Partiels S1 - Processus de décision du consommateur PDF

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This document provides an overview of the concepts of opportunity cost and marginal analysis in economics. It discusses how consumers make decisions facing scarcity. The text highlights the role of the consumer in economic systems and emphasizes rational choices based on benefits and costs.

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Partiels S1 : Processus de décision du consommateur THÈME 1 : LES ARBITRAGES Science économique : gestion des ressources rares face à des besoins illimités L’éco = la science des choix (= arbitrages) Processus de décision : agents éco = rationnels Pourquoi les arbitrages ? Tous les individus font...

Partiels S1 : Processus de décision du consommateur THÈME 1 : LES ARBITRAGES Science économique : gestion des ressources rares face à des besoins illimités L’éco = la science des choix (= arbitrages) Processus de décision : agents éco = rationnels Pourquoi les arbitrages ? Tous les individus font face à choix donc toutes actions qu’1 individu effectue = conséquence d’un choix Ex : Consommateur (regarder télé) ; entrepreneur (investir) ; gvt (augmenter les impôts) 1. Coût d’opportunité Analyse coûts/avantages Individus qui font face à des arbitrages doivent prendre 1 décision => comparer les coûts et avantages (bénéfices) de chaque alternative Les avantages peuvent se mesurer de ≠ manière : financiers, utilité (bien-être), sociaux… Les coûts peuvent être de ≠ natures : monétaires, désutilité, temps passé … → Agent éco rationnel calcule donc les coûts/avantages de chaque alternative avant de prendre sa décision Choisir = renoncer : 1 arbitrage implique 1 sacrifice / l’économiste choisit la meilleure alternative et renonce aux autres / il intègre ce coût dans le calcul = coût d’opportunité Coût d’opportunité = coût de renonciation à la meilleure alternative Ex : décision d’étudier à IESEG - Avantages : enrichissement intellectuel, qualité de formation, opportunités pro - Coûts monétaires : frais de scolarité, coûts de logistique (logement), livres… - Coût d’opportunité : avantages d’une autre formation (ex : s’insérer directement dans le monde du L) 2. Raisonnement à la marge Individu prend 1 décision mais c’est rarement « tt blanc ou tt noir » Dans tout choix, l’individu raisonne à la marge (=effectue des ajustements de faible ampleur de son plan d’action = variations marginales) Calcul marginal : lorsque cherche à modéliser le comportement éco rationnel, on a très svt recours au calcul à la marge Utilité marginale : pour le conso = utilité supplémentaire obtenue en consommant 1 unité supplémentaire d’un bien Ex : utilité marginale d’un verre d’eau : forte ou faible ? tout dépend de si on a soif ou pas Productivité marginale : pour le producteur d’1 bien, cela représente la prod supplémentaire obtenue en utilisant une unité de travail (1h par ex) supplémentaire Ex : production marginale d’un salarié => 8 unités : productivité marginale du salarié = 8 2 => 15: 7 et 3 => 22 : 6 ATTENTION : valeur moyenne (=chaque unité) ≠ valeur marginale (=la dernière unité) Synthèse : Les agents éco agissent de façon rationnelle. Pour prendre 1 décision, ils recensent d’abord toutes les alternatives. Ils effectuent 1 analyse coût/avantages pour chacune d’entre elles. Ils n’oublient pas le coût d’opportunité. Ils choisissent l’alternative pour laquelle le calcul coûts/bénéfices = le + avantageux, en intégrant le coût d’opportunité. 3. Les incitations Rôle : éco étudie quelles sont incitations ( = ce qui pousse chacun à agir ou non et dans quel sens) & conséquences des incitations Agents comparent les bénéfices et coûts systématiquement MAIS certains choix effets pervers = engendrer des comportements = ni attendus ni recherchés Pourquoi les incitations existent ? Le processus de décision que nous venons de présenter repose sur l'hypothèse que les individus = rationnels, et qu’ils sont libres de choisir les alternatives qu’ils souhaitent Parfois agents éco peuvent avoir 1 intérêt à modif choix optimaux des indi = incitations Ex incitations : publicité Conséquences indésirables : dans le cas des incitations qui trouvent leur origine dans les pol publiques, parfois aboutissent à effets contraires à ceux attendus = conséquence indésirable (ou effet pervers) Ex : pour réduire pollution, le gvt impose des quotas d’émissions de CO2 : certaines E qui polluent – que le quota désormais vont polluer plus puisqu’elles ont le droit Pour conclure, le conso = agent est à l'origine de la D sur le marché des B&S. Il a un revenu limité mais des besoins illimités et souhaitent donc consommer bcp de biens pour maximiser son utilité → arbitrages nécessaires THÈME 2 : LA CONTRAINTE BUDGÉTAIRE DU CONSOMMATEUR Objectif : étudier les ressources limitées du consommateur et ce qu’il va en faire = contrainte budgétaire du consommateur Le consommateur = 1 agent éco qui utilise son revenu afin de consommer des B&S qu’il achètera dans le but de maximiser son bien-être (= son utilité) Comme tout agent éco rationnel, conso = confronté au pb de rareté et se doit d’élaborer le processus de décision. La contrainte du consommateur représente ce que le consommateur va pouvoir consommer. 