste était inévitable.
  • Une attaque désespérée contre les unités de l'armée a échoué.
  • Des combattants, dont Shaker al-Absi, ont réussi à s'échapper.
  • L'armée a annoncé la fin des opérations.

Résultats de la Bataille

  • Débutée le 20 mai 2007 et s'est terminée avec la victoire le 2 septembre 2007
  • 168 martyrs, dont 14 officiers
  • Ce type de terrorisme est impitoyable, dénué d'humanité, avec des ambitions dépassant les frontières des nations et des religions, animé par des instincts dictatoriaux sauvages sous le couvert de la religion, alors que les religions sont innocentes de lui et de ses slogans.
  • L'armée a accompli son devoir malgré des moyens et des ressources modestes.
  • Un grand nombre de terroristes ont été tués et les survivants se sont enfuis hors du camp.
  • La fortification des terroristes dans les bâtiments et installations civiles ont causé une destruction massive.
  • L'armée a respecté le droit international humanitaire, comme prouvé par l'évacuation des familles des terroristes.

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