Analyse du livre 'La mère'

Un objet brillant et mystérieux trouvé par le narrateur, qui semble provenir d'un royaume invisible.

Le lieu où le narrateur range ses objets précieux et/ou mystérieux.

Le lieu où le narrateur apprend le Coran avec d'autres enfants.

Une baguette utilisée par le maître d'école pour maintenir l'ordre.

L'action répétée par les élèves pour apprendre leurs leçons, en cognant sur une planchette de bois.

La tache de lumière qui se déplace sur le mur de la salle d'école.

Le bruit des enfants apprenant le Coran.

La première sourate du Coran.

L'auteur était protégé des obstacles et dangers par ses deux guides.

L'environnement urbain était chaotique, confus et plein d'obstacles.

Le narrateur était constamment obligé de changer de direction pour éviter les obstacles.

Le narateur était fasciné par les objets en sucre et les comparait à ses trésors.

Les objets en sucre perdaient rapidement leur attrait et devenaient insignifiants.

Le narrateur était captivé par les sons et les activités du marché.

Le cimetière était situé à proximité de la ville et proposait des produits liés à la mort et à la vie.

Le narrateur a ressenti un sentiment de joie à l'arrivée au cimetière.

Une femme puissante et mystérieuse qui inspirait la crainte et le respect.

Quelque chose de mystérieux et de difficile à comprendre, comme la beauté des reines.

Se réfère à des reines qui détiennent des pouvoirs surnaturels et protègent la justice.

Décrit les yeux de tante Kanza, qui étaient fascinants et imposants.

Le narrateur croyait que tante Kanza pouvait communiquer avec les esprits.

Le narrateur pensait que vivre avec tante Kanza était un privilège.

La phrase que Moulay Larbi utilisait pour annoncer son arrivée.

Décrit le moment où Moulay Larbi et sa femme sont entrés dans la pièce et ont parlé à la mère du narrateur.

La manière dont une personne est habillée et son apparence générale.

Célébration d'un mariage dans la culture marocaine.

Un événement ou une situation qui cause de la confusion ou de la tension.

Éloge et compliment sur l'apparence physique.

Qualité ou des traits physiques qui suscitent l'admiration et le plaisir.

Des expressions faciales qui transmettent des émotions.

Un point de vue subjectif sur les critères de beauté.

L'acte de percevoir la beauté mais de ne pas pouvoir l'exprimer avec précision.

Le père du narrateur est indifférent aux propos de sa femme qui souhaite une lampe à pétrole pour éclairer la pièce.

Le narrateur admire la capacité de sa mère à persuader son père.

Le narrateur rêve d'une flamme blanche qu'il capture dans un cabochon de verre.

Une lampe à pétrole, identique à celle du voisin, est accrochée au mur de la chambre du narrateur.

Driss, le teigneux, a apporté à la mère du narrateur une lampe à pétrole, de l'huile et un entonnoir.

Le narrateur est heureux et surpris de découvrir une lampe à pétrole dans sa chambre.

La lampe à pétrole apporte une lumière nouvelle dans la pièce du narrateur.

Le narrateur se précipite pour accueillir son père et lui témoigne son affection.

Un bain maure était un endroit public où les femmes se réunissaient pour se baigner, se laver, se socialiser et partager des nouvelles.

Le bain maure était un lieu de potins et de commérages. Les femmes y partageaient des nouvelles et des informations sur les autres, parfois même des secrets.

Les femmes au bain maure chuchotèrent des nouvelles sur les autres femmes du quartier, leurs actions et leurs paroles.

Des disputes physiques pouvaient parfois éclater au bain maure, ce qui créait beaucoup d'histoires et de discussions.

La mère de l'auteur aimait mimer ces disputes avec un grand enthousiasme, créant des spectacles divertissants pour les femmes du quartier.

La mère de l'auteur était souvent en colère ou triste le soir, même si elle avait été joyeuse le matin. Ses humeurs changeaient rapidement.

Le père de l'auteur rentrait toujours tard et se retrouvait souvent à écouter les histoires de la mère de l'auteur, qui étaient souvent pleines de drame et de négativité.

La mère de l'auteur était très stricte sur le jour où laver son linge. Elle était contrariée quand Rahma a tenté de laver son linge un lundi, un jour qui lui était réservé.