1. Le Modèle Lorsque l’on établit 1 modèle = fondamental de comprendre la diff entre - Variables exogènes ou paramètres : leur valeur n’est pas déterminée par modèle et est donnée dans l'énoncé (ex : revenu et prix) - Variables endogènes ou variables de choix : leur valeur = déterminée par ce modèle, ce sont donc des inconnues (quantité de nourriture et de vêtement) Contrainte budgétaire : les couples (QV ; QN) forment un « panier de bien » Qv x Pv + Qn x Pn =< R 2. La droite de budget Aucun intérêt à garder une partie de son revenu sous forme d’épargne à la fin de sa période de choix. La seule chose qui lui procure du bonheur (utilité) = conso de bien Ex : Qn = 30 - 2Qv / 30 = ordonnée à l'origine et -2 = coeff directeur donc pente Équation de droite de budget ou contrainte budgétaire saturée Droite de budget relie tous paniers de biens qui épuisent le revenu du conso 2 inconnues (Qv et Qn) et 3 paramètres (R, Pv et Pn) dont les valeurs = données Droite de budget et pouvoir d’achat : triangle vert = ensemble des paniers de biens accessibles pour le conso = bloc d’opportunité = revenu R Revenu nominal = valeur de la variable R = nmb qui est écrit sur votre fiche de paie ≠ Revenu réel = représente ce que vs pouvez acheter avec votre revenu nominal et compte tenu des prix = pv d’achat Pente = t(x) d’échange des 2 biens tel qu’il s’impose (contrainte) au conso en raison conditions de marché (P) : appelle parfois t(x) marginal de substitution à échange Pente = - Px / Py Au signe près, il s’agit du prix relatif du produit X en termes du produit Y. Il s'agit du nmb d’unités de produit Y que le conso doit céder pour obtenir 1 unité de X. 3. Les éléments caractéristiques de la droite du budget Ordonné à l’origine = R/Py : quantité du produit Y maximale que le consommateur peut acheter en dépensant tout son revenu Abscisse à l’origine = R/Px : quantité du produit X maximale que le consommateur … 4. Les effets d’une variation du revenu Augmentation du revenu nominal déplace la droite de budget // vers la droite. Diminution du revenu nominal déplace la droite de budget // vers la gauche. 5. Les effets d’une variation du prix d’un des biens Augmentation du P du bien X fait pivoter droite de budget dans sens des aiguilles d’une montre autour de l'ordonnée à l'origine : conso a accès à - de paniers Baisse du P du bien X fait pivoter droite de budget dans sens inverse des aiguilles d’une montre autour de l'ordonnée à l'origine : conso a accès à + de paniers Modification des prix : 1) Lorsque le P augmente, le conso peut consommer moins de ce bien (pas obligé) cependant ça ne modifie pas la Qmax qu’il peut conso de l’autre bien => conso a – de pv d’achat 2) Lorsque prix d’un bien augmente, prix relatif (= taux d’échange) des 2 biens = modif : soit il augmente soit diminué : ça dep du P qui est affecté / dans tous les cas, il en résulte une modif de la pente de la droite de budget : soit elle augmente (droite = + verticale) soit elle diminue (droite = + plate) THÈME 3 : LES PRÉFÉRENCES DU CONSOMMATEUR Objectif : modéliser préférences du conso : décrire équations/graphiques goûts d’un conso 1. L’utilité Une mesure de la satisfaction des consommateurs Utilité = une grandeur ordinale (a valeur que par // à sa position au sein du classement) Les différentes hypothèses : Plus le conso a de bien, plus il est satisfait : donc le conso en veut toujours plus. Fonction stt croissante. (MAIS on peut se lasser, plus la même satisfaction) Chaque unité supplémentaire consommée nous apporte de l’utilité mais moins que la précédente (SAUF pour les biens addictifs) = l’hypothèse de l’utilité marginale positive et décroissante. 2 hypothèses nous permettent de représenter graphiquement l’utilité totale d’un bien. On en conclut que l’utilité totale d’un bien est croissante mais de moins en moins au fur et à mesure que l’on consomme le bien. Cette courbe est croissante et concave. Utilité marginale se déf comme l’utilité apportée par la conso d’une unité de bien suppl. Def proche de celle de dérivée. Utilité marginale = dérivée de fonction d’utilité totale. Si l’utilité marginale est positive alors l’utilité totale est croissante Si l’utilité marginale est décroissante alors l’utilité totale est concave. 2. Les courbes d’indifférence La courbe d’indifférence rassemble tous les paniers qui apportent au conso le même niveau d’utilité. Propriété 1 : les courbes d’indifférence sont décroissantes. Sur courbe d’indifférence, tous paniers procurent au conso même niveau d’utilité. Pour que utilité soit constante, si on consomme - d’un bien, il faut consommer + de l’autre. D’où la relation décroissante entre les Q de chacun des 2 biens = l’idée de sacrifice. La pente nous donne alors un t(x) de sacrifice. Propriété 2 : les courbes d’indifférence ne peuvent se croiser Pour mener à bien cette démonstration nous avons utilisé l'axiome de transitivité. Propriété 3 : plus 1 courbe d’indifférence est éloignée de l’origine plus elle représente un niveau d'utilité élevé (car plus on a de quantité de produits) Propriété 4 : les courbes d’indifférence sont convexes La pente d’une courbe se mesure en faisant le rapport de variation de la variable de l’axe des ordonnées sur la variation de la variable de l’axe des abscisses. TMS : Il faut s’attarder sur cette dernière propriété qui est très importante. Pente de courbe d’indifférence représente la Q de nourriture que le consommateur est prêt à céder pour obtenir une unité de vêtement supplémentaire, sans modifier son niveau d’utilité. On appelle cette pente le taux marginal de substitution (tout court (TMS), ou parfois le taux marginal de substitution dans les préférences (TMSP)). Faut pas confondre t(x) marginal de substitution dans préf (TMSP, pente de courbe d’indiff) et t(x) marginal de substitution à l’échange (TMSE, pente de droite de budget). TMSP mesure bien une volonté du consommateur : c’est ce qu’il est prêt à faire, en fonction de ses préférences, de ses goûts. Pas d’idée de contrainte, contrairement au TMSE dont la valeur = dictée que par variables qui s'imposent au consommateur (prix) La décroissance du TMS : propriété 4 concerne la convexité des courbes d’indifférence qui elle-même est le reflet de la décroissance du TMS = + consommateur possède de vêtements, moins il est prêt à sacrifier de la nourriture contre une unité supplémentaire de vêtements. Face à 2 biens, bcp de consommateurs souhaitent obtenir « un peu de deux » = goût pour la diversité. Cette décroissance du TMS = aussi reflet de décroissance des utilités marginales : TMS se déf math comme opposé du rapport utilités marginales : TMS = - Um QV / Um Qn 3. La carte d’indifférence et la fonction d'utilité : On peut tracer infinité de courbes d’indifférence, chacune représentant un niveau d’utilité qui lui = propre. Appelle représentation graphique : cartographie des préférences du conso (ou carte d’indifférence). Elle permet, pour chaque panier de bien, d’identifier : paniers qui lui sont préférés/non préférés, paniers pour lesquels le conso est indifférent (ceux situés sur même courbe d’indifférence). Ainsi tout panier de biens peut être placé sur courbe d’indifférence et peut donc être comparé à autre panier de biens. La fonction d'utilité : 1 fonction math qui montrent comment les Q conso de chacun des deux biens (paniers de biens) déterminent l’utilité totale du conso. La formule générique est : U = f (QV ; QN) = ( QV )^alfa x ( QN )^beta (U = utilité totale / f = fonction d'utilité). Conclusion : Convient à présent de combiner cette représentation des pref avec contrainte budg pour déterminer manière dont l’indi va choisir LE panier de biens optimal. THÈME 4 : L’OPTIMUM DU CONSOMMATEUR 1. Le programme du consommateur Contient 2 éléments : 1 objectif + 1 contrainte - Objectif du consommateur est simple : souhaite être le + heureux possible = maximiser son utilité / 1 seul moyen : consommer le maximum de B&S - Contrainte du consommateur = contrainte budgétaire : s’exprime de façon saturée = conso va dépenser tt son budget (aucun intérêt à garder du revenu inutilisé à la fin puisque, c’est la conso de B&S qui procure au conso de l’utilité) Ecriture mathématique : Fonction objectif : consommateur cherche à maximiser son utilité, faut donc maximiser f(x) d’utilité du consommateur : max (Qn; Qv en dessous) U (Qn ; Qv) Fonction contrainte : s’agit contrainte de budget saturée : Qv x Pv + Qn x Pn = R Le programme du consommateur s’écrit alors : (max (Qn; Qv en dessous) U (Qn;Qv) (s.c. Qv x Pv + Qn x Pn = R Interprétation éco du programme : Fonction d’utilité = stt croissante avec quantités de chacun des 2 biens / consommateur veut maximiser son utilité = vouloir consommer des paniers de biens constitués de la quantité maximale de nourriture et de vêtement Quantités de biens représentent variables de choix du consommateur : consommateur ne décide pas directement du niveau d’utilité qu’il souhaite atteindre, mais des Q de biens qu’il va consommer donc impact sur sa satisfaction globale / en absence de contrainte, le conso souhaiterait donc conso sur Q infinie des deux biens (besoins = illimités !) MAIS le consommateur fait face à la rareté de ses ressources. Cette contrainte s’exprime ici en termes budgétaires : peut pas consommer une Q infinie de biens puisqu’il est contraint par son pouvoir d’achat càd le niveau de son revenu et niveau des prix 2. Résolution graphique Une courbe d’indifférence relie tous les paniers de biens qui procurent au consommateur le même niveau d’utilité Plus une courbe d’indifférence = éloignée de origine, + elle représente un niveau d’utilité élevé : consommateur va chercher à atteindre la courbe d’indifférence la plus éloignée de origine Rappel : Contrainte budgétaire Borne les possibilités de consommation de agent. La combinaison du revenu nominal et des prix fixe le revenu réel du consommateur (pouvoir achat). Les seuls paniers qui lui sont accessibles = ceux qui sont compris dans le triangle décrit par la contrainte budgétaire avec R/Pn et R/Pv Contrainte budgétaire limite les choix du consommateur Même si lui-même souhaite atteindre la courbe d’indifférence la + élevée possible, il ne peut plus le faire s’il a une contrainte budgétaire à respecter Le panier optimal : celui qui maximise l’utilité du consommateur donc cherche la courbe d’indifférence la + élevée possible Le panier de biens optimal se situe au point où la courbe d’indifférence = tangente à la droite du budget (= 1 point où les courbes ont la même pente) Point de tangence = point où le prix relatif des vêtements (pente de droite de budget) = au t(x) marginal de substitution (rapport des utilités marginales, pente de courbe d’inférence) - Pv/Pn = -Umv/Umn → Condition d’optimalité L’optimum : interprétation économique : - Pv / Pn : pente de la droite de budget représente la quantité de nourriture que le consommateur doit sacrifier pour obtenir une unité de vêtement supplémentaire (P) - UmV/UmN : pente de courbe d’indifférence représente Q de nourriture que le conso est prêt à sacrifier pour obtenir 1 unité de vêtement supp, à utilité constante Le conso maximise son utilité quand son propre taux de sacrifice = taux de sacrifice du marché. Quand les pref du conso “correspondent”aux conditions du marché, = à l’optimum 3. La résolution mathématique Méthodologie de résolution : 1° Ecriture du programme du consommateur (max (Qn; Qv en dessous) U (Qn;Qv) (s.c. Qv x Pv + Qn x Pn = R 2° Ecriture de condition d'optimalité - Pv/Pn = -Umv/Umv → Condition d’optimalité Terme de gauche = connu puisque prix = donnés dans enoncé Terme de droite (TMS) devra être calculé à partir de fonction d’utilité (utilités marginales correspondent aux dérivées partielles de cette fonction) Une fois utilités marginales calculées, condition d’optimalité ne dépendra que quantités de chacun des 2 biens (exprimera la quantité de v en f(x) de la quantité de n ou inversement) 3° Résolution du système pour déterminer quantités optimales (Condition d’optimalité (Qv x Pv + Qn x Pn = R La résolution du système aboutira aux quantités optimales Qv et Qn qui constituent le panier E / Optimum du consommateur = identifié / si on veut connaître utilité atteinte par consommateur à optimum, suffit d’intégrer Qv et Qn dans la fonction d’utilité THÈME 5 : DE LA DEMANDE INDIVIDUELLE… Objectif : Faire le lien entre la théorie du conso et la loi de la D afin de comprendre comment une courbe de D = construite (lien entre Q consommées d’un bien et son prix). Analyser les deux autres déterminants de la demande d’un bien et son prix). Analyser comment se modifie le panier optimal du conso quand P et revenu évolue Bien normal : bien pour lequel élasticité revenu = positive : lorsque revenu augmente la consommation augmente Bien inférieur : bien pour lequel élasticité revenu = négative : revenu augmente et conso diminue Bien GIFFEN : lorsque prix du bien augmente, la conso augmente + respecte pas loi de D 1. Modification du revenu Contrainte budgétaire varie quand le revenu nominal varie ⇒ Des augmentations du revenu nominal déplacent la droite de budget // vers la droite ⇒ Des diminutions du revenu nominal déplacent la droite de budget // vers la gauche Retour sur contrainte budgétaire : Hausse de revenu nom déplacent contrainte budg vers la droite = revenu R du conso augmente : accès à des paniers de biens auxquels il n’avait pas accès (à inverse : baisses de revenu nom déplacent contrainte budg vers gauche : paniers deviennent inaccessibles) Panier optimal : constitué de + d’au - 1 des 2 biens = axiome de non satiété des pref Augmentation du revenu : Analyse graphique : Augmentation du revenu entraîne une augmentation de la quantité consommé de nourriture / nourriture et vêtement = biens normaux Le nouveau panier optimal permet au consommateur d’atteindre un niveau d’utilité + élevé (I2 > I1) : on parle de sentier d’expansion du revenu Effets : Lorsque revenu augmente, consommateur choisit 1 nouveau panier de biens optimal Si les 2 biens = normaux : nv panier sera constituée d’une Q sup de chacun des 2 biens Ce nouveau panier permet au consommateur d’atteindre un niveau d’utilité + élevé Courbe revenu-conso qui relie paniers optimaux pour ≠ niveaux de revenu = croissante Pour mieux représenter évolution de la consommation d’un bien quand le revenu augmente, peut tracer la courbe d’Engel Sentier d’expansion du revenu représente évolution de la Q des 2 biens lorsque le revenu augmente / permet de tracer la courbe d’Engel La Courbe d’Engel (vêtements) : relie la quantité (optimale) demandée d’un bien au revenu du consommateur / permet d’illustrer une variation du revenu affecte la demande Lorsque bien est normal, courbe d’Engel pour ce bien = croissante : càd lorsque revenu augmente, demande pour ce bien augmente Pour certains biens, biens inférieurs, courbe d’Engel peut être décroissante : càd lorsque revenu augmente, D pour ce bien diminue (ex : souvent biens “premier prix”) Synthèse : La variation de revenu impactent le choix du consommateur en modifiant sa contrainte budgétaire et modifient donc les quantités demandées des 2 biens du panier Dans ts les cas, 1 hausse du revenu nom permet atteindre 1 utilité + élevée (et vice versa) Une augmentation du revenu entraîne 1 augmentation de la demande des biens normaux (sentier d’expansion du revenu et courbe d’Engel croissants) et une baisse de demande des biens inférieurs (sentier d’expansion du revenu et courbe d’Engel décroissants) 2. Modification du prix Retour sur la loi de la demande : Lorsque P d’un bien diminue (augmente) la Q demandée de ce bien augmente (diminue) / ceteris paribus « toutes choses étant = par ailleurs » Modèle à deux biens : 4 cas possibles - Augmentation du prix des vêtements (abscisse) fait pivoter droite de budget dans sens des aiguilles d’une montre autour de l’ordonnée à l'origine : - vêtements - Baisse du prix des vêtements (abscisse) fait pivoter droite de budget dans sens inverse des aiguilles d’une montre autour de l’ordonné à l'origine : + vêtements - Augmentation du prix de nourriture (ordonné) fait pivoter la droite de budget dans sens inverse aiguilles d’une montre autour de abscisse à origine : - nourriture - Baisse du prix de nourriture (ordonné) fait pivoter la droite de budget dans sens des aiguilles d’une montre autour de abscisse à l'origine : + nourriture Cas d’une baisse du P des vêtements : Étudier impact d’une baisse du P des v sur D de v Courbe qui relie paniers de biens optimaux quand P d’un des biens se mod s’appelle sentier d’expansion du prix Courbe : croissante ou décroissante : quand prix d’un bien se réduit ⇒ entraîne différents effets qui peuvent aller dans des sens opposées Baisse du P du bien X provoque une rotation de contrainte autour de l'ordonnée à l'origine Courbe de demande individuelle : pour un bien découle directement du choix optimal du choix optimal du consommateur Variation du prix modifie la contrainte budgétaire du consommateur, ce qui modifie le panier de bien optimal choisi, sans que les préférence ne se modifient pour autant Chaque point de courbe de demande individuelle maximise l’utilité du consommateur Certains biens très particuliers ne respectent pas la loi de la demande : biens GIFFEN 3. Décomposition de l’effet prix : effet revenu et effet substitution Impact d’une variation du prix : Loi de la demande semble tout à fait logique. Pour autant quand P des vêtements baisse par ex, cela augmente revenu R du conso (son pouvoir d'achat). En réalité, effet d’une variation cache effets théoriques qui apportent de précieuses info sur nature des biens Effet prix peut être décomposé en 2 effets théoriques distincts Effet de substitution Effet revenu Bien normal / Pv augmente Hausse de P modif P relatif Hausse de Pv réduit revenu Conso atteinte un nouvel des vêtements car réel (donc satisfaction du optimum (panier optimal) : deviennent + chers conso) : consommateur consomme - de vêtements relativement à nourriture achète - vêtements si bien Donc consommer + normal Nourriture que vêtements (si 2 bien substituables) Bien inférieur non GIFFEN Fait que vêtement = 1 bien Hausse de Pv réduit le / Pv augmente inférieur ça change rien au revenu réel, ce qui pousse caractère substituables des conso acheté + vêtements 2 biens donc comme pour si bien inférieur un bien normal Bien inférieur et GIFFEN / Fait que vêtement = 1 bien Comme pour bien Pv augmente GIFFEN ça change rien au inférieur non GIFFEN caractère substituables des 2 biens donc comme pour un bien normal Effet revenu / Effet substitution : La baisse du P d’un bien normal rend ce bien relativement - cher, ce qui pousse le conso à en consommer davantage et à réduire la conso des biens qui lui sont substituables (effet substitution). Mais cette baisse de prix entraîne également 1 hausse du revenu réel, qui pousse le conso à consommer plus de chaque bien normal (effet revenu) Importance de l'effet substitution dépend du degré de substituabilité entre 2 biens CONCLUSION : Courbe de demande individuelle rien d’autre que l'expression de maximisation d' utilité du consommateur : pour chaque niveau de prix, le consommateur réitère le processus de décision (maximisation de son utilité sous contrainte budgétaire) afin de déterminer quantité optimale de bien qu’il souhaite demander sur le marché Effets d’une variation de P = complexes et que impact sur D dépend de 2 effets théoriques distincts : effet revenu et effet de substitution Thème 6 : A la demande de marché Comprendre comment courbe de D marché = construite à partir courbes de D indi. Façon dont la D de marché réagit aux ≠ déterminants étudiés lors de la remise à niveau. CONSTRUCTION DE LA DEMANDE DE MARCHÉ Le marché: Sur le plan théorique, on dit que les biens vendus sur le marché doivent être homogènes, (tous être identiques). Cette condition : seule variable propre au bien qui influence le consommateur est son prix. Nous nous intéressons au côté “demande” du marché. Les demandeurs sont les agents éco qui souhaitent obtenir une certaine Q d’un bien ou d’un service à un certain P. Demande de marché reflète la disposition à payer des consommateurs. Les demandes individuelles Pour comprendre comment une courbe de demande de marché est construite Ex : marché du café avec consommateurs : Steve, Joe et David. Préférences ≠ de sorte donc demandent pas même Q pour un P donné. Représenter les plans de D de chacun de ces 3 conso pour 5 niveaux de prix différents. Plans de D indi représentent les Q demandées par chaque conso et pour chaque niveau de P : par ex, si le P du café est de 3 euros, Steve demandera 2 unités de café, Joe en demandera 6 et David 10. On peut interpréter les choses différemment : le plan de demande représente la disposition à payer d’un consommateur pour chaque unité de biens. Par ex, Joe est prêt à payer 5 euros les deux premières unités de café puis 4 euros les deux suivantes… Retour sur la théorie du consommateur: Pq disposition à payer d’un conso diffère en fonction de Q qu’il consomme d’un bien ? La raison : disposition à payer pour un bien = reflet de l’utilité que procurera la consommation de ce bien au consommateur, c'est-à-dire l’utilité marginale du bien. Comme l’utilité marginale = décroissante, le P que le consommateur est prêt à payer pour chaque unité supplémentaire d'un bien décroît. La demande de marché: Comment se forme la demande agrégée sur le marché ? D totale sur un marché = somme toutes D indi pour chaque niveau de prix sur ce marché. On n’additionne donc pas les prix mais bien les quantités. Courbe de marché = construite en faisant la somme horizontale des courbes de D indi. La courbe de demande de marché : Courbe de D de marché a toujours une pente + faible que les courbes de D indi. Une pente plus faible ? La pente d’une courbe de demande reflète la façon dont la D réagit aux modif de prix. On parle de sensibilité de la D au prix ou d’élasticité prix. Plus la pente est faible et plus la demande réagit fortement aux variations de prix. Et pourquoi ? Car en + des déterminants classiques de la D, il existe sur le marché un effet suppl : effet participation. Qd le P se modif, conso peuvent entrer ou sortir du marché. Courbe de D de marché pas 1 droite mais une forme “convexe” : pente se réduit au fur et à mesure que P diminue car effet participation a tendance à augmenter qd P se réduit ! Courbe de demande = coudée LE CAS DES FONCTIONS DE DEMANDES AFFINES La courbe de demande de marché: Construire la fonction de D de marché sur la base des fonctions de demande individuelles. Même lorsque les fonctions de demande sont affinées, la courbe de demande de marché n’est pas droite. La courbe de demande est de nouveau coudée. Chaque courbe de courbe de D de marché correspond à entrée d’1 nv conso sur marché. Conso ont des prix d’entrée différents sur le marché. Le prix d’entrée est le prix le plus élevé auquel un consommateur est prêt à acheter la première unité de bien. = ordonnée à l’origine de la courbe de demande inverse Rappel : les courbes de demande individuelles reflète les paniers de biens optimaux choisis par les individus donc leur préférences ! LE SURPLUS DU CONSOMMATEUR Ce que représente une courbe de demande : Courbe de D indi représente Q désirées d’1 B pour chaque niveau de P par 1 conso. Interprétée comme disposition à payer d’un conso pour chaque unité de bien demandé. Disposition à payer du conso pas nécessairement la même que le P de marché. Ainsi un consor peut acheter un bien à un P + faible que ce qu’il était prêt à payer. C'est tjrs le cas sur marché : consommateurs qui anticipent au marché = ceux dont la disposition à payer est > ou = au P de marché. Surplus du conso = disposition à payer d’un conso - P du marché Calcul : cote x cote / 2 (car triangle rectangle) RAPPEL CE QUE MODIFIE LA DEMANDE Les déterminants de la demande de marché : Les mêmes que ceux de la D indi. Ils affectent donc la D de marché de la même façon. Tout élément qui tend à augmenter D déplace la courbe de D vers droite et inversement. CONCLUSION : Les quantités totales demandées sur un marché sont égales à la somme des quantités demandées par chaque consommateur qui souhaite participer au marché. Graphiquement cela signifie que la courbe de demande du marché est construite en faisant la somme horizontale des courbes de demande individuelles. Thème 7 : Les élasticités L’élasticité permet d’analyser les modif de la D ou de O avec une plus grande précision. L’élasticité prix de la demande : Mesure variation de Q demandée d’un bien en réponse à une variation du P de ce bien. L’élasticité P de la D = variation en % de la Q demandée lors d’une variation de P de 1%. élasticité prix de la demande = variation des quantités demandé en pourcentage / variation du prix en % Méthode du point du milieu : préf pour calculer élasticité prix de D longues périodes 𝑄2 − 𝑄1 𝑄2 + 𝑄1 2 𝑃2 −𝑃1 𝑃2 + 𝑃1 2 La demande peut être inélastique : Q demandées rep que très peu au changement P L’élasticité prix de la demande est inférieur à 1 La demande peut être élastique : Q demandées rép fortement au changement de P L’élasticité prix de la demande est supérieur à 1 La demande parfaitement inélastique : Q demandées ne rép pas du tout au changement P La demande parfaitement élastique : les quantités demandées répondent indéfiniment aux changements de prix L’élasticité prix unitaire : les quantités demandées évoluent dans les même proportions que les prix Pour un bien Ordinaire : l'élasticité prix de la demande < 0 Pour un bien Giffen : l’élasticité prix de la demande > 0 (respecte pas la loi de la D) Déterminants de l’élasticité-prix : La demande tend à être plus élastique - Si le bien a beaucoup de substituts proches (+ facile pour les consommateurs d'échanger ce bien contre un autre) - Au fur et à mesure (biens ont tendance à avoir une D + élastique sur des horizons temporels + longs) Élasticité-prix de demande et pente de courbe de demande Etant donné que elasticité-prix de demande mesure quantité demandée en réponse au prix, elle est étroitement liée à la pente de la courbe de demande + pente est faible (courbe plate), + élasticité-prix de la demande = grande + la pente = forte (courbe plutôt verticale), plus élasticité-prix de demande = faible Graphiquement : - D parfaitement inélastique : élasticité-prix = 0 : | - D inélastique : élasticité-prix < 1 : \ : prix augmente mais baisse des quantités - D à élasticité unitaire : élasticité = 1 : \ (+ plat) P augmente mais baisse des Q - Demande élastique : élasticité-prix > 1 : \ (encore + plat) - Demande parfaitement élastique : élasticité-prix infinie : - : prix bouge pas Élasticité-prix & recette totale Recette totale = montant payé par les conso et reçu par les vendeurs : RT = P x Q Quand P augmente, RT augmente MAIS quand P augmente, Q demandées (Q) diminuent (si bien = ordinaire) ce qui diminue la RT Effet final : faut calculer élasticité-prix Si D = inélastique au P, une augmentation du P entraîne une diminution de Q demandée proportionnellement + faible. Ainsi, recette totale augmente Si D = élastique au prix, une augmentation du P entraîne une diminution de Qdemandée proportionnellement + forte. Ainsi, la recette totale diminue. Élasticité-revenu de la demande = mesure de la rép de la Q demandée d’un bien à une modif du revenu du conso = variation en % de la quantité demandée quand le revenu augmente de 1% élasticité-revenu de la D = variation des Q demandées (%) / variation du revenu (%) 1 bien normal ⇒ élasticité-revenu > 0 : qd revenu augmente, Q demandée augmente 1 bien inférieur ⇒ élasticité-revenu < 0 : qd revenu augmente, Q demandée augmente 1 bien de 1ère nécessité ⇒ élasticité-revenu < 1: inélastiques au R (ex : nourriture) 1 bien de luxe ⇒ élasticité-revenu >1 = élastique au revenu (ex : voitures de sport) Élasticité-prix croisée de la demande = mesure variation de Q demandée d’un bien en rép à une variation du P d’un autre bien = variation en % de la Q demandée lors d’une variation du prix d’un autre bien de 1% élasticité-prix croisée de D = variation Q demandées de X / variation du P de Y 1 bien substituable ⇒ élasticité-prix croisée > 0 1 bien complémentaire ⇒ élasticité-prix croisée < 0 X et Y = substituables : quand P du bien Y augmente la Q demandée de bien X augmente X et Y = complémentaire : quand P du bien Y augmente Q demandée de bien X diminue CONCLUSION : Élasticité-prix de la D mesure la façon dont la Q demandée répond aux variations de prix Elasticité-revenu de la D mesure façon dont Q demandée répond variations du revenu Elasticité-prix croisée de la D mesure la façon dont la quantité demandée d’un bien répond aux variations du prix d’un autre bien RT augmente à mesure que le P augmente D = inélastique (élasticité-prix < 1) RT augmente à mesure que P baisse lorsque D = élastique (élasticité-prix >1) THÈME 8 : LES INÉGALITÉS DE REVENU Analyser façon dont contrainte budgétaire s’exprime et discuter de la distrib des revenus 1. La mesure des inégalités de revenu Inégalité = situation où chaque individu obtient exactement la même partie de qqchose Égalité de revenu = situation où tous les individus ont exactement le même revenu Inégalité de revenu = dès qu’on s’éloigne de cette situation d’égalité parfaite Faut pas confondre égalité et équité : une répartition équitable des ressources = pas nécessairement une répartition égalitaire des ressources Outils de mesure des inégalités : indicateurs statistiques = indicateurs de dispersion qui permettent de mesurer la variabilité des valeurs d’une série statistique Ex : écart type (manière dont les valeurs s’étalent), variance, écart interquartile Déciles : diviser 1 pop en tranches constituées de 10% des indi, classée par ordre croissant / traite inégalités de revenu : 1er décile = 10% des ménages les + pauvres Quantiles = très utiles pour calculer les indicateurs d’inégalités suivants Courbe de Lorenz Représentation graphique qui permet de mesurer les inégalités de revenu / tracée en comparaison à 1 distribution parfaitement égalitaire des revenus En abscisse : % cumulé de la pop (ex : déciles) En ordonnée : % cumulé des revenus Une distrib parfaitement égalitaire des revenus = droite d’équidistribution Ex : 20% des ménages les plus pauvres détiennent 20% du revenu Permet de connaître comment revenu = distribué au sein de la pop Courbure cette courbe = indicateur nv inégalités : + courbé = + inégalités fortes Le coefficient de GINI Directement basé sur la courbe de Lorenz, calcul = rapport entre surface compris entre droite d’équidistribution (B) et courbe de Lorenz (A) (aire totale située sous droite d’équidistribution) ; Coefficient de GINI = A / B ; Valeur comprise entre 0 et 100 ➔ En cas de répartition parfaitement égalitaire des revenus : courbe de Lorenz = confondue avec droite d’équidistribution de sorte que l’aire de A = nulle ➔ En cas de répartition parfaitement inégalitaire revenus : courbe de Lorenz = en angle droit de sorte que aire de A = confondue avec celle de B (représente 100%) Inégalités dans le monde : 1% des individus les + riches détiennent 50% de la richesse mondiale et 10% des ménages les + riches détiennent + de 85% de la richesse mondiale Difficultés de mesure des inégalités : Chiffres doivent être interprétés avec précaution Théorie du cycle de vie : Revenus varient de manière assez prévisible tout au long de la vie : revenu faible puis augmente progressivement et finit par diminuer Individus peuvent emprunter ou épargner afin lisser leur revenu tout au long de leur vie. Théorie du revenu permanent : Revenus des indi peuvent varier dans le T de façon imprévisible (crises éco, chômage). Mais les individus s’y préparent généralement en épargnant pour faire face à ces situations potentielles difficiles. De nouveau, il cherche à lisser leur revenu. Mobilité économique :mvt des individus entre les ≠ classes de revenu La mesure de la pauvreté : Taux de pauvreté : seuil de la population dont le revenu < à un niveau absolu : seuil de pauvreté / en Europe, seuil de pauvreté correspond à 60% du revenu médian (40% pour le taux de “très grande pauvreté”). Distingue : Concept de pauvreté absolue : situation dans laquelle individus pas accès aux conditions élémentaires de survie (nourriture, logement et l'habillement) Concept de pauvreté relative : situation dans laquelle les individus sont exclus de ce qui est considéré comme étant le niveau de vie standard de la société 2. Les courants de pensée et la distribution des revenus = 3 philo pol Egalitarisme Utilitarisme Libéralisme Libertarisme Etat toujours Etat chercher à max Etat tjrs chercher Etat encourager chercher égalité la utilité totale indi max bien-être de accords volontaires + forte entre indi Origine de théorie personne la + entre individus mais (concernant distrib du conso : défavorisée de pas gérer inégalités revenus) rechercher max société = max le min de revenu car Etat devrait regarder utilité Rawls : actions de légitime indicateurs de Etat choisir entre Etat doivent être Robert Nozick : dispersion et plusieurs “équilibres justes, mais chaque répartition des chercher à atteindre sociaux” : utilité membre d’une revenus = la distrib la + agrégée maximale société peut avoir aboutissement d’un égalitaire des Compliqué car une vision très ≠ de processus dans revenus concept d’utilité ce qui est juste lequel tout le monde + Facile à mettre en agrégée difficilement Sa solution : a les mêmes place mesurable répartition des chances de gain ressources soit (effort et travail décidée par les fourni) = individus avant MÉRITOCRATIE même qu’ils (critique du “voile naissent = peur de d’ignorance” de se retrouver dans Rawls) situation donc max - favorisé 3. Les politiques visant à réduire la pauvreté Salaire minimum A l'origine d’un débat historique en économie Permet de lutter contre pauvreté des travailleurs sans coût suppl pour l’Etat = la "pauvreté masquée” sur le marché du travail. Pays où aucun salaire min : taux de chômage = svt + faible, mais les travailleurs peuvent se trouver dans des situations de pauvreté en raisons de salaires très faibles Correspond à 1 prix plancher (= un prix en dessous duquel il est interdit de descendre) sur le marché du travail Instauration d’un prix plancher sur un marché provoque une O excédentaire, ce qui correspond à du chômage sur le marché du travail France = SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance) fixé à 10,48€/h depuis le 1er octobre 2021 soit 1589,47€ bruts mensuels Prestations sociales Compléter revenus des agents par des prestations sociales Repose généralement sur principe des transfert : la contrepartie des prestations sociales = constituée des prélèvement sociaux (ponctionne partie du revenu ménages + riches) Créer mauvaises incitations pour chômeurs, en les aidant => enferme ds l’assistanat. 2017 : France = pays pour lequel la part des prest sociales dans PIB = le + élevé (31,7%) Imposition négative du revenu Impôt négatif vient en réduction du montant d’impôts que devrait payer le ménage. Si celui-ci ne doit pas payer d’impôts, alors ce montant se transforme en prime reçue par État (ce que l’on appelle un crédit d’impôts)

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